Ma voisine et ma chef ( suite )

Je la regardais s’éloigner et voyais ses hanches bien rondes dans un pantalon droit avec une liquette blanche et noire.

Ses cheveux étaient coiffés sur une épaule et donnaient à son visage un éclat splendide.

Son maquillage lui faisait ressortir ses yeux verts avec une luminositĂ© que je n’avais pas vue les fois prĂ©cĂ©dentes.

Elle revint vers moi et me débarrassa de mon manteau.

Elle m’emmena dans un petit couloir qui donnait sur une petite chambre dans laquelle trĂŽnait un lit et une Ă©tagĂšre bricolĂ©e avec une penderie.

Elle jeta mon manteau sur un coin de l’étagĂšre libre et me dit

« VoilĂ  le seul coin que tu n’a pas vu puisque le reste est comme chez toi
 Je vie dans le luxe, j’ai une chambre particuliĂšre ».

Elle sourit et je lui répondis

« C’est vrai qu’une chambre me manque chez moi. Quand je fais la cuisine, tout sent la bouffe ».

Elle passa à cÎté de moi dans le petit couloir et nos corps se touchÚrent doucement dans un frottements de tissus.

Elle s’arrĂȘta face Ă  moi et regarda ma poitrine avec la lavaliĂšre.

Sa poitrine touchait presque la mienne et elle me dit

« Je vois que tu as rangĂ© tes affaires
c’est bien mieux »

et elle pouffa de rire en allant vers le salon.

Je hochais la tĂȘte en la suivant et je me sentais bien en prĂ©sence de cette fille.

Elle me proposa un verre tranquillement en attendant Carole, son autre copine qui travaillait comme une dingue la semaine et qui n’avait pas beaucoup de temps le samedi pour faire ses courses et son mĂ©nage.

Nous prĂźmes toutes les deux une coupe et nous fĂźmes connaissance.

La musique de la radio faisait une ambiance cool et j’appris qu’elle venait de Lyon et qu’elle Ă©tait sur Strasbourg depuis trois ans.

Je lui dis que j’étais sur ici depuis deux ans et que j’étais seule depuis tout ce temps.

A 19h25, Sybille se rendit compte qu’elle avait oubliĂ© de prĂ©parer les amuses gueules et elle se leva pour les faire Ă  la cuisine.

Je l’accompagnais et nous nous retrouvions toutes les deux cĂŽte Ă  cĂŽte Ă  couper les toasts et mettre les ingrĂ©dients dessus.

Je me sentais vraiment bien et sa présence à mes cÎtés me rendais plus sereine.

Nous travaillions comme deux grandes copines tout en rigolant sur des sujets trĂšs divers.

La sonnette retentis et Sybille me laissa travailler pour aller ouvrir Ă  sa copine.

J’esperais que cette fille n’allait pas foutre en l’air la bonne entente qui se mettait en place entre Sybille et moi.

J’entendais les voix dans l’entrĂ©e et je m’essuyais les mains pour aller saluer cette nouvelle venue.

En plus, j’avais fait deux gĂąteaux pour l’anniversaire de cette fille et j’avais l’espoir qu’elle les apprĂ©cierai.

J’entrais dans le salon mais Sybille et sa copine Ă©tais dans la chambre en papotant toujours en sourdine.

J’attendais que Sybille revienne pour me prĂ©senter sa copine et je ne savais pas comment me mettre.

Assise. Debout ?

Finalement, je commençais à regarder les livres sur une étagÚre pour patienter.

Sybille apparu dans le salon et mon visage se figea d’un coup.

Je me trouvais devant ma chef qui était comme moi, figée.

Sybille ne remarqua pas l’arrĂȘt de sa copine et dit le plus tranquillement du monde

« Sophie, je te présente Carole, une trÚs bonne copine ».

J’avalais ma salive avec quelques difficultĂ©s en disant

« Bonjour Carole ».

Ma chef
 Carole eu son visage qui reprit doucement des couleurs et finit d’un coup Ă  Ă©clater de rire.

Sybille ne comprenait pas pourquoi Carole riait Ă  en avoir mal au ventre.

