Ma voisine et ma chef ( suite )
Je la regardais sâĂ©loigner et voyais ses hanches bien rondes dans un pantalon droit avec une liquette blanche et noire.
Ses cheveux étaient coiffés sur une épaule et donnaient à son visage un éclat splendide.
Son maquillage lui faisait ressortir ses yeux verts avec une luminositĂ© que je nâavais pas vue les fois prĂ©cĂ©dentes.
Elle revint vers moi et me débarrassa de mon manteau.
Elle mâemmena dans un petit couloir qui donnait sur une petite chambre dans laquelle trĂŽnait un lit et une Ă©tagĂšre bricolĂ©e avec une penderie.
Elle jeta mon manteau sur un coin de lâĂ©tagĂšre libre et me dit
« VoilĂ le seul coin que tu nâa pas vu puisque le reste est comme chez toi⊠Je vie dans le luxe, jâai une chambre particuliĂšre ».
Elle sourit et je lui répondis
« Câest vrai quâune chambre me manque chez moi. Quand je fais la cuisine, tout sent la bouffe ».
Elle passa à cÎté de moi dans le petit couloir et nos corps se touchÚrent doucement dans un frottements de tissus.
Elle sâarrĂȘta face Ă moi et regarda ma poitrine avec la lavaliĂšre.
Sa poitrine touchait presque la mienne et elle me dit
« Je vois que tu as rangĂ© tes affairesâŠcâest bien mieux »
et elle pouffa de rire en allant vers le salon.
Je hochais la tĂȘte en la suivant et je me sentais bien en prĂ©sence de cette fille.
Elle me proposa un verre tranquillement en attendant Carole, son autre copine qui travaillait comme une dingue la semaine et qui nâavait pas beaucoup de temps le samedi pour faire ses courses et son mĂ©nage.
Nous prĂźmes toutes les deux une coupe et nous fĂźmes connaissance.
La musique de la radio faisait une ambiance cool et jâappris quâelle venait de Lyon et quâelle Ă©tait sur Strasbourg depuis trois ans.
Je lui dis que jâĂ©tais sur ici depuis deux ans et que jâĂ©tais seule depuis tout ce temps.
A 19h25, Sybille se rendit compte quâelle avait oubliĂ© de prĂ©parer les amuses gueules et elle se leva pour les faire Ă la cuisine.
Je lâaccompagnais et nous nous retrouvions toutes les deux cĂŽte Ă cĂŽte Ă couper les toasts et mettre les ingrĂ©dients dessus.
Je me sentais vraiment bien et sa présence à mes cÎtés me rendais plus sereine.
Nous travaillions comme deux grandes copines tout en rigolant sur des sujets trĂšs divers.
La sonnette retentis et Sybille me laissa travailler pour aller ouvrir Ă sa copine.
Jâesperais que cette fille nâallait pas foutre en lâair la bonne entente qui se mettait en place entre Sybille et moi.
Jâentendais les voix dans lâentrĂ©e et je mâessuyais les mains pour aller saluer cette nouvelle venue.
En plus, jâavais fait deux gĂąteaux pour lâanniversaire de cette fille et jâavais lâespoir quâelle les apprĂ©cierai.
Jâentrais dans le salon mais Sybille et sa copine Ă©tais dans la chambre en papotant toujours en sourdine.
Jâattendais que Sybille revienne pour me prĂ©senter sa copine et je ne savais pas comment me mettre.
Assise. Debout ?
Finalement, je commençais à regarder les livres sur une étagÚre pour patienter.
Sybille apparu dans le salon et mon visage se figea dâun coup.
Je me trouvais devant ma chef qui était comme moi, figée.
Sybille ne remarqua pas lâarrĂȘt de sa copine et dit le plus tranquillement du monde
« Sophie, je te présente Carole, une trÚs bonne copine ».
Jâavalais ma salive avec quelques difficultĂ©s en disant
« Bonjour Carole ».
Ma chef⊠Carole eu son visage qui reprit doucement des couleurs et finit dâun coup Ă Ă©clater de rire.
Sybille ne comprenait pas pourquoi Carole riait Ă en avoir mal au ventre.
Je dis Ă Sybille pendant que Carole riait toujours autant, incapable de sâarrĂȘter :
« Ne tâinquiĂšte pas, il nây a rien de grave, câest juste ma responsable de service, ma chef !
.Sur ces mots, câest Sybille qui subit un arrĂȘt momentanĂ© du rythme cardiaque.
Sybille ne pu sâempĂȘcher de dire un
« mmeerrrddee⊠Jâsuis dĂ©solé⊠Jâsavais pas »
Je commençais à rire tellement la situation était cocasse.
De plus, le rire de Carole était communicatif et la voir sans son rÎle de chef complÚtement détendue me faisait tout drÎle.
Carole repris son souffle et avança vers moi pour me faire la bise en me disant à la limite du fou-rire
« EnchantĂ©eâŠpfttt »
LâapĂ©ro continua dans des explications pour que Sybille se sente rassurĂ©e sur la situation.
Carole me dit quâelle Ă©tait ravie de me voir en si bonne forme alors que trois jours avant, je semblais tellement fatiguĂ©e.
Sybille me dit que si jâavais des problĂšmes, je pouvais venir chez elle.
Dâun seul coup, je me sentais encadrĂ©e par deux bonnes copines.
Je dis Ă Carole que je tiendrai ma parole sur la discrĂ©tion et elle me dit quâelle me faisait confiance.
Nous continuĂąmes la soirĂ©e et lâapĂ©ritif dĂźnatoire continua toujours dans la bonne ambiance.
Lâalcool aidant, nous commencions Ă dire des bĂȘtises plus grosses que nous.
Carole commença à divaguer sur les filles du bureau et son chef, un gros lard puant de vantardise et de machisme.
Sybille lui demanda si les collĂšgues Ă©taient sympas parce quâelle savait que les filles entre elles, câĂ©taient comme des furies.
Carole dit quâelle aimait travailler avec les femmes mais quâelle avait une prĂ©fĂ©rence pour une nana de son Ă©quipe.
Sybille se tourna vers moi et dit :
« AhhhâŠallez, tu en as trop dit⊠Câest qui ? »
Je me tournais vers Carole tout aussi intéressée en disant :
« Câest qui ? »
Et Carole me regarda droit dans les yeux en me disant :
« Câest toi ! »
Sybille Ă©clata de rire en voyant mon visage rougir dâun coup.
Je me sentais honorĂ©e dâĂȘtre la favorite de Carole mais je sentais que cette femme avait pour moi des sentiments un peu plus fort que de lâamitiĂ©.
Me voilĂ dans une situation trĂšs dĂ©licate car jâĂ©tais attirĂ©e par ma voisine, relation que je refusais dâassouvir pour rester dans la normalitĂ©.
Jâavais vue ma chef avec ma voisine se faire des cĂąlins.
Ma chef avais sûrement des vues sur moi pour des relations intimes.
La situation Ă©tait trĂšs scabreuse.
