Sandrine et ses principes
Sandrine, 38 ans, volontaire, cadre dans une boĂźte dâĂ©ditions, glisse entre les vagues de sa vie sentimentaleâŠ
A 23 ans, alors amoureuse folle dâun garçon de son Ăąge, Bac, puis BTS en poche, elle se lance dans la vie, menant de front sa vie amoureuse et ses Ă©tudesâŠ
Elle quitte le domicile familial, ses parents, sa sĆur cadette, et vole, je dirais, convoleâŠ
Pour deux raisons.
Elle Ă©pouse ce garçon sur un coup de tĂȘte, pour faciliter son essor, mais aussi, se tourner vers un avenir rose, aprĂšs 2 ans dâuniversitĂ©, et un cursus suffisant pour prĂ©tendre Ă entrer dans la cour des grandsâŠ
Oh, elle nâa pas de licence, ni de maĂźtrise, mais un atout majeur, son mari dirige une maison dâĂ©ditionsâŠ
Petit Ă petit, lâoiseau fait son nidâŠ
De pratique Ă douillet, puis confortable, et enfin, luxueuxâŠ
Elle apprend vite, Ă©tonne son mari en premier, ses collĂšgues et ses parentsâŠ
Elle devient en quelques mois un atout indispensable, dans la société de son époux.
Prix Ă foisons, dont le Goncourt et le Renaudot, lâan passĂ©âŠ
Mais sa vie sentimentale, elle la passe aprĂšs les livres, cherche Ă retrouver les sensations quâelle avait au dĂ©but de son mariageâŠ
Son mari occupĂ©, la dĂ©laisse souvent, elle nâa pas dâenfant, et nâen dĂ©sire pasâŠ
Elle a bientĂŽt 30 ans, dĂ©licieuse liane brune aux cheveux auburn, souvent en robe longue, cuisses fuselĂ©es, seins hauts et ronds, ni gros, ni petits, mais qui attirent le regard des connaisseurs par leur formeâŠ
Elle aime les mettre en valeur, ce quâelle dĂ©testait pendant son adolescence, sous les caresses de ses premiers flirtsâŠ
Aude, sa sĆur, Ă©tait jalouse de ses seins, et la forçait Ă les faire pigeonner, lorsquâelles avaient dĂ©cidĂ© de pĂ©choâŠ
JusquâĂ Etienne, elle sortait souvent, avec des amies, en club, ou en soirĂ©es dĂ©lirantes, dans lesquelles le sexe prenait une part importanteâŠ
On en revient toujours lĂ âŠ
Elle se voulait indĂ©pendante, paraĂźtre libĂ©rĂ©e, couchait facilement, depuis quâelle partageait un appartement avec Aude, sa sĆur, et poursuivait ses Ă©tudes.
Sa cadette, Ă©tait plus dĂ©lurĂ©e quâelle, frĂ©quentait des groupes plus ĂągĂ©s et ramenait souvent un coup dâun soir dans leur antre⊠Chacune sa chambre, un code pour signaler lâintrusâŠ
Câest un matin, en se rendant dans la cuisine pour dĂ©jeuner, quâelle se retrouva assise face Ă Etienne, le copain dâun copain de sa sĆurâŠ
Rien nâavait dâimportance pour Aude, elle avait un bel appĂ©tit sexuel depuis sa sortie dâadolescence et sa libĂ©ration, le fait dâhabiter en ville avec sa sĆur, et lĂ , elle avait ramenĂ© 2 copains dans sa voiture, puis dans son litâŠ
Les garçons Ă©taient gĂȘnĂ©s, Etienne se justifiait, car il nâĂ©tait pas motorisĂ© ce soir, il avait suivi son copain dans la voiture, sâendormant dĂ©jĂ et avait atterri, rejetĂ© rapidement, sur la descente de lit dâAudeâŠ
Aude Ă©tait belle et attirante, son ami Marc avait eu la prĂ©fĂ©rence de la coucheâŠ
Elle avait Ă©teint la lumiĂšre pour se dĂ©shabiller et Ă©treindre MarcâŠ
Il les avait laissĂ©s, percevant respiration, glissements, feulements, prenant son mal en patience, se bouchant les oreilles en attendant que le sommeil revienneâŠ
Les yeux de Sandrine avaient changĂ© de couleur, revoyant, imaginant, et douta des aveux de ce garçon timide⊠Il faut se mĂ©fier de lâeau qui dortâŠ
Elle le questionna, ils Ă©taient seuls, le couple avait remuĂ© jusquâau matinâŠ
- Tu nâavais pas envie ?
