Ma femme sur le chemin du boulot
les plaisirs des transports en commun
Sur le chemin du boulot
Histoires longues
* * *
Autre chose?
Tu veux savoir ce qui me branche?
Ah! oui, j'aime bien aussi aguicher sans avoir l'air et sans trop risquer grand chose. Dans le métro c'est très facile car les trajets sont courts. L'autre jour, j'avais une jupe vraiment courte et les mecs me mataient comme des barjos. J'avais mis un collant noir hyper-fin et je trouvais mes jambes jolies ainsi. Et les vicieux mateurs alors? Imagine un peu?
C'est à l'escalator que je me suis sentie épiée de loin. Jetant un coup d'œil en arrière, je me rends compte qu'il y a un grand vide derrière moi... mais que dix marches en contre-bas deux ou trois types ont les yeux rivés vers le haut. Pas de doute, ils reluquent mes cuisses en espérant voir ma culotte, que j'ai choisie blanche, tu t'en doutes, pour qu'on la voie mieux sous le noir du collant. Alors, je me campe bien sur mes guiboles que j'écarte un peu. Je ne sais pas s'ils peuvent arriver à voir ma culotte. En tout cas, je suis toute émoustillée rien qu'à l'idée qu'ils risquent de l'apercevoir. Je me régale de savoir que des yeux hagards d'hommes salaces scrutent sous ma jupette pour découvrir les trésors qui s'y cachent.
D'ailleurs ce collant est très fin, sans démarcation (je l'ai mis exprès) et, si elle se montre, ma culotte doit être bien visible. Tiens! ça me fait mouiller.
Après l'escalator, je me retourne un peu et je les vois (oui, ils sont bien trois à me mater) hagards et envieux. Tilt!
Tiens, puisque c'est ça, je vais les achever. Pour sortir de la station, il y a un escalier dont les côtés sont en plexiglas... donc, mes jambes se voient bien. Alors, quand j'arrive en haut, je les surplombe. Sous mon bras, je les vois en bas qui se sont arrêtés attendant mon passage au-dessus de leurs têtes. Arrivée au point culminant de l'extase pour un voyeur, coquine, je longe bien le bord, mes hanches touchant presque la rampe. Brusquement, je m'arrête, j'allume une cigarette et je reprends ma position campée. Là c'est sûr: ils doivent tout voir d'en bas. je les affole une à deux minutes sans bouger. Eux, en bas, tête levée sans équivoque, ont les yeux plongés sous ma jupe. Je sais qu'ils voient non seulement mes cuisses en entier mais aussi mes fesses et ma culotte. Je mouille un bon coup et je m'en vais. Cruelle femelle que je suis!
* * *
Qu'est-ce-qu'il m'a pris ce jour-là? le printemps ? peut-être ?
Sâchant que le soir je serai seule à la maison en rentrant, j'avais décidé de m'habiller coquine. Peut-être aurais-je une aventure entre midi et deux ou bien dans le bus ou le métro?
Mini-jupe de rigueur mais accompagnée d'une veste B.C.B.G. avec des escarpins moyennement hauts, vernis noirs cependant! En haut un pull fin très moulant qui permettait de deviner la dentelle de mon soutien-gorge balconnet et suggérait mes tétons lorsqu'ils affleureraient à la lisière. Pour finir, je me décidais à mettre une belle culotte ample bleu ciel très soyeuse et des bas dim-up... au cas où!
Dès le matin, à l'aller, je me mis à aguicher un ouvrier dans le métro. Le pauvre type était entrain de réparer l'escalator, allongé par terre. Quand j'arrive à sa hauteur, je m'arrête deux marches au-dessus de lui; je pose mon sac à mains sur le rebord et je fais semblant de chercher un ticket. Ainsi pendant deux minutes, le mec allongé au-dessous de moi peut reluquer à loisir mes jambes et mes escarpins. Je l'observe à la dérobée et, bien qu'il ait encore sa perceuse en mains, il ne travaille plus du tout: ses yeux sont rivés à mes jambes qu'il mate de bas en haut. D'où il est -idéalement- placé, il aperçoit à coup sûr la lisière de mes dim-up noirs sous ma jupette. Feignant l'impatience de celle qui ne trouve pas, je m'agite, lui offrant en plus la vision fugitive de ma culotte, que j'ai volontairement choisie la plus transparente possible -ma bleu ciel en crêpe hyper-fin, celle à travers laquelle ma toison se devine.
*
La journée ne m'ayant pas apportée d'occasions de satisfaire mes "canailleries", je comptais sur le trajet du retour pour m'amuser un brin, en excitant des types.
Déambulant comme une fofolle avec ma jupette sexy, j'allumais plein de types sur le trajet qui me conduisait au métro. Je me régalais de ces dizaines et dizaines de paires d'yeux sur mes fesses, mes jambes, mes escarpins, mes seins arrogants.
C'est l'heure de pointe. A la station, il y a plein de types et de... bonnes femmes (qui ne m'intéressent pas). Je sens bien le poids des paires d'yeux des mâles dans ma direction. Cela attise mon excitation montante. C'est pourquoi, je m'assieds quelques instants sur un banc en plastique pour attendre la rame et, là, je croise mes jambes assez haut sous ma mini-jupe qui remonte. Discrètement (enfin, plus ou moins!) les hommes me reluquent de la taille aux escarpins et certains bien placés doivent apercevoir le liseré de mes dim-up; je jouis intérieurement à l'idée de les affoler. Je parie sur ceux qui vont monter le plus près de moi.
Quand je monte dans le métro, je me sens poussée par derrière, propulsée même. C'est un vieux vicieux salopard qui se colle à moi et en profite pour me peloter. Celui-là, je m'étais pariée à moi-même qu'il chercherait à me frotter et... je ne m'étais pas trompée. Me dégageant un peu, je me faufile dans la cohue et, sur la plate-forme, je me retrouve au milieu d'un groupe d'étudiants et poursuivie par le vieux salaud, qui n'arrive pas à m'approcher.
Immédiatement, le regard scrutateur du plus grand de ces jeunes mâles plonge sur mon balconnet. Je sens bien qu'il détaille la dentelle, le bout de mes tétons commençant à se tendre car, évidemment, je tends mon buste. Sur ma droite, un blondinet jette un coup d'œil à ma jupette en se penchant un peu. Par contre, l'autre sur ma gauche est collé à moi. Profitant des cahots du métro, je le frotte sans en avoir l'air et, peu à peu, je perçois une bandaison de plus en plus pressante le long de ma hanche.
Le petit vieux tente toujours de me coller au cul mais les jeunots ne sont pas décidés à le laisser faire... cela me réjouit.
