Sandrine et ses principes

Sandrine, 38 ans, volontaire, cadre dans une boĂźte d’éditions, glisse entre les vagues de sa vie sentimentale


A 23 ans, alors amoureuse folle d’un garçon de son Ăąge, Bac, puis BTS en poche, elle se lance dans la vie, menant de front sa vie amoureuse et ses Ă©tudes


Elle quitte le domicile familial, ses parents, sa sƓur cadette, et vole, je dirais, convole

Pour deux raisons.
Elle Ă©pouse ce garçon sur un coup de tĂȘte, pour faciliter son essor, mais aussi, se tourner vers un avenir rose, aprĂšs 2 ans d’universitĂ©, et un cursus suffisant pour prĂ©tendre Ă  entrer dans la cour des grands


Oh, elle n’a pas de licence, ni de maĂźtrise, mais un atout majeur, son mari dirige une maison d’éditions


Petit à petit, l’oiseau fait son nid

De pratique à douillet, puis confortable, et enfin, luxueux

Elle apprend vite, Ă©tonne son mari en premier, ses collĂšgues et ses parents


Elle devient en quelques mois un atout indispensable, dans la société de son époux.
Prix Ă  foisons, dont le Goncourt et le Renaudot, l’an passé 

Mais sa vie sentimentale, elle la passe aprĂšs les livres, cherche Ă  retrouver les sensations qu’elle avait au dĂ©but de son mariage

Son mari occupĂ©, la dĂ©laisse souvent, elle n’a pas d’enfant, et n’en dĂ©sire pas

Elle a bientÎt 30 ans, délicieuse liane brune aux cheveux auburn, souvent en robe longue, cuisses fuselées, seins hauts et ronds, ni gros, ni petits, mais qui attirent le regard des connaisseurs par leur forme

Elle aime les mettre en valeur, ce qu’elle dĂ©testait pendant son adolescence, sous les caresses de ses premiers flirts


Aude, sa sƓur, Ă©tait jalouse de ses seins, et la forçait Ă  les faire pigeonner, lorsqu’elles avaient dĂ©cidĂ© de pĂ©cho


Jusqu’à Etienne, elle sortait souvent, avec des amies, en club, ou en soirĂ©es dĂ©lirantes, dans lesquelles le sexe prenait une part importante

On en revient toujours là


Elle se voulait indĂ©pendante, paraĂźtre libĂ©rĂ©e, couchait facilement, depuis qu’elle partageait un appartement avec Aude, sa sƓur, et poursuivait ses Ă©tudes.
Sa cadette, Ă©tait plus dĂ©lurĂ©e qu’elle, frĂ©quentait des groupes plus ĂągĂ©s et ramenait souvent un coup d’un soir dans leur antre
 Chacune sa chambre, un code pour signaler l’intrus


C’est un matin, en se rendant dans la cuisine pour dĂ©jeuner, qu’elle se retrouva assise face Ă  Etienne, le copain d’un copain de sa sƓur

Rien n’avait d’importance pour Aude, elle avait un bel appĂ©tit sexuel depuis sa sortie d’adolescence et sa libĂ©ration, le fait d’habiter en ville avec sa sƓur, et lĂ , elle avait ramenĂ© 2 copains dans sa voiture, puis dans son lit

Les garçons Ă©taient gĂȘnĂ©s, Etienne se justifiait, car il n’était pas motorisĂ© ce soir, il avait suivi son copain dans la voiture, s’endormant dĂ©jĂ  et avait atterri, rejetĂ© rapidement, sur la descente de lit d’Aude


Aude était belle et attirante, son ami Marc avait eu la préférence de la couche

Elle avait éteint la lumiÚre pour se déshabiller et étreindre Marc

Il les avait laissés, percevant respiration, glissements, feulements, prenant son mal en patience, se bouchant les oreilles en attendant que le sommeil revienne


Les yeux de Sandrine avaient changĂ© de couleur, revoyant, imaginant, et douta des aveux de ce garçon timide
 Il faut se mĂ©fier de l’eau qui dort

Elle le questionna, ils Ă©taient seuls, le couple avait remuĂ© jusqu’au matin


- Tu n’avais pas envie ?
- Oh, si ! Mais

- Mais au dĂ©but, tu t’es allongĂ© avec eux ? Je connais ma sƓur
 Elle a l’esprit large

- Je l’ai caressĂ©e, mais Marc a Ă©tĂ© trĂšs rapide
 Elle ne regardait que lui
 Quand elle a Ă©teint, j’ai vu la main entre ses cuisses et j’ai compris
 Ensuite, elle bougeait sans cesse, miaulait, sautillait, riait
 Ils faisaient l’amour sans doute, alors j’ai abandonné  Honteux de perdre
 J’ai pris un oreiller et me suis allongĂ© sur la descente de lit en agneau

