2022 Patrimoine de l’Humanité

Voilà près d’un mois que nos vacances en Camping-Car sont terminées…
Nous sommes rentrés sans encombre, les yeux pleins de souvenirs, le corps encore marqué par nos excès.

Notre véhicule, rangé derrière ma maison, nettoyé, prêt pour une nouvelle parenthèse dans nos vies intimes…

Dans ma piscine, ce matin, je repense à tout cela, cette débauche avec des personnes agréables, douces, respectueuses, très chattes pour les femmes et très performantes pour ces messieurs, surtout ces deux frères blacks, avec lesquels il est difficile de lutter, sauf mon Romain, qui a des atouts percutants…

Bref, je fais quelques brasses sans me mouiller la tête, hier ma coiffeuse a refait une œuvre d’art…

Je repense à Nadine, rencontrée, séparée, emportée quelques jours avec nous, puis qui s’en est allée rejoindre ce trio démoniaque Nadia et les deux frères Jeff et Damien…

Des souvenirs cuisants de sexualité, des abandons délicieux, des performances athlétiques, des gens vraiment sympas et des amis devenus…

J’aurais aimé avoir Nadine quelques jours ici, chez moi, seule… Je l’imagine, comme ce matin, glissant dans l’eau, nue, nous croisant, puis nous rejoignant et passant quelques temps au fond du jardin, dans mon havre de nature sans aucun vis-à-vis, entouré de végétations luxuriantes, de fleurs odorantes, un lieu dédié au plaisir des sens…

Accoudée à l’échelle, je regarde mon espace détente, les larges matelas, les coussins, les tables basses, de quoi batifoler en toute sécurité, et mon nouveau Pool House, un studio d’été, pièce unique avec tout le confort pour passer des heures délicieuses, de plaisir et l’abandon total…

J’y ai déjà connu des séances d’exception, avec et sans Romain, surtout pendant le confinement… Je n’aime pas tromper Romain dans ma chambre…

L’eau me fait du bien, je glisse comme une sirène, ces souvenirs me prennent…
Je me revois jouissant allongée sur des coussins, écartelée, le sexe d’un voisin me menant à un orgasme délicieux de tendresse, pendant que sa femme fait les courses en ville…

C’est celui qui s’occupe de mon jardin quand je pars en vacances, je fais de même pour lui, arrosant les plantes et surveillant la piscine…
Sa femme ne m’aime pas, on s’évite, on évite de se parler…
Je me ratt**** avec lui, en levrette, le nez dans mes fleurs…
Sa bite est normale, active, et les effets sont délicieux…
J’ondule mon bassin avec lui, c’est super prenant… Je me laisse baiser…

Ma chatte coule son plaisir, nos corps se fondent, il tape son pubis contre mes fesses, devient dur…

Il va jouir dans peu de temps…

- Attends !... Viens…

J’happe son sexe à la limite de l’extase, lui fais une fellation dantesque, le laissant entre deux mondes… Il exulte de plaisir…
Je ne le fais pas jouir…
Je le pose entre mes deux seins, que je serre d’une main…
Il se balance, continuant une masturbation douce, prenante, très érotique, mes tétons dressés, ma chatte abandonnée coule de désir…

Je le redresse et lui offre mon bonbon grand ouvert, détrempé…

Il me prend par les chevilles, je replie mes jambes, et sa queue glisse dans mon intimité…
Il me fourre en me guidant, se donnant autant de plaisir que moi, en capitaine de navire, son pieu délicieusement enfoncé en ondes diverses et volutes de jouissance…

On se regarde, on se sourit, ça dure longtemps, je monte vers mon nuage…
J’ai envie de le sentir venir… Je griffe la terre, le matelas,
J’ai envie qu’il me prenne à fond, de jouir à mon tour, d’exploser mon orgasme latent…

- Oh, oui !... Viens !... Prends-moi !... Je te veux plus fort, viens !... Baise-moi !...

Il a compris autre chose, et me voici doigtée par mon second orifice, et, sans ménagement, il enfonce sa grosse bite pleine de jus, prête à exploser, dans mon anus…
La pièce tourne, il me déglingue…
Ses mains rivées sur les hanches, il pistonne mon cul de femme du monde…

Sacré macho de pervers, de déjanté… Il me sodomise comme une souillon…
Sa bite glisse, glisse, revient, reglisse au fond… Un métronome !

Je sens qu’il arrive au fond !...

- Oh, oui !... Lâche-toi !... Baise-moi comme une chienne !... Encule-moi comme une salope !!!!!!!