- Oh, si ! MaisâŠ
- Mais au dĂ©but, tu tâes allongĂ© avec eux ? Je connais ma sĆur⊠Elle a lâesprit largeâŠ
- Je lâai caressĂ©e, mais Marc a Ă©tĂ© trĂšs rapide⊠Elle ne regardait que lui⊠Quand elle a Ă©teint, jâai vu la main entre ses cuisses et jâai compris⊠Ensuite, elle bougeait sans cesse, miaulait, sautillait, riait⊠Ils faisaient lâamour sans doute, alors jâai abandonné⊠Honteux de perdre⊠Jâai pris un oreiller et me suis allongĂ© sur la descente de lit en agneauâŠ
- Elle nâest pas revenue vers toi pour te pomper ou bien te masturber, tâoffrir sa chatte ?
- Non, elle nâarrĂȘtait pas de gĂ©mir, de jouir⊠Elle lui plaisait, je ne lâavais jamais vu aussi performant, aussi puissant⊠Il faisait noir mais je les imaginais, elle a du faire le tour de la piĂšce plusieurs fois⊠Jâai comptĂ© ses orgasmes, il a dĂ» la prendre au moins cinq foisâŠ
Il Ă©tait en slip devant elle, un de ces boxers seyants, elle imaginait le sexe dressĂ©, insatisfaitâŠ
Elle alla sâassoir avec lui et commença Ă le caresserâŠ
Elle Ă©tait nue contre lui quand elle le prit dans sa bouche, puis elle sâassit Ă califourchon en se pĂ©nĂ©trant du dard ainsi en fĂȘte !...
Sandrine gardait les images de sa sĆur faisant le tour de sa chambre, baisĂ©e Ă qui-mieux-mieux par un garçon en rut, jouissant dans toutes les positions, dans la nuit noire, osant tout, ignorant le gentil garçon recroquevillĂ© dans un coin, discret tĂ©moin de cette nuit dâamourâŠ
Elle sâoffrit sur la table, Ă©cartelĂ©e, il la prit avec passion et tendresse, Ă©cartant ses cuisses et plongeant en elle Ă la vitesse dâun marteau-piqueur !...
Elle cria, il voulait la sodomiserâŠ
Elle accepta, mais nâĂ©tait pas friande, ni adepteâŠ
Mais il rĂ©veilla ses instincts et elle sâenvola en mĂ©lopĂ©es rugissantes, arcboutĂ©e sur la table, la queue plantĂ©e dans son arriĂšre-train !
Elle se laissa démonter, puis vit un garçon lui proposer son membre, sans doute le copain, alors, pour venger son amant, elle les conduisit dans sa chambre, et leur accorda une double pénétration.
EmpalĂ©e par les deux hommes, elle criait de plaisir au point de faire sortir sa sĆur de la douche Ă poil et en hurlant !
- Mais, Oh ! La catin ! Elle me les a volĂ©s ! Allez-y, elle aime les bites⊠plus que moi⊠Baisez-la, travaillez-la, videz-vos couilles dans son con de putain ! Salauds, immondes, vous niquez ma sĆur dans mon dos ! Alors prends-moi aussi, le puceau, je ne tâai pas senti cette nuit, tu es gay ?
Elle nous entraĂźne, pour la premiĂšre fois dans ma chambre, dans une partie carrĂ©e dĂ©mente, changeant de partenaire toute les 5 minutesâŠ
Cette sĂ©ance dura toute la journĂ©e⊠Entre repos, boissons, biscuits, musique douceâŠ
Le soir, les garçons allĂšrent chercher des pizzasâŠ
On ne sortait de la chambre que pour manger ou se rendre Ă la salle de bains.
Pour la premiĂšre fois, elles se sentaient complices, elles avaient baisĂ© un mec dans la mĂȘme piĂšce pour la premiĂšre fois, avaient Ă©changĂ© leurs amants, sans tenir compte de leur statut de sĆursâŠ
Elles nâavaient jamais partagĂ© du sexe auparavantâŠ
Education, enseignement catholique, tabous en tous genresâŠ
Il Ă©tait interdit de parler de sexualitĂ©, de se montrer nu, de se donner du plaisir, de prendre du plaisir, ni de se masturberâŠ
Et mĂȘme en voiture, il nây a pas si longtemps, lors de baises rapides de confort, elles ne sâĂ©taient jamais regardĂ©es, contenant leurs vocalises et leur jouissance, se rhabillant aussitĂŽtâŠ
Sandrine, contemple la nuditĂ© dâAudeâŠ
AbandonnĂ©e, allongĂ©e, nue, sur le ventre, la tĂȘte sur la large poitrine de son amant, ses lĂšvres embrassant le torse parsemĂ© de poils bruns, glissant ses doigts dans la tonsure accueillante, puis rejoignant les lĂšvres du garçon pour un baiser dâamour dĂ©licieux dâintensitĂ©âŠ
Dâune main, Aude caresse et masturbe nonchalamment le sexe fatiguĂ©âŠ
Sandrine perçoit la tension qui sâinstalle dans la chambreâŠ
Les caresses plus appuyĂ©es, plus prĂ©cisesâŠ
Les respirations plus fortes, les gestes plus doux, plus ciblĂ©s, des sons provenant de leur gorge, et des feulements discrets, involontaires⊠Des attitudes lascivesâŠ
Ambiance relevĂ©e par la nuditĂ© des partenaires, leur abandon et leur nonchalance, sans se soucier de la prĂ©sence de lâautre coupleâŠ
Une odeur de stupre, de vice, de transpiration, de sĂ©crĂ©tions diverses, se transmet, progresseâŠ
Aude, les cuisses ouvertes, son intimitĂ© offerte, ondule sa croupe, frotte sa vulve sur le corps mort, revigorĂ©âŠ
Puis dĂ©licieusement, elle ouvre son sexe devant celui du garçonâŠ
Aude guide le dĂ©licieux membre bien Ă©rigĂ© jusquâĂ sa vulve.
