Voyage en Italie 5
Jour 3
La nuit sâĂ©tait relativement bien passĂ©e autant que je mâen souvienne.
Le matin la plupart sont déjà en tenue de sport au petit déjeuner.
Jâai Ă©galement mis mon jogging pour ĂȘtre dans le ton.
En milieu de matinée nous descendons tous au village voisin pour un tournoi sportif avec leurs équipes
le repas sera pris sous forme de barbecue.
En fin de matinĂ©e mes craintes pour lâaprĂšs midi coĂŻncident avec lâapparition de Pietro :
« Bravo je viens dâapprendre que nous allons nous promener cette AM».
« Oui câest la seule excuse que jâai trouvé ».
« Mais câest parfait, on aura le temps de sâamuser un peu ».
Aucun doute il est aux anges le salaud, moi je ne sais pas !!!!!!!!!!!
« Je viens te chercher vers 13h Ă la porte du batiment mais nâoublie pas !!!!!!! »
Il reste un peu avec nous, et en partant il passe à coté de Louis et Paul en gesticulant en montrant sa montre.
Je fais part Ă Laurent de lâinformation que je viens de recevoir.
AprĂšs une petite collation je remonte vers le domaine, je retire mon jogging, arrive le moment de mes sous vĂȘtements, je sens la chaleur dans mon bas ventre, je repense Ă ma jouissance de la veille.
Suis je en manque depuis ma séparation? Je retire ces derniers remparts.
Me voila en jeans et Ă lâheure dite je descends vers la porte dâentrĂ©e.
Quelques instants dâattente et voila que sa camionnette de marque italienne bien connue arrive.
« Monte »
au lieu de repartir vers le village il roule vers la grange.
« On va oĂč ? ».
« TâinquiĂšte juste une surprise avant de partir ».
En sâarrĂȘtant devant : « va te changer avec ce que tu trouveras sur la chaise à lâintĂ©rieur».
SitĂŽt entrĂ©e sitĂŽt sortie : « il nây a quâune veste »Â
« oui câest le but je lâai empruntĂ©e »
Je refuse net en remontant dans le véhicule.
En faisant demi tour il mâindique son sac ouvert sur le siĂšge central.
« câest la cassette de notre film que jâai enregistrĂ© hier soir chez un ami avec sa copine» en souriant.
« câest elle qui mâa prĂȘtĂ©e le blazer »
jâen reste bouche bĂ©e.
« Tu sais il suffit juste dâavoir dâavoir un magnĂ©toscope pour te voir jouir».
« Alors ?» en stoppant.
Je ne bouge plus,le salaud me tient, il le sait.
« DĂ©pĂȘche toi de revenir » en me dĂ©signant la porte.
Dâun pas hĂ©sitant jâarrive Ă la chaise, je me dĂ©shabille, jâenfile le blazer muni de trois gros boutons, je sens la lisiĂšre du tissus Ă mi cuisses une fois fermĂ©.
Câest au moment de mâasseoir sur mon siĂšge que je constate les dĂ©gĂąts.
Mes cuisses sont entiÚrement découvertes, les pans écartés le dernier bouton cache difficilement ma chatte.
Il repart par la piste comme hier pour atteindre une route.
Un panneau signale Asti Ă 30 km. (Asti je lâai retrouvĂ©e sur une carte dâItalie).
« On va dâabord sâoccuper de te trouver une tenue , le seul endroit pour une location câest Ă Turin et cela fait loin».
« tu veux quoi ? »
« Je ne sais pas car je nâai que des jeans avec moi ».
« Bien jâai certainement la solution, tu vas aimer»
Il sâarrĂȘte Ă lâentrĂ©e dâune ville, sort du vĂ©hicule pour tĂ©lĂ©phoner pendant que jâessaye de rĂ©ajuster ma tenue.
« Câest bon on va voir la copine qui mâa prĂȘtĂ©e le blazer, elle a ta taille et te prĂȘtera quelque chose pour la fĂȘte, elle vient de rentrer ».
