Prise au piège

Bénédicte, 58 ans, mère d'une fille de 22 ans (Annie) et divorcée depuis une dizaine d'année.
Ma fille ne m'a jamais pardonnée d'avoir quitté son « adorable père ». Ce salop me cognait, me trompait et me rabaissait dès qu'il en avait l'occasion. A la pharmacie, il lui arrivait de passer derrière moi et de me piquer avec des punaises ou une aiguille. Je devais rester impassible et garder le sourire face à la clientèle. Endurer silencieusement, dents serrées.
Tous les samedi soir, nous faisions nocturne et c'était nous qui fermions la boutique. Je savais qu'avant de partir, en l'absence du personnel j'allais me faire déglinguer dans l'arrière boutique. Peu avant le divorce, il a eu la bonne idée de me donner des compléments alimentaires que je prenais aveuglément. Il les préparait lui-même et mettais en flacon une fois par mois. Chose que je n'ai appris que bien plus tard, les flacon m'étant prédestinés avaient pour particularité l'ajout d'un calmant sexuel. Plus j'en prenais et plus ma libido baissait. Chaque passage à l'acte était un calvaire pour moi. Il s'en délectait. De son coté, il prenait des petits compléments aussi pour durer plus longtemps. A la fin, le sexe me dégouttait. Annie ne su jamais tout ça.
Quand je retrouvais ma liberté, le sexe m'était toujours ecoeurant. Les mois, quelques années passèrent et lors d'un vernissage, un bellâtre me fit la court. J'y répondit et le soir-même nous finîmes la soirée dans un restaurant huppée de la ville. Monsieur me sortait le grand jeu. Beau gosse, beau parleur aussi.
En quelques semaines le monsieur devint mon amant régulier et il su me redonner goût au sexe. Il m'initia a quelques nouveautés, notamment faire l'amour dans un club (salon privé), ou m'exhiber au bar du même établissement. Voir les yeux des hommes et parfois des femmes sur ma poitrine si peu vêtu et mise en valeur par une lingerie affriolante, voir des regards me scanner de la tête aux pieds … porter des jupettes ultra courtes avec rien dessous, des talons hauts et apercevoir des pantalons se déformer était pour moi nouveau et excitant.
Un jour un couple nous offrit un rafraîchissement à ce bar dont nous étions devenus habitués. Stan accepta l'invitation et la discussion fut rapidement très coquine. On ne vient pas en club pour parler météo ou cat40 ! Caro était bisexuelle et avait flashé sur moi. Hors de question de laisser cette dépravée mettre la main sur mon corps. On regarde, on bave, mais on ne touche pas ! De son coté, Stan était (au fil des semaines) de plus en plus dominant. Il ne se passa rien ce soir-là.
Un mois plus tard, je subis ma première séance lesbienne avec Caro. Elle me fit jouir plusieurs fois, ce qui semblait déplaire à Stan. Incompréhensible puisqu'il avait été l'instigateur de cette rencontre !
De retour à la maison il me fit une scène de jalousie et je me fis dérouiller. Les souvenir de mon ancien mari ressurgirent, à la différence que la torgnole de Stan me mis dans un état second et se termina par un bel orgasme.