Je dis Ă  Sybille pendant que Carole riait toujours autant, incapable de s’arrĂȘter :

« Ne t’inquiĂšte pas, il n’y a rien de grave, c’est juste ma responsable de service, ma chef !

.Sur ces mots, c’est Sybille qui subit un arrĂȘt momentanĂ© du rythme cardiaque.

Sybille ne pu s’empĂȘcher de dire un

« mmeerrrddee
 J’suis dĂ©solé  J’savais pas »

Je commençais à rire tellement la situation était cocasse.

De plus, le rire de Carole était communicatif et la voir sans son rÎle de chef complÚtement détendue me faisait tout drÎle.

Carole repris son souffle et avança vers moi pour me faire la bise en me disant à la limite du fou-rire

« EnchantĂ©e
pfttt »

L’apĂ©ro continua dans des explications pour que Sybille se sente rassurĂ©e sur la situation.

Carole me dit qu’elle Ă©tait ravie de me voir en si bonne forme alors que trois jours avant, je semblais tellement fatiguĂ©e.

Sybille me dit que si j’avais des problùmes, je pouvais venir chez elle.

D’un seul coup, je me sentais encadrĂ©e par deux bonnes copines.

Je dis Ă  Carole que je tiendrai ma parole sur la discrĂ©tion et elle me dit qu’elle me faisait confiance.

Nous continuĂąmes la soirĂ©e et l’apĂ©ritif dĂźnatoire continua toujours dans la bonne ambiance.

L’alcool aidant, nous commencions Ă  dire des bĂȘtises plus grosses que nous.

Carole commença à divaguer sur les filles du bureau et son chef, un gros lard puant de vantardise et de machisme.

Sybille lui demanda si les collĂšgues Ă©taient sympas parce qu’elle savait que les filles entre elles, c’étaient comme des furies.

Carole dit qu’elle aimait travailler avec les femmes mais qu’elle avait une prĂ©fĂ©rence pour une nana de son Ă©quipe.

Sybille se tourna vers moi et dit :

« Ahhh
allez, tu en as trop dit
 C’est qui ? »

Je me tournais vers Carole tout aussi intéressée en disant :

« C’est qui ? »

Et Carole me regarda droit dans les yeux en me disant :

« C’est toi ! »

Sybille Ă©clata de rire en voyant mon visage rougir d’un coup.

Je me sentais honorĂ©e d’ĂȘtre la favorite de Carole mais je sentais que cette femme avait pour moi des sentiments un peu plus fort que de l’amitiĂ©.

Me voilĂ  dans une situation trĂšs dĂ©licate car j’étais attirĂ©e par ma voisine, relation que je refusais d’assouvir pour rester dans la normalitĂ©.

J’avais vue ma chef avec ma voisine se faire des cñlins.

Ma chef avais sûrement des vues sur moi pour des relations intimes.

La situation Ă©tait trĂšs scabreuse.

Sybille me dit

« Tu sais que Carole est lesbienne et que tu peux la poursuivre pour harcÚlement sexuel ? >>.

Je haussais les Ă©paules en disant

« J’vois pas pourquoi ! »

Carole fit les gros yeux et dit Ă  Sybille

« Dis pas n’importe quoi. Je sais me tenir »

Je demandais Ă  Sybille si elle Ă©tait lesbienne aussi.

Sybille eu l’air gĂȘnĂ©e et me rĂ©pondit aprĂšs avoir bu le reste de son verre de son verre :

« Je n’ai pas envie de rĂ©pondre Ă  cette question si cela te gĂȘne. J’ai l’impression d’avoir trouvĂ© une bonne copine alors je ne vais pas tout foutre en l’air pour une question de style de vie
 Pour te donner une rĂ©ponse
 J’ai eu des garçons et j’ai eu des aventures avec des filles aussi ».

Je réfléchissais à toute vitesse et je pris une décision qui allait engendrer les plus grand changements dans ma vie.