Ses coups de reins redoublent, son pubis tape mes fesses, les chocs son déments, amortis par ses couilles, mes seins battent la chamade, s’envolent au fil de nos percussions…

Ma rondelle explose…

Il grogne, il râle, il jouit enfin, noyant mon méat de sauce blanche…

- Ta femme en a oublié…
- Penses-tu, rien depuis que tu es partie !
- Oh, pauvre chéri… Je comprends cet acharnement, ces envolées sauvages, j’ai servi de déversoir à foutre…
- Non, avec une autre, ça n’a pas la même saveur…Ta chatte et ton cul devraient figurer au Patrimoine de l’Humanité !...

Il me raconte, mais me l’a déjà dit, je crois, qu’elle n’aime pas faire de fellation, encore moins être sodomisée… Ce qui restreint les possibilités de varier les plaisirs…
Pour moi, elle est triste et moche, sèche… Une morue pas dessalée…

Je l’ai invitée une ou deux fois avec lui, pour partager un barbecue, mais rien…
Je l’ai vue en maillot… Bof !... Je le comprends… Petits seins menus, jambes maigres, rien d’attirant… Romain me l’a confirmé…

Elle lui a demandé de construire une piscine chez eux, après…
Mais ils n’y font que très rarement l’amour, elle est visible des voisins…
Depuis quelques mois, elle ne lui fait plus grand chose…
Et surtout, elle ne l’attire plus, ne fait plus d’effort de séduction… Alors il vient ici… Depuis le premier confinement…
Pourtant si elle s’arrangeait un peu…

Gérard est un très bon amant… Il est patient, doux, il connait la femme, sait jouer de ses doigts, de sa langue, connait nos zones érogènes et en joue à merveille…

- Et si elle était lesbienne ?

Il me fait de gros yeux étonnés !...

- N…. Non !... Je… Oh !...
- Tu sais les femmes ont des besoins aussi, parfois, moins souvent, moins ciblés, mais elles aiment la tendresse, les attentions, être écoutées, être désirées…
- Tu crois que Sylvia ?...

Je n’y avais pas prêté attention alors… Pourquoi pas ?
J’aborde un sujet intime…

- Elle s’entretient le corps, la peau ?
- Je… Non…
- Elle ne fréquente pas un institut de beauté, massages, épilation, rasage ?
- Non, elle est presque glabre de là… Une pilosité éparse et blonde… Ses seins menus sont parfois très sensibles et c’est par là que je commence, quand…
- J’ai pigé !
- Vous avez essayé autre chose ? Des jouets, des films, des soirées entre amis ?
- Non… Une fois le naturisme… Mais bof, c’était très cool et pas sexuel du tout…
- Est-ce qu’elle aimait ça avant ?
- Oui, on avait des relations, on a fait des trucs comme tout le monde, baiser dans es toilettes au restau, en voiture, dans la nature…
- C’est elle qui commençait, elle venait te chercher ?
- Parfois, oui… Dans le lit aussi, elle me caressait, quittait sa culote, elle me suçait alors… Une fois, au ciné, elle m’a masturbé, et elle a m’essuyé avec sa culote… Quand on est sortis, elle m’a entraîné sous une entrée d’immeuble et elle s’est jetée sur moi… On a fait l’amour là… Elle s’empalait en gémissant comme une truie…
- Il y a longtemps ?
- 1 an ou deux… Elle est plus détendue en été…
- Tu veux que j’essaie avec elle ?
- Tu ferais ça pour moi ? Du rentre dedans entre lesbiennes potentielles ?
- Je peux lui demander si elle l’a fait et si elle aimerait tester avec moi… Et puis ça ne change rien entre nous si elle me jette…
- Ouais !... Tu crois qu’on peut la libérer ?
- Elle ne t’a jamais rien dit sur moi ? Après les barbecues ? Ou quand tu viens nettoyer la piscine ?
- Une fois elle m’a dit : « Va rejoindre ta pouffe »…
- Ah ! Je suis ta pouffiasse !...
- J’adore te rouler dans le jardin, planter ma tige dans ta chatte, rempoter mon poireau dans ton jardin secret… Et me nettoyer le pinceau dans ta bouche…
- Coquin… Viens me le prouver…
- Encore ?!!!!

