Jamais si bien servie que par soi-même!
Il entre dans ma maison: grand, mince, visiblement jeune. A sa demande, son visage caché par un foulard, des lunettes noires, et son sweat à capuche! Comme si j’allais reconnaître mon chef de service dans ce type qui a fait 100km pour venir me voir ce mardi matin… j’ai quelques réserves, mais qui se dissipent aussitôt dès que je le vois, que je le sens se coller à moi, prendre possession de mes fesses, mes seins, ma taille. Et que son jogging se déforme obscènement au contact de ma petite personne! J’ai mis le paquet, c’est vrai: ma guêpière noire et crème, ma belle robe noire à fleurs blanches, les talons, les bas… une belle blonde, quoi! Il est loin d’avoir fait autant de frais de tenue.
Mais tout est pardonné au moment même où il baisse le pantalon, et où jaillit son sexe, déjà en érection. Mon coeur bat plus vite, je dis sans réfléchir: “oh, mais elle est magnifique!” Longue, épaisse, légèrement courbée, rasée. Une hampe chaude et lourde qui emplit mes mains fines, de belles boules bien pleines -détail qui aura son importance, je le masturbe par pur plaisir. Et dans mon string, la fête commence elle aussi.
Elle était si belle à toucher, elle est tout aussi bonne à prendre en bouche. Je la glisse délicatement entre mes lèvres, jusqu’au fond de ma gorge, et je commence ma fellation. Ma robe est retroussée, mon string poussé sur le côté. Je bande sec, et me me touche. Ou je caresse ce ventre plat, ces longues jambes musclées. Je m’y agrippe, et je pompe. Je suce. Je me perds. Tu aimes ça salope? Ca te plaît, pute? Des mains tentent d’imposer un rythme à ma tête, mais je me libère, et je recadre: laisse-moi faire, sois pas si pressé. J’aime pas, j’adore la bite. Ta queue me plaît. Et je reprends ma fellation.
Nouveau recadrage lorsqu’il me demande de me mettre en position. T’es une belle pétasse. Ah non. Tu me fais trop bander avec ton petit cul. C’est mieux. Mais quand ce somptueux machin m’ouvre le cul, s’insinue en moi, et finit par posséder mon cul dans toute sa profondeur, je fonds. Oh c’est bon, oh, elle est bonne, oh, encule-moi, je l’aime ta bite. Il s’enhardit, commence à envoyer de grands coups de marteau-piqueur. Nouvelle remise en place: non, stop. Non, je me mettrai pas sur le dos jambes en l’air, j’aime la levrette, moi! Il est peut être dominateur, mais il est à l’écoute, car le voilà qui recommence ses pénétrations plus lentes, plus profondes. je recommence à chanter mon plaisir sur le lit de ma chambre, plaisir d’être sodomisée en fille devant mon miroir. Et de sentir mon amant qui empoigne mon sexe, le masturbe avec savoir-faire, et m’accompagne ainsi alors qu’il me baise.
Mais à nouveau, une série de grands coups de bite, je ne suis pas assez lubrifiée, je veux l’arrêter mais “clac”!, la capote explose alors que sa verge plonge dans mon cul Heureusement, je reconnais ce bruit à l’instant. Et je steppe la manœuvre. Eh oui, ça te calme, ça hein? je t’avais dit de faire d Remets-la dans mon cul, et va plus doucement!
Hmm, je me prépare, la sodomie cette fois est délicieuse, au bon rythme. Ma queue dans sa main est raide, mon cul s’ouvre sans peine et accueille sa verge de concours, encore encore. Déjà, dans la nouvelle capote, un peu de son sperme a coulé. Le plaisir monte. Je sens venir mon orgasme. Mais soudain: “ ah, tu me fais jouir, mets-toi à genoux!” Je descends au chevet, me prépare à peine à tout recevoir. Mais alors qu’il retire le préservatif, la semence a déjà commencé à couler. Peu importe! je colle mon visage contre son sexe dur et chaud, dressé pour moi. Et il m’arrose intégralement de son éjaculation. Chaude, musquée, abondante, elle vient trouver mes cheveux, mon visage, ma robe, mes bas. Les jets, les ruisseaux de sperme dégoulinent, c’est magnifique mon chou, continue, c’est beau, lui dis-je alors que la déferlante continue, et qu’il soupire très, très fort.
Je me retrouve éclaboussée de semence, à genoux devant lui, l’odeur du mâle dans le nez me fait tourner la tête. je bande. Je veux baiser, encore. Et je le regarde partir à regret. Devant le grand miroir, baignée de lumière. Je me toise du regard. Je me trouve belle. Vais-je me masturber? Non? Un type est là, à 30 mn. Je le branche? il vient. Sauvée? Quoi? Juste une pipe? Elle est plus petite, dure aussi, je la suce, mais je n’en peux plus! Tu m’encules un peu? Mon anus s’ouvre, elle rentre. Mais je dois être la première travestie réelle de ce type taiseux, sans aucun témoignage, qui débande aussitôt, certainement refroidi par la vue de mon érection… plus grosse que la sienne. Et qui se sauve, comme ça, sans presque rien dire. Et qui, un inédit dans ma vie de nympho, me blackliste 5 minutes après son départ. j’en éclate de rire. Puis je hausse mes petites épaules, empoigne mon long et large godemiché préféré, retrousse ma robe. Et j’entreprends une langoureuse chevauchée qui m’amène au plaisir, enfin. Je ferme les yeux. Dans mes cheveux, partout autour de moi, l’odeur du sperme. Mon sperme lui aussi commence à jaillir. Je m’interromps. Je le porte à ma bouche, une, deux, quatre, six fois? Je suis folle de plaisir, folle de mon corps de travestie. je reprends mon érection du bout de mes doigts, et laisse à mon tour partir ma semence.