Je pris la parole

« J’ai toujours Ă©tĂ© avec des garçons et jamais je n’ai penser Ă  une relation lesbienne. Jusqu’à mon arrivĂ©e, j’avais une pensĂ©e claire sur la chose. Depuis peu, je reconnais que mes idĂ©es changent et je suis beaucoup plus ouverte sur le sujet. »

Carole et Sybille m’écoutaient avec la plus grande attention.

« Si Carole est lesbienne, je trouve cela trĂšs bien pour elle car c’est une femme superbe et je suis presque jalouse des femmes avec qui elle peut ĂȘtre. En plus, je pense qu’un homme ne peut pas apprĂ©cier le corps d’une femme Ă  sa juste valeur sans devenir un rustre. Pour toi, Sybille, tu es superbe aussi et je suis sĂ»r que tu es une fleur bleue malgrĂ© ta façade dure. Si tu es lesbienne, c’est trĂšs bien pour toi. Si je ne veux plus te voir parce que tu aimes les femmes, je pense que c’est moi qui perdrais plus que toi
 Ai-je bien rĂ©pondu Ă  votre attente ? ».

Le silence qui suivit fut un peu lourd et je crus bon d’ajouter :

« Et pour moi, si vous voulez tous savoir, je crois ĂȘtre tombĂ©e amoureuse de vous deux. Je ne sais pas comment cela est possible mais c’est comme ça. Carole, si je vais mal depuis quelques temps, c’est parce que je refuse ces sentiments qui m’arrivent et que je n’en dors plus. Voilà
 Comme ça vous savez tout et nous sommes bien avancĂ©es maintenant ! ».

Carole prit aussitĂŽt la parole en disant

« Je suis trĂšs contente que tu ais pu dire tout ça. Maintenant, j’espĂšre que tu vas allez mieux ! »

Sybille s’essuya doucement les yeux car elle avait les larmes prĂȘtent Ă  couler, puis renifla et proposa de passer au dessert avec les bougies.
Elle se leva pour aller Ă  la cuisine.

Je me levais pour la rejoindre et sortir le premier gĂąteau de la boite.

Je demandais Ă  Sybille :

« Je t’ai fait de la peine ? »

Sybille sourit en disant

« non, t’inquiĂšte pas
 je suis super heureuse ce soir
tu ne peux pas savoir »

Carole préparait la petite table en débarrassant les divers assiettes.

Je la regardais penchée sur la table pour ramasser les affaires et je voyais son décolletés plongeant vers son soutif blanc et ses seins volumineux.

Je me retournais avant qu’elle s’aperçoive que je la regardais.

Mon ventre Ă©tait un peu retournĂ© et mes seins se dressĂšrent doucement. Je sentais mes tĂ©tons pousser le tissu dans un combat perdu d’avance.

Sybille mis les bougies sur le gĂąteau et me demanda d’aller fermer les rideaux et d’éteindre la lumiĂšre.

Sybille alluma les bougies et le noir se fit dans la piĂšce.

Elle avança avec le gùteau et nous avons chanté la petite chanson habituelle.

Carole nous demanda de nous tenir les mains pendant qu’elle soufflait ses bougies. Les flammes moururent doucement et Carole nous tenait les mains fermement en disant :

« Faites un vƓux mesdames »

Nous étions dans le noir à par la petite lueur de la chaine stéréo.

J’aperçu une ombre s’approcher de moi et Carole me dĂ©posa un baiser sur la joue, trĂšs prĂšs de mes lĂšvres.

Un frisson me parcouru l’échine et une chaleur douce m’envahie partout.

J’entendis le mĂȘme baiser vers Sybille.

Carole nous lñcha les mains et j’allais allumer la piùce.

En venant m’asseoir , le regard de Carole croisa le mien et je ne pus supporter ses yeux amoureux.

Je pouvais dire qu’elle Ă©tait amoureuse Ă  partir de sa maniĂšre d’ĂȘtre avec moi.

Elle Ă©tait tendre, je ne reconnaissais plus du tout ma chef de service.

J’avais une nouvelle femme devant moi.

Une femme amoureuse qui cherchait le contact, le retour de sentiments, l’amour tout simplement.