Au fil des mois, Stan m'amena vers une relation soda-masochiste et j'avoue y avoir pris du plaisir. Il avait 40 ans, moi … bien plus. Régulièrement il me prêta à des hommes, des femmes, je devais donner du plaisir mais pas en prendre. En cas contraire, j'avais droit à la cravache de retour chez moi.
Un jour, j'ai osé le défier. Une soirée BDSM dans un club privé. J'étais tout de cuir vêtue et branlais mon Maître pendant qu'une salope se faisait fouetter par le maître des lieux. La fille était belle et marquait très peu (tout comme moi). Beau spectacle. Caro était présente elle aussi avec son crétin de mari.
Stan voulu défier ses amis et l’assistance. Le spectacle allait prendre fin quand il leva la main et proposa que je prenne la place de la salope. Je ne pu me débiner et me laissai attacher à la croix de Saint-André. On me cravacha les seins et je serrai les dents, sourire aux lèvres et regard défiant mon Maître. Il était lui aussi énervé de mon attitude. D'un geste de la main, d'un regard, il communiqua avec Caro qui se fit un plaisir de s'approcher et de me doigter pendant que l'autre con me cravachait le cul. Des pinces furent posées sur mes tétons sensibles. Caro le savait, le piège se refermait sur moi. Quand quelques minutes plus tard ils les retirèrent pour me triturer la poitrine et me pincer, pour tirer sur mes tétons, les rouler entre leurs doigts agiles … un supplice. Caro étant toujours acharnée sur mon point G et mon clito, je ne pu retenir un long cri de jouissance qui attira l'attention de l'ensemble de l'établissement. Je n'arrivais plus à me calmer et mes gémissements mirent longtemps avant de s'atténuer. S'en était trop, Stan était hors de lui.
Après ce jour, notre relation n'était faite que de défiance, de douleur et de jalousie. Ma vie devint un enfer. Plusieurs fois j'ai voulu le quitter mais ce dernier se débrouillait pour me croiser dans ma « vie normale ». Chaque entrevue m'électrisait et tel un aimant je n'arrivais pas à lutter contre cette attirance maladive de revenir à lui, lui appartenir, qu'il me possède.
Je revenais donc vers lui et chaque fois la première séance était très éprouvante, douloureuse et jouissive. Il m'exprimait à sa manière toute la frustration qu'il avait eu en me voyant m'éloigner de lui. Cuisant diraient certains.
Un jour, encore une fois je lui signifiais ma décision de le quitter, il me fit assoir sur mon canapé, m'offrit un cocktail et déposa sur la table basse quelques gâteaux apéritifs. Il mit une clé USB sur mon téléviseur et se tut, me laissant admirer quelques photos et vidéos qu'il avait prises de moi (parfois même à mon insu). J'y vit une femme, suçant une queue, puis montant et descendant dessus, prenant son pied. Un film amateur de mauvaise qualité où les visages étaient floutés ou masqués.
Je compris que Stan souhaitait un petit cadeau d'adieu et commençais à branler au travers de son pantalon.
- Ce sera mon petit cadeau d'adieu. Profites-en mon salop.
- Oui ma bichette, t'as raison. Tu me suces ? Allez, s'il te plaît bichette, une dernière fois.
La vidéo continuais et je n'y prêtais qu'une attention légère.