*
Cependant, le court trajet ne me permet pas d'aller guère plus loin. Je me débrouille toutefois pour me laisser balancer de l'un à l'autre, touchant de temps en temps négligemment (tu parles?) le sexe de celui de droite avec le revers de mon avant-bras qui tient mon sac le long de mon corps, appuyant un court instant mes deux seins sur le torse du grand et insistant contre la bitte bandée du mec de gauche. Tous trois me reluquent un peu surpris et ont suspendu leur conversation.
Puis, prestement, je descends aussi "décontractée" que lorsque je suis montée. Je prends le chemin du retour en balançant allègrement ma jupette au rythme enchanteur de mes jambes gainées de mes dim-up et de mes escarpins. S'ils me suivent -je descends au terminus, donc c'est possible- ils doivent me reluquer.
*
Qu'est-ce qu'il me prend? Excitée par ces regards et ces frolements, je prends le chemin du retour. Je jette un rapide coup d'oeil derrière moi et je vois que les trois gars me suivent à une vingtaine de mètres. Je ne vais pas les amener à la maison, tout de même, c'est trop risqué! ... Mais je n'ai aucune envie d'en rester là! Vite, j'allonge le pas... j'ai juste eu le temps de me rendre compte que le vieux vicelard suivait aussi mais bien plus loin.
Alors, coup de folie? Au lieu de prendre le chemin habituel, j'emprunte le long souterrain, passant sous le boulevard. D'habitude je ne le prends jamais, à cause d'un risque d'aggression. Mais aujourd'hui, je me dis -ai-je vraiment réfléchi?- qu'avec ces trois types à mes trousses, ces trois gaillards qui sont loin de me déplaire, qu'en fait je ne risque pas grand chose.
Evidemment, ils prennent le souterrain, en accélérant le pas pour m'y ratt****r. S'ils savaient qu'ils n'en ont nullement besoin. Je vais les y attendre! Arrivée à la moitié de cette galerie, là où elle fait un coude, je m'arrête et pose mon sac par terre à mes pieds. J'entends leurs pas qui approchent sur le carrelage. Je me penche en avant et commence à fouiller dans mon sac, leur tournant le dos ostensiblement, les fesses bien en l'air. Ma jupette a dû bien remonter car je sens un peu d'air frais sur le haut de mes cuisses. De toute façon, ils savent que je porte des bas... mais là, ils doivent apercevoir simultanément les deux bandes plus foncées des jarretières élastiques et probablement un peu de chair blanche au-dessus. Ils approchent, ralentissant le pas. Je tremble.
Je tremble d'excitation et d'impatience mêlée à un peu d'appréhension. Je n'attends pas longtemps. Je sens une main venir palucher le haut de mes cuisses tout en haut, caressant le nylon du bas et atteignant rapidement la chair fraiche. Une autre pogne soulève complètement ma jupette, une autre encore caresse ma culotte archnéenne, des doigts s'immiscent aussitôt dans mon sillon et viennent effleurer mes lèvres trempées.
Je ne bouge pas et me laisse faire. Le contraire les aurait peut-être étonnés, vu le cirque du métro. De toute façon, je me régale de me faire palucher, c'est ce que je voulais!
Alors que je fais mine de me redresser un peu, je sens autre chose: oui, c'est bien une queue bandée qui se promène dans mon sillon fessier et vient tutoyer ma chatte. Deux mains me maintiennent fermement dans la position penchée en avant, m'empêchant de me relever. Je sens que l'on écarte ma culotte ample et soyeuse et que le gland de cette grosse tige s'approche de mon pertuis humide.
Sans trop de préliminaires, la queue se ballade deux ou trois fois de bas en haut tout le long de ma chatte qui mouille de plus en plus. Bien lubrifié, le gland -que je sens gros- s'immobilise entre mes lèvres dilatées. Je le sens prêt à entrer. Je tends encore plus mon beau cul blanc en arrière, le gland commence sa pénétration. Alors, je m'appuie des deux mains contre le mur et, là, l'engin désiré peut enfin me remplir. Sans sauvagerie mais néanmoins avec force, le mec me prend en levrette en me pistonnant lentement. Ses deux mains me tiennent fermement par le replat de mes fesses, l'une d'elle maintenant ma culotte écartée (j'ai bien fait de mettre cette culotte ample!) D'un seul coup, il pousse fort son engin, qui s'enfonce dans ma chatte jusqu'aux couilles. Je pousse un petit cri. Pourquoi? En tout cas, cela excite mes mâles.
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Encouragé par ses potes et par l'accueil de ma chatte, le mec se déchaine alors. Il me lime puissamment. Je sens son engin aller et venir en moi à la vitesse grand V. Il m'a empoignée par les hanches et me fait glisser le long de sa hampe qui coulisse à l'aise dans mon vagin dégoulinant de mouille. Il va vite, de peur de ne pas avoir le temps de terminer... moi, cette rapidité me frustre un peu, ... j'aurais aimé plus de préliminaires, enfin !
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Le mec ne se le fait pas dire deux fois. Il me pistonne à fond et, soudain, se cabre en grognant, se plante en moi tout au fond:
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Et je sens mon intimité remplie de chaud liquide, alors que le mur me permets de répondre à son coup de butoir fulgurant.
Le gars sort aussitôt et la place ne reste pas vacante longtemps. En effet, une autre bite prend la place chaude et gluante immédiatement. Celui-là non plus n'y va pas par quatre chemins. Clouée au mur, je me fais baiser comme une salope de régiment.
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Disant cela, le gars me baise profondément, tout en dégageant complètement mes fesses : ma culotte est écartée sur le côté, ma jupette est roulée à la taille et mon cul, que je tends bien en arrière, doit saillir bien blanc dans la lumière blafarde du souterrain, avec la pine entrant et sortant sur toute sa longueur.
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En effet, ma chatte est aux anges, mes chairs se délectent des va-et-vient de cette hampe solide, qui clapote dans le sperme de l'autre. Je sens ses grosses couilles venir taper mes fesses durcies. Le mec me bourre de bon cœur et j'aime ça.
Toujours appuyée au mur, j'ai du mal à maintenir l'équilibre parce que je cherche à empoigner d'une main la bite du troisième sur ma droite. Il s'approche de moi et je peux masturber sa queue tout en continuant de me faire piner comme une chienne. Mes doigts jouent avec son gland, je taquine son méat avec mon pouce, humectant bien cette boursouflure violette qui s'approche de plus en plus de moi. Mon branlé avance son bas-ventre vers moi et me présente cette belle queue à sucer.
Excitée, limée en puissance, je ne fais qu'une bouchée de cette tige volumineuse. Ma bouche arrondie déguste ce gros sucre d'orge, j'y mets tout mon savoir-faire, léchant le gland, aspirant et pompant la tige, griffant les couilles avec mes doigts.