Elle se cambre, se soulĂšve, le sexe disparait lentementâŠ
Les seins, tĂ©tons dressĂ©s, elle avance et recule son bassin en cadence, feulant son plaisir en croisant le regard de son ainĂ©eâŠ
Elle esquisse un sourire, jouissant intĂ©rieurement, puis mouillant ses lĂšvres, elle gĂ©mit, accĂ©lĂ©rant jusquâĂ un premier orgasmeâŠ
Les yeux toujours rivĂ©s Ă ceux de Sandrine, elle se tourne, puis sâĂ©cartĂšle devant elle, et reprend le sexe dans sa chatte rasĂ©e, elle monte et baisse, berçant le sexe en elle, Ă son rythme, rĂ©veillant peu Ă peu lâardeur du garçonâŠ
Sandrine regarde sa sĆur⊠Le sexe va et vient, parfois ressort un instant, droit comme un i, de plus en plus gros, puis disparait de nouveau dans le vagin dĂ©trempĂ© âŠ
Elle ressent les effets de ce tableau pornographiqueâŠ
Pour la premiĂšre fois, elle aimerait ĂȘtre Ă la place de sa sĆur, mais aussi, entendre ce que pense son amantâŠ
AllongĂ©e sur le dos, Sandrine pense Ă ce garçon et se met Ă sa placeâŠ
Il observe son pĂ©nis, glissant en cadence dans la chatte de Aude, et face Ă eux, sa sĆur, Sandrine, joue les voyeuses, jambes Ă©cartĂ©es, une main dans son minou, trĂšs excitante, semble pĂ©trifiĂ©e par la scĂšne qui se dĂ©roule devant elleâŠ
Il aperçoit derriĂšre elle, son copain qui dort, Ă©puisĂ© par cet aprĂšs-midi de folieâŠ
Puis il fixe la jeune femme en train de se masturber, belle comme le jour, ses seins arrondis, se balancent au rythme de sa caresse, dont elle semble ressentir les premiers effetsâŠ.
Cette vision, sa vision, le perturbeâŠ
Il ressent un autre plaisir monter en luiâŠ
Son sexe palpite dans le vagin en Ă©moiâŠ
Aude, terriblement excitĂ©e, comblĂ©e par cette position, sâenvoleâŠ
Câest trop bon, elle le veut !
Elle serre le membre avec ses muscles vaginauxâŠ
« Il va exploser ! Viens !... Lùche-toi⊠»
« Regarde Sandrine, ce que je suis capable de faire !... Je nâai pas honte de me donner en spectacle devant toi⊠De baiser pour tâexciter, de jouir comme une chatteâŠÂ»
Câest divin⊠Il entend, il se dĂ©tendâŠ
Il lui semble avoir pris les deux femmes en mĂȘme tempsâŠ
Aude crie son orgasme, Sandrine dĂ©lire son plaisir, dans un dernier mouvement, se pĂ©nĂ©trant de plusieurs doigts assemblĂ©s, le pouce appuyĂ© sur son clitoris, turgescent de dĂ©sirâŠ
Elle a ouvert largement ses cuisses pour cette derniĂšre envolĂ©e, procurant une vision mĂ©morable de sa fĂ©minitĂ©, Ă ses vis-Ă -visâŠ
« Tu vois ma sĆur, tu nâas rien Ă mâapprendre, moi aussi jâaime me montrer⊠»
Dâune main, Aude invite Sandrine Ă les rejoindreâŠ
Du sperme sâĂ©coule sur ses drapsâŠ
Elle se penche et prend le sexe dans sa boucheâŠ
Câest un dĂ©lire, il sent le dĂ©sir de Sandrine lui donnant une fellation magiqueâŠ
Il plonge ses doigts vers sa minette⊠Câest un torrentâŠ
Alors ils se mettent en 69 pour vivre des minutes merveilleuses, Ă©changeant leurs sĂ©crĂ©tionsâŠ
Aude les regarde, le regard dans le vague, comme Ă©vanouieâŠ
Quelques gouttes de sperme coulent dans sa gorge de SandrineâŠ
Son nectar divin est happĂ© par la langue, cette odeur de femme vient apporter son Ă©cot au reste des effluves⊠La chambre devient lupanarâŠ
Aude, offre son sexe dĂ©goulinant Ă la bouche de Marc, leur amantâŠ
Le garçon aspire le liquide, puis embrasse Sandrine qui recueille le tout dans sa gorge et avaleâŠ
« Prends-la ! »
« On va te sucer et tu vas la baiser comme moi⊠»
- Mon dieu, elles sont folles, je dois rĂȘverâŠ
- CĂŽte-Ă -cĂŽte, elles se relaient sur le sexe, allongĂ©es sur le ventre de part et dâautre de MarcâŠ
Elle sâassied alors sur le mat ainsi rĂ©tabliâŠ
Elle aime cet instant oĂč son corps ressent le corps Ă©tranger pĂ©nĂ©trer son intimitĂ©âŠ
Elle aussi, les yeux rivĂ©s sur Aude, contemple sa sĆur en train de se masturber devant euxâŠ
Les mains de Marc empaument ses seins, elle se donne ce plaisir divin, sâempale en cadence, Aude la suit, Ă©cartelĂ©e, chatte grande ouverte, sa main accĂ©lĂšreâŠ
« Mon dieu ! Elles sont folles⊠Câest un concours de sexe entre les sĆurs⊠Câest dĂ©licieux, elles baisent comme deux reines, je suis un homme comblĂ© !...»