On remet ça, comme deux malades, désinhibés, il me baise dans l’eau, dehors, dans le salon…
Sa bite est infatigable, comme boostée par ce que l’on a dit…
Voir sa femme à travers nos parties de jambes en l’air ! Ça le booste…

Il est quand même épuisé quand il repart par le jardin… Il a voulu me prendre sur la table forestière… Il lui restait quelques gouttes qui ont jailli entre mes lèvres…

Fait incroyable, je rencontre sa femme chez la manucure…
Jeudi après-midi, quelques jours après notre dernier tête à tête…

- Sylvia, quelle surprise, on te voit plus !
- Oh, je suis occupée et maintenant qu’on a une piscine, je n’ai plus besoin d’aller me rafraichir chez toi. Mon mari y va régulièrement… C’est bien assez !
- Cela te gène ? Tu doutes de sa fidélité ?
- Oh, il fait ce qu’il veut, je me suis déclarée en jachère !... Comme une bigote, j’ai fermé la porte de l’église…
- Pour tout le monde ?
- Euh… Je ne sais pas encore…
- Tu peux passer par la sacristie…
- Oh ! Mon sanctuaire ! Tu le fais ? Avec lui ?
- Mais non… On rit on bavarde, il est très drôle et me détend quelques instants. Et puis il entretient mon jardin…
- Ton Romain n’en est pas capable ?
- Sur le plan plaisir, oui, mais autrement, il est porté plus sur le canapé !
- Oh !... Je sais que vous plaisantez avec Gérard… Et ton Romain t’adore, tu es comblée et heureuse… Et tu aimes la vie… Le sexe aussi… Des amies à toi parlent chez le coiffeur… Tu aimes aussi les femmes…
- Oh, dis-donc, tu en apprends des trucs avec les pipelettes jalouses et mal baisées des alentours… Faut tout croire, ma chérie… Le sexe est un dérivatif quand il est partagé…
- Tu échanges avec Romain ? D’autres couples ?
- Oui, en vacances surtout, en camping-car, on fait des rencontres, on se détend, on se lâche…
- J’aimerais, mais Gérard est coincé… Il ne me touche plus beaucoup… Alors que souvent… Et j’aurais aimé essayé avec une femme… Je n’ai jamais vu une chatte de près…
- Et la tienne ?
- Oui, c’est pas de très près, à la lécher !
- Viens chez moi en sortant, tu passes devant… On essaie dans la piscine…
- Je n’ai pas mon maillot !
- Tu te fiches de moi, là… Un maillot chez moi !…
- Tu es vraiment lesbienne ?
- Bien, oui, depuis mon divorce d’avec Paul, tu te souviens de lui ?
- Oui… Et tes amies qui venaient à tes ventes ! Tout le quartier en parlait… Il s’est dites des choses si atroces que ça en devenait risible…
- Comme quoi ?
- Que tu étais une pute et que tu séduisais tes voisines et les femmes en détresse du quartier, que tu organisais des orgies pour elles, avec elles, et que ton mari les sautait en cachette… Etc…
- Les fantasmes allaient bon train… Non, j’en ai sauvé des dizaines… Des griffes de leur mari, de leur amant… Ça ne plaisait pas aux machos… Mais elles étaient bien chez moi et se sentaient en sécurité… Alors elles se faisaient des amies, qu’elles ne pouvaient pas rencontrer ailleurs… Et voilà, certaines se sont découvert des points commun, se sont entraidées, rapprochées, sont devenus amantes par nécessité, trop privées de tendresse et d’amour… Rien de plus et rien de vulgaire…
- Alors tu l’as fait ? Tu as appris le sexe lesbien ? Tu l’as pratiqué, tu le fais encore ?
- Alors, oui… Je l’ai fait et je le fais encore… J’aime la femme, le plaisir au féminin, des échanges merveilleux, sains, doux, tendres, j’aime jouir de tout pendant que je le peux…

Je l’ai convaincue…

Quand elle entre par le jardin, c’est plus discret, elle monte dans mon salon…
Elle est belle, les ongles faits, cheveux éclatants, relevés, roux… Robe blanche, un peu transparente, on voit son soutien-gorge et son slip…
Elle n’a pas mis de string…

Elle vient vers moi, s’approche doucement, en me souriant…
Ses lèvres sont douces… Elle n’a pas hésité… J’ai obéi et ai tendu les miennes…

Elle se plaque contre moi, nos langues se savourent, il est vrai que ses seins ne frottent pas contre miens… Mais ses mains vont dans mes reins, nos pubis se complètent, elles enlacent mes fesses, remontent, elle ondule contre moi, doucement, en silence, se glissant dans mes bras…
Invitation… Action…
Je caresse ses hanches, ses reins, ses fesses…
Elle se trémousse…

Je glisse mes mains vers sa poitrine, ouvre la robe…
Je dégrafe, fais glisser le vêtement, elle fait glisser le mien…
Torses nus, en culotte, elle prend mes seins dans ses mains et les mange…
Je fonds de désir, je coule de tendresse…
Ma main s’insinue entre ses cuisses… Le paradis… La culote glisse, elle s’ouvre à ma main…
On se savoure…
Ses doigts découvrent mon intimité, cherchent, titillent, tournent mon clito au même moment que je tourne le sien et le débusque…
Elle souffle, elle gémit, elle feule…
Sur le sofa, elle s’offre à moi, chatte écartelée de désir, luisante, juste quelques poils épars, et mes doigts découvrent, écartent, pour que ma langue vienne savourer son puits d’amour…
Elle me veut aussi, en 69, je lui donne mon bonbon, luisant de mouille…