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Occupée à sucer cette belle queue et bien bourrée dans la chatte, je n'ai pas entendu arriver deux ou trois autres types. Mais, je me rends vite compte de leur présence, dont celle du vieux vicieux qui a trouvé du renfort. En effet, je sens plusieurs mains qui mettent mes seins à l'air, caressent mes fesses, mes bas, mes cuisses. Je perçois la présence d'une queue sur ma gauche qui tapote ma joue et se promène dans mes cheveux. J'abandonne un instant mon sucé, tourne la tête et, levant les yeux, je m'aperçois qu'un petit groupe d'hommes s'est ajouté à mes trois premiers baiseurs et palucheurs et que, dans ce groupe, le vieux vicelard est bien là, se lêchant les babines. Je ne réfléchis pas et j'embouche aussitôt la pine tentatrice sur ma gauche.
Pendant ce temps-là, mon jeune baiseur accélère sa bourrée. Je suis secouée et sa bite tape de plus en plus fort au fond de mon vagin en feu. Le mec m'aggrippe presque sauvagement aux hanches, les mains sous ma culotte et me laboure puissament. Dans un grand cri -"ouaaourfff!" , il part en se retirant. Je sens son foutre s'écraser sur les globes de mes fesses. Une autre main (le vieux?) étale aussitôt tout ce sperme qui m'englue.
Dans la foulée, le troisième jeunot que je venais de sucer avec amour, vient rendre hommage à ma chatte. Ce gros gland me pénètre en douceur, lentement, profondément, avec application. Il me rend le plaisir que je lui ai donné avec ma bouche. Moins brutal que les deux autres, il me lime sans précipitation. De toute façon, je l'avais tellement bien sucé, qu'il ne doit pas être loin de l'explosion. Sa bite me fait du bien, je la sens bien en moi.
Celui-là, plus raffiné, pense à mon plaisir. Il m'a aidée à me redresser. J'ai maintenant mes deux avant-bras au mur, le visage enfoui dedans, presque debout. Je sens ses cuisses musclées au contact des miennes au travers du doux tissu des bas, ses couilles qui tapent mes fesses à chaque pénétration. Je vais jouir. je commence à gémir et à me trémousser. Tous les mecs voient que je vais partir et encouragent mon baiseur. Des voix inconnues lancent des encouragements qui, en d'autres occasions, auraient dû me paraître obscènes et, là, m'excitent à bloc :
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En effet, le gars me lime "de loin". A chaque bourrée, il ressort presqu'en totalité sa queue de ma chatte et re-rentre immédiatement bien au fond. Cela me fait l'effet de la foudre! Cette longue tige que je sens un instant bien en moi, se fait désirer pendant l'espace d'une demi-seconde, puis revient et me remplit! Je gémis de plus en plus, je suis au bord de l'extase.
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Agitant ma chevelure en tous sens, je me sens partir et je me mets à l'encourager à mon tour :
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Le mec, heureux et fier, me baise de plus belle. Son engin durcit de plus en plus en moi. Plus il durcit, plus mon plaisir monte. je m'affole complètement en me trémoussant de plus belle:
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Le mec me basarde de profondes coups de boutoir en soupirant.
Et, comblée, je jouis à l'infini. Je me rends à peine compte qu'une demi-douzaine de queues bandées m'entourent. Ce sont plutôt les odeurs qui m'indiquent leur présence car, les yeux fermés, je savoure l'intromission de cette queue gaillarde.
Alors que je me relâche un peu, tellement j'ai joui, je sens le jeune se retirer et une véritable douche de sperme arrose mes fesses et ma fente. Ce qui doit ressembler à une zébrure blanche m'envahit le dos, un ruisseau s'écoule de la gouttière de mes fesses.
Pantelante, au septième ciel, je me surprends à gémir:
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Je n'ai pas vraiment le temps d'attendre car je me sens immédiatement possédée par une autre pine vigoureuse. Toujours plaquée au mur, je me retourne un peu pour voir qui me baise. Dans mon demi-brouillard d'extase, j'aperçois sept ou huit types de tous âges (certains étaient sur le quai du métro et, flairant la bonne occase, m'avais suivie) qui se branlent tout autour du couple que je forme avec mon nouveau baiseur.
Ce dernier est plutôt du style vieux et laid. Il est petit, trappu, avec une grosse bedaine qui surmonte mon cul offert. ses gros doigts boudinés se régalent de caresser ma culotte soyeuse et d'étaler le foutre des autres. Il me transperce comme un soudard, sans ménagement. Son engin rentre et sort de ma chatte gluante dans une cadence infernale.
Bouche ouverte, plaquée au mur, je suffoque et soupire. Ce gros salopard gicle en moi, m'inondant de foutre. Comme à la curée, un autre baiseur prend immédiatemment sa place. C'est le premier d'un petit groupe d'arabes qui me prend. Je suis devenue la "pute" du souterrain : cela m'affole et m'excite en même temps!
Alors, c'est un long défilé de queues dans ma chatte dilatée, détrempée, ravagée. Au passage, certains braquemarts attisent ma braise. Je jouis trois ou quatre fois sur mon nuage. Je me rends à peine compte qu'un mec, après m'avoir copieusement limée, vient éjaculer sur mon sein gauche en remplissant le bonnet de mon soutien-gorge. Je ne sais plus où j'en suis. Je dégouline de sperme. de longs filets de foutre s'écoulent le long de mes bas, jusqu'à mes escarpins. Dans mon dos, dans ma chatte, huit, dix, douze peut-être? ... je ne sais plus, plein de queues me prennent à tour de rôle. Mes jeunots ont disparu. je suis entourée de mâles nouveaux et inconnus. Je ne vois plus, je ne sens plus que les bites. une odeur immense, mélange de ma mouille, de leur excitation, du foutre éjaculé, emplit ce coin sordide de souterrain.
De temps en temps, j'empoigne quelques queues qui sont à ma portée, les masturbant de mes doigts rendus onctueux de sperme.
Alors, un de mes baiseurs me retourne brutalement. De face, il m'embroche en me saisissant par la taille. Son visage hideux -mal rasé, grosses lèvres, yeux globuleux- me fait face. Baissant les yeux, j'aperçois, l'énorme engin qu'il me promet! Jamais vu un truc pareil: épais, noueux, avec un gland violacé gros comme un oeuf!
Bizarrement, j'ai une folle envie de cette pine d'enfer! je ne me suis jamais fait prendre par un truc aussi gros. Impatiente, je tends mon bas-ventre vers lui. Le gland tutoie mon entrée débordante du foutre de tous ceux qui ont préféré m'inonder plutôt qu'asperger mes fesses et mes bas.