Quelques instants plus tard, il me demande descendre devant un immeuble et de sonner Ă lâappartement de ,,,,,,,,(je ne me souviens plus du nom).
En marchant je ne sais pas lâeffet que je donne mais certainement pas de quelquâun de rassurĂ©e !!
AprĂšs quelques secondes Ă lâinterphone une voix mâindique lâĂ©tage.
La porte sâouvre et je mâengage seule dans lâimmeuble comme demandĂ© par Pietro.
A lâĂ©tage une porte sâouvre sur une belle jeune femme qui me signe dâentrer.
« Viens».
Nous sommes à présent dans sa chambre, devant une armoire ouverte.
Elle est derriĂšre moi.
Ses mains enserrent ma taille.
Ouvrent les boutons.
Me débarrassent de ma veste.
Ses mains me massent les seins.
Je veux me défendre.
« câest le prix Ă payer pour la location et je tâai entendu gĂ©mir sur la cassette »
Ses mains continuent Ă descendre.
Son souffle chaud dans ma nuque, une main à présent sur ma chatte je me laisse aller.
Elle me branle, la chaleur inonde ma chatte, je lĂšche ses doigts humides, (câest la premiĂšre et la derniĂšre fois que jâai eu une relation avec une femme) elle me couche sur le lit, me lĂšche le clito, le mordille, sa langue sâintroduit entre mes lĂšvres pour aspirer la cyprine, une sensation que je nâavais jamais imaginĂ©e.
Elle continue ses caresses jusquâĂ mes soubresauts de jouissance.
« Bien en me rendant mes habits ce sera à toi de me faire jouir ».
« Tu peux te servir maintenant dans mon armoire »
Je suis nue devant cette femme Ă essayer des vĂȘtements pour une soirĂ©e.
Je fais mon choix pour une robe et un spencer.
En me tendant le blazer :
« Câest bon maintenant, retourne dans la voiture afin dâĂȘtre une bonne salope. »
Je me retrouve sur le palier Ă fermer mes boutons avant de descendre rejoindre Pietro.
La nuit sâĂ©tait relativement bien passĂ©e autant que je mâen souvienne.
Le matin la plupart sont déjà en tenue de sport au petit déjeuner.
Jâai Ă©galement mis mon jogging pour ĂȘtre dans le ton.
En milieu de matinée nous descendons tous au village voisin pour un tournoi sportif avec leurs équipes
le repas sera pris sous forme de barbecue.
En fin de matinĂ©e mes craintes pour lâaprĂšs midi coĂŻncident avec lâapparition de Pietro :
« Bravo je viens dâapprendre que nous allons nous promener cette AM».
« Oui câest la seule excuse que jâai trouvé ».
« Mais câest parfait, on aura le temps de sâamuser un peu ».
Aucun doute il est aux anges le salaud, moi je ne sais pas !!!!!!!!!!!
« Je viens te chercher vers 13h Ă la porte du batiment mais nâoublie pas !!!!!!! »
Il reste un peu avec nous, et en partant il passe à coté de Louis et Paul en gesticulant en montrant sa montre.
Je fais part Ă Laurent de lâinformation que je viens de recevoir.
AprĂšs une petite collation je remonte vers le domaine, je retire mon jogging, arrive le moment de mes sous vĂȘtements, je sens la chaleur dans mon bas ventre, je repense Ă ma jouissance de la veille.
Suis je en manque depuis ma séparation? Je retire ces derniers remparts.
Me voila en jeans et Ă lâheure dite je descends vers la porte dâentrĂ©e.
Quelques instants dâattente et voila que sa camionnette de marque italienne bien connue arrive.
« Monte »
au lieu de repartir vers le village il roule vers la grange.
« On va oĂč ? ».
« TâinquiĂšte juste une surprise avant de partir ».
En sâarrĂȘtant devant : « va te changer avec ce que tu trouveras sur la chaise à lâintĂ©rieur».
SitĂŽt entrĂ©e sitĂŽt sortie : « il nây a quâune veste »Â
« oui câest le but je lâai empruntĂ©e »
Je refuse net en remontant dans le véhicule.