Sybille me dit
« Tu sais que Carole est lesbienne et que tu peux la poursuivre pour harcÚlement sexuel ? >>.
Je haussais les Ă©paules en disant
« Jâvois pas pourquoi ! »
Carole fit les gros yeux et dit Ă Sybille
« Dis pas nâimporte quoi. Je sais me tenir »
Je demandais Ă Sybille si elle Ă©tait lesbienne aussi.
Sybille eu lâair gĂȘnĂ©e et me rĂ©pondit aprĂšs avoir bu le reste de son verre de son verre :
« Je nâai pas envie de rĂ©pondre Ă cette question si cela te gĂȘne. Jâai lâimpression dâavoir trouvĂ© une bonne copine alors je ne vais pas tout foutre en lâair pour une question de style de vie⊠Pour te donner une rĂ©ponse⊠Jâai eu des garçons et jâai eu des aventures avec des filles aussi ».
Je réfléchissais à toute vitesse et je pris une décision qui allait engendrer les plus grand changements dans ma vie.
Je pris la parole
« Jâai toujours Ă©tĂ© avec des garçons et jamais je nâai penser Ă une relation lesbienne. JusquâĂ mon arrivĂ©e, jâavais une pensĂ©e claire sur la chose. Depuis peu, je reconnais que mes idĂ©es changent et je suis beaucoup plus ouverte sur le sujet. »
Carole et Sybille mâĂ©coutaient avec la plus grande attention.
« Si Carole est lesbienne, je trouve cela trĂšs bien pour elle car câest une femme superbe et je suis presque jalouse des femmes avec qui elle peut ĂȘtre. En plus, je pense quâun homme ne peut pas apprĂ©cier le corps dâune femme Ă sa juste valeur sans devenir un rustre. Pour toi, Sybille, tu es superbe aussi et je suis sĂ»r que tu es une fleur bleue malgrĂ© ta façade dure. Si tu es lesbienne, câest trĂšs bien pour toi. Si je ne veux plus te voir parce que tu aimes les femmes, je pense que câest moi qui perdrais plus que toi⊠Ai-je bien rĂ©pondu Ă votre attente ? ».
Le silence qui suivit fut un peu lourd et je crus bon dâajouter :
« Et pour moi, si vous voulez tous savoir, je crois ĂȘtre tombĂ©e amoureuse de vous deux. Je ne sais pas comment cela est possible mais câest comme ça. Carole, si je vais mal depuis quelques temps, câest parce que je refuse ces sentiments qui mâarrivent et que je nâen dors plus. Voilà ⊠Comme ça vous savez tout et nous sommes bien avancĂ©es maintenant ! ».
Carole prit aussitĂŽt la parole en disant
« Je suis trĂšs contente que tu ais pu dire tout ça. Maintenant, jâespĂšre que tu vas allez mieux ! »
Sybille sâessuya doucement les yeux car elle avait les larmes prĂȘtent Ă couler, puis renifla et proposa de passer au dessert avec les bougies.
Elle se leva pour aller Ă la cuisine.
Je me levais pour la rejoindre et sortir le premier gĂąteau de la boite.
Je demandais Ă Sybille :
« Je tâai fait de la peine ? »
Sybille sourit en disant
« non, tâinquiĂšte pas⊠je suis super heureuse ce soirâŠtu ne peux pas savoir »
Carole préparait la petite table en débarrassant les divers assiettes.
Je la regardais penchée sur la table pour ramasser les affaires et je voyais son décolletés plongeant vers son soutif blanc et ses seins volumineux.
Je me retournais avant quâelle sâaperçoive que je la regardais.
Mon ventre Ă©tait un peu retournĂ© et mes seins se dressĂšrent doucement. Je sentais mes tĂ©tons pousser le tissu dans un combat perdu dâavance.
Sybille mis les bougies sur le gĂąteau et me demanda dâaller fermer les rideaux et dâĂ©teindre la lumiĂšre.
Sybille alluma les bougies et le noir se fit dans la piĂšce.
Elle avança avec le gùteau et nous avons chanté la petite chanson habituelle.
Carole nous demanda de nous tenir les mains pendant quâelle soufflait ses bougies. Les flammes moururent doucement et Carole nous tenait les mains fermement en disant :
« Faites un vĆux mesdames »
Nous étions dans le noir à par la petite lueur de la chaine stéréo.
Jâaperçu une ombre sâapprocher de moi et Carole me dĂ©posa un baiser sur la joue, trĂšs prĂšs de mes lĂšvres.
Un frisson me parcouru lâĂ©chine et une chaleur douce mâenvahie partout.
Jâentendis le mĂȘme baiser vers Sybille.
Carole nous lĂącha les mains et jâallais allumer la piĂšce.
En venant mâasseoir , le regard de Carole croisa le mien et je ne pus supporter ses yeux amoureux.
Je pouvais dire quâelle Ă©tait amoureuse Ă partir de sa maniĂšre dâĂȘtre avec moi.
Elle Ă©tait tendre, je ne reconnaissais plus du tout ma chef de service.
Jâavais une nouvelle femme devant moi.
Une femme amoureuse qui cherchait le contact, le retour de sentiments, lâamour tout simplement.
Sybille distribua les parts de gĂąteau et se leva pour sortir une petite boite pour lâoffrir Ă Carole.
Je me sentais toute conne de nâavoir pas prĂ©vu un cadeau et pendant que Carole ouvrait le paquet, je cherchais ce que je pourrais lui offrir.
Je nâavais rien sur moi, pas une bague, pas de cadeau de derniĂšre seconde que je pourrais allez chercher chez moi.
RienâŠrien Ă part moi !
Et si jâosais, je mâoffrirais comme cadeau. ComplĂštement folle cette idĂ©e ! Je mâimaginais me levant, soulevant ma jupe et montrant ma culotte en disant
« bon anniversaire »
JâĂ©tais en plein dĂ©lire.
Carole ouvrit son cadeau et sorti un ensemble de sous-vĂȘtement.
Elle déplia les affaires et montra un string ficelle avec juste un tout petit triangle de tissu décoré avec une colombe en broderie.
Un soutif qui ne devait pas tenir grand chose à part juste cacher les tétons pour celles qui ont de tout petits tétons.
Carole sorti aussi de la boite un tube en genre de plastique.
Cela fit rire aux Ă©clats Carole et elle regarda Sybille en lui demandant :
« OĂč tâas trouvĂ© ce truc ? »
Sybille avait le sourire accroché aux lÚvres et répondit :
« Sur le net, on trouve de tout ! »
Carole se leva et embrassa Sybille sur les lÚvres sans faire attention à ma présence.
Cela me fit drĂŽle de les voir sâembrasser et jâaurais voulu ĂȘtre entre les deux pour pouvoir recevoir un baiser de la part des deux femmes Ă la fois.
Sybille dit Ă Carole :
« Tu nâa plus quâa nous faire un essayage ! »
Carole pris les vĂȘtements, hocha la tĂȘte et se leva en disant :
« Mouais, pourquoi pas »
Sybille rigolait pendant que Carole allait dans la salle de bain pour se changer.