A ma grande surprise, le gros dard commence à me pénétrer sans aucune difficulté. Fléchissant sur ses cuisses, le gros dégueulasse me regarde fixement, l'air salace et enfonce progressivement sa bitte d'âne en moi. Il me procure une dernière extase. J'en oublie son ventre répugnant. Je suis toute offerte à cette queue, clouée au mur et je me laisse embrocher sous le regard approbateur des autres types qui ne m'ont pas encore possédée.
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Mon vagin dilaté laisse pénétrer entièrement ce vit démesuré. Folle, j'aggrippe son cou, je l'attire contre moi. Je ne fais plus qu'une avec ce gros salaud qui me possède. Il a beau être gros et laid, sa bite est tellement bonne en moi que je me laisse aller et je lui dirais presque des mots d'amour:
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La grosse pine bouge à peine en moi, elle tréssaille plutôt, frémit. Je la sens toucher mes chairs au plus profond de mon vagin. Le trop plein de foutre s'écoule de chaque côté de ses couilles. C'est vrai que je ne m'étais pas encore rendue compte à quel point j'étais remplie de sperme. Me tenant comme un flipper, le gros se plante et me bourre en ondulant du bide. Je suis totalement remplie. J'ai envie de lui, je vais encore jouir.
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Haletante, gémissant de manière saccadée, je n'en peux plus d'attendre qu'il explose, je veux son foutre, je le veux. Je n'en finis plus de jouir, bouche ouverte, yeux révulsés.
Alors, le gros lard me plante un dernier coup d'enfer, qui m'arrache un cri (qu'il est dur!), sort et, devant mes yeux hagards, il saisit sa tripe et se met à gicler, à gicler, à gicler. J'en ai partout. Non seulement ma toison blondinette est toute blanche de sperme (il y en avait déjà des autres!), mais mon ventre est tapissé, une bordée m'atteint au visage et coule entre mes seins.
Hagarde et heureuse, appuyée au mur, je laisse approcher deux arabes qui ne m'ont pas encore baisée. La queue brunâtre qui s'approche de moi est, bien entendu moins grosse que celle que je viens de prendre. Ahmed, m'enfile sans problème, heureux comme un gosse. Il a au moins 55 ans , cet Ahmed! Il se régale dans ma chatte de bourgeoise. Et il m'embrasse, je ne me dérobe pas, l'enlaçant même, complètement subjuguée que je suis. Ahmed, aidé par un autre mec, soulève mes jambes et noue mes pieds derrière ses reins. Je sens au passage quelqu'un qui caresse mes escarpins. je suis maintenant totalement décollée du sol, empalée sur sa tige longue et dure. Je m'agite un peu et tréssaute sur lui. mes fesses écartelées sont au milieu de l'allée, caressées par plusieurs mains ( des nouveaux? ou bien ceux qui m'auraient déjà baisée qui s'offrent un dernier plaisir?). Je sens un gland qui se présente près de mon trou du cul. Je tente de protester mais Ahmed reprend ma bouche et m'empêche de crier. Derrière, le gland, lubrifié avec le foutre disponible, commence à forcer mon petit trou et pénètre lentement.
Alors, je succombe et me laisse faire. J'ai deux pines en moi. Après une première douleur passagère, je ne sens plus rien. La bite d'Ahmed reprend sa bourrée, en alternance avec celle qui m'encule. Je me rends compte que j'aime. Avoir deux queues en soi, c'est bon. Décollée du sol, je flotte, enfilée sur ces bites.
Ahmed me maintient, ne lime pas trop vite. Par contre, dans mon cul, c'est la ruée. Je me sens tout d'abord inondée de foutre jusqu'aux entrailles. Un nouveau défilé de queues se précipite sur mon cul: trois, quatre? Certains éjaculent aussi dans mon fond. d'autres ne font que passer (?) Mon cul danse sur la queue d'Ahmed pendant que plein de bites m'enfilent. Je monte encore une fois au septième ciel en gémissant. Tous ces mecs usent et abusent de moi car il me sentent à leur merci. Le pied!
Je n'en peux plus. Ahmed me relâche; je m'effondre sur le sol du souterrain. Allongée sur le dos, encore tout essouflée de cette série de bourrées, je vois danser au-dessus de moi les cinq queues qui ne m'ont pas encore gratifiée de foutre.
J'étends les bras pour en saisir deux et les branler. L'un des mecs s'accroupit à califourchon sur mes seins et me présente sa queue à sucer. Trois lichettes et deux pompées suffisent à le faire partir. Il m'arrose copieusement le visage, les seins, les cheveux.
Aussitôt tous les autres l'imitent : d'innombrables giclées de sperme blanc me recouvrent, j'en ai partout, j'en bois même un peu. Certains m'arrosent en restant debout, d'autres s'approchent et visent un coin précis, c'est ma chatte qui en reçoit beaucoup; je relèche des glands dégoulinants qu'on me présente. Des mecs finissent de s'essuyer sur mes bas, sur ma jupe. Un autre finit de remplir mon soutien-gorge. Mon nombril forme un petit lac.
Quant à ma foufoune, n'en parlons pas! les poils ont doublé de volume car ils sont englués de sperme.
Le dernier à jouir, après avoir longuement enfoui sa pine dans mes cheveux et avoir caressé ma joue avec son gland, vient lui aussi se poster au-dessus de mon visage, je vois ce gros dard danser devant mes yeux, enserré par une pogne qui va et vient à grande vitesse: la colonne de chair aux veines gonflées crache d'un seul coup et sa première giclée frappe si violemment ma bouche que, surprise, je l'entrouvre, laissant alors pénétrer sa deuxième bordée qui manque de m'étouffer. J'avale sans broncher, il est un peu salé. Lui, il s'essuie dans mon cou et sur mes joues, en promenant sa queue longue et bronzée. Je lui embrasse le gland, reconnaissante.
Plus personne! je me relève en titubant. Je me rhabille comme je peux. Tous mes vêtements sont poisseux, mes cheveux englués.
Lentement, je reprends mes esprits et, comme un zombi, je quitte ce souterrain. Dans ma tête je me dis que c'est entre quinze et vingt queues que je viens de me payer. Plus? Cela fait presque deux heures que je me fais mettre par tous les trous.
Le long du chemin, je sens le sperme dégouliner sans fin le long de mes jambes. Même mes escarpins noirs sont blanchis de foutre. Quant à mes bas, ils sont carrément collés sur ma peau. Pourvu que je ne croise pas de voisins!
Je rentre chez moi, je me change, je me douche et, en repensant à toutes ces queues -certaines étaient immondes!- je jouis encore en m'enfonçant les doigts au plus profond de ma chattounette en feu et en titillant mon bouton.
Il ne m'était jamais arrivé un truc pareil! Je suis folle!
Peut-être que je recommencerai... c'était si bon!
