Clothildee 4

Combien de fois firent ils l’amour, elle n’aurait su le dire...Ils finirent par s’endormir dans les bras l’un de l’autre. Clotilde se rĂ©veilla la premiĂšre. Elle fila prendre une douche, mais le jet d’eau au lieu d’apaiser son appĂ©tit de sexe le stimula...elle s’empressa de revenir vers le lit conjugal. Laurent dormait couchĂ© sur le dos Ă  prĂ©sent...Elle s’amusa Ă  souffler doucement sur son sexe au repos, puis ne constatant aucune rĂ©action, elle passa sa langue dessus. Elle pensa avec Ă©tonnement que c’était la premiĂšre fois qu’elle voyait le sexe de son mari au repos...Ses caresses eurent tĂŽt fait de rĂ©veiller son mari qui l’attrapa par les hanches ...
- toi tu vas voir ce qu’il en coĂ»te de me rĂ©veiller
- et toi tu vas voir ce qu’il en coute de m’empĂȘcher de dormir en me baisant comme tu l’as fait toute la nuit...
-moi, je t’ai baisĂ© ? Je m’en souviendrai...viens montrer ta petite chatte, voir si je me rappelle de l’avoir frĂ©quentĂ©
SitĂŽt le petit dĂ©jeuner pris, ils partirent visiter Venise. Clotilde s’extasiait devant les monuments, admirant le marbre des façades, applaudissant les gondoliers lorsqu’ils poussaient la chansonnette...Son mari n’aurait pu lui suggĂ©rer meilleur voyage de noce. Son dĂ©sir de sexe s’était exacerbĂ©, et un hangar de rĂ©paration de gondoles les accueillit Ă  l’abri des regards...Clotilde s’aperçut alors qu’elle prĂ©fĂ©rait lorsque son mari la sodomisait. Était-ce le fait que leur premiĂšre relation avait Ă©tĂ© anale ? Bien sĂ»r elle aimait Ă©galement la pĂ©nĂ©tration vaginale et jouissait lorsqu’elle la pratiquait, mais elle avait l’impression d’une sorte de manque si Laurent ne l’enculait pas...
- J’ai l’impression qu’il y a ton sirop qui s’échappe de mon cul...
- non mais tu t’entends parler ? Pour une pensionnaire des SƓurs de la Vierge...
-ben regardes quand mĂȘme
Ils étaient en pleine rue, mais Laurent souleva sa robe légÚre pour voir.
- Tu as raison, mais je n’ai plus de kleenex...
Des passants leur jetaient des regards courroucĂ©s, d’autres souriaient. La vue des fesses de Clotilde ne laissait personne indiffĂ©rent...Ils dĂ©ambulĂšrent ainsi toute la journĂ©e, se tenant la main et en mangeant des gelati. Ils profitĂšrent de la fraicheur du soir avant de rentrer diner Ă  l’hĂŽtel. Clotilde Ă©trenna une nouvelle robe du soir au dĂ©colletĂ© encore plus plongeant que celle de la veille...
- Mais tu as combien de valises?
-juste assez...Mais je te rappelle que c’est Bertille qui les a prĂ©parĂ©s, Je ne sais mĂȘme pas ce qu’il y a dedans...je suis ses instructions...
- Elle me parait avoir bon goĂ»t, continues de te fier Ă  elle pour l’instant, tu auras tout loisir de te constituer ta propre garde-robe aprĂšs...
Au moment de se coucher, Clotilde alla directement chercher le masque noir et le revĂȘtit
- Je vois que tu aimes les initiatives ma chĂ©rie...j’arrive
Elle s’était allongĂ©e nue sur le dos. Quelle surprise son mari allait il lui rĂ©server ? Elle aurait aimĂ© qu’il l’attache et profite d’elle sans qu’elle ne puisse rien faire...il faudrait qu’elle lui suggĂšre discrĂštement cela.
