La sodomie
La Sodomie quelques ligne glanées sur le net :
De la part de la personne passive, C’est un don exclusif, un don auquel le plus souvent, aucun autre partenaire n’a droit. La/le partenaire qui se fait sodomiser fait preuve de confiance; tant physique (l’indélicatesse peut rendre l’acte très douloureux), que psychologique (car elle/il offre à son partenaire le spectacle de sa « déchéance » en prenant par là, un plaisir « hors nature »). Se laisser sodomiser, c’est offrir un plaisir particulièrement rare. En cédant cette « dernière faveur », on renonce à ce qui, souvent, est le dernier rempart « privé » de son corps.
La ou le partenaire en retire-t-il/elle du plaisir?
Outre ces aspects psychologiques, la sodomie est aussi un vrai plaisir physique. Par l’émouvante approche de baisers et de caresses très intimes. Par le contact d’un vit qui s’avère toujours trop gros en regard d’une corolle serrée. Par la sensation de pénétration qui est beaucoup plus intensément ressentie et par l’impression d’être élargi(e), forcé(e) envahi(e), comblé(e).
J’aime sentir l’approche, d’abord timide, puis de plus en plus hardie du partenaire qui désire me sodomiser. Prudemment, ses doigts me pressent la rose. Puis insidieusement, ses baisers glissent vers l’intimité de mon anneau de chairs serrées. J’aime sentir une langue qui me force puis des doigts encore hésitants qui me pénètrent pour m’élargir. Alors je m’écarte, je m’ouvre, je m’offre. Malgré ma crainte, je l’invite à poursuivre, à me prendre. Au contact du sexe tendu, je surmonte mon inquiétude pour me laisser faire. Je m’efforce de lui ouvrir mon étroite corolle pour l’accueillir. A chaque fois, aux premières poussées de la pénétration, il me semble qu’il ne parviendra pas à entrer. Je sens son vit, dur et ferme qui s’efforce de passer.
Parfois, je souffre un peu lorsqu’il frôle cette inquiétante limite entre douleur et plaisir. Mais dès que le gland gonflé a franchi mon anneau distendu, je me referme, je me resserre. Mon désir est alors de le sentir s’enfoncer plus loin, de me laisser envahir jusqu’au plus profond de mon ventre ainsi comblé. J’apprécie la lenteur des premiers mouvements, la force qui ne parvient plus à se contenir, la course vers l’inexorable jouissance. J’aime le sentir enfler en moi, gonfler encore… gonfler à me déchirer. J’aime ces quelques palpitations qui précèdent la jouissance. J’aime ce déversement chaud, humide, enfin. Puis c’est l’apaisement, le calme, la tendresse, le bien-être de mon ventre empli de celui qui, satisfait, doucement se rétracte.
De la part de la personne passive, C’est un don exclusif, un don auquel le plus souvent, aucun autre partenaire n’a droit. La/le partenaire qui se fait sodomiser fait preuve de confiance; tant physique (l’indélicatesse peut rendre l’acte très douloureux), que psychologique (car elle/il offre à son partenaire le spectacle de sa « déchéance » en prenant par là, un plaisir « hors nature »). Se laisser sodomiser, c’est offrir un plaisir particulièrement rare. En cédant cette « dernière faveur », on renonce à ce qui, souvent, est le dernier rempart « privé » de son corps.
La ou le partenaire en retire-t-il/elle du plaisir?
Outre ces aspects psychologiques, la sodomie est aussi un vrai plaisir physique. Par l’émouvante approche de baisers et de caresses très intimes. Par le contact d’un vit qui s’avère toujours trop gros en regard d’une corolle serrée. Par la sensation de pénétration qui est beaucoup plus intensément ressentie et par l’impression d’être élargi(e), forcé(e) envahi(e), comblé(e).
J’aime sentir l’approche, d’abord timide, puis de plus en plus hardie du partenaire qui désire me sodomiser. Prudemment, ses doigts me pressent la rose. Puis insidieusement, ses baisers glissent vers l’intimité de mon anneau de chairs serrées. J’aime sentir une langue qui me force puis des doigts encore hésitants qui me pénètrent pour m’élargir. Alors je m’écarte, je m’ouvre, je m’offre. Malgré ma crainte, je l’invite à poursuivre, à me prendre. Au contact du sexe tendu, je surmonte mon inquiétude pour me laisser faire. Je m’efforce de lui ouvrir mon étroite corolle pour l’accueillir. A chaque fois, aux premières poussées de la pénétration, il me semble qu’il ne parviendra pas à entrer. Je sens son vit, dur et ferme qui s’efforce de passer.
Parfois, je souffre un peu lorsqu’il frôle cette inquiétante limite entre douleur et plaisir. Mais dès que le gland gonflé a franchi mon anneau distendu, je me referme, je me resserre. Mon désir est alors de le sentir s’enfoncer plus loin, de me laisser envahir jusqu’au plus profond de mon ventre ainsi comblé. J’apprécie la lenteur des premiers mouvements, la force qui ne parvient plus à se contenir, la course vers l’inexorable jouissance. J’aime le sentir enfler en moi, gonfler encore… gonfler à me déchirer. J’aime ces quelques palpitations qui précèdent la jouissance. J’aime ce déversement chaud, humide, enfin. Puis c’est l’apaisement, le calme, la tendresse, le bien-être de mon ventre empli de celui qui, satisfait, doucement se rétracte.
9 years ago