La vie de Sarah : une fin de semaine improbable E1

Un nouvelle série de la vie de Sarah, jeune femme de 25 ans à qui il arrive de multitudes aventures et expériences.

Episode 1
Je suis responsable dans une sociĂ©tĂ© de conseil. Approchant la cinquantaine, divorcĂ© depuis plusieurs annĂ©es. J’habite Ă  quelques kilomĂštres de Marseille. 1,84 m les yeux bleus, cheveux courts poivre et sel, je m’entretien sans ĂȘtre un athlĂšte.

Nous sommes vendredi, Ă  paris. Je viens de finir ma derniĂšre rĂ©union qui a un peu traĂźnĂ©. Je me dĂ©pĂȘche de rassembler mes affaires et de saluer mes collĂšgues pour sauter dans le taxi qui m’attends dĂ©jĂ  depuis un quart d’heure.
J’interroge le chauffeur car j’ai mon train pour rentrer dans moins de 30 mn. Il me rĂ©pond qu’il fera son possible mais un vendredi fin de journĂ©e Ă  Paris, la circulation est dense.
Le taxi fait son possible mais ce qui devait arriver arriva, je rate mon train. Et pour couronner le tout c’était le dernier.
Que faire ? Un hĂŽtel ? En cette pĂ©riode , en dĂ©but d’étĂ©, ça risque d’ĂȘtre compliquĂ© voire impossible.
En voiture, non trop crevé pour faire 900 kilomÚtres tout seul.
Je me dirige vers le bureau de vente de la SNCF. Heureusement pas grand monde Ă  cette heure un peu tardive. Trois personnes devant moi dont une jeune demoiselle qui me semble bien mignonne. Je ne peux pas voir son visage mais la courbure de ses hanches et ses fesses moulĂ©es dans sa jupe ne me laisse pas indiffĂ©rent. 15 Ă  20 mn s’écoulent quand c’est son tour. A cause de la distance de discrĂ©tion dĂ©signĂ©e par le marquage au sol, je n’entends que quelques bribes de l’échange qu’elle a avec l’agent.
A son attitude et des quelques mots que j’entends, elle me semble dĂ©semparĂ©e.
Voulant que cela aille vite que je puisse enfin espĂ©rer rentrer chez moi, je m’approche d’un pas dĂ©cidĂ© du guichet.
Lorsque j’arrive à sa hauteur, je vois une belle jeune femme, mignonne, un peu timide au premier abords. 25 ans environ. Petite poitrine qui se dessine discrùtement sous son top. De ce que j’en vois, elle ne porte pas de soutien-gorge.
J’interpelle le guichetier en demandant ce qu’il se passe. Il me rĂ©pond que la demoiselle veut se rendre Ă  Marseille mais elle a un problĂšme avec sa carte bancaire pour acheter son billet.
Je ne rĂ©flĂ©chis pas longtemps et rĂ©pond Ă  l’agent que je vais le payer. Devant moi-mĂȘme me rendre Ă  Marseille, je m’arrangerai avec mademoiselle Ă  l’arrivĂ©e pour qu’elle me rembourse.
L’agent nous sort nos deux billets. Et nous quittons le bureau de vente pour nous rendre au quai, dĂ©part du train dans 15 mn.
La jeune femme me remercie infiniment de l’aider et me jure ses grands dieux qu’elle me remboursera son billet. Elle va envoyĂ© un message Ă  son copain qu’elle doit rejoindre Ă  destination pour qu’il amĂšne l’argent Ă  notre arrivĂ©e.
Je lui ai rĂ©pond sur un ton un peu excĂ©dĂ© qu’il n’y a pas de problĂšme et lui demande juste de se dĂ©pĂȘcher pour ne pas rater (encore) le train.
En marchant Ă  vive allure direction le quai numĂ©ro 3 elle me lance : au fait je m’appelle Sarah. Je lui rĂ©pond : Et moi Patrick. EnchantĂ© Sarah.