- Elle n’est pas revenue vers toi pour te pomper ou bien te masturber, t’offrir sa chatte ?
- Non, elle n’arrĂȘtait pas de gĂ©mir, de jouir
 Elle lui plaisait, je ne l’avais jamais vu aussi performant, aussi puissant
 Il faisait noir mais je les imaginais, elle a du faire le tour de la piĂšce plusieurs fois
 J’ai comptĂ© ses orgasmes, il a dĂ» la prendre au moins cinq fois


Il était en slip devant elle, un de ces boxers seyants, elle imaginait le sexe dressé, insatisfait

Elle alla s’assoir avec lui et commença à le caresser

Elle Ă©tait nue contre lui quand elle le prit dans sa bouche, puis elle s’assit Ă  califourchon en se pĂ©nĂ©trant du dard ainsi en fĂȘte !...

Sandrine gardait les images de sa sƓur faisant le tour de sa chambre, baisĂ©e Ă  qui-mieux-mieux par un garçon en rut, jouissant dans toutes les positions, dans la nuit noire, osant tout, ignorant le gentil garçon recroquevillĂ© dans un coin, discret tĂ©moin de cette nuit d’amour


Elle s’offrit sur la table, Ă©cartelĂ©e, il la prit avec passion et tendresse, Ă©cartant ses cuisses et plongeant en elle Ă  la vitesse d’un marteau-piqueur !...
Elle cria, il voulait la sodomiser

Elle accepta, mais n’était pas friande, ni adepte

Mais il rĂ©veilla ses instincts et elle s’envola en mĂ©lopĂ©es rugissantes, arcboutĂ©e sur la table, la queue plantĂ©e dans son arriĂšre-train !

Elle se laissa démonter, puis vit un garçon lui proposer son membre, sans doute le copain, alors, pour venger son amant, elle les conduisit dans sa chambre, et leur accorda une double pénétration.
EmpalĂ©e par les deux hommes, elle criait de plaisir au point de faire sortir sa sƓur de la douche Ă  poil et en hurlant !

- Mais, Oh ! La catin ! Elle me les a volĂ©s ! Allez-y, elle aime les bites
 plus que moi
 Baisez-la, travaillez-la, videz-vos couilles dans son con de putain ! Salauds, immondes, vous niquez ma sƓur dans mon dos ! Alors prends-moi aussi, le puceau, je ne t’ai pas senti cette nuit, tu es gay ?

Elle nous entraßne, pour la premiÚre fois dans ma chambre, dans une partie carrée démente, changeant de partenaire toute les 5 minutes


Cette séance dura toute la journée
 Entre repos, boissons, biscuits, musique douce

Le soir, les garçons allùrent chercher des pizzas

On ne sortait de la chambre que pour manger ou se rendre Ă  la salle de bains.

Pour la premiĂšre fois, elles se sentaient complices, elles avaient baisĂ© un mec dans la mĂȘme piĂšce pour la premiĂšre fois, avaient Ă©changĂ© leurs amants, sans tenir compte de leur statut de sƓurs


Elles n’avaient jamais partagĂ© du sexe auparavant

Education, enseignement catholique, tabous en tous genres

Il était interdit de parler de sexualité, de se montrer nu, de se donner du plaisir, de prendre du plaisir, ni de se masturber

Et mĂȘme en voiture, il n’y a pas si longtemps, lors de baises rapides de confort, elles ne s’étaient jamais regardĂ©es, contenant leurs vocalises et leur jouissance, se rhabillant aussitĂŽt


Sandrine, contemple la nuditĂ© d’Aude

AbandonnĂ©e, allongĂ©e, nue, sur le ventre, la tĂȘte sur la large poitrine de son amant, ses lĂšvres embrassant le torse parsemĂ© de poils bruns, glissant ses doigts dans la tonsure accueillante, puis rejoignant les lĂšvres du garçon pour un baiser d’amour dĂ©licieux d’intensité 
D’une main, Aude caresse et masturbe nonchalamment le sexe fatigué 

Sandrine perçoit la tension qui s’installe dans la chambre

Les caresses plus appuyées, plus précises

Les respirations plus fortes, les gestes plus doux, plus ciblés, des sons provenant de leur gorge, et des feulements discrets, involontaires
 Des attitudes lascives

Ambiance relevĂ©e par la nuditĂ© des partenaires, leur abandon et leur nonchalance, sans se soucier de la prĂ©sence de l’autre couple

Une odeur de stupre, de vice, de transpiration, de sécrétions diverses, se transmet, progresse