Sybille distribua les parts de gñteau et se leva pour sortir une petite boite pour l’offrir à Carole.

Je me sentais toute conne de n’avoir pas prĂ©vu un cadeau et pendant que Carole ouvrait le paquet, je cherchais ce que je pourrais lui offrir.

Je n’avais rien sur moi, pas une bague, pas de cadeau de derniùre seconde que je pourrais allez chercher chez moi.

Rien
rien à part moi !

Et si j’osais, je m’offrirais comme cadeau. ComplĂštement folle cette idĂ©e ! Je m’imaginais me levant, soulevant ma jupe et montrant ma culotte en disant

« bon anniversaire »

J’étais en plein dĂ©lire.

Carole ouvrit son cadeau et sorti un ensemble de sous-vĂȘtement.

Elle déplia les affaires et montra un string ficelle avec juste un tout petit triangle de tissu décoré avec une colombe en broderie.

Un soutif qui ne devait pas tenir grand chose à part juste cacher les tétons pour celles qui ont de tout petits tétons.

Carole sorti aussi de la boite un tube en genre de plastique.

Cela fit rire aux Ă©clats Carole et elle regarda Sybille en lui demandant :

« OĂč t’as trouvĂ© ce truc ? »

Sybille avait le sourire accroché aux lÚvres et répondit :

« Sur le net, on trouve de tout ! »

Carole se leva et embrassa Sybille sur les lÚvres sans faire attention à ma présence.

Cela me fit drĂŽle de les voir s’embrasser et j’aurais voulu ĂȘtre entre les deux pour pouvoir recevoir un baiser de la part des deux femmes Ă  la fois.

Sybille dit Ă  Carole :

« Tu n’a plus qu’a nous faire un essayage ! »

Carole pris les vĂȘtements, hocha la tĂȘte et se leva en disant :

« Mouais, pourquoi pas »

Sybille rigolait pendant que Carole allait dans la salle de bain pour se changer.

Je regardais Sybille et lui dis

« Je n’ai pas de cadeau, tu crois qu’elle va m’en vouloir ? »

Sybille me dit

« Mais non, t’inquiĂštes pas pour ça. Carole est super cool
tu ne la connais comme moi je la connais »

Carole revint dans la piĂšce avec un long peignoir et imita un roulement de tambours.

Elle ouvrit doucement le peignoir et je vis une femme magnifique avec un tissu sur sa toison qui cachait qu’une toute petite partie de son pubis.

Un fin ruban de tissu couvrait chaque téton mais laissait voir les seins gonflés.

Aussitît, mon ventre pris feu et j’avais envie d’elle.

Je sentais mon corps chauffer et se dilater.

Carole fit tomber le peignoir Ă  terre et elle me regardait en disant

« Alors mesdames, le vrai dessert est servi »

N’y tenant plus, j’ouvrais mes cuisses et relevais ma jupe pour dĂ©couvrir ma culotte. Carole ne me quittait pas des yeux et je la regardais fixement en disant

« Bon anniversaire »

J’avais une position obscĂšne avec les cuisses Ă©cartĂ©es.

Je me levais pour glisser ma jupe derriĂšre moi et pouvoir offrir Ă  la vue de toutes ma culotte.

Sybille se pencha pour regarder entre mes cuisses et dit

« Ouah, ça, c’est un vrai dessert. Bon les filles, je crois que nous avons une petite toilette Ă  faire avant de passer dans la chambre. »

Carole acquiesça et alla dans la chambre en disant

« PrĂȘte »

Sybille se leva et m’emmena dans la salle de bain pour me montrer les produits.

Elle me demanda si j’avais un test du SIDA.

Je lui dis qu’il datait de ma derniùre relation, donc il y avait deux ans.

Sybille réfléchit et me dit :

« Carole Ă  toute confiance en toi et je crois que l’on peut avoir confiance mais j’aimerais quand mĂȘme que tu en refasses un rĂ©guliĂšrement »

Je lui rĂ©pondit qu’elle pouvait me faire confiance.

Elle me dit alors :

« Tu fais ta toilette et tu rejoins Carole habillée comme tu veux ».

