Soumis en mission 3

elle se retourna , s'éloigna en roulant de son divin cul.
Moi en slip sur ce siège.
J'eus l'envie de me précipiter sur elle, lui écraser ses gros seins, relever sa jupe et la prendre brutalement par derrière à 4 pattes dans son joli tailleur de bourgeoise, devant son bureau...
Mais je ne bougeai pas. Seul mon sexe trépignait. Je me levai et baissai mon slip, pour lui montrer cet obélisque qu'elle allait engloutir dans sa bouche !!
Elle était dans une pièce derrière et je l'entendais remuer des affaires. Elle revint avec dans la main une petite paire de menotte ridicule à froufrou. Elle souriait pour la 1ere fois d'un sourire qui avait quelque chose de félin, de panthère que j'allais découvrir.
Arrivant à ma hauteur elle frotta son bassin à mon buste, je voulus la retenir, elle s'écarta vivement et alla fermer la porte du magasin à clef. Le rideau était maintenant baissé. La soirée qui s'annonçait allait être terrible, voir la nuit. Je ne croyais pas si bien dire...
'Mettez vos mains baladeuses dans le dos, jeune homme !'
Elle allait me pomper avec moi menotté, la vicieuse.
Elle restait pourtant derrière moi, elle semblait se déshabiller !!
Je fus surpris quand elle me couvrit la tête de sa culotte, ou plutôt d'une gainette noire épaisse odorante à souhait, je n'y voyait plus rien. Elle savait me surprendre et m'exciter, faire durer l'attente...
J'étais dans le noir, le contact du nylon et cette odeur me rendait fou !!
Mon sexe attendait le contact de ses lèvres. hum bientôt mon gars !
Mais elle récupérait quelque chose sur son bureau et bientôt j'entendis du scotch se dérouler.
Elle scotchait sa culotte pour la plaquer sur mon visage sur ma bouche, elle tournait autour de moi. Je n'avais jamais goutté à ce genre de scénario SM, mais bon. La pipe allait venir ! Et puis je ne protestait pas je voulais être 'une bonne affaire' pour décrocher ce fameux contrat ?
Elle s'éloignait de moi encore une fois.
Je l'entendis trainer puis monter sur un escabeau, des bruits métalliques.
Je commençait à m'inquiéter de mon situation...
Pour me rassurer et aussi pour l'attirer je lui dit fort pour sortir un son de cette gainette qui me moulait et me tenait chaud :
'J'ai envie de ton corps, viens !!'

A SUIVRE
Je commençait à me demander si je n'étais pas tombé sur une dingue. Mais elle m'excitait et savait y faire !!
'Ne m'interrompez pas jeune homme' lança t'elle d'une voix sèche qui me surpris.
Je l'entendis enfin descendre de l'escabeau, venir vers moi.
Elle me frôlait et tournait autour de moi. Toujours ce bruit métallique..
J'attendais ses lèvres, mon sexe devait être bleu.
Tout à coup je sentis un contact métallique froid sur mon coup, elle me mettait un collier ?
Non une chaine !!
La femme était derrière moi et je sentais son souffle sur mon nuque, ses mains, des maillons de chaine commençait à serrer ma gorge, j'avais du mal à respirer.
Je paniquais, tentais de me lever, mais elle s'appuyais sur mes épaules,
'tututu ! Du calme mon tout beau !'
Un cliquetis : un cadenas venait de se refermer !! Ma pomme d'adam était coincée, je ne plus avaler, parler, respirait très mal. J'ouvrais grand la bouche, aussitôt la gainette pénétrait dans ma bouche.
Ses mains me lâchèrent, je l'entendis rire.
Je me débattais mais l'air me manquait. Je parvins à me redresser de ma chaise, le sexe gonflé à mort, mon jean à mes pieds. Je tirais sur ces menottes de merde mais elles résistaient. J'avais du mal à conserver mon équilibre. Je devais me calmer.
Je me concentrait sur ma respiration. J'ouvrais la bouche au maximum, sa culotte contre ma langue. Je levais la tête au maximum pour soulager ma pomme d'adam.
Elle riait aux éclats !!
J'étais tombé dans son piège !! Comme un naïf ! Qu'est ce qu'elle allait faire de moi, me couper les couilles pour me punir de l'avoir suivie ??
Pourtant je sentis mon sexe dressé durcir encore !
'Oh Oh voyons ça mon jeune homme avec une grosse envie !'
Un cliquetis de cadenas encore ! Une traction vers le haut, je l'entendais souffler.
'Allez mon cochon, fais moi le beau !'
J'étais tiraillé par le collier par une laisse, une chaine encore ? J'allais finir pendu ou étouffé !! Mes cris ne passèrent pas ma gorge, je bavais dans sa culotte, les yeux exorbités. J'étais maintenant sur la pointe des pieds. Un nouveau cliquetis de cadenas.
J'étais immobilisé là, à sa merci. Les pieds en extension, la tête levée au maximum. La lumière des néons passait à travers les mailles de nylon, j'étais en sueur, ridicule. Une mouche dans une toile d'araignée, me débattre était inutile. J'étais ridicule et pourtant terriblement excité par son rire, ses talons qui s'activaient dans la pièce, revenaient, repartaient
Je l'entendais s'éloigner et préparer encore quelque chose de terrible, je le sentais...

A SUIVRE


Published by perver38
10 years ago
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