Je regardais Sybille et lui dis
« Je nâai pas de cadeau, tu crois quâelle va mâen vouloir ? »
Sybille me dit
« Mais non, tâinquiĂštes pas pour ça. Carole est super coolâŠtu ne la connais comme moi je la connais »
Carole revint dans la piĂšce avec un long peignoir et imita un roulement de tambours.
Elle ouvrit doucement le peignoir et je vis une femme magnifique avec un tissu sur sa toison qui cachait quâune toute petite partie de son pubis.
Un fin ruban de tissu couvrait chaque téton mais laissait voir les seins gonflés.
AussitĂŽt, mon ventre pris feu et jâavais envie dâelle.
Je sentais mon corps chauffer et se dilater.
Carole fit tomber le peignoir Ă terre et elle me regardait en disant
« Alors mesdames, le vrai dessert est servi »
Nây tenant plus, jâouvrais mes cuisses et relevais ma jupe pour dĂ©couvrir ma culotte. Carole ne me quittait pas des yeux et je la regardais fixement en disant
« Bon anniversaire »
Jâavais une position obscĂšne avec les cuisses Ă©cartĂ©es.
Je me levais pour glisser ma jupe derriĂšre moi et pouvoir offrir Ă la vue de toutes ma culotte.
Sybille se pencha pour regarder entre mes cuisses et dit
« Ouah, ça, câest un vrai dessert. Bon les filles, je crois que nous avons une petite toilette Ă faire avant de passer dans la chambre. »
Carole acquiesça et alla dans la chambre en disant
« PrĂȘte »
Sybille se leva et mâemmena dans la salle de bain pour me montrer les produits.
Elle me demanda si jâavais un test du SIDA.
Je lui dis quâil datait de ma derniĂšre relation, donc il y avait deux ans.
Sybille réfléchit et me dit :
« Carole Ă toute confiance en toi et je crois que lâon peut avoir confiance mais jâaimerais quand mĂȘme que tu en refasses un rĂ©guliĂšrement »
Je lui rĂ©pondit quâelle pouvait me faire confiance.
Elle me dit alors :
« Tu fais ta toilette et tu rejoins Carole habillée comme tu veux ».
Elle me laissa et retourna dans le salon pour ranger un peu pendant que je faisais ma toilette intime.
Je nâen revenais pas de ma conduite.
Jâavais carrĂ©ment ouvert mes cuisses.
Jamais jâaurais cru cela possible venant de moi.
Je retirais ma culotte qui étais mouillée et je lavais consciencieusement mon anatomie.
Je gardais mes habits pour ne pas faire la vicieuse mais je retirais la lavaliÚre tout en retirant les deux premiers boutons de mon chemisier pour offrir un beau décolleté.
Je sortais de la salle de bain et Sybille pris ma place.
JâĂ©tais dans le couloir mais je nâosais rejoindre Carole qui Ă©tait jusquâĂ hier ma chef de service. (Ouah, quâest-ce quâelle Ă©tait belle).
Jâattendis un peu, puis jâentrais dans la chambre.
Carole Ă©tait assise en tailleur sur le lit.
Elle avait les seins volumineux qui se tenaient difficilement par la petite ficelle sur les tétons.
La position en tailleur offrait Ă la vue sa toison presque complĂšte.
Carole mâinvita Ă venir mâasseoir prĂšs dâelle.
Je montais sur le lit et mâassis.
Elle me sourit et me dit :
« Câest le plus beau cadeau que lâon mâait jamais fait »
Elle se pencha et déposa un baiser sur mes lÚvres.
Sybille arriva complĂštement nue.
Je la regardais avec ses petits seins et sa toison fine et blonde qui laissait voir le relief de son sexe.
Elle monta sur le lit et resta debout devant Carole et moi.
Elle dit
« Hep ! les filles, jâai lâimpression que je ne fais pas le poids avec mes petits titi face Ă vous deux.
Je regardais Sybille debout devant nous et notre position nous donnait tout loisir de voir son sexe avec la fente des lÚvres légÚrement écartée.
CâĂ©tait la premiĂšre fois que je voyais le sexe dâune femme dâaussi prĂšs et je dĂ©couvrais lâanatomie fĂ©minine dans toute sa simplicitĂ©.
Sybille me demanda
« Maintenant, tu peux nous montrer tes seins. Je crois savoir quâils sont trĂšs beaux. Jâai dĂ©jĂ eu lâoccasion dâen voir une partie »
Je défis doucement les trois derniers boutons de mon chemisiers et le retirais.
Mes seins réclamaient des caresses et la contraction de mes tétons me faisait presque mal. Je dégrafais mon soutif et Carole en fis autant.
En peu de temps, nous Ă©tions trois filles nues sur le mĂȘme lit.
Jamais je nâaurais imaginĂ© me retrouver nue devant dâautres femme en vue de faire lâamour.
Sybille se mis Ă genoux et posa ses fesses sur ses talons.
Jâavais mes mains entre mes cuisses pour cacher ma toison car je ne me sentais pas trĂšs Ă lâaise. Ma respiration Ă©tais rapide et ma poitrine se soulevait en rythme.
Carole avança sa main sur les miennes.
Elle me dit :
« Tu es trÚs belle, tu sais ? »
Je tournais la tĂȘte vers elle et elle me souriait.
Mon regard alla vers sa poitrine qui était toute ronde avec de belles aréoles contractées et sombre.
Elle avait une belle poitrine légÚrement plus grosse que la mienne avec des seins tout ronds retombant par leur poids.
Sa peau Ă©tait lisse avec unE tache de rousseur sur son sein gauche Ă lâintĂ©rieur.
Je sentis la main de Sybille me caresser la cuisse doucement. Des frissons me parcouraient tout le corps. Sa main remontait doucement vers mes mains.
Sybille se déplaça et avança vers moi.
Carole aussi sâavança et me dĂ©posa un baiser sur les lĂšvres.
Je ne rĂ©sistais pas et sans vraiment le vouloir, mes yeux se fermĂšrent et ma bouche sâentrouvrit pour laisser entrer la langue chaude de Carole.
La pénétration de la langue de Carole dans ma bouche me fit comme un coup électrique et tout mon corps se mit en marche pour le plaisir.
La bouche de Carole se colla Ă la mienne et jâouvris ma bouche pour lui faire le plus beau baiser que je puisse faire.
Nos langues jouaient ensemble et mes main prirent Carole par les Ă©paules pour lâenlacer.
Sybille glissa sa main entre mes cuisses et posa sa main sur mon sexe ouvert. Le contact de sa main sur mon sexe dĂ©jĂ gonflĂ© dâexcitation me fit perdre la tĂȘte.
Mes gestes Ă©taient mal assurĂ©s et je sentis un orgasme venir du plus profond de mon ĂȘtre.
La langue de Carole mâĂ©touffait presque tellement elle envahissait ma bouche.