Une prĂ©sence. Quelqu’un Ă©tait lĂ  prĂšs d’elle. Elle le sentait, elle le savait. Tous ses sens Ă©taient en Ă©veil. Ce parfum Ă©tait celui d’une femme. Elle n’eut pas trop le temps de cogiter...dĂ©jĂ  des lĂšvres douces glissaient sur les siennes, descendaient sur son cou, titillaient un sein puis l’autre, des dents mordaient dĂ©licatement au passage les tĂ©tons durcis par le dĂ©sir qui s’était emparĂ© de Clotilde. Son corps frĂ©missait Ă  prĂ©sent sous les caresses. Les mains de l’inconnue s’étaient jointes au bal de ses lĂšvres. Instinctivement Clotilde avait Ă©cartĂ© les cuisses et les lĂšvres amies dĂ©posĂšrent un baiser sensuel sur son intimitĂ© humide. La langue de l’inconnue jouait Ă  prĂ©sent avec son clitoris, le stimulant longuement avant de descendre laper les petites lĂšvres, faire une incursion au plus profond de Clotilde puis remonter vers son bouton de bonheur...Clotilde sentit l’orgasme arriver, elle voulait le repousser, le retarder pour pouvoir Ă©galement jouer avec sa partenaire, mais celle-ci lui maintenait les cuisses fortement et dans un rĂąle incontrĂŽlĂ©, Clotilde laissa le flot de son plaisir la submerger...Elle ĂŽtĂąt son masque.
- Bertille ? Mais que...
- Tu as aimé ma chérie ?
-oui bien sĂ»r, mais oĂč est Laurent?
- je suis lĂ ...je vois que les retrouvailles familiales sont...chaudes !
- je ne savais pas que tu Ă©tais Ă  Venise...
-tout était orchestré depuis longtemps.
- mais tes enfants ?
- chez ma belle-mĂšre, ce sont les vacances...Je voulais vĂ©rifier que ton voyage de noce se dĂ©roulait bien...Je vois que ça a l’air d’aller !
- c’était bien, mais j’aurais aimĂ© moi aussi te donner du plaisir et aussi que Laurent ne reste pas Ă  l’écart...
- Mais la nuit ne fait que commencer...
Clotilde Ă©tait subjuguĂ©e par le savoir-faire de Bertille. Il semblait que celle-ci connaissait par cƓur le corps de sa cousine et surtout les chemins qui l’envoyaient au 7Ăšme ciel...Elle apprit donc Ă  titiller le clitoris de sa cousine, Ă  jouer avec sa langue sur les lĂšvres de celle-ci, Ă  lui caresser les seins. Elle s’enhardit mĂȘme Ă  lui lĂ©cher l’anus ce qui plut fortement Ă  Bertille. C’est ce moment lĂ  que choisit Laurent pour prĂ©senter sa verge devant la bouche de sa femme :
- il faut la lubrifier si je ne veux pas lui dĂ©chirer l’anus
Clotilde rĂ©alisa en une fraction de seconde ce que cela induisait : elle allait partager son mari et avec son plein accord...Ce n’était pas comme ces femmes trompĂ©es par leurs maris. Non, lĂ  c’était elle qui donnait son accord, elle ne serait pas cocue au sens pĂ©joratif du terme, elle partagerai.... Elle goba la bite de son mari et la couvrit de salive...
-vas-y mon chéri, fais-la jouir
Elle voyait la bite de son mari coulisser dans le fondement de sa cousine et cette seule vue la remplissait de joie. De temps en temps Laurent sortait sa verge en entier et la prĂ©sentait devant la bouche de Clotilde qui s’empressait de la gober pour la lubrifier puis la guidait vers le trou bĂ©ant . Du coup, malgrĂ© les caresses de Bertille, l’orgasme fut long Ă  venir alors que Bertille n’en finissait pas de “couler” dans sa bouche et sur son visage...Laurent dans un rĂąle Ă©jacula au plus profond de Bertille puis tendit sa verge Ă  Clotilde pour le sacro-saint “lavage des outils"...Mais Clotilde attendait autre chose...Enfin dans un gargouillis, les premiĂšres gouttes de semences sortirent du cul bĂ©ant de Bertille...Clotilde les rĂ©cupĂ©ra, puis vint lĂ©cher les fesses de sa cousine avant d’échanger avec elle un baiser ou le sperme se mĂ©langeait Ă  sa salive...Repus, les trois amants s’endormirent au creux du mĂȘme lit.