« Aude, je vais jouir⊠Je sens le sexe grossir encore, durcir en moi, son gland va expulser la semence fertile⊠»
« Sandrine, prends-toi aussi, il est dĂ©licieux mon Marc et je te le prĂȘte avec plaisir⊠Je commence Ă aimer notre trio infernal, apprĂ©ciant te voir et tâentendre prendre du plaisir⊠Et moi aussi, jâaime te montrer le mien, jouir sous la bite de mon amant, en te regardant te masturber⊠»
« Tiens !... Je te baise avec passion, je démonte ta vulve, tu es si belle en train de vibrer de mes aller-retours , jouissante, éclatante de bonheur⊠Oh, tiens ! Voici ma semence⊠Expulsée dans ton vagin⊠Tu en jouis encore, te donnant avec passion⊠Tes mots sans suite prouvent ton plaisir⊠»
« Oh, quel pied, Aude !⊠Il vient de me remplir aussi⊠Que câest bon dâĂȘtre insĂ©minĂ©e ainsi⊠Un garçon si tendre et performant, ma sĆur qui jouit avec moi, et moi qui explose mes orgasmes, satisfaisant ma libido, le vagin plein de sperme⊠»
- En principe, je reste sage, mais jâai senti comme un ouragan, et jâai cĂ©dĂ© Ă lâappĂąt du sexe⊠Jâai brisĂ© mes principes de morale⊠Jâai montrĂ© lâautre Sandrine, la perverse, la nymphomane, celle qui hante parfois mes nuits, venant me tenter jusque dans ma couche, ou me donnant envie dâun homme en plein restaurantâŠ
- On ne te juge pas, au contraire, pour moi, lâhomme, tu es craquanteâŠ
- Non, on apprĂ©cie⊠Jâai enfin fait craquer lâenveloppe⊠On va pouvoir continuer maintenant, toutes les deux⊠En amies intimes⊠Et si dans le feu de lâaction, on se frĂŽle, on sâembrasse, nây voit pas de perversitĂ© taboue, je tâaime au-delĂ de notre lien familial, tu es ma princesse depuis des annĂ©es, et je suis heureuse de te ressembler, et de te partager⊠Oui, nous sommes sĆurs, mais avant tout, femmes⊠On aime le plaisir, sans limite, je veux maintenant goĂ»ter aux plaisirs fĂ©minins, ĂȘtre ta complice, enfin vivre une sexualitĂ© dĂ©sinhibĂ©eâŠ.
Elle se rejoignent au milieu du lit, Aude goute la premiĂšre aux lĂšvres de sa sĆurâŠ
Sandrine dĂ©chire ses sermentsâŠ
Elles font lâamour saphique, se caressant sous la douche, revenant dans le lit, flirtant, sâoffrant Ă la bouche de lâautre, vibrant sous les baisers divins dans sa chatte, acceptant les caresses lesbiennes, les doigts de lâautre dans leur vagin⊠Chercher du plaisir en sâemboĂźtant sexe contre sexe, se frottant en gĂ©missant, et orgasmant ensemble en permettant une sodomie subtile et des envolĂ©es lyriques dĂ©mentesâŠ
Marc, spectateur, croit rĂȘver⊠le sexe enfin pris dâassaut en fin de sĂ©ance, il jouit dans les deux femmes, partageant son ardeur, en se disant que son copain a bien fait de sâendormir dans lâautre chambreâŠ
Il reviendra souvent voir les deux sĆurs, avec ou sans EtienneâŠ
Elles ont aimĂ© le faire Ă 4, se dĂ©chainant sous des doubles pĂ©nĂ©trations orchestrĂ©es par lâautre sĆurâŠ
Le seul principe de Sandrine, aprĂšs ces semaines de vacances, câest vivre sa vie de femme, la partager avec sa sĆur, tout partager !...