On se doigte, on se suce, on se masturbe, on sent la femme….
Je la prends avec deux doigts dans son vagin qui viennent la porter à un orgasme inouï…

Elle crie, gémit, me fait pareil, et on se masturbe ensemble, mêmes caresses, même vitesse, même douceur, nos lèvres se retrouvant tendrement…

Écartelées, nos vulves se frottent, se touchent, se tapent, elle jouit, elle pince ses tétons en savourant cet orgasme…

Je la laisse récupérer et elle vient butiner mon intimité…
Je reprends la sienne, pénétrée, sublimée, elle jouit…
Et j’ose un doigt dans l’anus…

Elle délire, se pâme, jouit si fort qu’elle en tremble…

- Oh, oui… Doigte mon cul… Fais-moi jouir comme une salope… Lesbienne et salope…
- Tu aimes la sodomie ?
- Bof… Avec Gérard c’est pas trop mal, mais je n’en abuse pas… Je préfère qu’il me prenne dans mon vagin… J’aime le sentir exploser… Comme s’il me faisait un enfant…
- Tu n’en n’as pas eu ?
- Non, je n’arrive pas à garder l’ovule… C’est pour cela que je le rejette… Je lui en veux… A quoi bon baiser alors ? Je sais que cela vient de moi, mais je lui en veux…
- Tu risques de le perdre, tu sais… Ils sont perdus sans femme…
- Tu t’en occupes, je ne suis pas idiote, et plutôt toi qu’une autre… Je sais que toi, tu le vides pour ta libido et la sienne… Dès le départ, je savais que tu coucherais avec lui…
- Tu ne m’en veux pas alors ? Et tu as raison, il le fait parce que tu le délaisses…
- J’ai juste peur quand tu n’es pas là, qu’il aille voir une autre femme, il y en a plein autour de chez nous… Marie-Anne, celle de la grande maison, son mari est parti, son fils est beau…
- Je le connais, elle est comme moi, un peu lesbienne… Son fils est adorable et très doux… Si tu veux…
- Je n’ai jamais eu d’amant…
- Tu aimerais ce jeune homme…
- Tu veux me revoir ?
- Oui… On peut t’aider à te libérer… Avec les hommes, je parle…
- Cela vient de là ? Je suis trop coincée ? Leurs spermatozoïdes ont peur de mes ovules ?
- En toi, tu ne le veux pas… Je suis sûre que tu baises et après tu vas vite te laver…
- C’est vrai que j’ai peur de la maternité… Je prends la pilule en douce…
- Oh !...
- Tu l’aimes ?
- Je ne sais pas… Depuis qu’il le fait avec toi, je n’ai plus de désir pour lui… Tu le vides une fois par mois… Et c’est bon… Il ne me cherche pas… A un moment, j’avais peur qu’il me viole, lorsqu’il était en manque et cherchait une femme…
- Il fait bien l’amour, pas que le sexe…
- Je m’en fiche, tu fais ce que tu veux…
- Tu as raison, je ne baise avec lui que pour le sexe… Quand il en a envie il est super gentil et sait me donner du plaisir, c’est tout ce que je cherche, moi aussi… Assouvir ma libido…
- On pourrait le faire tous les trois ? Qu’il me baise comme il te le fait… On pourrait l’exciter avant, toutes les deux, lui montrer que je ne suis pas ce qu’il croit…
- Tu progresses… Je ne te savais pas si demandeuse…
- Fantasmes inassouvis…
- D’autres ?
- Oui, plein… A deux… Une copine m’a raconté son dernier week-end avec des amis… Des échangistes… Elle aime la baise, les queues, se faire ramoner… Elle adore draguer les jeunes en boîte de nuit ou dans les bars… Ils étaient 4 sur elle, dans la nuit, 1 dans son sexe et 1 dans son cul, 1 dans la bouche, 1 avec sa main… Depuis j’en rêve… Essayer de me dessaler… Baiser comme une salope, apprendre à séduire…
- D’accord, on parie… Avant un mois tu auras ce que tu veux, et ton mari en prime…
- Non ?
- Oui, et cerise sur le gâteau, tu tomberas enceinte…

