Est-ce toi, Marguerite?
AprÚs un mois de séparation forcée par les congés et les caprices de ma voiture, je me gare à nouveau dans la cour de la vieille ferme, sous une pluie battante et froide.
La salle de bain ne me rĂ©chauffe pas plus. Je frissonne en enfilant mes atours, certaine toutefois de mon effet de surprise. Lorsquâil me voit, les yeux sâĂ©carquillent. Je marche sur lui, serrĂ©e dans ma robe courte, noire, Ă motif lĂ©opard. Mes talons claquent dans le grand salon. Je mâapproche de lui:non, mon grnd, cherche encore, ce nâest pas cette robe la surprise! Son regard sâallume. Non, mon chou, pas ce porte-jarretelle rouge non plus. Oui, il est neuf, Oui, il est trĂšs joli, trĂšs 1950. Mais non.
Tu Ă©cartes le string assorti. Ohlala, magnifique, dis-tu. Alors, ça te plaĂźt? Beaucoup? Entre mes petites fesses lisses, au creux de ma chatte, un jolipetit coeur en cristal fuschia scintille. Câest la base de mon nouveau plug inox, que jâai achetĂ© spĂ©cialement, rien que pour tes yeux! Et je vois que tu adores. Tu me demandes de le porter plus, tout le temps, en voiture⊠mais dĂšs que je me mets Ă genoux devant toi, je sens bien que câest impossible. Les sensations sont bien trop voluptueuses. Les contractions dĂ©clenchĂ©es bien trop dĂ©licieuses pour porter ça au volent dâune voiture!
Quoi? Le tĂ©lĂ©phone? Ah non, on commençait Ă peine! Alors que ton employeur te dit quoi faire, je trouve Ă mâoccuper,salope Ă genoux sur le canapĂ© du salon. Tu dĂ©balles ton Ă©norme engin, dĂ©jĂ raide. A petits coups de langue, jâen savoure la peau chaude et tendre. Mes doigts le caressent. Puis je le prends dĂ©licatement en bouche. Je ferme les yeux. Et je me perdsâŠ
Tu me suces, robe remontĂ©e sur mes seins. Je te suce. Jâavale tout, en levrette sur le canapĂ©, ton Ă©norme Ă©rection logĂ©e au fond de ma gorge. ta main qui joue avec le sextoy plantĂ© en moi. Les sensations Ă©voquent pour moi le souvenir de cette fois oĂč tu mâas baisĂ©e avec ce type. Et je mâexcite plus encore. Tu me branles. Elle est belle ta queue, ma chĂ©rie, jâadore comme tu bandes. Jâai envie de toi mon chou. Je monte sur le canapĂ©, Ă cheval sur toi, et je te baise la bouche, avant que tu ne me rendes la pareille. Puis je te chevauche, le cul tournĂ© vers toi. Le spectacle est magnifique, mon grand? Les sensations, en profondeur, ne le sont pas moins. De toutes mes forces, mĂ»e par une rage, une longue pulsion de me faire enculer, je me plante, et me replante sur ton Ă©norme tige? jâouvre mĂȘme mes fesses Ă deux mains pour sentir chaque millimĂštre de longueur. tu aimes sentir mes boules qui tapent sur les tiennes? Moi aussi! Putain, putain que câest bon. Je prends tes mains, je les pose sur mon petit corps, et je te laisse me peloter, caresser mes seins, mon ventre plat, mes fesses, et surtout: masturber mon Ă©rection. Insolente, brĂ»lante, elle se dresse entre mes jarretelles, dans la dentelle rouge. Et tes mains dâexpert me guident aux portes du plaisir, plusieurs fois. Je fais de mĂȘme avec mon anus, grand ouvert sur ta verge maintenant: De tes grandes mains dâhomme, tu mâimmobilises assez souvent, quand tu sens que mes reins vont te faire perdre le contrĂŽle! Entre nous, comme toujours, la tension monte. Le dialogue devient toujours plus cru. Oui je suis ta pute. Oui je suis ta chĂ©rie. Encule-moi. Mets-moi Ă ma place. Putain comme tu me fais bander.