FIN
Marika842010 â AoĂ»t 2022
A 23 ans, alors amoureuse folle dâun garçon de son Ăąge, Bac, puis BTS en poche, elle se lance dans la vie, menant de front sa vie amoureuse et ses Ă©tudesâŠ
Elle quitte le domicile familial, ses parents, sa sĆur cadette, et vole, je dirais, convoleâŠ
Pour deux raisons.
Elle Ă©pouse ce garçon sur un coup de tĂȘte, pour faciliter son essor, mais aussi, se tourner vers un avenir rose, aprĂšs 2 ans dâuniversitĂ©, et un cursus suffisant pour prĂ©tendre Ă entrer dans la cour des grandsâŠ
Oh, elle nâa pas de licence, ni de maĂźtrise, mais un atout majeur, son mari dirige une maison dâĂ©ditionsâŠ
Petit Ă petit, lâoiseau fait son nidâŠ
De pratique Ă douillet, puis confortable, et enfin, luxueuxâŠ
Elle apprend vite, Ă©tonne son mari en premier, ses collĂšgues et ses parentsâŠ
Elle devient en quelques mois un atout indispensable, dans la société de son époux.
Prix Ă foisons, dont le Goncourt et le Renaudot, lâan passĂ©âŠ
Mais sa vie sentimentale, elle la passe aprĂšs les livres, cherche Ă retrouver les sensations quâelle avait au dĂ©but de son mariageâŠ
Son mari occupĂ©, la dĂ©laisse souvent, elle nâa pas dâenfant, et nâen dĂ©sire pasâŠ
Elle a bientĂŽt 30 ans, dĂ©licieuse liane brune aux cheveux auburn, souvent en robe longue, cuisses fuselĂ©es, seins hauts et ronds, ni gros, ni petits, mais qui attirent le regard des connaisseurs par leur formeâŠ
Elle aime les mettre en valeur, ce quâelle dĂ©testait pendant son adolescence, sous les caresses de ses premiers flirtsâŠ
Aude, sa sĆur, Ă©tait jalouse de ses seins, et la forçait Ă les faire pigeonner, lorsquâelles avaient dĂ©cidĂ© de pĂ©choâŠ
JusquâĂ Etienne, elle sortait souvent, avec des amies, en club, ou en soirĂ©es dĂ©lirantes, dans lesquelles le sexe prenait une part importanteâŠ
On en revient toujours lĂ âŠ
Elle se voulait indĂ©pendante, paraĂźtre libĂ©rĂ©e, couchait facilement, depuis quâelle partageait un appartement avec Aude, sa sĆur, et poursuivait ses Ă©tudes.
Sa cadette, Ă©tait plus dĂ©lurĂ©e quâelle, frĂ©quentait des groupes plus ĂągĂ©s et ramenait souvent un coup dâun soir dans leur antre⊠Chacune sa chambre, un code pour signaler lâintrusâŠ
Câest un matin, en se rendant dans la cuisine pour dĂ©jeuner, quâelle se retrouva assise face Ă Etienne, le copain dâun copain de sa sĆurâŠ
Rien nâavait dâimportance pour Aude, elle avait un bel appĂ©tit sexuel depuis sa sortie dâadolescence et sa libĂ©ration, le fait dâhabiter en ville avec sa sĆur, et lĂ , elle avait ramenĂ© 2 copains dans sa voiture, puis dans son litâŠ
Les garçons Ă©taient gĂȘnĂ©s, Etienne se justifiait, car il nâĂ©tait pas motorisĂ© ce soir, il avait suivi son copain dans la voiture, sâendormant dĂ©jĂ et avait atterri, rejetĂ© rapidement, sur la descente de lit dâAudeâŠ
Aude Ă©tait belle et attirante, son ami Marc avait eu la prĂ©fĂ©rence de la coucheâŠ
Elle avait Ă©teint la lumiĂšre pour se dĂ©shabiller et Ă©treindre MarcâŠ
Il les avait laissĂ©s, percevant respiration, glissements, feulements, prenant son mal en patience, se bouchant les oreilles en attendant que le sommeil revienneâŠ
Les yeux de Sandrine avaient changĂ© de couleur, revoyant, imaginant, et douta des aveux de ce garçon timide⊠Il faut se mĂ©fier de lâeau qui dortâŠ
Elle le questionna, ils Ă©taient seuls, le couple avait remuĂ© jusquâau matinâŠ
- Tu nâavais pas envie ?
- Oh, si ! MaisâŠ
- Mais au dĂ©but, tu tâes allongĂ© avec eux ? Je connais ma sĆur⊠Elle a lâesprit largeâŠ
- Je lâai caressĂ©e, mais Marc a Ă©tĂ© trĂšs rapide⊠Elle ne regardait que lui⊠Quand elle a Ă©teint, jâai vu la main entre ses cuisses et jâai compris⊠Ensuite, elle bougeait sans cesse, miaulait, sautillait, riait⊠Ils faisaient lâamour sans doute, alors jâai abandonné⊠Honteux de perdre⊠Jâai pris un oreiller et me suis allongĂ© sur la descente de lit en agneauâŠ
- Elle nâest pas revenue vers toi pour te pomper ou bien te masturber, tâoffrir sa chatte ?