Mon sexe trempé était pénétré par les doigts de Sybille pendant que je ne pouvais réfreiner un long rùle de plaisir.
Mes hanches se soulevaient pour forcer les caresses de Sybille contre lâintĂ©rieur de mon vagin. JâĂ©tais tellement sous pression que je ne pouvais plus mâarrĂȘter.
Sybille se pencha et glissa sa tĂȘte entre mes jambes.
Elle posa sa tĂȘte et regardait mon sexe tout en titillant mon clito.
A chaque pression sur mon bouton, je poussais un gémissement qui semblait amuser Carole.
Elle avait quittĂ© ma bouche me poussa en arriĂšre pour mâallonger sur le lit.
Sybille en profita pour écarter mes jambes et elle commença à pointer sa langue sur mon clito, ce qui me lança des petits picotements comme une petite décharge électrique dans le bas ventre.
Carole était penchée au dessus de moi et me caressait les seins avec les siens.
Ses seins avaient tout leur volume et ses tétons dressés jouaient avec les miens. Je me laissais faire en poussant toujours mes petits gémissements avec les caresses de Sybille.
JâĂ©tais devenu un objet de plaisir entre les mains expertes de ses deux femmes.
Chaque contact était précis et procurait un plaisir intense.
Jamais un homme ne pourrait offrir une telle quantité de plaisir.
Je découvrais les possibilités énormes du plaisir féminin.
Les seins de Carole me parcouraient le corps et elle descendait sur mon ventre et mes hanches.
Je relevais la tĂȘte pour regarder et je voyais la tĂȘte blonde de Sybille entre mes cuisses et les gros seins de Carole frotter ma peau. Sybille laissa la place Ă Carole qui entrepris de me caresser la vulve avec ses tĂ©tons.
Sybille vint vers moi et me dit
« Dis donc ma chĂ©rie, tu es vraiment super bonne⊠Jâadore les blondes et tu as vraiment trĂšs bon goĂ»t⊠tu veux goĂ»ter une blonde ? ».
Je souriais avec difficultĂ©s car les caresses des seins de Carole sur ma chatte me lançaient des fourmillements dans tout mon corps. Sans attendre ma rĂ©ponse, Sybille me chevaucha et mis ses cuisses de part et dâautre de ma tĂȘte.
Je me retrouvais recouvert de la chatte Ă Sybille Ă environ une dizaine de centimĂštres.
Je voyais ses lÚvres ouvertes autour de son vagin rosé.
Un fil de mouille courait entre les lĂšvres et les poils blonds de sa toison Ă©taient rare.
Je voyais le renflement du clitoris et je ne savais pas si jâallais oser passer le pas.
Mes fourmillements sur mon sexe nâarrĂȘtaient pas et la vue de ce sexe ouvert et baveux devant moi ne mâattirait pas. Ayant dĂ©jĂ goĂ»ter ma mouille Ă plusieurs reprise par le passĂ©, je fermais les yeux et attrapais les fesses de Sybille.
Je relevais la tĂȘte et tira la langue tout en mâavançant.
Soudain, le contact chaud et humide du sexe de Sybille se fit avec ma langue.
Lâodeur Ăącre de son sexe envahit progressivement mon nez et je glissais ma langue dâun bout Ă lâautre de la fente.
Jâentendais Sybille souffler bruyamment et cela me poussa Ă continuer ma caresse.
Le goĂ»t de la mouille entra dans ma bouche et mes lĂšvres sâĂ©cartĂšrent pour mettre en contact toute ma bouche sur le sexe ouvert de Sybille.
Je lĂšchais le sexe de Sybille pendant que Carole me masturbait avec ses seins.
Jâattrapais le clito de Sybille et lâaspira en bouche pour le tĂȘter.
Je dĂ©couvrais le sexe fĂ©minin mais je savais oĂč se trouvait les endroits stratĂ©giques.
Jâen profitais pour lĂȘcher Ă grand coup de langue tout le sexe offert.
Carole sâabsenta et revint pendant que Sybille me lĂ©chait en joli 69 fĂ©minin.
Nous faisions comme un concours.
A chaque caresse de lâune, lâautre faisait de mĂȘme. Je continuais de glisser ma longue sur le clitoris de Sybille quand une dĂ©charge mâenvahi le ventre.
Ma vulve gonflĂ©e de dĂ©sir venait dâĂȘtre pĂ©nĂ©trĂ©e par un genre de sexe long qui alla jusquâau fond de mon ventre.
Je poussais un cri à moitié étouffé dans le sexe de Sybille tellement la surprise et la quantité de sensations était colossale.
Carole me dit :
« Humm, je crois que mon cadeau te va bien »
et elle commença de long va et vient avec le gode que Sybille lui avait offert.
Sybille était penché sur moi et elle regardait le gode me pénétrer.
Cette vue lui fit tellement dâeffets quâelle obtint un orgasme.
Je sentis son bassin onduler dans le mĂȘme rythme que les allez et venues en moi.
La vitesse augmenta et jâavais du mal Ă garder ma concentration sur son sexe tellement jâĂ©tais secouĂ©e par le godes et ses impacts en moi.
Sybille atteignit lâorgasme en mĂȘme temps que moi et jâeu dans la bouche comme une Ă©jaculation de mouille. Un fin filet gicla sur mon visage au moment oĂč elle cria Ă plusieurs reprises.
Je continuais de lécher son clitoris pendant que Carole me léchait le sexe à grand coup de langue.
Dans la suite, je pourrais raconter tout ce que nous avions fait mais la liste est longue.
Jâai appris le plaisir de lĂ©cher des seins et des vulves.
Jâai appris le nombre innombrables de caresses que les femmes peuvent offrir aux autres femmes.
Jâai pris un rĂ©el plaisir dâavoir en bouche le sexe de Sybille et celui de Carole.
Jâai appris Ă reconnaĂźtre le goĂ»t de leurs sexe les yeux fermĂ©s dâaprĂšs lâodeur, la forme du sexe, la structure de leurs pilositĂ©s. Jamais je nâaurais imaginĂ© prendre autant de plaisir Ă faire lâamour avec dâautres femmes.
La seule diffĂ©rence entre ce que peut fournir un homme et une femme, câest la pĂ©nĂ©tration, mais un gode fournit des caresses profonde dans le vagin et quand le sexe est bien chaud, les sensations sont identiques.
Mes relations avec Sybille et Carole se sont prolongées.
Carole est toujours ma chef de service et nous nous voyons une à deux fois par mois pour une soirée et une nuit de folie.
Carole vit toujours seule malgré une invitation pour devenir collocatrice et devenir un trio de femmes modernes.
Nous restons discrĂštes dans la rue et nous gardons notre amour pour nos moments dâintimitĂ© car la vision des autres sur les lesbiennes est trĂšs nĂ©gative et complĂštement faussĂ©e par les mĂ©dias.
VoilĂ mon histoire, jâespĂšre quâelle vous a plu et quâelle pourra service Ă quelques femmes dâoser vivre leurs sexualitĂ© sans tabou.