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Sur le chemin du boulot
Histoires longues
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Autre chose?
Tu veux savoir ce qui me branche?
Ah! oui, j'aime bien aussi aguicher sans avoir l'air et sans trop risquer grand chose. Dans le métro c'est très facile car les trajets sont courts. L'autre jour, j'avais une jupe vraiment courte et les mecs me mataient comme des barjos. J'avais mis un collant noir hyper-fin et je trouvais mes jambes jolies ainsi. Et les vicieux mateurs alors? Imagine un peu?
C'est à l'escalator que je me suis sentie épiée de loin. Jetant un coup d'œil en arrière, je me rends compte qu'il y a un grand vide derrière moi... mais que dix marches en contre-bas deux ou trois types ont les yeux rivés vers le haut. Pas de doute, ils reluquent mes cuisses en espérant voir ma culotte, que j'ai choisie blanche, tu t'en doutes, pour qu'on la voie mieux sous le noir du collant. Alors, je me campe bien sur mes guiboles que j'écarte un peu. Je ne sais pas s'ils peuvent arriver à voir ma culotte. En tout cas, je suis toute émoustillée rien qu'à l'idée qu'ils risquent de l'apercevoir. Je me régale de savoir que des yeux hagards d'hommes salaces scrutent sous ma jupette pour découvrir les trésors qui s'y cachent.
D'ailleurs ce collant est très fin, sans démarcation (je l'ai mis exprès) et, si elle se montre, ma culotte doit être bien visible. Tiens! ça me fait mouiller.
Après l'escalator, je me retourne un peu et je les vois (oui, ils sont bien trois à me mater) hagards et envieux. Tilt!
Tiens, puisque c'est ça, je vais les achever. Pour sortir de la station, il y a un escalier dont les côtés sont en plexiglas... donc, mes jambes se voient bien. Alors, quand j'arrive en haut, je les surplombe. Sous mon bras, je les vois en bas qui se sont arrêtés attendant mon passage au-dessus de leurs têtes. Arrivée au point culminant de l'extase pour un voyeur, coquine, je longe bien le bord, mes hanches touchant presque la rampe. Brusquement, je m'arrête, j'allume une cigarette et je reprends ma position campée. Là c'est sûr: ils doivent tout voir d'en bas. je les affole une à deux minutes sans bouger. Eux, en bas, tête levée sans équivoque, ont les yeux plongés sous ma jupe. Je sais qu'ils voient non seulement mes cuisses en entier mais aussi mes fesses et ma culotte. Je mouille un bon coup et je m'en vais. Cruelle femelle que je suis!
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Qu'est-ce-qu'il m'a pris ce jour-là? le printemps ? peut-être ?
Sâchant que le soir je serai seule à la maison en rentrant, j'avais décidé de m'habiller coquine. Peut-être aurais-je une aventure entre midi et deux ou bien dans le bus ou le métro?
Mini-jupe de rigueur mais accompagnée d'une veste B.C.B.G. avec des escarpins moyennement hauts, vernis noirs cependant! En haut un pull fin très moulant qui permettait de deviner la dentelle de mon soutien-gorge balconnet et suggérait mes tétons lorsqu'ils affleureraient à la lisière. Pour finir, je me décidais à mettre une belle culotte ample bleu ciel très soyeuse et des bas dim-up... au cas où!
Dès le matin, à l'aller, je me mis à aguicher un ouvrier dans le métro. Le pauvre type était entrain de réparer l'escalator, allongé par terre. Quand j'arrive à sa hauteur, je m'arrête deux marches au-dessus de lui; je pose mon sac à mains sur le rebord et je fais semblant de chercher un ticket. Ainsi pendant deux minutes, le mec allongé au-dessous de moi peut reluquer à loisir mes jambes et mes escarpins. Je l'observe à la dérobée et, bien qu'il ait encore sa perceuse en mains, il ne travaille plus du tout: ses yeux sont rivés à mes jambes qu'il mate de bas en haut. D'où il est -idéalement- placé, il aperçoit à coup sûr la lisière de mes dim-up noirs sous ma jupette. Feignant l'impatience de celle qui ne trouve pas, je m'agite, lui offrant en plus la vision fugitive de ma culotte, que j'ai volontairement choisie la plus transparente possible -ma bleu ciel en crêpe hyper-fin, celle à travers laquelle ma toison se devine.
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La journée ne m'ayant pas apportée d'occasions de satisfaire mes "canailleries", je comptais sur le trajet du retour pour m'amuser un brin, en excitant des types.
Déambulant comme une fofolle avec ma jupette sexy, j'allumais plein de types sur le trajet qui me conduisait au métro. Je me régalais de ces dizaines et dizaines de paires d'yeux sur mes fesses, mes jambes, mes escarpins, mes seins arrogants.
C'est l'heure de pointe. A la station, il y a plein de types et de... bonnes femmes (qui ne m'intéressent pas). Je sens bien le poids des paires d'yeux des mâles dans ma direction. Cela attise mon excitation montante. C'est pourquoi, je m'assieds quelques instants sur un banc en plastique pour attendre la rame et, là, je croise mes jambes assez haut sous ma mini-jupe qui remonte. Discrètement (enfin, plus ou moins!) les hommes me reluquent de la taille aux escarpins et certains bien placés doivent apercevoir le liseré de mes dim-up; je jouis intérieurement à l'idée de les affoler. Je parie sur ceux qui vont monter le plus près de moi.
Quand je monte dans le métro, je me sens poussée par derrière, propulsée même. C'est un vieux vicieux salopard qui se colle à moi et en profite pour me peloter. Celui-là, je m'étais pariée à moi-même qu'il chercherait à me frotter et... je ne m'étais pas trompée. Me dégageant un peu, je me faufile dans la cohue et, sur la plate-forme, je me retrouve au milieu d'un groupe d'étudiants et poursuivie par le vieux salaud, qui n'arrive pas à m'approcher.
Immédiatement, le regard scrutateur du plus grand de ces jeunes mâles plonge sur mon balconnet. Je sens bien qu'il détaille la dentelle, le bout de mes tétons commençant à se tendre car, évidemment, je tends mon buste. Sur ma droite, un blondinet jette un coup d'œil à ma jupette en se penchant un peu. Par contre, l'autre sur ma gauche est collé à moi. Profitant des cahots du métro, je le frotte sans en avoir l'air et, peu à peu, je perçois une bandaison de plus en plus pressante le long de ma hanche.
Le petit vieux tente toujours de me coller au cul mais les jeunots ne sont pas décidés à le laisser faire... cela me réjouit.