Elle me laissa et retourna dans le salon pour ranger un peu pendant que je faisais ma toilette intime.

Je n’en revenais pas de ma conduite.

J’avais carrĂ©ment ouvert mes cuisses.

Jamais j’aurais cru cela possible venant de moi.

Je retirais ma culotte qui étais mouillée et je lavais consciencieusement mon anatomie.

Je gardais mes habits pour ne pas faire la vicieuse mais je retirais la lavaliÚre tout en retirant les deux premiers boutons de mon chemisier pour offrir un beau décolleté.

Je sortais de la salle de bain et Sybille pris ma place.

J’étais dans le couloir mais je n’osais rejoindre Carole qui Ă©tait jusqu’à hier ma chef de service. (Ouah, qu’est-ce qu’elle Ă©tait belle).

J’attendis un peu, puis j’entrais dans la chambre.

Carole Ă©tait assise en tailleur sur le lit.

Elle avait les seins volumineux qui se tenaient difficilement par la petite ficelle sur les tétons.

La position en tailleur offrait Ă  la vue sa toison presque complĂšte.

Carole m’invita à venir m’asseoir prùs d’elle.

Je montais sur le lit et m’assis.

Elle me sourit et me dit :

« C’est le plus beau cadeau que l’on m’ait jamais fait »

Elle se pencha et déposa un baiser sur mes lÚvres.

Sybille arriva complĂštement nue.

Je la regardais avec ses petits seins et sa toison fine et blonde qui laissait voir le relief de son sexe.

Elle monta sur le lit et resta debout devant Carole et moi.

Elle dit

« Hep ! les filles, j’ai l’impression que je ne fais pas le poids avec mes petits titi face Ă  vous deux.

Je regardais Sybille debout devant nous et notre position nous donnait tout loisir de voir son sexe avec la fente des lÚvres légÚrement écartée.

C’était la premiĂšre fois que je voyais le sexe d’une femme d’aussi prĂšs et je dĂ©couvrais l’anatomie fĂ©minine dans toute sa simplicitĂ©.

Sybille me demanda

« Maintenant, tu peux nous montrer tes seins. Je crois savoir qu’ils sont trĂšs beaux. J’ai dĂ©jĂ  eu l’occasion d’en voir une partie »

Je défis doucement les trois derniers boutons de mon chemisiers et le retirais.

Mes seins réclamaient des caresses et la contraction de mes tétons me faisait presque mal. Je dégrafais mon soutif et Carole en fis autant.

En peu de temps, nous Ă©tions trois filles nues sur le mĂȘme lit.

Jamais je n’aurais imaginĂ© me retrouver nue devant d’autres femme en vue de faire l’amour.

Sybille se mis Ă  genoux et posa ses fesses sur ses talons.

J’avais mes mains entre mes cuisses pour cacher ma toison car je ne me sentais pas trĂšs Ă  l’aise. Ma respiration Ă©tais rapide et ma poitrine se soulevait en rythme.

Carole avança sa main sur les miennes.

Elle me dit :

« Tu es trÚs belle, tu sais ? »

Je tournais la tĂȘte vers elle et elle me souriait.

Mon regard alla vers sa poitrine qui était toute ronde avec de belles aréoles contractées et sombre.

Elle avait une belle poitrine légÚrement plus grosse que la mienne avec des seins tout ronds retombant par leur poids.

Sa peau Ă©tait lisse avec unE tache de rousseur sur son sein gauche Ă  l’intĂ©rieur.

Je sentis la main de Sybille me caresser la cuisse doucement. Des frissons me parcouraient tout le corps. Sa main remontait doucement vers mes mains.

Sybille se déplaça et avança vers moi.

Carole aussi s’avança et me dĂ©posa un baiser sur les lĂšvres.

Je ne rĂ©sistais pas et sans vraiment le vouloir, mes yeux se fermĂšrent et ma bouche s’entrouvrit pour laisser entrer la langue chaude de Carole.

La pénétration de la langue de Carole dans ma bouche me fit comme un coup électrique et tout mon corps se mit en marche pour le plaisir.