- Non, elle nâarrĂȘtait pas de gĂ©mir, de jouir⊠Elle lui plaisait, je ne lâavais jamais vu aussi performant, aussi puissant⊠Il faisait noir mais je les imaginais, elle a du faire le tour de la piĂšce plusieurs fois⊠Jâai comptĂ© ses orgasmes, il a dĂ» la prendre au moins cinq foisâŠ
Il Ă©tait en slip devant elle, un de ces boxers seyants, elle imaginait le sexe dressĂ©, insatisfaitâŠ
Elle alla sâassoir avec lui et commença Ă le caresserâŠ
Elle Ă©tait nue contre lui quand elle le prit dans sa bouche, puis elle sâassit Ă califourchon en se pĂ©nĂ©trant du dard ainsi en fĂȘte !...
Sandrine gardait les images de sa sĆur faisant le tour de sa chambre, baisĂ©e Ă qui-mieux-mieux par un garçon en rut, jouissant dans toutes les positions, dans la nuit noire, osant tout, ignorant le gentil garçon recroquevillĂ© dans un coin, discret tĂ©moin de cette nuit dâamourâŠ
Elle sâoffrit sur la table, Ă©cartelĂ©e, il la prit avec passion et tendresse, Ă©cartant ses cuisses et plongeant en elle Ă la vitesse dâun marteau-piqueur !...
Elle cria, il voulait la sodomiserâŠ
Elle accepta, mais nâĂ©tait pas friande, ni adepteâŠ
Mais il rĂ©veilla ses instincts et elle sâenvola en mĂ©lopĂ©es rugissantes, arcboutĂ©e sur la table, la queue plantĂ©e dans son arriĂšre-train !
Elle se laissa démonter, puis vit un garçon lui proposer son membre, sans doute le copain, alors, pour venger son amant, elle les conduisit dans sa chambre, et leur accorda une double pénétration.
EmpalĂ©e par les deux hommes, elle criait de plaisir au point de faire sortir sa sĆur de la douche Ă poil et en hurlant !
- Mais, Oh ! La catin ! Elle me les a volĂ©s ! Allez-y, elle aime les bites⊠plus que moi⊠Baisez-la, travaillez-la, videz-vos couilles dans son con de putain ! Salauds, immondes, vous niquez ma sĆur dans mon dos ! Alors prends-moi aussi, le puceau, je ne tâai pas senti cette nuit, tu es gay ?
Elle nous entraĂźne, pour la premiĂšre fois dans ma chambre, dans une partie carrĂ©e dĂ©mente, changeant de partenaire toute les 5 minutesâŠ
Cette sĂ©ance dura toute la journĂ©e⊠Entre repos, boissons, biscuits, musique douceâŠ
Le soir, les garçons allĂšrent chercher des pizzasâŠ
On ne sortait de la chambre que pour manger ou se rendre Ă la salle de bains.
Pour la premiĂšre fois, elles se sentaient complices, elles avaient baisĂ© un mec dans la mĂȘme piĂšce pour la premiĂšre fois, avaient Ă©changĂ© leurs amants, sans tenir compte de leur statut de sĆursâŠ
Elles nâavaient jamais partagĂ© du sexe auparavantâŠ
Education, enseignement catholique, tabous en tous genresâŠ
Il Ă©tait interdit de parler de sexualitĂ©, de se montrer nu, de se donner du plaisir, de prendre du plaisir, ni de se masturberâŠ
Et mĂȘme en voiture, il nây a pas si longtemps, lors de baises rapides de confort, elles ne sâĂ©taient jamais regardĂ©es, contenant leurs vocalises et leur jouissance, se rhabillant aussitĂŽtâŠ
Sandrine, contemple la nuditĂ© dâAudeâŠ
AbandonnĂ©e, allongĂ©e, nue, sur le ventre, la tĂȘte sur la large poitrine de son amant, ses lĂšvres embrassant le torse parsemĂ© de poils bruns, glissant ses doigts dans la tonsure accueillante, puis rejoignant les lĂšvres du garçon pour un baiser dâamour dĂ©licieux dâintensitĂ©âŠ
Dâune main, Aude caresse et masturbe nonchalamment le sexe fatiguĂ©âŠ
Sandrine perçoit la tension qui sâinstalle dans la chambreâŠ
Les caresses plus appuyĂ©es, plus prĂ©cisesâŠ
Les respirations plus fortes, les gestes plus doux, plus ciblĂ©s, des sons provenant de leur gorge, et des feulements discrets, involontaires⊠Des attitudes lascivesâŠ
Ambiance relevĂ©e par la nuditĂ© des partenaires, leur abandon et leur nonchalance, sans se soucier de la prĂ©sence de lâautre coupleâŠ
Une odeur de stupre, de vice, de transpiration, de sĂ©crĂ©tions diverses, se transmet, progresseâŠ
Aude, les cuisses ouvertes, son intimitĂ© offerte, ondule sa croupe, frotte sa vulve sur le corps mort, revigorĂ©âŠ
Puis dĂ©licieusement, elle ouvre son sexe devant celui du garçonâŠ
Aude guide le dĂ©licieux membre bien Ă©rigĂ© jusquâĂ sa vulve.
