Ma nièce 11

Ce soir là j'étais chez Typhanie, je devais lui monter un petit meuble. Après cela elle m'avait inviter a diner pour me remercier.

Après le diner, installer sur le canapé , il est presque 21h.

On avais bu quelques verres et elle sent que l'alcool commençait à lui monter très légèrement à la tête. Mais elle s'en fiche.

Elle est habillée d’une robe pourvue d’un décolleté de trois boutons. Seul un bouton est ouvert, ce qui laisse à peine découvrir sa superbe poitrine.

Alors qu’elle est toujours assise, elle commence à ressentir le désir monter en elle. C’est alors que son téléphone sonne.

C’est une de ses meilleures amies au bout du fil.

Elle est en larme après des déboires amoureux.

Typhanie sait que le coup de téléphone va durer et qu’elle ne peut pas couper court.

Son amie a besoin de parler pour se changer les idées. Elle est tiraillée … en effet, elle doit être présente pour son amie mais cela coupe court à ses envies de sentir mon excitation monter et de pouvoir assouvir ses désirs.

J'avais à peu près les mêmes idées, comprend à l’intonation de sa voix qu’il va devoir attendre.

Dépité, je me lève pour la rejoindre sur le canapé et passer le temps devant la télé.

Typhanie a alors une idée.

Tout en continuant sa discussion avec son amie, et sans prévenir, elle attrape au passage ma main pour me retenir.

Elle me fit un signe du visage qui m'indiqua que ce n’était pas fini !

Elle commença alors à passer sa main libre sur mon pantalon en ciblant directement mon sexe.

Cela fonctionna à merveille.

Elle sentit immédiatement mon sexe gonfler sous le tissu du pantalon. Cela eut un effet très excitant sur elle et elle sentit ses tétons commencer à se durcir. Je l'aperçu a travers sa robe, ses tétons pointaient !

L’exercice était difficile.

Il fallait continuer la conversion avec son amie comme si de rien n’était tout en se concentrant sur mon pantalon.
Je ne bougeait plus.
Agréablement surpris par la situation, je me laissait faire en attendant de voir comment elle allait faire évoluer la situation.

Elle poursuivit en déboutonnant délicatement mon pantalon.

Une fois le pantalon et le caleçon descendu, elle me fit comprendre de l’enlever afin d’être libre de ses mouvements.
Je m'exécuta sans rien dire.

Elle était toujours assise.

Debout à côté d’elle. Mon sexe dressé arrivait un peu en dessous de son visage. Elle me caressait sans pour l’instant le prendre à pleine main.
Elle se concentrait sur mes bourses. L’excitation était palpable. Elle le sentait bien.

Je commençai à glisser ma main dans son décolleté.
Très vite je déboutonnai les boutons restants et fit en sorte que ses seins sortent complètement. Elle sentait ma main caresser sa poitrine. Ça l'excitait de plus en plus.

Elle tenait désormais mon sexe à pleine main et commence à me branler.

Elle avait envie de le prendre en bouche, de le sentir faire des allers-retours. Sentir mon désir à travers mon sexe extrêmement dur.

Elle s’y essaya sans succès. L’exercice était trop périlleux. Elle devait continuer à parler avec son amie pour qu’elle ne se rende compte de rien.

Elle eu alors une idée et me demanda de l’enjamber et de se placer devant elle.

Elle se retrouva alors avec mon sexe posé sur ses seins.

Elle continuait à me branler.

Elle glissa alors mon sexe entre ses seins tout en les serrant avec son bras libre.

Tout en me laissant faire, elle dominait les ébats.

J'étais devant elle, mon sexe serré entre ses seins.
Pendant qu’elle continuait sa conversation, je commençai à faire des vas et viens.

Mon sexe glissait entre ses seins;
Typhanie les tenait fermement, ce qui m'excitai encore plus.

Je sentais mon sexe serré et voyais mon gland frôler les lèvres de Typhanie à chaque aller-retour.

De ses deux mains, je saisi alors le dossier de son fauteuil, juste derrière ses épaules. je pouvais ainsi aller plus vite et sentir son excitation continuer à monter. J'étais à deux doigts de l’orgasme.

Je voulais également faire jouir Typhanie mais ne pouvant pas attendre.
J'allais jouir. Je cherchai dans ses yeux une certaine approbation de sa part.
Comprenant qu’elle était ok, mais que j'aurais une dette envers elle, je repris mon sexe à pleine main et me branla doucement jusqu’à sentir l’explosion arriver.

Je joui sur ses seins … Mon sexe était plein, l’excitation était à son comble.

Mon sperme recouvrait ses seins et elle en avait jusque sur ses lèvres.
Elle sentait les gouttes chaudes de sperme couler sur son corps.
Pour l’exciter encore plus, elle se lécha les lèvres et en avala quelques-gouttes.