La bouche de Carole se colla à la mienne et j’ouvris ma bouche pour lui faire le plus beau baiser que je puisse faire.

Nos langues jouaient ensemble et mes main prirent Carole par les Ă©paules pour l’enlacer.

Sybille glissa sa main entre mes cuisses et posa sa main sur mon sexe ouvert. Le contact de sa main sur mon sexe dĂ©jĂ  gonflĂ© d’excitation me fit perdre la tĂȘte.

Mes gestes Ă©taient mal assurĂ©s et je sentis un orgasme venir du plus profond de mon ĂȘtre.

La langue de Carole m’étouffait presque tellement elle envahissait ma bouche.

Mon sexe trempé était pénétré par les doigts de Sybille pendant que je ne pouvais réfreiner un long rùle de plaisir.

Mes hanches se soulevaient pour forcer les caresses de Sybille contre l’intĂ©rieur de mon vagin. J’étais tellement sous pression que je ne pouvais plus m’arrĂȘter.

Sybille se pencha et glissa sa tĂȘte entre mes jambes.

Elle posa sa tĂȘte et regardait mon sexe tout en titillant mon clito.

A chaque pression sur mon bouton, je poussais un gémissement qui semblait amuser Carole.

Elle avait quittĂ© ma bouche me poussa en arriĂšre pour m’allonger sur le lit.

Sybille en profita pour écarter mes jambes et elle commença à pointer sa langue sur mon clito, ce qui me lança des petits picotements comme une petite décharge électrique dans le bas ventre.

Carole était penchée au dessus de moi et me caressait les seins avec les siens.

Ses seins avaient tout leur volume et ses tétons dressés jouaient avec les miens. Je me laissais faire en poussant toujours mes petits gémissements avec les caresses de Sybille.

J’étais devenu un objet de plaisir entre les mains expertes de ses deux femmes.

Chaque contact était précis et procurait un plaisir intense.

Jamais un homme ne pourrait offrir une telle quantité de plaisir.

Je découvrais les possibilités énormes du plaisir féminin.

Les seins de Carole me parcouraient le corps et elle descendait sur mon ventre et mes hanches.

Je relevais la tĂȘte pour regarder et je voyais la tĂȘte blonde de Sybille entre mes cuisses et les gros seins de Carole frotter ma peau. Sybille laissa la place Ă  Carole qui entrepris de me caresser la vulve avec ses tĂ©tons.

Sybille vint vers moi et me dit

« Dis donc ma chĂ©rie, tu es vraiment super bonne
 J’adore les blondes et tu as vraiment trĂšs bon goĂ»t
 tu veux goĂ»ter une blonde ? ».

Je souriais avec difficultĂ©s car les caresses des seins de Carole sur ma chatte me lançaient des fourmillements dans tout mon corps. Sans attendre ma rĂ©ponse, Sybille me chevaucha et mis ses cuisses de part et d’autre de ma tĂȘte.

Je me retrouvais recouvert de la chatte Ă  Sybille Ă  environ une dizaine de centimĂštres.

Je voyais ses lÚvres ouvertes autour de son vagin rosé.

Un fil de mouille courait entre les lĂšvres et les poils blonds de sa toison Ă©taient rare.

Je voyais le renflement du clitoris et je ne savais pas si j’allais oser passer le pas.

Mes fourmillements sur mon sexe n’arrĂȘtaient pas et la vue de ce sexe ouvert et baveux devant moi ne m’attirait pas. Ayant dĂ©jĂ  goĂ»ter ma mouille Ă  plusieurs reprise par le passĂ©, je fermais les yeux et attrapais les fesses de Sybille.

Je relevais la tĂȘte et tira la langue tout en m’avançant.

Soudain, le contact chaud et humide du sexe de Sybille se fit avec ma langue.

L’odeur ñcre de son sexe envahit progressivement mon nez et je glissais ma langue d’un bout à l’autre de la fente.

J’entendais Sybille souffler bruyamment et cela me poussa à continuer ma caresse.

Le goĂ»t de la mouille entra dans ma bouche et mes lĂšvres s’écartĂšrent pour mettre en contact toute ma bouche sur le sexe ouvert de Sybille.