En faisant demi tour il mâindique son sac ouvert sur le siĂšge central.
« câest la cassette de notre film que jâai enregistrĂ© hier soir chez un ami avec sa copine» en souriant.
« câest elle qui mâa prĂȘtĂ©e le blazer »
jâen reste bouche bĂ©e.
« Tu sais il suffit juste dâavoir dâavoir un magnĂ©toscope pour te voir jouir».
« Alors ?» en stoppant.
Je ne bouge plus,le salaud me tient, il le sait.
« DĂ©pĂȘche toi de revenir » en me dĂ©signant la porte.
Dâun pas hĂ©sitant jâarrive Ă la chaise, je me dĂ©shabille, jâenfile le blazer muni de trois gros boutons, je sens la lisiĂšre du tissus Ă mi cuisses une fois fermĂ©.
Câest au moment de mâasseoir sur mon siĂšge que je constate les dĂ©gĂąts.
Mes cuisses sont entiÚrement découvertes, les pans écartés le dernier bouton cache difficilement ma chatte.
Il repart par la piste comme hier pour atteindre une route.
Un panneau signale Asti Ă 30 km. (Asti je lâai retrouvĂ©e sur une carte dâItalie).
« On va dâabord sâoccuper de te trouver une tenue , le seul endroit pour une location câest Ă Turin et cela fait loin».
« tu veux quoi ? »
« Je ne sais pas car je nâai que des jeans avec moi ».
« Bien jâai certainement la solution, tu vas aimer»
Il sâarrĂȘte Ă lâentrĂ©e dâune ville, sort du vĂ©hicule pour tĂ©lĂ©phoner pendant que jâessaye de rĂ©ajuster ma tenue.
« Câest bon on va voir la copine qui mâa prĂȘtĂ©e le blazer, elle a ta taille et te prĂȘtera quelque chose pour la fĂȘte, elle vient de rentrer ».
Quelques instants plus tard, il me demande descendre devant un immeuble et de sonner Ă lâappartement de ,,,,,,,,(je ne me souviens plus du nom).
En marchant je ne sais pas lâeffet que je donne mais certainement pas de quelquâun de rassurĂ©e !!
AprĂšs quelques secondes Ă lâinterphone une voix mâindique lâĂ©tage.
La porte sâouvre et je mâengage seule dans lâimmeuble comme demandĂ© par Pietro.
A lâĂ©tage une porte sâouvre sur une belle jeune femme qui me signe dâentrer.
« Viens».
Nous sommes à présent dans sa chambre, devant une armoire ouverte.
Elle est derriĂšre moi.
Ses mains enserrent ma taille.
Ouvrent les boutons.
Me débarrassent de ma veste.
Ses mains me massent les seins.
Je veux me défendre.
« câest le prix Ă payer pour la location et je tâai entendu gĂ©mir sur la cassette »
Ses mains continuent Ă descendre.
Son souffle chaud dans ma nuque, une main à présent sur ma chatte je me laisse aller.
Elle me branle, la chaleur inonde ma chatte, je lĂšche ses doigts humides, (câest la premiĂšre et la derniĂšre fois que jâai eu une relation avec une femme) elle me couche sur le lit, me lĂšche le clito, le mordille, sa langue sâintroduit entre mes lĂšvres pour aspirer la cyprine, une sensation que je nâavais jamais imaginĂ©e.
Elle continue ses caresses jusquâĂ mes soubresauts de jouissance.
« Bien en me rendant mes habits ce sera à toi de me faire jouir ».
« Tu peux te servir maintenant dans mon armoire »
Je suis nue devant cette femme Ă essayer des vĂȘtements pour une soirĂ©e.
Je fais mon choix pour une robe et un spencer.
En me tendant le blazer :
« Câest bon maintenant, retourne dans la voiture afin dâĂȘtre une bonne salope. »
Je me retrouve sur le palier Ă fermer mes boutons avant de descendre rejoindre Pietro.
5 months ago