Elle m’embrasse à perdre haleine… On plonge dans l’eau, on se caresse, on se gousse, se lèche, se suce, elle se relâche… Elle jouit, infidèle, m’ouvrant son sexe, plus qu’à son mari… Dans mon espace détente, mon jardin secret, mon havre de nature dédié aux plaisirs du sexe, elle accepte tout, ma main entière, à en beugler de plaisir, un fist de malade, qu’elle apprécie avec cris et passion…

- Merci… Tu m’entraînes là où je veux aller… Ça, on ne me l’avait fait… C’est géant comme sensation… J’ai essayé une fois, un jouet, mais c’était bien différent…
- Avec qui ?
- Oh, une cousine… On se le passait en sport d’hiver, elle voulait s’agrandir pour faire croire qu’elle l’avait déjà fait, à un moniteur de ski…

Plusieurs jours plus tard…

- Allo, Marika ?
- Oui, Sylvia ?
- Oui… Je… Tu as vu Gérard ces temps-ci ?
- Non, pas depuis avant toi…
- Oh ?
- Pourquoi ?
- Hier, il m’a cherchée… Il m’a caressée… J’ai dit que j’avais mes règles…
- Tu crois qu’il va me demander de venir à son secours ?
- Je pense… Elles sont pleines…
- Ah, tu les as soupesées… Tu en avais envie ?
- Oui, tu m’as débloquée et j’ai envie d’un sexe dans le mien… Si on lui tendait un piège ? Tu le fais patienter une journée et le soir d’après, on l’attend chez toi, en train de flirter dans ton espace détente secret…
- Il va nous violer !
- Oh, que j’aimerais ! Ça fait si longtemps !
- D’accord et tu te coiffes, tu mets une robe légère sans rien dessous et tu te maquilles…
- Je lui fais le grand jeu ?

Effectivement, quelques minutes plus tard, en fin de matinée, Gérard passe par le jardin…
Je me cache dans le garage…

Mon téléphone en mode vibreur me réclame… Je suis tapie dans la cave…

C’est lui…

- Tu n’es pas chez toi ?
- Oh, non, à la boulange et chez ma dermatologue…
- Des ennuis ?
- Oh, non, juste pour rester à ton goût… Et toi ?
- Je suis chez toi, enfin dans le jardin… La piscine est propre, et tes rosiers vont bien. Je voulais te soigner toi…
- Moi ? Ou toi ?
- Oui, j’ai envie de ton minou… J’ai envie d’y plonger ma langue, tes grandes lèvres bien ouvertes et luisantes, comme des corolles… De gouter à ton nectar de femme, ce jus délicieux qui sourd de ton sexe, pour préparer mon entrée triomphante !
- Tu es indécent !
- J’aime quand tu as envie de moi, autant que moi de toi… J’aime enserrer tes beaux seins pleins, fermes, chaque fois, je sens ma queue frétiller de désir…
- Ouh, tu me fais… Enfin… Chut !... Je ne peux pas, ni cet aprèm… En fin de journée si tu peux… 18h00 c’est bon ?
- Oh, oui… Je suis impatient… J’ai tellement envie que j’ai essayé de pécho ma meuf !... Dans le salon, hier soir… Je ne sais pas pourquoi, mais je l’ai trouvée bizarre… Ses seins étaient plus gonflés que d’habitude et elle n’a pas réagi tout de suite, ma main a eu le temps de plonger entre ses cuisses et de passer sous sa culotte… Elle a semblé hésité, puis m’a dit qu’elle avait ses règles… Mais j’ai eu le temps de sentir sa chatte chaude et ses cuisses ouvertes… Quand je l’ai laissée, ses seins avaient les bouts dressés… Comme si elle avait envie d’un câlin aussi…
- Tu n’as pas continué ?
- Non, elle s’est tournée et m’a souhaité bonne nuit…
- Et tu t’es paluché ?
- Même pas, je bandais en pensant à toi, à tes lèvres douces, à tes seins affolants…
- Bon à tout à l’heure…

Je rappelle Sylvia, la met au courant, lui raconte mot pour mot…
J’en caresse mon pubis en parlant de lui…