Aude, les cuisses ouvertes, son intimitĂ© offerte, ondule sa croupe, frotte sa vulve sur le corps mort, revigoré 
Puis dĂ©licieusement, elle ouvre son sexe devant celui du garçon


Aude guide le dĂ©licieux membre bien Ă©rigĂ© jusqu’à sa vulve.
Elle se cambre, se soulùve, le sexe disparait lentement

Les seins, tétons dressés, elle avance et recule son bassin en cadence, feulant son plaisir en croisant le regard de son ainée


Elle esquisse un sourire, jouissant intĂ©rieurement, puis mouillant ses lĂšvres, elle gĂ©mit, accĂ©lĂ©rant jusqu’à un premier orgasme

Les yeux toujours rivĂ©s Ă  ceux de Sandrine, elle se tourne, puis s’écartĂšle devant elle, et reprend le sexe dans sa chatte rasĂ©e, elle monte et baisse, berçant le sexe en elle, Ă  son rythme, rĂ©veillant peu Ă  peu l’ardeur du garçon


Sandrine regarde sa sƓur
 Le sexe va et vient, parfois ressort un instant, droit comme un i, de plus en plus gros, puis disparait de nouveau dans le vagin dĂ©trempĂ© 

Elle ressent les effets de ce tableau pornographique

Pour la premiĂšre fois, elle aimerait ĂȘtre Ă  la place de sa sƓur, mais aussi, entendre ce que pense son amant

AllongĂ©e sur le dos, Sandrine pense Ă  ce garçon et se met Ă  sa place


Il observe son pĂ©nis, glissant en cadence dans la chatte de Aude, et face Ă  eux, sa sƓur, Sandrine, joue les voyeuses, jambes Ă©cartĂ©es, une main dans son minou, trĂšs excitante, semble pĂ©trifiĂ©e par la scĂšne qui se dĂ©roule devant elle

Il aperçoit derriĂšre elle, son copain qui dort, Ă©puisĂ© par cet aprĂšs-midi de folie

Puis il fixe la jeune femme en train de se masturber, belle comme le jour, ses seins arrondis, se balancent au rythme de sa caresse, dont elle semble ressentir les premiers effets
.

Cette vision, sa vision, le perturbe

Il ressent un autre plaisir monter en lui

Son sexe palpite dans le vagin en Ă©moi

Aude, terriblement excitĂ©e, comblĂ©e par cette position, s’envole

C’est trop bon, elle le veut !
Elle serre le membre avec ses muscles vaginaux

« Il va exploser ! Viens !... LĂąche-toi
 »
« Regarde Sandrine, ce que je suis capable de faire !... Je n’ai pas honte de me donner en spectacle devant toi
 De baiser pour t’exciter, de jouir comme une chatte »

C’est divin
 Il entend, il se dĂ©tend

Il lui semble avoir pris les deux femmes en mĂȘme temps

Aude crie son orgasme, Sandrine délire son plaisir, dans un dernier mouvement, se pénétrant de plusieurs doigts assemblés, le pouce appuyé sur son clitoris, turgescent de désir


Elle a ouvert largement ses cuisses pour cette derniÚre envolée, procurant une vision mémorable de sa féminité, à ses vis-à-vis


« Tu vois ma sƓur, tu n’as rien Ă  m’apprendre, moi aussi j’aime me montrer
 »

D’une main, Aude invite Sandrine à les rejoindre

Du sperme s’écoule sur ses draps

Elle se penche et prend le sexe dans sa bouche


C’est un dĂ©lire, il sent le dĂ©sir de Sandrine lui donnant une fellation magique

Il plonge ses doigts vers sa minette
 C’est un torrent


Alors ils se mettent en 69 pour vivre des minutes merveilleuses, échangeant leurs sécrétions

Aude les regarde, le regard dans le vague, comme Ă©vanouie


Quelques gouttes de sperme coulent dans sa gorge de Sandrine

Son nectar divin est happé par la langue, cette odeur de femme vient apporter son écot au reste des effluves
 La chambre devient lupanar


Aude, offre son sexe dégoulinant à la bouche de Marc, leur amant

Le garçon aspire le liquide, puis embrasse Sandrine qui recueille le tout dans sa gorge et avale


« Prends-la ! »
« On va te sucer et tu vas la baiser comme moi
 »

- Mon dieu, elles sont folles, je dois rĂȘver

- CĂŽte-Ă -cĂŽte, elles se relaient sur le sexe, allongĂ©es sur le ventre de part et d’autre de Marc


Elle s’assied alors sur le mat ainsi rĂ©tabli

Elle aime cet instant oĂč son corps ressent le corps Ă©tranger pĂ©nĂ©trer son intimité 
Elle aussi, les yeux rivĂ©s sur Aude, contemple sa sƓur en train de se masturber devant eux

Les mains de Marc empaument ses seins, elle se donne ce plaisir divin, s’empale en cadence, Aude la suit, Ă©cartelĂ©e, chatte grande ouverte, sa main accĂ©lĂšre


« Mon dieu ! Elles sont folles
 C’est un concours de sexe entre les sƓurs
 C’est dĂ©licieux, elles baisent comme deux reines, je suis un homme comblĂ© !...»