Ses cheveux étaient coiffés sur une épaule et donnaient à son visage un éclat splendide.
Son maquillage lui faisait ressortir ses yeux verts avec une luminositĂ© que je nâavais pas vue les fois prĂ©cĂ©dentes.
Elle revint vers moi et me débarrassa de mon manteau.
Elle mâemmena dans un petit couloir qui donnait sur une petite chambre dans laquelle trĂŽnait un lit et une Ă©tagĂšre bricolĂ©e avec une penderie.
Elle jeta mon manteau sur un coin de lâĂ©tagĂšre libre et me dit
« VoilĂ le seul coin que tu nâa pas vu puisque le reste est comme chez toi⊠Je vie dans le luxe, jâai une chambre particuliĂšre ».
Elle sourit et je lui répondis
« Câest vrai quâune chambre me manque chez moi. Quand je fais la cuisine, tout sent la bouffe ».
Elle passa à cÎté de moi dans le petit couloir et nos corps se touchÚrent doucement dans un frottements de tissus.
Elle sâarrĂȘta face Ă moi et regarda ma poitrine avec la lavaliĂšre.
Sa poitrine touchait presque la mienne et elle me dit
« Je vois que tu as rangĂ© tes affairesâŠcâest bien mieux »
et elle pouffa de rire en allant vers le salon.
Je hochais la tĂȘte en la suivant et je me sentais bien en prĂ©sence de cette fille.
Elle me proposa un verre tranquillement en attendant Carole, son autre copine qui travaillait comme une dingue la semaine et qui nâavait pas beaucoup de temps le samedi pour faire ses courses et son mĂ©nage.
Nous prĂźmes toutes les deux une coupe et nous fĂźmes connaissance.
La musique de la radio faisait une ambiance cool et jâappris quâelle venait de Lyon et quâelle Ă©tait sur Strasbourg depuis trois ans.
Je lui dis que jâĂ©tais sur ici depuis deux ans et que jâĂ©tais seule depuis tout ce temps.
A 19h25, Sybille se rendit compte quâelle avait oubliĂ© de prĂ©parer les amuses gueules et elle se leva pour les faire Ă la cuisine.
Je lâaccompagnais et nous nous retrouvions toutes les deux cĂŽte Ă cĂŽte Ă couper les toasts et mettre les ingrĂ©dients dessus.
Je me sentais vraiment bien et sa présence à mes cÎtés me rendais plus sereine.
Nous travaillions comme deux grandes copines tout en rigolant sur des sujets trĂšs divers.
La sonnette retentis et Sybille me laissa travailler pour aller ouvrir Ă sa copine.
Jâesperais que cette fille nâallait pas foutre en lâair la bonne entente qui se mettait en place entre Sybille et moi.
Jâentendais les voix dans lâentrĂ©e et je mâessuyais les mains pour aller saluer cette nouvelle venue.
En plus, jâavais fait deux gĂąteaux pour lâanniversaire de cette fille et jâavais lâespoir quâelle les apprĂ©cierai.
Jâentrais dans le salon mais Sybille et sa copine Ă©tais dans la chambre en papotant toujours en sourdine.
Jâattendais que Sybille revienne pour me prĂ©senter sa copine et je ne savais pas comment me mettre.
Assise. Debout ?
Finalement, je commençais à regarder les livres sur une étagÚre pour patienter.
Sybille apparu dans le salon et mon visage se figea dâun coup.
Je me trouvais devant ma chef qui était comme moi, figée.
Sybille ne remarqua pas lâarrĂȘt de sa copine et dit le plus tranquillement du monde
« Sophie, je te présente Carole, une trÚs bonne copine ».
Jâavalais ma salive avec quelques difficultĂ©s en disant
« Bonjour Carole ».
Ma chef⊠Carole eu son visage qui reprit doucement des couleurs et finit dâun coup Ă Ă©clater de rire.
Sybille ne comprenait pas pourquoi Carole riait Ă en avoir mal au ventre.
Je dis Ă Sybille pendant que Carole riait toujours autant, incapable de sâarrĂȘter :
« Ne tâinquiĂšte pas, il nây a rien de grave, câest juste ma responsable de service, ma chef !
.Sur ces mots, câest Sybille qui subit un arrĂȘt momentanĂ© du rythme cardiaque.
Sybille ne pu sâempĂȘcher de dire un
« mmeerrrddee⊠Jâsuis dĂ©solé⊠Jâsavais pas »
Je commençais à rire tellement la situation était cocasse.
De plus, le rire de Carole était communicatif et la voir sans son rÎle de chef complÚtement détendue me faisait tout drÎle.
Carole repris son souffle et avança vers moi pour me faire la bise en me disant à la limite du fou-rire
« EnchantĂ©eâŠpfttt »
LâapĂ©ro continua dans des explications pour que Sybille se sente rassurĂ©e sur la situation.
Carole me dit quâelle Ă©tait ravie de me voir en si bonne forme alors que trois jours avant, je semblais tellement fatiguĂ©e.
Sybille me dit que si jâavais des problĂšmes, je pouvais venir chez elle.
Dâun seul coup, je me sentais encadrĂ©e par deux bonnes copines.
Je dis Ă Carole que je tiendrai ma parole sur la discrĂ©tion et elle me dit quâelle me faisait confiance.
Nous continuĂąmes la soirĂ©e et lâapĂ©ritif dĂźnatoire continua toujours dans la bonne ambiance.
Lâalcool aidant, nous commencions Ă dire des bĂȘtises plus grosses que nous.
Carole commença à divaguer sur les filles du bureau et son chef, un gros lard puant de vantardise et de machisme.
Sybille lui demanda si les collĂšgues Ă©taient sympas parce quâelle savait que les filles entre elles, câĂ©taient comme des furies.
Carole dit quâelle aimait travailler avec les femmes mais quâelle avait une prĂ©fĂ©rence pour une nana de son Ă©quipe.
Sybille se tourna vers moi et dit :
« AhhhâŠallez, tu en as trop dit⊠Câest qui ? »
Je me tournais vers Carole tout aussi intéressée en disant :
« Câest qui ? »
Et Carole me regarda droit dans les yeux en me disant :
« Câest toi ! »
Sybille Ă©clata de rire en voyant mon visage rougir dâun coup.
Je me sentais honorĂ©e dâĂȘtre la favorite de Carole mais je sentais que cette femme avait pour moi des sentiments un peu plus fort que de lâamitiĂ©.
Me voilĂ dans une situation trĂšs dĂ©licate car jâĂ©tais attirĂ©e par ma voisine, relation que je refusais dâassouvir pour rester dans la normalitĂ©.
Jâavais vue ma chef avec ma voisine se faire des cĂąlins.
Ma chef avais sûrement des vues sur moi pour des relations intimes.
La situation Ă©tait trĂšs scabreuse.
Sybille me dit
« Tu sais que Carole est lesbienne et que tu peux la poursuivre pour harcÚlement sexuel ? >>.