- C’est vrai, depuis qu’on s’est vues toutes les deux, j’ai des envies… Et sa main est venue entre mes cuisses, soulevant ma culotte… Son doigt allait plonger dans ma nature, chercher l’entrée de ma grotte… La séduire en parcourant le sillon de ma vulve, créant une fontaine… Me faisant ouvrir les cuisses, attendant la suite…
- Tu es en forme…
- Tu as redéclenché mes mécanismes… J’ai adoré faire l’amour avec toi… Je t’ai sentie câline, tendre, comme amoureuse…
- Je ne sais pas… Je te trompe avec Gérard depuis quelques mois et j’avais des scrupules… Pouvoir te découvrir, te caresser comme il le fait, ça m’a rapprochée de toi… Et tu jouissais de mes doigts, de ma langue… Surtout tu es venue aussi vers moi, m’a pardonnée, et tu t’es offerte, sans artifice… Sous tes habits de Prisunic, tu as l’air si commune, là tu étais nue, tu jouissais, tu partageais, tu venais à moi, me donnant du plaisir… Je t’avais conquise, tu m’avais chamboulée… Nous sommes si sensibles à l’autre… Pour jouir, nous épanouir avec une amante, un amant, nous avons besoin de patience, de tendresse, de sécurité, de complicité… J’ai senti cela en toi, en plus de ta détresse de ne pas avoir d’enfant… Tes peurs qui sont à la base d’une rupture imminente avec ton mari…
- Oh, c’est tout vrai… Et maintenant je pense à toi… Tu as amené un but, une raison de me faire belle, d’avoir envie de plaire, de sentir mes organes féminins s’éveiller quand je pense à toi… Une envie de toi… Comme Gérard doit le sentir, même si c’est un plus bas instinct…
- L’envie de baiser est physiologique… Jouir est une conséquence…
- Viens vite avec ta conséquence…. Tu es mon Patrimoine désormais… Tu représentes mon idéal de femme, la santé, le désir, la passion, l’amour physique, l’amour réel, le sentiment incontrôlable, l’attirance vers un être, homme ou femme… Et l’enfant… La procréation, que seules nous sommes aptes à réaliser… J’aimerais que Gérard me donne un enfant avec toi… Recueillir son sperme dans mon vagin, mêlé à tes effluves, ta salive, ta cyprine… Je veux être à lui de nouveau…
Puis après, je veux apprendre à me soumettre à lui, lui apporter le plaisir, le partage, ma complicité aussi, faire ce qu’il aimerait… Être soumise à ses désirs…

Elle raccroche, larmoyante de joie, proche de son rêve…
On se retrouve chez la manucure, mais nous ne pouvons pas parler ouvertement… Son coiffeur lui a redonné un air jeune, un charme…
Sa robe moule ses hanches ses cuisses, fait remonter sa poitrine…

- Qu’est-ce que tu as fait à tes seins ?
- Je les masse chaque soir… Je les muscle… Et une piqûre par mon gynécologue… Chaque semaine… Depuis hier… Ça se voit ? Il m’a fait prendre des cachets… Et j’ai pris un bonnet de plus pour mes soutifs… Ils se relâchent… Et quand j’ai du désir, ils gonflent… Gérard l’a vu hier soir…
- Tu te branles parfois ?
- Après, dans la nuit, j’ai repensé à nous, à lui… J’avais envie d’un sexe… Je l’ai fait…

Bon, tout à l’air en place chez Sylvia, il ne reste qu’à patienter et voir la réaction de son mari face à nos cachoteries…

hIl a l’habitude d’entrer par les jardins, donc vers 17h30, elle arrive et on s’installe…
Pas besoin de nous motiver, l’eau nous fait du bien, elle est transformée en princesse, maquillée, délicieuse, le maillot rasé, que je découvre en baissant sa culotte…
Son pubis est finement décoré, sa chatte s’ouvre sous mes doigts, je suis prise d’une envie de la sauter sans attendre…

En ciseaux dans l’eau, nos vulves se frottent, on se laisse aller, ressentant nos premiers émois, un désir très prenant, une envie de me fondre en elle…

- Oh, oui… Frotte moi, je sens ton plaisir, ta chatte savourer la mienne, nos effluves se mélanger…
- Masse-moi les seins… Ils ont grossi… Regarde…

Elle sort et m’entraîne dans mon espace de détente, se couche et m’offre son calice…

Ma langue plonge, mes doigts jouent avec son bouton, elle râle, gémit, se tord de désir…
Elle me cherche, m’ouvre et on fait un superbe 69 en pleine nature…
Elle est sous moi, écartelée, mange ma chatte grande ouverte, et la sienne est honorée par mes doigts et ma langue…
On se cherche, on fait monter notre désir, puis nos doigts pénètrent nos vagins et c’est une explosion des sens…

On se doigte, on se masturbe, nos doigts comme des sexes vont et viennent comme un sexe d’homme…
On atteint chacune la jouissance, douce, rythmée, un échange de tendresse, complices de notre plaisir.

