Le bonheur de la défonce
Après deux plans décevants, l’après-midi même, je me retrouve chez A. de V.! Et là, tout fonctionne à merveille. Ma tenue de punkette, top moulant, collier de chienne, ceinturon, mini-jupe cuir. Mes bas nylon. Mes talons, ma perruque blonde. Il bande, comme un taureau. Ma chatte est nickel. C’est parti pour de somptueuses fellations, nos sexes sont énormes, dressés, gonflés. Le sien est lourd dans mes mains, ses boules sont grosses et chaudes. Je l’avale sans difficulté. Et plus je le pusse, plus je bande. Au bord du lit, assise, jupe remontée, je le regarde me tailler une pipe, voluptueusement. En 69 c’est encore mieux pour gober sa queue, mes lèvres descendent littéralement jusqu’à ses couilles, que je tiens dans ma main. Je suce, je suce, je suis enfin heureuse.
Et puis il m’encule en levrette sur le lit. C’est gros, très chaud, ça écarte et ouvre mon pauvre petit cul qui en prend beaucoup trop ces temps-ci, aîe! Mais il m’enfile si bien! On baise les dents serrées, en chuchotant, alors que ses parents/ voisins font du bruit à l’étage, que leur chien aboie. Je bande sec, raide, et sa grosse bite me lime le cul si bien que j’éjacule. sa amin aussitôt vient recueillir ma semence chaude à la source, pour la goûter. Et puis il me démonte littéralement le cul, un pilonnage, un barattage tellement intense que j’en viens à haleter, comme dans une épreuve sportive!. ses mains sont sur mes jambs, mes chevilles, mes talons. Je n’ai pas mal, son gros sexe raide est doux et entre si facilement dans mon petit cul grand ouvert. Enfin, il se crispe, se cambre, et ne peut réprimer un, deux, trois grands soupirs alors que sa semence se déverse entre mes reins. Je suis défoncée, défoncée par le cul, bien sûr, mais aussi par l’orgasme que j’ai eu, et la sensation de jouir en cachette, dans la pénombre de cette chambre bien chaude, fermée, dans cette maison où je suis entrée en secret.
Déshabillage dans la sdb glaciale, sac sur l’épaule, je descends le chemin de la colline. Mon corps entier vibre encore de l’intensité du moment. comment le dire autrement: je suis heureuse!
Et puis il m’encule en levrette sur le lit. C’est gros, très chaud, ça écarte et ouvre mon pauvre petit cul qui en prend beaucoup trop ces temps-ci, aîe! Mais il m’enfile si bien! On baise les dents serrées, en chuchotant, alors que ses parents/ voisins font du bruit à l’étage, que leur chien aboie. Je bande sec, raide, et sa grosse bite me lime le cul si bien que j’éjacule. sa amin aussitôt vient recueillir ma semence chaude à la source, pour la goûter. Et puis il me démonte littéralement le cul, un pilonnage, un barattage tellement intense que j’en viens à haleter, comme dans une épreuve sportive!. ses mains sont sur mes jambs, mes chevilles, mes talons. Je n’ai pas mal, son gros sexe raide est doux et entre si facilement dans mon petit cul grand ouvert. Enfin, il se crispe, se cambre, et ne peut réprimer un, deux, trois grands soupirs alors que sa semence se déverse entre mes reins. Je suis défoncée, défoncée par le cul, bien sûr, mais aussi par l’orgasme que j’ai eu, et la sensation de jouir en cachette, dans la pénombre de cette chambre bien chaude, fermée, dans cette maison où je suis entrée en secret.
Déshabillage dans la sdb glaciale, sac sur l’épaule, je descends le chemin de la colline. Mon corps entier vibre encore de l’intensité du moment. comment le dire autrement: je suis heureuse!
1 month ago