Je haussais les Ă©paules en disant
« Jâvois pas pourquoi ! »
Carole fit les gros yeux et dit Ă Sybille
« Dis pas nâimporte quoi. Je sais me tenir »
Je demandais Ă Sybille si elle Ă©tait lesbienne aussi.
Sybille eu lâair gĂȘnĂ©e et me rĂ©pondit aprĂšs avoir bu le reste de son verre de son verre :
« Je nâai pas envie de rĂ©pondre Ă cette question si cela te gĂȘne. Jâai lâimpression dâavoir trouvĂ© une bonne copine alors je ne vais pas tout foutre en lâair pour une question de style de vie⊠Pour te donner une rĂ©ponse⊠Jâai eu des garçons et jâai eu des aventures avec des filles aussi ».
Je réfléchissais à toute vitesse et je pris une décision qui allait engendrer les plus grand changements dans ma vie.
Je pris la parole
« Jâai toujours Ă©tĂ© avec des garçons et jamais je nâai penser Ă une relation lesbienne. JusquâĂ mon arrivĂ©e, jâavais une pensĂ©e claire sur la chose. Depuis peu, je reconnais que mes idĂ©es changent et je suis beaucoup plus ouverte sur le sujet. »
Carole et Sybille mâĂ©coutaient avec la plus grande attention.
« Si Carole est lesbienne, je trouve cela trĂšs bien pour elle car câest une femme superbe et je suis presque jalouse des femmes avec qui elle peut ĂȘtre. En plus, je pense quâun homme ne peut pas apprĂ©cier le corps dâune femme Ă sa juste valeur sans devenir un rustre. Pour toi, Sybille, tu es superbe aussi et je suis sĂ»r que tu es une fleur bleue malgrĂ© ta façade dure. Si tu es lesbienne, câest trĂšs bien pour toi. Si je ne veux plus te voir parce que tu aimes les femmes, je pense que câest moi qui perdrais plus que toi⊠Ai-je bien rĂ©pondu Ă votre attente ? ».
Le silence qui suivit fut un peu lourd et je crus bon dâajouter :
« Et pour moi, si vous voulez tous savoir, je crois ĂȘtre tombĂ©e amoureuse de vous deux. Je ne sais pas comment cela est possible mais câest comme ça. Carole, si je vais mal depuis quelques temps, câest parce que je refuse ces sentiments qui mâarrivent et que je nâen dors plus. Voilà ⊠Comme ça vous savez tout et nous sommes bien avancĂ©es maintenant ! ».
Carole prit aussitĂŽt la parole en disant
« Je suis trĂšs contente que tu ais pu dire tout ça. Maintenant, jâespĂšre que tu vas allez mieux ! »
Sybille sâessuya doucement les yeux car elle avait les larmes prĂȘtent Ă couler, puis renifla et proposa de passer au dessert avec les bougies.
Elle se leva pour aller Ă la cuisine.
Je me levais pour la rejoindre et sortir le premier gĂąteau de la boite.
Je demandais Ă Sybille :
« Je tâai fait de la peine ? »
Sybille sourit en disant
« non, tâinquiĂšte pas⊠je suis super heureuse ce soirâŠtu ne peux pas savoir »
Carole préparait la petite table en débarrassant les divers assiettes.
Je la regardais penchée sur la table pour ramasser les affaires et je voyais son décolletés plongeant vers son soutif blanc et ses seins volumineux.
Je me retournais avant quâelle sâaperçoive que je la regardais.
Mon ventre Ă©tait un peu retournĂ© et mes seins se dressĂšrent doucement. Je sentais mes tĂ©tons pousser le tissu dans un combat perdu dâavance.
Sybille mis les bougies sur le gĂąteau et me demanda dâaller fermer les rideaux et dâĂ©teindre la lumiĂšre.
Sybille alluma les bougies et le noir se fit dans la piĂšce.
Elle avança avec le gùteau et nous avons chanté la petite chanson habituelle.
Carole nous demanda de nous tenir les mains pendant quâelle soufflait ses bougies. Les flammes moururent doucement et Carole nous tenait les mains fermement en disant :
« Faites un vĆux mesdames »
Nous étions dans le noir à par la petite lueur de la chaine stéréo.
Jâaperçu une ombre sâapprocher de moi et Carole me dĂ©posa un baiser sur la joue, trĂšs prĂšs de mes lĂšvres.
Un frisson me parcouru lâĂ©chine et une chaleur douce mâenvahie partout.
Jâentendis le mĂȘme baiser vers Sybille.
Carole nous lĂącha les mains et jâallais allumer la piĂšce.
En venant mâasseoir , le regard de Carole croisa le mien et je ne pus supporter ses yeux amoureux.
Je pouvais dire quâelle Ă©tait amoureuse Ă partir de sa maniĂšre dâĂȘtre avec moi.
Elle Ă©tait tendre, je ne reconnaissais plus du tout ma chef de service.
Jâavais une nouvelle femme devant moi.
Une femme amoureuse qui cherchait le contact, le retour de sentiments, lâamour tout simplement.
Sybille distribua les parts de gĂąteau et se leva pour sortir une petite boite pour lâoffrir Ă Carole.
Je me sentais toute conne de nâavoir pas prĂ©vu un cadeau et pendant que Carole ouvrait le paquet, je cherchais ce que je pourrais lui offrir.
Je nâavais rien sur moi, pas une bague, pas de cadeau de derniĂšre seconde que je pourrais allez chercher chez moi.
RienâŠrien Ă part moi !
Et si jâosais, je mâoffrirais comme cadeau. ComplĂštement folle cette idĂ©e ! Je mâimaginais me levant, soulevant ma jupe et montrant ma culotte en disant
« bon anniversaire »
JâĂ©tais en plein dĂ©lire.
Carole ouvrit son cadeau et sorti un ensemble de sous-vĂȘtement.
Elle déplia les affaires et montra un string ficelle avec juste un tout petit triangle de tissu décoré avec une colombe en broderie.
Un soutif qui ne devait pas tenir grand chose à part juste cacher les tétons pour celles qui ont de tout petits tétons.
Carole sorti aussi de la boite un tube en genre de plastique.
Cela fit rire aux Ă©clats Carole et elle regarda Sybille en lui demandant :
« OĂč tâas trouvĂ© ce truc ? »
Sybille avait le sourire accroché aux lÚvres et répondit :
« Sur le net, on trouve de tout ! »
Carole se leva et embrassa Sybille sur les lÚvres sans faire attention à ma présence.
Cela me fit drĂŽle de les voir sâembrasser et jâaurais voulu ĂȘtre entre les deux pour pouvoir recevoir un baiser de la part des deux femmes Ă la fois.
Sybille dit Ă Carole :
« Tu nâa plus quâa nous faire un essayage ! »
Carole pris les vĂȘtements, hocha la tĂȘte et se leva en disant :
« Mouais, pourquoi pas »
Sybille rigolait pendant que Carole allait dans la salle de bain pour se changer.