- Ben dites donc ! En voilà un hors-d’œuvre ! Viens Marika, présente-moi ton amie…

Elle se tourne vers lui…

- Sylvia ! Je…

Il est nu devant nous, interloqué, sans voix…
Alors on lui explique…

- Mais Sylvia, tu es… transformée… Superbe !.... Je…
- Allez, viens, tu es là pour la sauter… Alors j’ai fait pareil… On va la partager… Nous nous sommes expliquées…

Il n’en revient pas de voir sa femme m’embrasser, nos langues joueuses, nos mains explorant nos sexes, et Sylvia qui se met à feuler, quand je rentre un doigt dans sa chatte offerte…
La mienne ne l’est pas moins, il se poste à ma porte…
Empaume mes seins, cherche les lèvres de sa femme, et l’embrasse en me pénétrant…

Sa longue queue m’électrise, mon ventre réclame la suite, il me prend en levrette, alors que sa femme est écartelée devant moi m’offrant son intimité à lécher…
Il me prend avec fougue, s’accrochant à mes hanches et je vais et viens dans la même cadence, avec trois doigts dans le vagin détrempé de sa compagne surexcitée…

- Oh, oui !... Vas-y !... Fais-moi jouir… Défonce ma chatte… Enfonce tes doigts au plus profond, comme un sexe… Eclate mon vagin de lesbienne, j’adore !... Je viens !...

Il n’en peux plus de voir sa femme se tortiller devant moi…

- Mais !... Tu t’es rasé l’abricot ?
- Oui, pour Marika… J’aime sa langue et j’aime son sexe quand il se frotte contre le mien pour nous faire jouir ensemble…
- Tu aimes les femmes ?... Tu as eu des amantes ?
- Regarde comme je jouis !... Elle me gousse, elle me fourre, elle me suce, et on a fait le plus sombre, oui !, elle m’a sodomisée hier ! Ses doigts dans mon anus de chienne… Et j’ai joui !

Sa queue grossit en moi, il me prend comme un amant, bien à fond, déclenchant mon plaisir…
Bien que surpris par notre réception, émoustillé par nos jeux, mais décontracté par nos commentaires, il devient héroïque !... Il me fait monter dans les tours, rajoute quelques baisers, ses mains s’envolent sur mes seins, glissent entre mes cuisses, reviennent, et sa queue grossit encore, à me remplir !

Sylvia le regarde vibrer par mes caresses sur ses bourses, m’enfanter avec tendresse, rugir quand il se sent venir…

- Non, viens en moi, chéri… Je suis au maximum de ma fécondité… Je veux te sentir exploser dans mon vagin, accompagner tes petites cellules jusqu’aux miennes, les sentir s’unir à l’intérieur de mon utérus, s’unir pour faire ce que l’on aurait faire depuis si longtemps… Fais-moi un enfant, donne-moi tout ce sperme si longtemps réfréné, conservé, accumulé… Autant qu’il soit pour moi, et non gaspillé pour des jeux sexuels… J’aimerais que tu me prennes avec Marika, la sentir vivre comme toi, me prendre tous les deux, me libérer de ces mois d’angoisse, de privations, de fantasme et de colère rentrée… Car oui, je t’aime, je ne voulais pas encore un échec, mais là je suis certaine que tous les trois on va y arriver…
- Vas-y Gérard, retiens-toi, prends Sylvia comme moi, en maîtresse, pour l’envoyer au septième ciel, lui donner ton sperme riche en spermatozoïdes qui vont venir féconder son ovule cette nuit… Sylvia, caresse mes seins, ouvre ta chatte à ton mari, ressens son sexe te féconder, se libérer, te mettre enceinte…
- Oh, oui, que c’est bon comme ça !... Je sens ta queue comme jamais me fouiller, frotter mon vagin, on va le faire en prenant du plaisir, en jouissant tous les deux ensemble, comme avant, devant notre amie, égérie de ce renouveau !...
- Vas-y Gérard, baise-la… Ressens cette onde libératoire exploser ses entrailles, au paroxysme de votre plaisir…
- Oh, oui… Tiens, je viens, je vais gicler… Oh, que c’est bon de baiser la femme qu’on aime !...
- Oui, chéri, je suis tienne ce soir, j’ai envie de toi et je veux un enfant de toi… Explose ta semence, oh, que c’est bon !... Je te sens bien au fond… Vas-y, fais-moi jouir et toi aussi…

Il la lutine avec passion, sans hâte, il lui fait l’amour, rentrant sa bite tendrement dans le minou ouvert de sa femme…
Elle feule tout du long, elle se pince les tétons, elle va avoir un orgasme, tant cette union est intense…
Je frotte ma vulve contre sa bouche et sa langue fait des merveilles…
Je ne peux m’empêcher d’embrasser son mari, étant face à lui…
Il caresse et pénètre ma chatte avec ses doigts en savourant le vagin de Sylvia…

Leur désir monte doucement, il se retient, et ça me plait d’assister à leurs retrouvailles…
J’espère qu’il pourra encore ma prendre après sa femme… Je suis en transes…