- Vas-y connard, ce soir je suis ta pute alors fais-toi plaisir et encules-moi ! Mon Maître n'attend que ça !
Cette phrase stoppa toutes mes envies. J'arrêtais ma fellation et tournais prestement la tête vers l'écran. C'était ma voix et je me souvenais très bien de ce moment. Stan avait insisté pour que je dise haut et fort cette phrase.
La vidéo continuait et … en 15 minutes je vis un flash de chacune de nos soirée (que ce soit sur ce canapé, ou chez lui, ou en club). Le salop avait tout filmé ! La quasi totalité avait été prise sans que je sois au courant !
Les larmes aux yeux, je le dévisageais, lâchait sa queue qui d'un seul coup me répugnait et c'est le visage interrogateur qui …
- Tu veux quoi ?
- Termine ta pipe d'abord …
- Hors de question, va te faire foutre !
- OK, si tu le prends comme ça. Je te laisse la clée. Disons que ce n'est qu'un échantillon de ce que j'ai.
- Tu veux quoi !

Je rongeais mes sangs pendant des jours.
Une semaine, puis deux, jusqu'au jour où je reçois un email. Rendez-vous précis dans un bar face à la gare pour 15h. Sur place, Stan reste muet me tends une enveloppe (la photo d'un beau gosse à cette même table en compagnie de ma fille).
- Je te présente Hugo, mon fils. Il est avec sa nouvelle petite amie.
- Quoi ? !
- Attends, rien n'est encore fait. Disons que j'ai un peu joué les entremetteurs. J'ai expliqué à Hugo ce qu'il devait faire pour charmer la belle. Il a suivi mes conseils et … ils ont rendez-vous ce soir. Je pense que ce sera très romantique.
- …
- Hugo a les mêmes goûts que moi en matière de sexe. Cette oie blanche ne l'attire pas plus que ça mais pour faire plaisir à son père il a joué le jeux.
- Tu veux quoi ?
- Tu restes avec moi et tu fais tout ce que je te demande. Je ne te touche plus mais tu feras tout ce que je veux. Si tu fais ça, je dis à Hugo de ne pas aller au rendez-vous ce soir.
- OK ça marche.
- Attends, tu ne crois tout de même pas que je vais me contenter d'un « oui d'accord » ? Hugo il va garder contact un certain temps … et d'ici quelques mois, si tu décides de me quitter une fois de plus, ta fille recevra l'intégralité de nos petites vidéos … au compte goutte. Tu risques de la perdre.

- Salop. Tu veux quoi ?
- Tu vois le monsieur en costume à deux tables ?
- Celui qui nous fait coucou ? Le gros porc avec ses petits yeux de fouine ?
- Oui. Tu as raison c'est un gros porc et à l'hygiène déplorable. C'est mon voisin, un gros dégueulasse qui passe ses journées à regarder des vidéos porno. Tu vas aller le voir et lui demander de te suivre. En face, l'hôtel de la gare, tu y vas et demande la chambre 124. Tu fais tout ce que le gros porc a envie. Moi j'attends là. Si tu redescends avant 2h, j'ai un plan « B » … mais crois-moi tu aimeras beaucoup moins.

J'ai fait ce qu'il voulait. Le type était vraiment un gros porc. Aucun doute. Il a réalisé pas mal de fantasme en deux heures. Moi j'ai vomi.

Depuis ce jour, je suis la chose de STAN, entièrement soumise. Hier il m'a emmené dans son club de prédilection. J'étais en cuir et c’était moi le spectacle. On m'a tronché dans tous les sens, cravaché, godé, j'ai sucé des chattes. Stan était ravi. Point positif, Stan m'offre à tous ses amis, mais ne me touche plus et j'ai le droit de jouir. Fini les crises de jalousies aussi et les séances de fouet.

A un moment une nana, disons plutôt une gamine m'a sucé jusqu'à ce que je jouisse. Un bel orgasme. Cette salope s'est ensuite relevée et s'est précipitée dans les bras de son homme. Un type pervers a qui j'ai déjà eu affaire. Je préfère largement Stan que ce dégénéré. Il parait qu'il a un chenil et qu'il y va parfois avec des dames aux goûts bizarre. Je me suis demandé si la gamine sait où elle mettais les pieds. Le type l'a bâillonné puis enculé devant tout le monde avant de la passer à deux types baraqués et ils l'ont prise en sandwich. La salope gueulait dans son gag-ball. Stan a ensuite demandé à ce que la nana revienne me sucer les tétons et recommence à me brouter le minou. Ils nous ont mis tête bêche et on s'est fait du bien mutuellement. J'ai pris mon pied et elle aussi. Une fois nos esprits repris, on m'a détaché et en regagnant les vestiaires, j'ai aperçu un tatouage sur la chevilles de la gamine. Stan s'est jeté sur moi et a étouffé le cri que j'allais émettre. J'ai pleuré, cette salope, c'était ma fille.
Published by magmeld
10 months ago
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ccandau
ccandau 10 months ago
très belle histoire la salope a quitté son tortionnaire pour tomber dans les griffes de maitre Stan elle charge c'est super
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caso29
caso29 10 months ago
Je reconnais bien ta pate et surtout celle de Maître Stan
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