Nous arrivons essoufflĂ© devant la porte de notre voiture. Nous montons dans le wagon, Sarah en tĂȘte. S’agissant d’un vieux train, il y a quelques marches Ă  monter depuis le quai. Sarah att**** les deux rampes pour se hisser dans le wagon. Positionner juste derriĂšre elle, son fessier arrive juste Ă  ma hauteur. Dans son Ă©lan, elle a faillit m’envoyer ses fesses dans le nez. C’est lĂ  que je me suis dit qu’elle a vraiment un beau petit cul.
Nous rentrons dans le wagon. Il s’agit des anciens trains avec les grands fauteuils en sky des plus inconfortables. La SNCF a vraiment fait les fonds de tiroirs pour mettre en place ce train. Nos places sont dans un carrĂ©. Pour le moment, nous sommes seuls dans le wagon. Sarah toujours devant avance vers nos places, disposant au prĂ©alable sa valise dans l’emplacement prĂ©vu Ă  l’entrĂ©e du compartiment. Je fais de mĂȘme. ArrivĂ©e devant le bon numĂ©ro, elle tente de mettre son petit sac dans le porte bagages. Il faut dire que du haut des 1,60m environ, elle doit se mettre sur la pointe des pieds ce qui fait remonter sa jupe Ă  l’orĂ©e de ses fesses. Je dĂ©couvre pour mon plus grand plaisir un trĂšs joli galbe que j’avais dĂ©jĂ  un peu devinĂ© dans la file d’attente au guichet et peut Ă©galement voir qu’elle porte un trĂšs joli tanga en dentelle. Se tournant lĂ©gĂšrement vers moi pour pousser son sac, son top se releva me laissant voir le piercing qu’elle au nombril, trĂšs mignon !
Une fois son sac en place, Sarah tire sur sa jupe et son top pour les remettre en place. Elle des gestes lents presque sensuels. A croire qu’elle a remarquĂ© que je la matais et qu’elle fait exprĂšs de m’aguicher. Elle s’assoie Ă  sa place cĂŽtĂ© fenĂȘtre. Je me pose sur le siĂšge opposĂ© en diagonale, cĂŽtĂ© couloir, pour ĂȘtre plus Ă  l’aise et pour pouvoir allonger les jambes. Sarah se blotti contre elle-mĂȘme un peu Ă  la façon d’un papillon dans sa chrysalide et somnole.
Le train dĂ©marre. Les vibrations du wagons sur les rails au passage des aiguillages font trembler la voiture. Ses cuisses que je peux voir par-dessus la tablette centrale vibrent au mĂȘme rythme. C’est assez Ă©rotique.
Je sors mon ordi de mon sac posé sur le siÚge face à Sarah et commence à relire mes notes de la journée.
J’avoue que la fatigue et les circonstances ne me permettent pas de me concentrer. Je commença Ă  piquer du nez quand j’entendais la porte du wagon s’ouvrir. Quelqu’un dĂ©posait sa valise Ă  l’entrĂ©e de la voiture. Nous ne serons pas seuls finalement. Sans doute quelqu’un qui a couru aussi aprĂšs son train me dis-je.
Cette personne entra dans le wagon en direction de sa place. ArrivĂ©e Ă  ma hauteur, les mouvements du train l’ont faite vaciller et presque tomber sur moi. Sortant de ma torpeur j’aperçois un joli tissu bleu satin d’une forme rebondie devant mon visage. J’avais les fesses de cette personne devant mon nez.
Elle repris son Ă©quilibre en s’excusant et avança vers sa place. Je dĂ©couvris un belle jeune femme avancer dans l’allĂ©e. Brune, cheveux moi-long avec une queue de cheval, Ă  peine plus ĂągĂ©e de Sarah, une petite trentaine je dirai. Elle porte une robe bustier moulante assez courte, un peu au-dessus du mi-cuisses. Sans manche et de la broderie sur les Ă©paules et le dos.
ArrivĂ©e Ă  sa place et comme Sarah elle tente de mettre son bagage Ă  main en hauteur mais Ă  peine plus grande, elle rencontrait les mĂȘmes difficultĂ©s.
Dans cette posture, je ne peux qu’admirer son fessier trĂšs joliment dessinĂ© par sa robe qui remontait le long de ses cuisses sous la tension induite par ses gestes.
Je me lĂšve et m’approche d’elle pour lui proposer mon aide ce qu’elle accepta en me remerciant. Je me positionne derriĂšre elle pour l’aider Ă  pousser son sac. Je peux voir au travers de la dentelle qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Humm me dis-je dans ma tĂȘte, sexy ! J’aperçois Ă©galement un trĂšs joli tatouage au motif floral sur son Ă©paule gauche. Des marguerites je crois.
Elle me remercie à nouveau et s’assoie dans son siùge. Fouille son sac à main pour en sortir un livre.
Je retourne Ă  ma place non sans marquer un arrĂȘt arrivĂ© Ă  la hauteur de Sarah endormie. Les genoux remontĂ©s sur le siĂšge installĂ©e en chien de fusil, sa fesse Ă©tait presque visible en totalitĂ© et sa cuisse entiĂšrement dĂ©voilĂ©e. Je sentais des petits fourmillements au niveau de mon pubis. Mon sexe commençait Ă  rĂ©agir Ă  cette magnifique vision.
Je me rassois. Quasi face Ă  elle, peut ĂȘtre sous l’effet de la clim poussĂ©e Ă  fond, je remarque que ces tĂ©tons pointaient sous son top. Le tissu collĂ© Ă  sa peau dessinait parfaitement le galbe de ses petits seins. Il n’en fallait pas plus pour que ma queue rĂ©agisse de plus belle. Je commençais Ă  ĂȘtre un peu Ă  l’étroit dans mon caleçon.
Je ne sais pas si la sensation de froid sur ses tĂ©tons la gĂȘnait ou lui plaisait mais cela la faite rĂ©agir. Elle apposa une main sur sa poitrine et commença Ă  se caresser les seins avec la paume de la main comme pour les rĂ©chauffer. Je me faisais peut-ĂȘtre un film mais au fur et Ă  mesure de son geste, son bassin ondula de plus en plus faisant remonter encore un peu plus sa jupe dĂ©voilant un peu la forme de son petit abricot moulĂ© dans son sous-vĂȘtement.
Je me mis à bander encore un peu plus m’obligeant à poser ma main sur mon pantalon pour mettre mes attributs en place.
Inconsciemment en faisant ce geste je regarde la belle inconnue assise face à moi en diagonale dans le carré opposé.
Elle me lança un petit regard par-dessus son livre montrant qu’elle avait bien remarquĂ© mon geste. De mon cĂŽtĂ©, mon regard Ă©tait attirĂ© par sa poitrine que j’imaginais nue sous sa robe avec une irrĂ©sistible envie de tirer sur la fermeture Ă©clair qui fermait son habit.
Je bandais de plus belle !
Published by dtcafg
1 year ago
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aladingo 5 months ago
jaime
dtcafg
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