Typhanie était toujours assise au téléphone avec son amie.

Elle écarta alors les cuisses pour me fait signe que ce n’était pas fini et qu’elle voulait que je me concentre à mon tour sur elle.

Elle glissa sa main libre dans sa culotte pour me montrer son excitation et commença à se caresser.

Elle était toute mouillée… et l’excitation continuait à monter.

Je me mets alors à genoux devant elle.
Pendant qu’elle continuait à caresser son clitoris, j' embrassai les cuisses et prit les choses en main.

Ecartant délicatement la main de Typhanie qui alla se fixer dans mes cheveux.

Tout en commençant à caresser son clitoris avec ma langue, glissant deux doigts dans sa chatte et commença à faire des allers retours en elle.

Doucement dans un premier temps.

Puis plus rapidement. Elle sentait à la fois ma langue qui léchait scrupuleusement son clitoris et mes doigts qui la pénétraient de plus en plus vite et profond.

Le plaisir était trop fort pour ne pas lâcher quelques gémissements étouffés.

Son amie ne s’en rendit pas compte mais comprit rapidement qu’elle n’était pas vraiment à 100% concentrée sur la conversation ce qu’elle lui fit remarquer d’un ton presque accusateur.

Typhanie du alors inventer un subterfuge en lui indiquant qu’elle l’écoutait mais qu’elle devrait rapidement raccrocher et qu’elle la rappellerait plus longuement le lendemain.

Prenant cela comme un défi, je redoublai de vigueur afin de la faire jouir, avant que la conversation ne se finisse.

Typhanie était au bord de l’orgasme, elle sentait ma langue faire assaut de son clitoris et de toute sa vulve.
Elle dut réunir toutes ses capacités pour dire au revoir à son amie sans que cette dernière ne se rende compte de la situation.

Ça y est, elle avait raccroché. Elle avait gagné le due, car elle n’avait pas encore jouie mais était sur le point de le faire.

Libre de ses deux mains elle saisit mes cheveux et me demanda de la faire jouir.

Elle y était presque.

Complètement désinhibée par l’excitation, et au bord de la jouissance, elle pensa à mon excitation.
Elle voulait que ce moment de grâce se poursuive, même après sa jouissance.
Elle voulut alors me donner envie de poursuivre les ébats et me dit les phrases suivantes:

- Fais moi jouir, je n’en peux plus

- Une fois que tu m’auras fait jouir, je veux que l’on continue. Je veux sentir ton sexe dans ma bouche, dans ma chatte. Je veux que tu me prennes comme une salope. Je veux être ta salope ce soir ! Je veux que tu me couvre de ton sperme une nouvelle fois !

Elle savait qu’en me disant ces phrases, qu’elle n’avait presque jamais dites, cela m'exciterait follement.

Curieusement, ça l'excitait aussi.

Plus elle y pensait, plus son orgasme se rapprochait.

Elle avait en fait follement envie que je la prenne sauvagement la sur le canapé.

Elle n'eut pas le temps de poursuivre ses pensées qu’elle sentit la jouissance la traverser.

Tout en s'accrochant a mes cheveux, elle trembla de tout son corps. Son orgasme était d’une rare intensité.

Il lui fallut quelques minutes pour reprendre ses esprits. Son orgasme avait été si fort. Certains de ses membres étaient encore parcourus par d’ultimes frissons.

Typhanie était tellement excitée et m' avait mis tant d’ardeur à la tâche que son humidité m'avait recouvert les lèvres et les joues.

Tendrement je lui tendit une serviette, elle aussi était encore partiellement recouverte par mon liquide de jouissance;

Alors que je commençai à remonter mon pantalon, elle me saisit la main pour m’en dissuader.

Sans rien dire elle me fit asseoir sur la fauteuil qu’elle occupait jusqu’à alors….

Elle caressa mon sexe, mes couilles, les lécha de sa langue qui me parcourait partout.

- J'en veux encore,

Mon sexe se dressa au garde a vous devant son visage, elle souriait. Ses doigts le caressaient.

Elle le goba dans sa bouche pour me sucer, tout en me fixant du regard.

De plus en plus vite, je sentit mon orgasme monter. Elle ne s'arrêta pas !

Puis elle sortit sa langue percée, me branlant doucement, elle avait envie d'une chose ...

Je jouie plusieurs giclées sur sa langue, et elle me lécha le sexe pour le nettoyer, après avoir pris soin de tout avaler.

-Je désire que tu restes la nuit avec moi !

J' accepta, je peux vous dire que la nuit fut chaude une fois douchés, et couchés.
Published by Tomdu67000
10 months ago
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