Je n'en peux plus: je me lĂšve, je vais me camper, jambes Ă©cartĂ©es, debout devant le miroir de la porte. Je mâaccroche au chambranle. Tu vas me faire jouir, je le sais. Mais je veux le voir, je ne veux pas en perdre une seconde. je veux ĂȘtre tĂ©moin et actrice de ce moment oĂč je vais jouir comme une femme dans tes mains, sous la loi impitoyable de ta queue.
Je ne suis pas déçue: dâun coup, brutalement, tu me pĂ©nĂštres. CaptivĂ©e, fascinĂ©e, je plonge le regard dans mon reflet. Ma silhouette mince, la lingerie rouge vintage, les bas, les talons aiguilles, mes longs cheveux blonds, mon sexe en Ă©rection. tes grandes mains sur moi, qui me touchent. Qui me saisissent Ă la gorge. Ta voix: regarde-toi, regarde-toi comme tu es belle quand tu vas jouir. Paraphrasant la cantatrice de Faust, parĂ©e de ses bijoux, je jouis de me voir si belle en ce miroir. Et je me demande: est-ce toi, Joana?
Et je me vois lĂącher prise. MalgrĂ© le moment torride que nous vivons, mon plaisir est une vague chaude dâune infinie douceur qui mâemporte alors que jâĂ©jacule, et que mon homme, ferme mais connaisseur, accompagne mon corps de ses coups de reins.
A moi, mon chou, lui dis-je, alors que lâocĂ©an reflue, mais que ses coups de boutoir se poursuivent. Je me mets au pied du canapĂ© oĂč il sâallonge. Jâempoigne cette verge magnifique qui mâa donnĂ© tant de plaisir. Encore vibrante, je le masturbe, consciencieusement, nâoubliant de caresser aucune partie de son corps. Sa trique est Ă©norme. fascinĂ©e, je contrĂŽle de mes doigts la montĂ©e du plaisir, mâamuse de ses efforts pour me rĂ©sister. Enfin, la chair raide et chaude tressaute sous mes mains. De son gland, les jets de semence sâĂ©chappent. Câest aussi beau Ă regarder que de me voir sodomisĂ©e dans ma lingerie vintageâŠ
La salle de bain ne me rĂ©chauffe pas plus. Je frissonne en enfilant mes atours, certaine toutefois de mon effet de surprise. Lorsquâil me voit, les yeux sâĂ©carquillent. Je marche sur lui, serrĂ©e dans ma robe courte, noire, Ă motif lĂ©opard. Mes talons claquent dans le grand salon. Je mâapproche de lui:non, mon grnd, cherche encore, ce nâest pas cette robe la surprise! Son regard sâallume. Non, mon chou, pas ce porte-jarretelle rouge non plus. Oui, il est neuf, Oui, il est trĂšs joli, trĂšs 1950. Mais non.
Tu Ă©cartes le string assorti. Ohlala, magnifique, dis-tu. Alors, ça te plaĂźt? Beaucoup? Entre mes petites fesses lisses, au creux de ma chatte, un jolipetit coeur en cristal fuschia scintille. Câest la base de mon nouveau plug inox, que jâai achetĂ© spĂ©cialement, rien que pour tes yeux! Et je vois que tu adores. Tu me demandes de le porter plus, tout le temps, en voiture⊠mais dĂšs que je me mets Ă genoux devant toi, je sens bien que câest impossible. Les sensations sont bien trop voluptueuses. Les contractions dĂ©clenchĂ©es bien trop dĂ©licieuses pour porter ça au volent dâune voiture!