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Cependant, le court trajet ne me permet pas d'aller guère plus loin. Je me débrouille toutefois pour me laisser balancer de l'un à l'autre, touchant de temps en temps négligemment (tu parles?) le sexe de celui de droite avec le revers de mon avant-bras qui tient mon sac le long de mon corps, appuyant un court instant mes deux seins sur le torse du grand et insistant contre la bitte bandée du mec de gauche. Tous trois me reluquent un peu surpris et ont suspendu leur conversation.
Puis, prestement, je descends aussi "décontractée" que lorsque je suis montée. Je prends le chemin du retour en balançant allègrement ma jupette au rythme enchanteur de mes jambes gainées de mes dim-up et de mes escarpins. S'ils me suivent -je descends au terminus, donc c'est possible- ils doivent me reluquer.
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Qu'est-ce qu'il me prend? Excitée par ces regards et ces frolements, je prends le chemin du retour. Je jette un rapide coup d'oeil derrière moi et je vois que les trois gars me suivent à une vingtaine de mètres. Je ne vais pas les amener à la maison, tout de même, c'est trop risqué! ... Mais je n'ai aucune envie d'en rester là! Vite, j'allonge le pas... j'ai juste eu le temps de me rendre compte que le vieux vicelard suivait aussi mais bien plus loin.
Alors, coup de folie? Au lieu de prendre le chemin habituel, j'emprunte le long souterrain, passant sous le boulevard. D'habitude je ne le prends jamais, à cause d'un risque d'aggression. Mais aujourd'hui, je me dis -ai-je vraiment réfléchi?- qu'avec ces trois types à mes trousses, ces trois gaillards qui sont loin de me déplaire, qu'en fait je ne risque pas grand chose.
Evidemment, ils prennent le souterrain, en accélérant le pas pour m'y ratt****r. S'ils savaient qu'ils n'en ont nullement besoin. Je vais les y attendre! Arrivée à la moitié de cette galerie, là où elle fait un coude, je m'arrête et pose mon sac par terre à mes pieds. J'entends leurs pas qui approchent sur le carrelage. Je me penche en avant et commence à fouiller dans mon sac, leur tournant le dos ostensiblement, les fesses bien en l'air. Ma jupette a dû bien remonter car je sens un peu d'air frais sur le haut de mes cuisses. De toute façon, ils savent que je porte des bas... mais là, ils doivent apercevoir simultanément les deux bandes plus foncées des jarretières élastiques et probablement un peu de chair blanche au-dessus. Ils approchent, ralentissant le pas. Je tremble.
Je tremble d'excitation et d'impatience mêlée à un peu d'appréhension. Je n'attends pas longtemps. Je sens une main venir palucher le haut de mes cuisses tout en haut, caressant le nylon du bas et atteignant rapidement la chair fraiche. Une autre pogne soulève complètement ma jupette, une autre encore caresse ma culotte archnéenne, des doigts s'immiscent aussitôt dans mon sillon et viennent effleurer mes lèvres trempées.
Je ne bouge pas et me laisse faire. Le contraire les aurait peut-être étonnés, vu le cirque du métro. De toute façon, je me régale de me faire palucher, c'est ce que je voulais!
Alors que je fais mine de me redresser un peu, je sens autre chose: oui, c'est bien une queue bandée qui se promène dans mon sillon fessier et vient tutoyer ma chatte. Deux mains me maintiennent fermement dans la position penchée en avant, m'empêchant de me relever. Je sens que l'on écarte ma culotte ample et soyeuse et que le gland de cette grosse tige s'approche de mon pertuis humide.
Sans trop de préliminaires, la queue se ballade deux ou trois fois de bas en haut tout le long de ma chatte qui mouille de plus en plus. Bien lubrifié, le gland -que je sens gros- s'immobilise entre mes lèvres dilatées. Je le sens prêt à entrer. Je tends encore plus mon beau cul blanc en arrière, le gland commence sa pénétration. Alors, je m'appuie des deux mains contre le mur et, là, l'engin désiré peut enfin me remplir. Sans sauvagerie mais néanmoins avec force, le mec me prend en levrette en me pistonnant lentement. Ses deux mains me tiennent fermement par le replat de mes fesses, l'une d'elle maintenant ma culotte écartée (j'ai bien fait de mettre cette culotte ample!) D'un seul coup, il pousse fort son engin, qui s'enfonce dans ma chatte jusqu'aux couilles. Je pousse un petit cri. Pourquoi? En tout cas, cela excite mes mâles.
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Encouragé par ses potes et par l'accueil de ma chatte, le mec se déchaine alors. Il me lime puissamment. Je sens son engin aller et venir en moi à la vitesse grand V. Il m'a empoignée par les hanches et me fait glisser le long de sa hampe qui coulisse à l'aise dans mon vagin dégoulinant de mouille. Il va vite, de peur de ne pas avoir le temps de terminer... moi, cette rapidité me frustre un peu, ... j'aurais aimé plus de préliminaires, enfin !
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Le mec ne se le fait pas dire deux fois. Il me pistonne à fond et, soudain, se cabre en grognant, se plante en moi tout au fond:
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Et je sens mon intimité remplie de chaud liquide, alors que le mur me permets de répondre à son coup de butoir fulgurant.
Le gars sort aussitôt et la place ne reste pas vacante longtemps. En effet, une autre bite prend la place chaude et gluante immédiatement. Celui-là non plus n'y va pas par quatre chemins. Clouée au mur, je me fais baiser comme une salope de régiment.
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Disant cela, le gars me baise profondément, tout en dégageant complètement mes fesses : ma culotte est écartée sur le côté, ma jupette est roulée à la taille et mon cul, que je tends bien en arrière, doit saillir bien blanc dans la lumière blafarde du souterrain, avec la pine entrant et sortant sur toute sa longueur.
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En effet, ma chatte est aux anges, mes chairs se délectent des va-et-vient de cette hampe solide, qui clapote dans le sperme de l'autre. Je sens ses grosses couilles venir taper mes fesses durcies. Le mec me bourre de bon cœur et j'aime ça.
Toujours appuyée au mur, j'ai du mal à maintenir l'équilibre parce que je cherche à empoigner d'une main la bite du troisième sur ma droite. Il s'approche de moi et je peux masturber sa queue tout en continuant de me faire piner comme une chienne. Mes doigts jouent avec son gland, je taquine son méat avec mon pouce, humectant bien cette boursouflure violette qui s'approche de plus en plus de moi. Mon branlé avance son bas-ventre vers moi et me présente cette belle queue à sucer.
Excitée, limée en puissance, je ne fais qu'une bouchée de cette tige volumineuse. Ma bouche arrondie déguste ce gros sucre d'orge, j'y mets tout mon savoir-faire, léchant le gland, aspirant et pompant la tige, griffant les couilles avec mes doigts.