Je regardais Sybille et lui dis
« Je nâai pas de cadeau, tu crois quâelle va mâen vouloir ? »
Sybille me dit
« Mais non, tâinquiĂštes pas pour ça. Carole est super coolâŠtu ne la connais comme moi je la connais »
Carole revint dans la piĂšce avec un long peignoir et imita un roulement de tambours.
Elle ouvrit doucement le peignoir et je vis une femme magnifique avec un tissu sur sa toison qui cachait quâune toute petite partie de son pubis.
Un fin ruban de tissu couvrait chaque téton mais laissait voir les seins gonflés.
AussitĂŽt, mon ventre pris feu et jâavais envie dâelle.
Je sentais mon corps chauffer et se dilater.
Carole fit tomber le peignoir Ă terre et elle me regardait en disant
« Alors mesdames, le vrai dessert est servi »
Nây tenant plus, jâouvrais mes cuisses et relevais ma jupe pour dĂ©couvrir ma culotte. Carole ne me quittait pas des yeux et je la regardais fixement en disant
« Bon anniversaire »
Jâavais une position obscĂšne avec les cuisses Ă©cartĂ©es.
Je me levais pour glisser ma jupe derriĂšre moi et pouvoir offrir Ă la vue de toutes ma culotte.
Sybille se pencha pour regarder entre mes cuisses et dit
« Ouah, ça, câest un vrai dessert. Bon les filles, je crois que nous avons une petite toilette Ă faire avant de passer dans la chambre. »
Carole acquiesça et alla dans la chambre en disant
« PrĂȘte »
Sybille se leva et mâemmena dans la salle de bain pour me montrer les produits.
Elle me demanda si jâavais un test du SIDA.
Je lui dis quâil datait de ma derniĂšre relation, donc il y avait deux ans.
Sybille réfléchit et me dit :
« Carole Ă toute confiance en toi et je crois que lâon peut avoir confiance mais jâaimerais quand mĂȘme que tu en refasses un rĂ©guliĂšrement »
Je lui rĂ©pondit quâelle pouvait me faire confiance.
Elle me dit alors :
« Tu fais ta toilette et tu rejoins Carole habillée comme tu veux ».
Elle me laissa et retourna dans le salon pour ranger un peu pendant que je faisais ma toilette intime.
Je nâen revenais pas de ma conduite.
Jâavais carrĂ©ment ouvert mes cuisses.
Jamais jâaurais cru cela possible venant de moi.
Je retirais ma culotte qui étais mouillée et je lavais consciencieusement mon anatomie.
Je gardais mes habits pour ne pas faire la vicieuse mais je retirais la lavaliÚre tout en retirant les deux premiers boutons de mon chemisier pour offrir un beau décolleté.
Je sortais de la salle de bain et Sybille pris ma place.
JâĂ©tais dans le couloir mais je nâosais rejoindre Carole qui Ă©tait jusquâĂ hier ma chef de service. (Ouah, quâest-ce quâelle Ă©tait belle).
Jâattendis un peu, puis jâentrais dans la chambre.
Carole Ă©tait assise en tailleur sur le lit.
Elle avait les seins volumineux qui se tenaient difficilement par la petite ficelle sur les tétons.
La position en tailleur offrait Ă la vue sa toison presque complĂšte.
Carole mâinvita Ă venir mâasseoir prĂšs dâelle.
Je montais sur le lit et mâassis.
Elle me sourit et me dit :
« Câest le plus beau cadeau que lâon mâait jamais fait »
Elle se pencha et déposa un baiser sur mes lÚvres.
Sybille arriva complĂštement nue.
Je la regardais avec ses petits seins et sa toison fine et blonde qui laissait voir le relief de son sexe.
Elle monta sur le lit et resta debout devant Carole et moi.
Elle dit
« Hep ! les filles, jâai lâimpression que je ne fais pas le poids avec mes petits titi face Ă vous deux.
Je regardais Sybille debout devant nous et notre position nous donnait tout loisir de voir son sexe avec la fente des lÚvres légÚrement écartée.
CâĂ©tait la premiĂšre fois que je voyais le sexe dâune femme dâaussi prĂšs et je dĂ©couvrais lâanatomie fĂ©minine dans toute sa simplicitĂ©.
Sybille me demanda
« Maintenant, tu peux nous montrer tes seins. Je crois savoir quâils sont trĂšs beaux. Jâai dĂ©jĂ eu lâoccasion dâen voir une partie »
Je défis doucement les trois derniers boutons de mon chemisiers et le retirais.
Mes seins réclamaient des caresses et la contraction de mes tétons me faisait presque mal. Je dégrafais mon soutif et Carole en fis autant.
En peu de temps, nous Ă©tions trois filles nues sur le mĂȘme lit.
Jamais je nâaurais imaginĂ© me retrouver nue devant dâautres femme en vue de faire lâamour.
Sybille se mis Ă genoux et posa ses fesses sur ses talons.
Jâavais mes mains entre mes cuisses pour cacher ma toison car je ne me sentais pas trĂšs Ă lâaise. Ma respiration Ă©tais rapide et ma poitrine se soulevait en rythme.
Carole avança sa main sur les miennes.
Elle me dit :
« Tu es trÚs belle, tu sais ? »
Je tournais la tĂȘte vers elle et elle me souriait.
Mon regard alla vers sa poitrine qui était toute ronde avec de belles aréoles contractées et sombre.
Elle avait une belle poitrine légÚrement plus grosse que la mienne avec des seins tout ronds retombant par leur poids.
Sa peau Ă©tait lisse avec unE tache de rousseur sur son sein gauche Ă lâintĂ©rieur.
Je sentis la main de Sybille me caresser la cuisse doucement. Des frissons me parcouraient tout le corps. Sa main remontait doucement vers mes mains.
Sybille se déplaça et avança vers moi.
Carole aussi sâavança et me dĂ©posa un baiser sur les lĂšvres.
Je ne rĂ©sistais pas et sans vraiment le vouloir, mes yeux se fermĂšrent et ma bouche sâentrouvrit pour laisser entrer la langue chaude de Carole.
La pénétration de la langue de Carole dans ma bouche me fit comme un coup électrique et tout mon corps se mit en marche pour le plaisir.
La bouche de Carole se colla Ă la mienne et jâouvris ma bouche pour lui faire le plus beau baiser que je puisse faire.
Nos langues jouaient ensemble et mes main prirent Carole par les Ă©paules pour lâenlacer.
Sybille glissa sa main entre mes cuisses et posa sa main sur mon sexe ouvert. Le contact de sa main sur mon sexe dĂ©jĂ gonflĂ© dâexcitation me fit perdre la tĂȘte.
Mes gestes Ă©taient mal assurĂ©s et je sentis un orgasme venir du plus profond de mon ĂȘtre.
La langue de Carole mâĂ©touffait presque tellement elle envahissait ma bouche.
Mon sexe trempé était pénétré par les doigts de Sybille pendant que je ne pouvais réfreiner un long rùle de plaisir.