Quoi? Le tĂ©lĂ©phone? Ah non, on commençait Ă peine! Alors que ton employeur te dit quoi faire, je trouve Ă mâoccuper,salope Ă genoux sur le canapĂ© du salon. Tu dĂ©balles ton Ă©norme engin, dĂ©jĂ raide. A petits coups de langue, jâen savoure la peau chaude et tendre. Mes doigts le caressent. Puis je le prends dĂ©licatement en bouche. Je ferme les yeux. Et je me perdsâŠ
Tu me suces, robe remontĂ©e sur mes seins. Je te suce. Jâavale tout, en levrette sur le canapĂ©, ton Ă©norme Ă©rection logĂ©e au fond de ma gorge. ta main qui joue avec le sextoy plantĂ© en moi. Les sensations Ă©voquent pour moi le souvenir de cette fois oĂč tu mâas baisĂ©e avec ce type. Et je mâexcite plus encore. Tu me branles. Elle est belle ta queue, ma chĂ©rie, jâadore comme tu bandes. Jâai envie de toi mon chou. Je monte sur le canapĂ©, Ă cheval sur toi, et je te baise la bouche, avant que tu ne me rendes la pareille. Puis je te chevauche, le cul tournĂ© vers toi. Le spectacle est magnifique, mon grand? Les sensations, en profondeur, ne le sont pas moins. De toutes mes forces, mĂ»e par une rage, une longue pulsion de me faire enculer, je me plante, et me replante sur ton Ă©norme tige? jâouvre mĂȘme mes fesses Ă deux mains pour sentir chaque millimĂštre de longueur. tu aimes sentir mes boules qui tapent sur les tiennes? Moi aussi! Putain, putain que câest bon. Je prends tes mains, je les pose sur mon petit corps, et je te laisse me peloter, caresser mes seins, mon ventre plat, mes fesses, et surtout: masturber mon Ă©rection. Insolente, brĂ»lante, elle se dresse entre mes jarretelles, dans la dentelle rouge. Et tes mains dâexpert me guident aux portes du plaisir, plusieurs fois. Je fais de mĂȘme avec mon anus, grand ouvert sur ta verge maintenant: De tes grandes mains dâhomme, tu mâimmobilises assez souvent, quand tu sens que mes reins vont te faire perdre le contrĂŽle! Entre nous, comme toujours, la tension monte. Le dialogue devient toujours plus cru. Oui je suis ta pute. Oui je suis ta chĂ©rie. Encule-moi. Mets-moi Ă ma place. Putain comme tu me fais bander.
Je n'en peux plus: je me lĂšve, je vais me camper, jambes Ă©cartĂ©es, debout devant le miroir de la porte. Je mâaccroche au chambranle. Tu vas me faire jouir, je le sais. Mais je veux le voir, je ne veux pas en perdre une seconde. je veux ĂȘtre tĂ©moin et actrice de ce moment oĂč je vais jouir comme une femme dans tes mains, sous la loi impitoyable de ta queue.
Je ne suis pas déçue: dâun coup, brutalement, tu me pĂ©nĂštres. CaptivĂ©e, fascinĂ©e, je plonge le regard dans mon reflet. Ma silhouette mince, la lingerie rouge vintage, les bas, les talons aiguilles, mes longs cheveux blonds, mon sexe en Ă©rection. tes grandes mains sur moi, qui me touchent. Qui me saisissent Ă la gorge. Ta voix: regarde-toi, regarde-toi comme tu es belle quand tu vas jouir. Paraphrasant la cantatrice de Faust, parĂ©e de ses bijoux, je jouis de me voir si belle en ce miroir. Et je me demande: est-ce toi, Joana?
Et je me vois lĂącher prise. MalgrĂ© le moment torride que nous vivons, mon plaisir est une vague chaude dâune infinie douceur qui mâemporte alors que jâĂ©jacule, et que mon homme, ferme mais connaisseur, accompagne mon corps de ses coups de reins.
A moi, mon chou, lui dis-je, alors que lâocĂ©an reflue, mais que ses coups de boutoir se poursuivent. Je me mets au pied du canapĂ© oĂč il sâallonge. Jâempoigne cette verge magnifique qui mâa donnĂ© tant de plaisir. Encore vibrante, je le masturbe, consciencieusement, nâoubliant de caresser aucune partie de son corps. Sa trique est Ă©norme. fascinĂ©e, je contrĂŽle de mes doigts la montĂ©e du plaisir, mâamuse de ses efforts pour me rĂ©sister. Enfin, la chair raide et chaude tressaute sous mes mains. De son gland, les jets de semence sâĂ©chappent. Câest aussi beau Ă regarder que de me voir sodomisĂ©e dans ma lingerie vintageâŠ
12 hours ago