Mais tout est pardonné au moment même où il baisse le pantalon, et où jaillit son sexe, déjà en érection. Mon coeur bat plus vite, je dis sans réfléchir: “oh, mais elle est magnifique!” Longue, épaisse, légèrement courbée, rasée. Une hampe chaude et lourde qui emplit mes mains fines, de belles boules bien pleines -détail qui aura son importance, je le masturbe par pur plaisir. Et dans mon string, la fête commence elle aussi.
Elle était si belle à toucher, elle est tout aussi bonne à prendre en bouche. Je la glisse délicatement entre mes lèvres, jusqu’au fond de ma gorge, et je commence ma fellation. Ma robe est retroussée, mon string poussé sur le côté. Je bande sec, et me me touche. Ou je caresse ce ventre plat, ces longues jambes musclées. Je m’y agrippe, et je pompe. Je suce. Je me perds. Tu aimes ça salope? Ca te plaît, pute? Des mains tentent d’imposer un rythme à ma tête, mais je me libère, et je recadre: laisse-moi faire, sois pas si pressé. J’aime pas, j’adore la bite. Ta queue me plaît. Et je reprends ma fellation.
Nouveau recadrage lorsqu’il me demande de me mettre en position. T’es une belle pétasse. Ah non. Tu me fais trop bander avec ton petit cul. C’est mieux. Mais quand ce somptueux machin m’ouvre le cul, s’insinue en moi, et finit par posséder mon cul dans toute sa profondeur, je fonds. Oh c’est bon, oh, elle est bonne, oh, encule-moi, je l’aime ta bite. Il s’enhardit, commence à envoyer de grands coups de marteau-piqueur. Nouvelle remise en place: non, stop. Non, je me mettrai pas sur le dos jambes en l’air, j’aime la levrette, moi! Il est peut être dominateur, mais il est à l’écoute, car le voilà qui recommence ses pénétrations plus lentes, plus profondes. je recommence à chanter mon plaisir sur le lit de ma chambre, plaisir d’être sodomisée en fille devant mon miroir. Et de sentir mon amant qui empoigne mon sexe, le masturbe avec savoir-faire, et m’accompagne ainsi alors qu’il me baise.
Mais à nouveau, une série de grands coups de bite, je ne suis pas assez lubrifiée, je veux l’arrêter mais “clac”!, la capote explose alors que sa verge plonge dans mon cul Heureusement, je reconnais ce bruit à l’instant. Et je steppe la manœuvre. Eh oui, ça te calme, ça hein? je t’avais dit de faire d Remets-la dans mon cul, et va plus doucement!
Hmm, je me prépare, la sodomie cette fois est délicieuse, au bon rythme. Ma queue dans sa main est raide, mon cul s’ouvre sans peine et accueille sa verge de concours, encore encore. Déjà, dans la nouvelle capote, un peu de son sperme a coulé. Le plaisir monte. Je sens venir mon orgasme. Mais soudain: “ ah, tu me fais jouir, mets-toi à genoux!” Je descends au chevet, me prépare à peine à tout recevoir. Mais alors qu’il retire le préservatif, la semence a déjà commencé à couler. Peu importe! je colle mon visage contre son sexe dur et chaud, dressé pour moi. Et il m’arrose intégralement de son éjaculation. Chaude, musquée, abondante, elle vient trouver mes cheveux, mon visage, ma robe, mes bas. Les jets, les ruisseaux de sperme dégoulinent, c’est magnifique mon chou, continue, c’est beau, lui dis-je alors que la déferlante continue, et qu’il soupire très, très fort.
Je me retrouve éclaboussée de semence, à genoux devant lui, l’odeur du mâle dans le nez me fait tourner la tête. je bande. Je veux baiser, encore. Et je le regarde partir à regret. Devant le grand miroir, baignée de lumière. Je me toise du regard. Je me trouve belle. Vais-je me masturber? Non? Un type est là, à 30 mn. Je le branche? il vient. Sauvée? Quoi? Juste une pipe? Elle est plus petite, dure aussi, je la suce, mais je n’en peux plus! Tu m’encules un peu? Mon anus s’ouvre, elle rentre. Mais je dois être la première travestie réelle de ce type taiseux, sans aucun témoignage, qui débande aussitôt, certainement refroidi par la vue de mon érection… plus grosse que la sienne. Et qui se sauve, comme ça, sans presque rien dire. Et qui, un inédit dans ma vie de nympho, me blackliste 5 minutes après son départ. j’en éclate de rire. Puis je hausse mes petites épaules, empoigne mon long et large godemiché préféré, retrousse ma robe. Et j’entreprends une langoureuse chevauchée qui m’amène au plaisir, enfin. Je ferme les yeux. Dans mes cheveux, partout autour de moi, l’odeur du sperme. Mon sperme lui aussi commence à jaillir. Je m’interromps. Je le porte à ma bouche, une, deux, quatre, six fois? Je suis folle de plaisir, folle de mon corps de travestie. je reprends mon érection du bout de mes doigts, et laisse à mon tour partir ma semence.
9 days ago