Elle se cambre, se soulĂšve, le sexe disparait lentementâŠ
Les seins, tĂ©tons dressĂ©s, elle avance et recule son bassin en cadence, feulant son plaisir en croisant le regard de son ainĂ©eâŠ
Elle esquisse un sourire, jouissant intĂ©rieurement, puis mouillant ses lĂšvres, elle gĂ©mit, accĂ©lĂ©rant jusquâĂ un premier orgasmeâŠ
Les yeux toujours rivĂ©s Ă ceux de Sandrine, elle se tourne, puis sâĂ©cartĂšle devant elle, et reprend le sexe dans sa chatte rasĂ©e, elle monte et baisse, berçant le sexe en elle, Ă son rythme, rĂ©veillant peu Ă peu lâardeur du garçonâŠ
Sandrine regarde sa sĆur⊠Le sexe va et vient, parfois ressort un instant, droit comme un i, de plus en plus gros, puis disparait de nouveau dans le vagin dĂ©trempĂ© âŠ
Elle ressent les effets de ce tableau pornographiqueâŠ
Pour la premiĂšre fois, elle aimerait ĂȘtre Ă la place de sa sĆur, mais aussi, entendre ce que pense son amantâŠ
AllongĂ©e sur le dos, Sandrine pense Ă ce garçon et se met Ă sa placeâŠ
Il observe son pĂ©nis, glissant en cadence dans la chatte de Aude, et face Ă eux, sa sĆur, Sandrine, joue les voyeuses, jambes Ă©cartĂ©es, une main dans son minou, trĂšs excitante, semble pĂ©trifiĂ©e par la scĂšne qui se dĂ©roule devant elleâŠ
Il aperçoit derriĂšre elle, son copain qui dort, Ă©puisĂ© par cet aprĂšs-midi de folieâŠ
Puis il fixe la jeune femme en train de se masturber, belle comme le jour, ses seins arrondis, se balancent au rythme de sa caresse, dont elle semble ressentir les premiers effetsâŠ.
Cette vision, sa vision, le perturbeâŠ
Il ressent un autre plaisir monter en luiâŠ
Son sexe palpite dans le vagin en Ă©moiâŠ
Aude, terriblement excitĂ©e, comblĂ©e par cette position, sâenvoleâŠ
Câest trop bon, elle le veut !
Elle serre le membre avec ses muscles vaginauxâŠ
« Il va exploser ! Viens !... Lùche-toi⊠»
« Regarde Sandrine, ce que je suis capable de faire !... Je nâai pas honte de me donner en spectacle devant toi⊠De baiser pour tâexciter, de jouir comme une chatteâŠÂ»
Câest divin⊠Il entend, il se dĂ©tendâŠ
Il lui semble avoir pris les deux femmes en mĂȘme tempsâŠ
Aude crie son orgasme, Sandrine dĂ©lire son plaisir, dans un dernier mouvement, se pĂ©nĂ©trant de plusieurs doigts assemblĂ©s, le pouce appuyĂ© sur son clitoris, turgescent de dĂ©sirâŠ
Elle a ouvert largement ses cuisses pour cette derniĂšre envolĂ©e, procurant une vision mĂ©morable de sa fĂ©minitĂ©, Ă ses vis-Ă -visâŠ
« Tu vois ma sĆur, tu nâas rien Ă mâapprendre, moi aussi jâaime me montrer⊠»
Dâune main, Aude invite Sandrine Ă les rejoindreâŠ
Du sperme sâĂ©coule sur ses drapsâŠ
Elle se penche et prend le sexe dans sa boucheâŠ
Câest un dĂ©lire, il sent le dĂ©sir de Sandrine lui donnant une fellation magiqueâŠ
Il plonge ses doigts vers sa minette⊠Câest un torrentâŠ
Alors ils se mettent en 69 pour vivre des minutes merveilleuses, Ă©changeant leurs sĂ©crĂ©tionsâŠ
Aude les regarde, le regard dans le vague, comme Ă©vanouieâŠ
Quelques gouttes de sperme coulent dans sa gorge de SandrineâŠ
Son nectar divin est happĂ© par la langue, cette odeur de femme vient apporter son Ă©cot au reste des effluves⊠La chambre devient lupanarâŠ
Aude, offre son sexe dĂ©goulinant Ă la bouche de Marc, leur amantâŠ
Le garçon aspire le liquide, puis embrasse Sandrine qui recueille le tout dans sa gorge et avaleâŠ
« Prends-la ! »
« On va te sucer et tu vas la baiser comme moi⊠»
- Mon dieu, elles sont folles, je dois rĂȘverâŠ
- CĂŽte-Ă -cĂŽte, elles se relaient sur le sexe, allongĂ©es sur le ventre de part et dâautre de MarcâŠ
Elle sâassied alors sur le mat ainsi rĂ©tabliâŠ
Elle aime cet instant oĂč son corps ressent le corps Ă©tranger pĂ©nĂ©trer son intimitĂ©âŠ
Elle aussi, les yeux rivĂ©s sur Aude, contemple sa sĆur en train de se masturber devant euxâŠ
Les mains de Marc empaument ses seins, elle se donne ce plaisir divin, sâempale en cadence, Aude la suit, Ă©cartelĂ©e, chatte grande ouverte, sa main accĂ©lĂšreâŠ
« Mon dieu ! Elles sont folles⊠Câest un concours de sexe entre les sĆurs⊠Câest dĂ©licieux, elles baisent comme deux reines, je suis un homme comblĂ© !...»