Mes hanches se soulevaient pour forcer les caresses de Sybille contre lâintĂ©rieur de mon vagin. JâĂ©tais tellement sous pression que je ne pouvais plus mâarrĂȘter.
Sybille se pencha et glissa sa tĂȘte entre mes jambes.
Elle posa sa tĂȘte et regardait mon sexe tout en titillant mon clito.
A chaque pression sur mon bouton, je poussais un gémissement qui semblait amuser Carole.
Elle avait quittĂ© ma bouche me poussa en arriĂšre pour mâallonger sur le lit.
Sybille en profita pour écarter mes jambes et elle commença à pointer sa langue sur mon clito, ce qui me lança des petits picotements comme une petite décharge électrique dans le bas ventre.
Carole était penchée au dessus de moi et me caressait les seins avec les siens.
Ses seins avaient tout leur volume et ses tétons dressés jouaient avec les miens. Je me laissais faire en poussant toujours mes petits gémissements avec les caresses de Sybille.
JâĂ©tais devenu un objet de plaisir entre les mains expertes de ses deux femmes.
Chaque contact était précis et procurait un plaisir intense.
Jamais un homme ne pourrait offrir une telle quantité de plaisir.
Je découvrais les possibilités énormes du plaisir féminin.
Les seins de Carole me parcouraient le corps et elle descendait sur mon ventre et mes hanches.
Je relevais la tĂȘte pour regarder et je voyais la tĂȘte blonde de Sybille entre mes cuisses et les gros seins de Carole frotter ma peau. Sybille laissa la place Ă Carole qui entrepris de me caresser la vulve avec ses tĂ©tons.
Sybille vint vers moi et me dit
« Dis donc ma chĂ©rie, tu es vraiment super bonne⊠Jâadore les blondes et tu as vraiment trĂšs bon goĂ»t⊠tu veux goĂ»ter une blonde ? ».
Je souriais avec difficultĂ©s car les caresses des seins de Carole sur ma chatte me lançaient des fourmillements dans tout mon corps. Sans attendre ma rĂ©ponse, Sybille me chevaucha et mis ses cuisses de part et dâautre de ma tĂȘte.
Je me retrouvais recouvert de la chatte Ă Sybille Ă environ une dizaine de centimĂštres.
Je voyais ses lÚvres ouvertes autour de son vagin rosé.
Un fil de mouille courait entre les lĂšvres et les poils blonds de sa toison Ă©taient rare.
Je voyais le renflement du clitoris et je ne savais pas si jâallais oser passer le pas.
Mes fourmillements sur mon sexe nâarrĂȘtaient pas et la vue de ce sexe ouvert et baveux devant moi ne mâattirait pas. Ayant dĂ©jĂ goĂ»ter ma mouille Ă plusieurs reprise par le passĂ©, je fermais les yeux et attrapais les fesses de Sybille.
Je relevais la tĂȘte et tira la langue tout en mâavançant.
Soudain, le contact chaud et humide du sexe de Sybille se fit avec ma langue.
Lâodeur Ăącre de son sexe envahit progressivement mon nez et je glissais ma langue dâun bout Ă lâautre de la fente.
Jâentendais Sybille souffler bruyamment et cela me poussa Ă continuer ma caresse.
Le goĂ»t de la mouille entra dans ma bouche et mes lĂšvres sâĂ©cartĂšrent pour mettre en contact toute ma bouche sur le sexe ouvert de Sybille.
Je lĂšchais le sexe de Sybille pendant que Carole me masturbait avec ses seins.
Jâattrapais le clito de Sybille et lâaspira en bouche pour le tĂȘter.
Je dĂ©couvrais le sexe fĂ©minin mais je savais oĂč se trouvait les endroits stratĂ©giques.
Jâen profitais pour lĂȘcher Ă grand coup de langue tout le sexe offert.
Carole sâabsenta et revint pendant que Sybille me lĂ©chait en joli 69 fĂ©minin.
Nous faisions comme un concours.
A chaque caresse de lâune, lâautre faisait de mĂȘme. Je continuais de glisser ma longue sur le clitoris de Sybille quand une dĂ©charge mâenvahi le ventre.
Ma vulve gonflĂ©e de dĂ©sir venait dâĂȘtre pĂ©nĂ©trĂ©e par un genre de sexe long qui alla jusquâau fond de mon ventre.
Je poussais un cri à moitié étouffé dans le sexe de Sybille tellement la surprise et la quantité de sensations était colossale.
Carole me dit :
« Humm, je crois que mon cadeau te va bien »
et elle commença de long va et vient avec le gode que Sybille lui avait offert.
Sybille était penché sur moi et elle regardait le gode me pénétrer.
Cette vue lui fit tellement dâeffets quâelle obtint un orgasme.
Je sentis son bassin onduler dans le mĂȘme rythme que les allez et venues en moi.
La vitesse augmenta et jâavais du mal Ă garder ma concentration sur son sexe tellement jâĂ©tais secouĂ©e par le godes et ses impacts en moi.
Sybille atteignit lâorgasme en mĂȘme temps que moi et jâeu dans la bouche comme une Ă©jaculation de mouille. Un fin filet gicla sur mon visage au moment oĂč elle cria Ă plusieurs reprises.
Je continuais de lécher son clitoris pendant que Carole me léchait le sexe à grand coup de langue.
Dans la suite, je pourrais raconter tout ce que nous avions fait mais la liste est longue.
Jâai appris le plaisir de lĂ©cher des seins et des vulves.
Jâai appris le nombre innombrables de caresses que les femmes peuvent offrir aux autres femmes.
Jâai pris un rĂ©el plaisir dâavoir en bouche le sexe de Sybille et celui de Carole.
Jâai appris Ă reconnaĂźtre le goĂ»t de leurs sexe les yeux fermĂ©s dâaprĂšs lâodeur, la forme du sexe, la structure de leurs pilositĂ©s. Jamais je nâaurais imaginĂ© prendre autant de plaisir Ă faire lâamour avec dâautres femmes.
La seule diffĂ©rence entre ce que peut fournir un homme et une femme, câest la pĂ©nĂ©tration, mais un gode fournit des caresses profonde dans le vagin et quand le sexe est bien chaud, les sensations sont identiques.
Mes relations avec Sybille et Carole se sont prolongées.
Carole est toujours ma chef de service et nous nous voyons une à deux fois par mois pour une soirée et une nuit de folie.
Carole vit toujours seule malgré une invitation pour devenir collocatrice et devenir un trio de femmes modernes.
Nous restons discrĂštes dans la rue et nous gardons notre amour pour nos moments dâintimitĂ© car la vision des autres sur les lesbiennes est trĂšs nĂ©gative et complĂštement faussĂ©e par les mĂ©dias.
VoilĂ mon histoire, jâespĂšre quâelle vous a plu et quâelle pourra service Ă quelques femmes dâoser vivre leurs sexualitĂ© sans tabou.
1 year ago