Au petit déjeuner la conversation portùt sur la présence de Bertille à Venise
-tout Ă©tait programmĂ©...c’est mĂȘme moi qui aie pris les billets d’avion et rĂ©servĂ© l’hĂŽtel...
- tu connaissais dĂ©jĂ  mes gouts, c’est vrai
- et ceux de Laurent...que crois-tu que nous faisions une fois que l’on t’avait dĂ©posĂ© chez tes parents ? Un homme de cet Ăąge a des besoins en matiĂšre de sexe qu’il faut assouvir...
- et tu en profitais bien, hein ?
-mon mari est toujours en dĂ©placement, et quand bien mĂȘme il est lĂ ...
- que veux-tu dire?
Laurent prit la parole
- c’est ce qui a provoquĂ© notre rencontre Ă  Bertille et Ă  moi et donc la nĂŽtre par “ricochet”. VoilĂ  comme tu le sais Paul le mari de Bertille fait partie des commandos de l’ArmĂ©e ce qui explique ses dĂ©placements. Or un jour il est passĂ© Ă  la boutique d’informatique ou je faisais un stage parce que son portable perso Ă©tait bloquĂ©. Il me l’a laissĂ© Ă  contrecƓur en me demandant de ne rien ouvrir si je le rĂ©parais. Je lui ai dit de repasser le lendemain. Il m’a Ă©tĂ© facile de le dĂ©bloquer. Les dossiers de ton cher cousin Ă©taient en fait des films qu’il rĂ©alisait durant des parties fines entre hommes. J’ai trouvĂ© les coordonnĂ©es de Bertille et suis allĂ© la voir. Je lui ai montrĂ© les vidĂ©os. Elle a dit qu’elle se vengerai, et elle m’est tombĂ© dans les bras comme on dit. Vu la situation de son mari, j’ai fait des copies que j’ai placĂ© en lieu sĂ»r. J’ai dit Ă  Paul que s’il m’arrivait quoique ce soit, les vidĂ©os seraient diffusĂ©es sur le net et qu’il en Ă©tait de mĂȘme pour son Ă©pouse. En contrepartie, Bertille s’est engagĂ©e Ă  ne pas divorcer. J’en ai profitĂ© pour montrer les vidĂ©os aux parents de Paul qui par peur du scandale, passent le moindre caprice Ă  leur belle-fille.
- Paul ne me satisfaisait pas sexuellement, tu t’en doutes, les jumeaux c’était un peu un accident. Du coup Laurent m’a fait dĂ©couvrir des plaisirs insoupçonnĂ©s...Mais il ne pouvait pas se marier avec moi...Nous avons donc eu l’idĂ©e de vous prĂ©senter l’un Ă  l’autre Ă  la grande satisfaction de tes parents...et on peut dire que l’alchimie s’est faite...
- on fait un sacré trio en effet...donc toi et Laurent vous aviez tout prémédité ?
- en fait nous ne savions pas que tu serai aussi “rĂ©ceptive”...nous pensions mener notre petite vie chacun de notre cĂŽtĂ© et nous envoyer en l’air de temps en temps...a ce sujet, il va falloir que je me lĂšve tĂŽt demain, j’ai rencontrĂ© trois marins grecs qui tiennent Ă  me faire visiter le yacht sur lequel ils travaillent...
- trois ?
- ben oui, je ne vais tout de mĂȘme pas me taper tout l’équipage !
Published by josyldo
1 year ago
Comments
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ccandau
ccandau 3 months ago
quelle dĂ©couverte Clothilde et Bertille voila un sacrĂ© trio le mari a intĂ©rĂȘt Ă  ĂȘtre Ă  la hauteur
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