Tania, la fille des montagnes

Cela s’est passé pendant l’été 2011. A l’époque, je travaillais pour la saison dans une résidence de tourisme en Savoie. Nous étions trois : la responsable de site, la réceptionniste, et moi-même, l’agent de maintenance.

J’ai tout de suite remarqué Tania (j’ai préféré changer le nom, on ne sait jamais…). Blonde, yeux bleus, âgée de 18 ans, souriante, gentille, elle était un véritable soleil, une magnifique gamine…Pour ma part, j’avais 36 ans et, de surcroît, elle avait un petit copain… »Trop vieux pour elle, déjà maquée : tant pis, laisse tomber » me disais-je…

Seulement, j’ai remarqué que je lui faisais quelque effet…J’en ai eu la confirmation lors de cette soirée, où nous nous baignions tout les deux dans la piscine de la résidence.

J’ai plongé dans l’idée de la prendre par les jambes afin de la couler. Elle a réussi à se dégager. Je me suis redressé, j’ai monté à la surface pour la prendre par la taille. J’ai mis la main sur son sein par accident. Elle a répondu à mes excuses embarrassées par un beau sourire puis… par une pelle langoureuse !

C’était la dernière chose à laquelle je m’attendais. Stupéfié, je ne dis mot. Elle m’a alors dit que son copain n’était pas sensé être au courant de ce que nous faisions dans la piscine. J’ai souri, puis j’ai enlevé son maillot. Je vous laisse imaginer la suite.

Nous sommes devenus amants suite à cet épisode. Nous profitions de chaque instant pour faire l’amour le plus souvent possible. Et vu son caractère volcanique, c’était plutôt souvent !
Et ce dans les endroits les plus insolites (chaufferie, local piscine, appartements…)…

J’ai vécu avec elle sans doute quelques moments parmi les plus forts de mon existence. Et m’a même fait découvrir ma voie (lire « Comment j’ai découvert le sado-masochisme »)

Cette histoire s’est finie à la fin de la saison, 3 mois après l’épisode de la piscine. Nous sommes tous repartis chacun chez soi.

Je n’ai plus jamais entendu parler de Tania, la fille des montagnes, mais je pense beaucoup à elle. Encore aujourd’hui…