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Occupée à sucer cette belle queue et bien bourrée dans la chatte, je n'ai pas entendu arriver deux ou trois autres types. Mais, je me rends vite compte de leur présence, dont celle du vieux vicieux qui a trouvé du renfort. En effet, je sens plusieurs mains qui mettent mes seins à l'air, caressent mes fesses, mes bas, mes cuisses. Je perçois la présence d'une queue sur ma gauche qui tapote ma joue et se promène dans mes cheveux. J'abandonne un instant mon sucé, tourne la tête et, levant les yeux, je m'aperçois qu'un petit groupe d'hommes s'est ajouté à mes trois premiers baiseurs et palucheurs et que, dans ce groupe, le vieux vicelard est bien là, se lêchant les babines. Je ne réfléchis pas et j'embouche aussitôt la pine tentatrice sur ma gauche.
Pendant ce temps-là, mon jeune baiseur accélère sa bourrée. Je suis secouée et sa bite tape de plus en plus fort au fond de mon vagin en feu. Le mec m'aggrippe presque sauvagement aux hanches, les mains sous ma culotte et me laboure puissament. Dans un grand cri -"ouaaourfff!" , il part en se retirant. Je sens son foutre s'écraser sur les globes de mes fesses. Une autre main (le vieux?) étale aussitôt tout ce sperme qui m'englue.
Dans la foulée, le troisième jeunot que je venais de sucer avec amour, vient rendre hommage à ma chatte. Ce gros gland me pénètre en douceur, lentement, profondément, avec application. Il me rend le plaisir que je lui ai donné avec ma bouche. Moins brutal que les deux autres, il me lime sans précipitation. De toute façon, je l'avais tellement bien sucé, qu'il ne doit pas être loin de l'explosion. Sa bite me fait du bien, je la sens bien en moi.
Celui-là, plus raffiné, pense à mon plaisir. Il m'a aidée à me redresser. J'ai maintenant mes deux avant-bras au mur, le visage enfoui dedans, presque debout. Je sens ses cuisses musclées au contact des miennes au travers du doux tissu des bas, ses couilles qui tapent mes fesses à chaque pénétration. Je vais jouir. je commence à gémir et à me trémousser. Tous les mecs voient que je vais partir et encouragent mon baiseur. Des voix inconnues lancent des encouragements qui, en d'autres occasions, auraient dû me paraître obscènes et, là, m'excitent à bloc :
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En effet, le gars me lime "de loin". A chaque bourrée, il ressort presqu'en totalité sa queue de ma chatte et re-rentre immédiatement bien au fond. Cela me fait l'effet de la foudre! Cette longue tige que je sens un instant bien en moi, se fait désirer pendant l'espace d'une demi-seconde, puis revient et me remplit! Je gémis de plus en plus, je suis au bord de l'extase.
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Agitant ma chevelure en tous sens, je me sens partir et je me mets à l'encourager à mon tour :
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Le mec, heureux et fier, me baise de plus belle. Son engin durcit de plus en plus en moi. Plus il durcit, plus mon plaisir monte. je m'affole complètement en me trémoussant de plus belle:
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Le mec me basarde de profondes coups de boutoir en soupirant.
Et, comblée, je jouis à l'infini. Je me rends à peine compte qu'une demi-douzaine de queues bandées m'entourent. Ce sont plutôt les odeurs qui m'indiquent leur présence car, les yeux fermés, je savoure l'intromission de cette queue gaillarde.
Alors que je me relâche un peu, tellement j'ai joui, je sens le jeune se retirer et une véritable douche de sperme arrose mes fesses et ma fente. Ce qui doit ressembler à une zébrure blanche m'envahit le dos, un ruisseau s'écoule de la gouttière de mes fesses.
Pantelante, au septième ciel, je me surprends à gémir:
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Je n'ai pas vraiment le temps d'attendre car je me sens immédiatement possédée par une autre pine vigoureuse. Toujours plaquée au mur, je me retourne un peu pour voir qui me baise. Dans mon demi-brouillard d'extase, j'aperçois sept ou huit types de tous âges (certains étaient sur le quai du métro et, flairant la bonne occase, m'avais suivie) qui se branlent tout autour du couple que je forme avec mon nouveau baiseur.
Ce dernier est plutôt du style vieux et laid. Il est petit, trappu, avec une grosse bedaine qui surmonte mon cul offert. ses gros doigts boudinés se régalent de caresser ma culotte soyeuse et d'étaler le foutre des autres. Il me transperce comme un soudard, sans ménagement. Son engin rentre et sort de ma chatte gluante dans une cadence infernale.
Bouche ouverte, plaquée au mur, je suffoque et soupire. Ce gros salopard gicle en moi, m'inondant de foutre. Comme à la curée, un autre baiseur prend immédiatemment sa place. C'est le premier d'un petit groupe d'arabes qui me prend. Je suis devenue la "pute" du souterrain : cela m'affole et m'excite en même temps!
Alors, c'est un long défilé de queues dans ma chatte dilatée, détrempée, ravagée. Au passage, certains braquemarts attisent ma braise. Je jouis trois ou quatre fois sur mon nuage. Je me rends à peine compte qu'un mec, après m'avoir copieusement limée, vient éjaculer sur mon sein gauche en remplissant le bonnet de mon soutien-gorge. Je ne sais plus où j'en suis. Je dégouline de sperme. de longs filets de foutre s'écoulent le long de mes bas, jusqu'à mes escarpins. Dans mon dos, dans ma chatte, huit, dix, douze peut-être? ... je ne sais plus, plein de queues me prennent à tour de rôle. Mes jeunots ont disparu. je suis entourée de mâles nouveaux et inconnus. Je ne vois plus, je ne sens plus que les bites. une odeur immense, mélange de ma mouille, de leur excitation, du foutre éjaculé, emplit ce coin sordide de souterrain.
De temps en temps, j'empoigne quelques queues qui sont à ma portée, les masturbant de mes doigts rendus onctueux de sperme.
Alors, un de mes baiseurs me retourne brutalement. De face, il m'embroche en me saisissant par la taille. Son visage hideux -mal rasé, grosses lèvres, yeux globuleux- me fait face. Baissant les yeux, j'aperçois, l'énorme engin qu'il me promet! Jamais vu un truc pareil: épais, noueux, avec un gland violacé gros comme un oeuf!
Bizarrement, j'ai une folle envie de cette pine d'enfer! je ne me suis jamais fait prendre par un truc aussi gros. Impatiente, je tends mon bas-ventre vers lui. Le gland tutoie mon entrée débordante du foutre de tous ceux qui ont préféré m'inonder plutôt qu'asperger mes fesses et mes bas.
A ma grande surprise, le gros dard commence à me pénétrer sans aucune difficulté. Fléchissant sur ses cuisses, le gros dégueulasse me regarde fixement, l'air salace et enfonce progressivement sa bitte d'âne en moi. Il me procure une dernière extase. J'en oublie son ventre répugnant. Je suis toute offerte à cette queue, clouée au mur et je me laisse embrocher sous le regard approbateur des autres types qui ne m'ont pas encore possédée.