« Aude, je vais jouir
 Je sens le sexe grossir encore, durcir en moi, son gland va expulser la semence fertile
 »

« Sandrine, prends-toi aussi, il est dĂ©licieux mon Marc et je te le prĂȘte avec plaisir
 Je commence Ă  aimer notre trio infernal, apprĂ©ciant te voir et t’entendre prendre du plaisir
 Et moi aussi, j’aime te montrer le mien, jouir sous la bite de mon amant, en te regardant te masturber
 »

« Tiens !... Je te baise avec passion, je dĂ©monte ta vulve, tu es si belle en train de vibrer de mes aller-retours , jouissante, Ă©clatante de bonheur
 Oh, tiens ! Voici ma semence
 ExpulsĂ©e dans ton vagin
 Tu en jouis encore, te donnant avec passion
 Tes mots sans suite prouvent ton plaisir
 »

« Oh, quel pied, Aude !
 Il vient de me remplir aussi
 Que c’est bon d’ĂȘtre insĂ©minĂ©e ainsi
 Un garçon si tendre et performant, ma sƓur qui jouit avec moi, et moi qui explose mes orgasmes, satisfaisant ma libido, le vagin plein de sperme
 »

- En principe, je reste sage, mais j’ai senti comme un ouragan, et j’ai cĂ©dĂ© Ă  l’appĂąt du sexe
 J’ai brisĂ© mes principes de morale
 J’ai montrĂ© l’autre Sandrine, la perverse, la nymphomane, celle qui hante parfois mes nuits, venant me tenter jusque dans ma couche, ou me donnant envie d’un homme en plein restaurant

- On ne te juge pas, au contraire, pour moi, l’homme, tu es craquante

- Non, on apprĂ©cie
 J’ai enfin fait craquer l’enveloppe
 On va pouvoir continuer maintenant, toutes les deux
 En amies intimes
 Et si dans le feu de l’action, on se frĂŽle, on s’embrasse, n’y voit pas de perversitĂ© taboue, je t’aime au-delĂ  de notre lien familial, tu es ma princesse depuis des annĂ©es, et je suis heureuse de te ressembler, et de te partager
 Oui, nous sommes sƓurs, mais avant tout, femmes
 On aime le plaisir, sans limite, je veux maintenant goĂ»ter aux plaisirs fĂ©minins, ĂȘtre ta complice, enfin vivre une sexualitĂ© dĂ©sinhibĂ©e
.

Elle se rejoignent au milieu du lit, Aude goute la premiùre aux lùvres de sa sƓur

Sandrine déchire ses serments

Elles font l’amour saphique, se caressant sous la douche, revenant dans le lit, flirtant, s’offrant Ă  la bouche de l’autre, vibrant sous les baisers divins dans sa chatte, acceptant les caresses lesbiennes, les doigts de l’autre dans leur vagin
 Chercher du plaisir en s’emboĂźtant sexe contre sexe, se frottant en gĂ©missant, et orgasmant ensemble en permettant une sodomie subtile et des envolĂ©es lyriques dĂ©mentes


Marc, spectateur, croit rĂȘver
 le sexe enfin pris d’assaut en fin de sĂ©ance, il jouit dans les deux femmes, partageant son ardeur, en se disant que son copain a bien fait de s’endormir dans l’autre chambre

Il reviendra souvent voir les deux sƓurs, avec ou sans Etienne

Elles ont aimĂ© le faire Ă  4, se dĂ©chainant sous des doubles pĂ©nĂ©trations orchestrĂ©es par l’autre sƓur


Le seul principe de Sandrine, aprùs ces semaines de vacances, c’est vivre sa vie de femme, la partager avec sa sƓur, tout partager !...

FIN

Marika842010 – AoĂ»t 2022
Published by marika842010
2 years ago
Comments
3
Please or to post comments
elisandre 2 years ago
nous aimons merci
Reply
caso29
caso29 2 years ago
Comme toujours chez toi Marika, super bien Ă©crit et histoire trĂšs excitante entre les 2 sƓurs😋
Reply
Michaelangelove2
Michaelangelove2 2 years ago
Passionnant et trĂšs excitant passage
Reply