Je lĂšchais le sexe de Sybille pendant que Carole me masturbait avec ses seins.

J’attrapais le clito de Sybille et l’aspira en bouche pour le tĂȘter.

Je dĂ©couvrais le sexe fĂ©minin mais je savais oĂč se trouvait les endroits stratĂ©giques.

J’en profitais pour lĂȘcher Ă  grand coup de langue tout le sexe offert.

Carole s’absenta et revint pendant que Sybille me lĂ©chait en joli 69 fĂ©minin.

Nous faisions comme un concours.

A chaque caresse de l’une, l’autre faisait de mĂȘme. Je continuais de glisser ma longue sur le clitoris de Sybille quand une dĂ©charge m’envahi le ventre.

Ma vulve gonflĂ©e de dĂ©sir venait d’ĂȘtre pĂ©nĂ©trĂ©e par un genre de sexe long qui alla jusqu’au fond de mon ventre.

Je poussais un cri à moitié étouffé dans le sexe de Sybille tellement la surprise et la quantité de sensations était colossale.

Carole me dit :

« Humm, je crois que mon cadeau te va bien »

et elle commença de long va et vient avec le gode que Sybille lui avait offert.

Sybille était penché sur moi et elle regardait le gode me pénétrer.

Cette vue lui fit tellement d’effets qu’elle obtint un orgasme.

Je sentis son bassin onduler dans le mĂȘme rythme que les allez et venues en moi.

La vitesse augmenta et j’avais du mal Ă  garder ma concentration sur son sexe tellement j’étais secouĂ©e par le godes et ses impacts en moi.

Sybille atteignit l’orgasme en mĂȘme temps que moi et j’eu dans la bouche comme une Ă©jaculation de mouille. Un fin filet gicla sur mon visage au moment oĂč elle cria Ă  plusieurs reprises.

Je continuais de lécher son clitoris pendant que Carole me léchait le sexe à grand coup de langue.

Dans la suite, je pourrais raconter tout ce que nous avions fait mais la liste est longue.

J’ai appris le plaisir de lĂ©cher des seins et des vulves.

J’ai appris le nombre innombrables de caresses que les femmes peuvent offrir aux autres femmes.

J’ai pris un rĂ©el plaisir d’avoir en bouche le sexe de Sybille et celui de Carole.

J’ai appris Ă  reconnaĂźtre le goĂ»t de leurs sexe les yeux fermĂ©s d’aprĂšs l’odeur, la forme du sexe, la structure de leurs pilositĂ©s. Jamais je n’aurais imaginĂ© prendre autant de plaisir Ă  faire l’amour avec d’autres femmes.

La seule diffĂ©rence entre ce que peut fournir un homme et une femme, c’est la pĂ©nĂ©tration, mais un gode fournit des caresses profonde dans le vagin et quand le sexe est bien chaud, les sensations sont identiques.

Mes relations avec Sybille et Carole se sont prolongées.

Carole est toujours ma chef de service et nous nous voyons une à deux fois par mois pour une soirée et une nuit de folie.

Carole vit toujours seule malgré une invitation pour devenir collocatrice et devenir un trio de femmes modernes.

Nous restons discrĂštes dans la rue et nous gardons notre amour pour nos moments d’intimitĂ© car la vision des autres sur les lesbiennes est trĂšs nĂ©gative et complĂštement faussĂ©e par les mĂ©dias.

VoilĂ  mon histoire, j’espĂšre qu’elle vous a plu et qu’elle pourra service Ă  quelques femmes d’oser vivre leurs sexualitĂ© sans tabou.
Published by sophie67000
1 year ago
Comments
3
Please or to post comments
ccandau
ccandau 11 months ago
cela a été un bon moment de plaisir à lire cette suite c'est de l'érotisme suis aux anges merci
Reply
Nudiste74
Nudiste74 1 year ago
Merci de nous faire partager ce bonheur et cette brulante relation
Reply
LoyalLovebird0
LoyalLovebird0 1 year ago
Ivre de plaisir de ton récit merci 
Reply