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Mon vagin dilaté laisse pénétrer entièrement ce vit démesuré. Folle, j'aggrippe son cou, je l'attire contre moi. Je ne fais plus qu'une avec ce gros salaud qui me possède. Il a beau être gros et laid, sa bite est tellement bonne en moi que je me laisse aller et je lui dirais presque des mots d'amour:
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La grosse pine bouge à peine en moi, elle tréssaille plutôt, frémit. Je la sens toucher mes chairs au plus profond de mon vagin. Le trop plein de foutre s'écoule de chaque côté de ses couilles. C'est vrai que je ne m'étais pas encore rendue compte à quel point j'étais remplie de sperme. Me tenant comme un flipper, le gros se plante et me bourre en ondulant du bide. Je suis totalement remplie. J'ai envie de lui, je vais encore jouir.
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Haletante, gémissant de manière saccadée, je n'en peux plus d'attendre qu'il explose, je veux son foutre, je le veux. Je n'en finis plus de jouir, bouche ouverte, yeux révulsés.
Alors, le gros lard me plante un dernier coup d'enfer, qui m'arrache un cri (qu'il est dur!), sort et, devant mes yeux hagards, il saisit sa tripe et se met à gicler, à gicler, à gicler. J'en ai partout. Non seulement ma toison blondinette est toute blanche de sperme (il y en avait déjà des autres!), mais mon ventre est tapissé, une bordée m'atteint au visage et coule entre mes seins.
Hagarde et heureuse, appuyée au mur, je laisse approcher deux arabes qui ne m'ont pas encore baisée. La queue brunâtre qui s'approche de moi est, bien entendu moins grosse que celle que je viens de prendre. Ahmed, m'enfile sans problème, heureux comme un gosse. Il a au moins 55 ans , cet Ahmed! Il se régale dans ma chatte de bourgeoise. Et il m'embrasse, je ne me dérobe pas, l'enlaçant même, complètement subjuguée que je suis. Ahmed, aidé par un autre mec, soulève mes jambes et noue mes pieds derrière ses reins. Je sens au passage quelqu'un qui caresse mes escarpins. je suis maintenant totalement décollée du sol, empalée sur sa tige longue et dure. Je m'agite un peu et tréssaute sur lui. mes fesses écartelées sont au milieu de l'allée, caressées par plusieurs mains ( des nouveaux? ou bien ceux qui m'auraient déjà baisée qui s'offrent un dernier plaisir?). Je sens un gland qui se présente près de mon trou du cul. Je tente de protester mais Ahmed reprend ma bouche et m'empêche de crier. Derrière, le gland, lubrifié avec le foutre disponible, commence à forcer mon petit trou et pénètre lentement.
Alors, je succombe et me laisse faire. J'ai deux pines en moi. Après une première douleur passagère, je ne sens plus rien. La bite d'Ahmed reprend sa bourrée, en alternance avec celle qui m'encule. Je me rends compte que j'aime. Avoir deux queues en soi, c'est bon. Décollée du sol, je flotte, enfilée sur ces bites.
Ahmed me maintient, ne lime pas trop vite. Par contre, dans mon cul, c'est la ruée. Je me sens tout d'abord inondée de foutre jusqu'aux entrailles. Un nouveau défilé de queues se précipite sur mon cul: trois, quatre? Certains éjaculent aussi dans mon fond. d'autres ne font que passer (?) Mon cul danse sur la queue d'Ahmed pendant que plein de bites m'enfilent. Je monte encore une fois au septième ciel en gémissant. Tous ces mecs usent et abusent de moi car il me sentent à leur merci. Le pied!
Je n'en peux plus. Ahmed me relâche; je m'effondre sur le sol du souterrain. Allongée sur le dos, encore tout essouflée de cette série de bourrées, je vois danser au-dessus de moi les cinq queues qui ne m'ont pas encore gratifiée de foutre.
J'étends les bras pour en saisir deux et les branler. L'un des mecs s'accroupit à califourchon sur mes seins et me présente sa queue à sucer. Trois lichettes et deux pompées suffisent à le faire partir. Il m'arrose copieusement le visage, les seins, les cheveux.
Aussitôt tous les autres l'imitent : d'innombrables giclées de sperme blanc me recouvrent, j'en ai partout, j'en bois même un peu. Certains m'arrosent en restant debout, d'autres s'approchent et visent un coin précis, c'est ma chatte qui en reçoit beaucoup; je relèche des glands dégoulinants qu'on me présente. Des mecs finissent de s'essuyer sur mes bas, sur ma jupe. Un autre finit de remplir mon soutien-gorge. Mon nombril forme un petit lac.
Quant à ma foufoune, n'en parlons pas! les poils ont doublé de volume car ils sont englués de sperme.
Le dernier à jouir, après avoir longuement enfoui sa pine dans mes cheveux et avoir caressé ma joue avec son gland, vient lui aussi se poster au-dessus de mon visage, je vois ce gros dard danser devant mes yeux, enserré par une pogne qui va et vient à grande vitesse: la colonne de chair aux veines gonflées crache d'un seul coup et sa première giclée frappe si violemment ma bouche que, surprise, je l'entrouvre, laissant alors pénétrer sa deuxième bordée qui manque de m'étouffer. J'avale sans broncher, il est un peu salé. Lui, il s'essuie dans mon cou et sur mes joues, en promenant sa queue longue et bronzée. Je lui embrasse le gland, reconnaissante.
Plus personne! je me relève en titubant. Je me rhabille comme je peux. Tous mes vêtements sont poisseux, mes cheveux englués.
Lentement, je reprends mes esprits et, comme un zombi, je quitte ce souterrain. Dans ma tête je me dis que c'est entre quinze et vingt queues que je viens de me payer. Plus? Cela fait presque deux heures que je me fais mettre par tous les trous.
Le long du chemin, je sens le sperme dégouliner sans fin le long de mes jambes. Même mes escarpins noirs sont blanchis de foutre. Quant à mes bas, ils sont carrément collés sur ma peau. Pourvu que je ne croise pas de voisins!
Je rentre chez moi, je me change, je me douche et, en repensant à toutes ces queues -certaines étaient immondes!- je jouis encore en m'enfonçant les doigts au plus profond de ma chattounette en feu et en titillant mon bouton.
Il ne m'était jamais arrivé un truc pareil! Je suis folle!
Peut-être que je recommencerai... c'était si bon!
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11 years ago
certes je fais dégénérer un max sur la fin
mais j'adore partir d'une pincée de réel pour imaginer la suite et la fin la plus folle