Quelle sacrée revanche!

Notre dernière entrevue m’avait laissé un goût d’inachevé, surtout pour moi, qui n’avait pas pu ni su aller jusqu'au bout. Mais cette fois-ci fut la bonne! Pour l’occasion, j’avais retrouvé ma jolie robe noire et grise, qui me donne un air à la fois si sage et si salope. Agrémenté de ma guêpière et de son string, l’ensemble était conçu pour déchaîner la passion. Ce fut le cas.
Je commençai par partir à l’aveugle, ne sachant si mon mec était dispo ou non; Une confirmation en cours de route me rassure: premier bon signe.
Deuxième bon signe: en entrant, j’arrive à récupérer son chat qui se sauvait! Troisième bon signe: mon mec va attraper ma chatte comme je le mérite…
J’ai beau siroter mon café en sa compagnie, je ne pense qu’à sa tige. Je le touche, le caresse, me pose sur ses genoux… Voilà, ça y est: je suis à genoux entre ses cuisses, et sa verge raide et chaude coulisse doucement entre mes lèvres sombres. J’en frémis, j’en ferme les yeux de bonheur. Ma langue s’enroule autour de sa verge, mes lèvres encore emprisonnent le gland. Je prends du recul, juste pour le masturber, et profiter du spectacle. Puis je me juche, chatte perchée, à ses côtés sur le canapé du grand salon, plonge mes mèches blondes entres ses cuisses, et j’avale intégralement ces 18 cm de bonheur d’un coup, en une respiration, des étoiles pleins les yeux! Mais que c’est bon! Je le lui dis, mais c'est inutile. Il voit bien, il sent bien que de mon petit string noir à boucles dorées déborde maintenant une très belle érection. Je me redresse, impudique, et la lui présente sous le nez: vas-y mon chou, suce, suce ta salope. Suce-moi bien, parce qu’après il faudra bien m’enculer!
Le contraste entre la lingerie fine, la maille résille, les courbes de mes hanches et de mon corps mince et cette insolente, obscène érection m’enchante. Là encore, oui, Joana est aux commandes. Mon autre facette est aux oubliettes, je ne suis que cette travestie qui caresse la nuque de son homme pendant qu’elle se fait sucer, voluptueusement, sur le canapé dans le salon baigné par le soleil d’hiver.
Entre ses jambes, je lui présente mon cul, et il introduit son engin dressé entre mes petites fesses. Je soupire, je gémis, je sens son membre se frayer un chemin en moi, ah putain que c’est bon, la sodomie, quand on se fait baiser par son homme! Oui, mon chou, je suis faite pour ça, seulement pour ça, continue, baise-moi, baise-moi. Et je m'accroche à lui, grimpe sur lui, mes fais ouvrir les jambes, et je commence à me ramoner le cul, empalée sur sa grosse bite.
Il tient absolument à passer ses coups de fil professionnels pendant qu’il m’encule! Incroyable, ce sens du self-contrôle! Alors que mon anus monte et descend, le long de la tige, il explique qu’il va “envoyer tout” à l’opératrice bancaire! Comme je manque de faire un dépôt en liquide, je me désemmanche, et repasse à genoux devant lui, où je me contrôle mieux.
Mais c’est lorsqu’il me la met debout, un de mes talons sur les coussins, qu’une inspiration me saisit: prends-moi devant le miroir de cette porte, mon grand, s’il te plaît. Et c’est là que nous lâchons les chiens. Jamais, jamais je ne me suis regardée au fond des yeux, en gros plan, robe remontée sur ma lingerie, ma queue raide, ma mèche blonde devant les yeux, mon mec derrière moi, qui me pelote les seins, empoigne ma gorge, m’encule à grands coups de bite, et me dit, tourne la tête! et regarde-moi quand je te baise! C'est magique, c’est fort, c’est chaud, c’est tellement excitant, de me voir si féminine, si possédée, si prise par cet homme si viril, par sa queue si dure pour moi, oh oui, oh je jouis mon chou: j’éjacule fort, un jet puissant s’échappe de ma verge alors que lui me démonte la chatte, claque mes fesses, tu es belle, tu es magnifique, je me vide en toi ma chérie, et le paroxysme est atteint quand je sens jouir en moi mon homme…
Épuisés, souriants, nous reprenons nos esprits, alors que je laisse aller ses mains qui caressent toutes mes courbes. Voilà ce que j’étais venue chercher! Et lorsque je repars au volant quelques minutes plus tard, heureuse et épanouie, je me dis que oui, voilà, je n’ai pas encore perdu la main. Ni le reste!
Published by joan323232
29 days ago
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