« Aude, je vais jouir⊠Je sens le sexe grossir encore, durcir en moi, son gland va expulser la semence fertile⊠»
« Sandrine, prends-toi aussi, il est dĂ©licieux mon Marc et je te le prĂȘte avec plaisir⊠Je commence Ă aimer notre trio infernal, apprĂ©ciant te voir et tâentendre prendre du plaisir⊠Et moi aussi, jâaime te montrer le mien, jouir sous la bite de mon amant, en te regardant te masturber⊠»
« Tiens !... Je te baise avec passion, je démonte ta vulve, tu es si belle en train de vibrer de mes aller-retours , jouissante, éclatante de bonheur⊠Oh, tiens ! Voici ma semence⊠Expulsée dans ton vagin⊠Tu en jouis encore, te donnant avec passion⊠Tes mots sans suite prouvent ton plaisir⊠»
« Oh, quel pied, Aude !⊠Il vient de me remplir aussi⊠Que câest bon dâĂȘtre insĂ©minĂ©e ainsi⊠Un garçon si tendre et performant, ma sĆur qui jouit avec moi, et moi qui explose mes orgasmes, satisfaisant ma libido, le vagin plein de sperme⊠»
- En principe, je reste sage, mais jâai senti comme un ouragan, et jâai cĂ©dĂ© Ă lâappĂąt du sexe⊠Jâai brisĂ© mes principes de morale⊠Jâai montrĂ© lâautre Sandrine, la perverse, la nymphomane, celle qui hante parfois mes nuits, venant me tenter jusque dans ma couche, ou me donnant envie dâun homme en plein restaurantâŠ
- On ne te juge pas, au contraire, pour moi, lâhomme, tu es craquanteâŠ
- Non, on apprĂ©cie⊠Jâai enfin fait craquer lâenveloppe⊠On va pouvoir continuer maintenant, toutes les deux⊠En amies intimes⊠Et si dans le feu de lâaction, on se frĂŽle, on sâembrasse, nây voit pas de perversitĂ© taboue, je tâaime au-delĂ de notre lien familial, tu es ma princesse depuis des annĂ©es, et je suis heureuse de te ressembler, et de te partager⊠Oui, nous sommes sĆurs, mais avant tout, femmes⊠On aime le plaisir, sans limite, je veux maintenant goĂ»ter aux plaisirs fĂ©minins, ĂȘtre ta complice, enfin vivre une sexualitĂ© dĂ©sinhibĂ©eâŠ.
Elle se rejoignent au milieu du lit, Aude goute la premiĂšre aux lĂšvres de sa sĆurâŠ
Sandrine dĂ©chire ses sermentsâŠ
Elles font lâamour saphique, se caressant sous la douche, revenant dans le lit, flirtant, sâoffrant Ă la bouche de lâautre, vibrant sous les baisers divins dans sa chatte, acceptant les caresses lesbiennes, les doigts de lâautre dans leur vagin⊠Chercher du plaisir en sâemboĂźtant sexe contre sexe, se frottant en gĂ©missant, et orgasmant ensemble en permettant une sodomie subtile et des envolĂ©es lyriques dĂ©mentesâŠ
Marc, spectateur, croit rĂȘver⊠le sexe enfin pris dâassaut en fin de sĂ©ance, il jouit dans les deux femmes, partageant son ardeur, en se disant que son copain a bien fait de sâendormir dans lâautre chambreâŠ
Il reviendra souvent voir les deux sĆurs, avec ou sans EtienneâŠ
Elles ont aimĂ© le faire Ă 4, se dĂ©chainant sous des doubles pĂ©nĂ©trations orchestrĂ©es par lâautre sĆurâŠ
Le seul principe de Sandrine, aprĂšs ces semaines de vacances, câest vivre sa vie de femme, la partager avec sa sĆur, tout partager !...
FIN
Marika842010 â AoĂ»t 2022
2 years ago