Elle suce mon clitoris, m’électrise, savoure la bite qui se fait plus virile…

- Oh, oui… Tu vas venir ?
- Tu le veux ?
- Oh, oui !... Ne te retiens plus, c’était super bon… Tu m’as faite jouir… Viens maintenant, c’est ton tour, c’est temps de donner la vie dans mon corps…

Je suis aux premières loges, le sexe plonge en cadence, disparait dans la vulve ouverte, des sécrétions blanches apparaissent, elle s’écartèle, ouvre ses cuisses à fond, il tape son pubis maintenant, ses bourses rebondissent, elle jouit…
Sa langue me pénètre, un doigt aussi… Je jouis…
Il ahane ses derniers coups de reins, le lit tremble, grince… Il jouit…

- Oh, oui, tu es gros, tu bandes fort, je te sens, mon amour… Je t’aime !...

Il la fourre jusqu’au bout, se vidant entièrement en elle, la pilonnant, et il s’allonge contre moi, dans mon giron, quand elle se recroqueville…

Sa bite est pendante, je suis dégoulinante de désir…

Je monte sur lui, écarte mes jambes et frotte mon sexe contre sa verge…
Je le masturbe doucement…
Il semble réagir…

Mes seins glissent vers sa bouche, il suce mes tétons…
Son doigt a trouvé mon clito et tourne doucement, canalisant mon désir…
Il va plus loin, le bougre…
Il a fini son travail de reproducteur, maintenant, il veut baiser !

Un doigt pénètre allégrement mon petit trou… Se fraie un passage, glisse lentement dans ma rondelle…
Oh, quel délice !... Je le tortille sur lui… Cela le met en joie, son sexe grandit, ma vulve le ressent, se frotte de nouveau à lui, et il peut glisser doucement dans ma chatte, reboosté de façon à pouvoir me pénétrer…

Oh, yes ! Je me laisse emporter par le va et vient délicieux, mes organes réagissent, mouillent, gonflent, pointent, c’est un régal !
Je m’écartèle, me donne à lui, frotte ma vulve avec ma main…
Et il change de direction…

Il est assez dur pour transpercer ma rondelle, tout émue par l’intruse…
Lui, ça le réveille…
Il devient dur et me sodomise sans coup férir…
Son mandrin me chahute et se plante au fond de mon jardin…
Orgasme doux, mon ventre ondule, se crispe, je me prends comme une folle, mes reins font le travail, je jouis du cul !....

Mais il n’est pas rassasié, me retourne et me prend en levrette…
Il me saisit aux hanchées et enfonce son mandrin au plus profond de mon ventre…
Ses coups de reins sont puissants, épuisants, je perds l’équilibre, il continue à me sodomiser, allongée, les fesses relevées pour faciliter son introduction, son dard planté dans mon anus… Il me ravage, me fouille au plus intime, il va jaillir en moi, complétant cette séance…

Sylvia sort de son sommeil…
Elle me voit, son mari entre mes fesses…

- Vas-y chéri, baise-la… Elle aime le sexe, elle aime les plaisirs de la vie, elle m’a donné la force et m’a montré le chemin, et j’ai repris confiance en moi…
- MMMmoui…
- Vas-y, encule-la à fond, défonce-la, qu’elle jouisse autant que moi… Tu m’as enchantée, je suis trempée de ton sperme qui coule encore, en espérant que j’ai été inséminée…
- Bien !... Je !... Oh !...
- Elle jouit, vas-y à fond ! Tronche-la !... Elle adore ! Regarde, elle en pleure de plaisir !
- Ça y est, je… Oh, oui !...
- Tu as giclé dans son cul de femme du monde ?
- Oui !... J’aime la baiser… Mais ce n’est que du sexe, tu sais…
- Oui, je sais, maintenant… On le refera… Tous les trois…
- Elle a un ami, tu sais Romain ?
- Oui, je sais, tu accepterais qu’on le fasse à 4, maintenant que je suis enceinte ?
- Bien entendu, te voir jouir avec un autre… Tu en as le droit…
- On sera échangistes alors ?
- Oui, mais avec les gens qu’on aime, nos amis, de nouveaux amis…
- Et ne vous excitez pas trop… Gérard, tu es un ami merveilleux… Je suis comblée…
- Moi aussi…

Quelques jours plus tard, après cette séance divine avec mes deux voisins, Sylvia vient me trouver…
Embrassades, on se caresse, elle parle de son enfant qu’elle ressent en elle…
Elle va passer une échographie, et aimerait que je l’accompagne…

On mange, ensemble, après un bon bain, et on se prépare…

- Tu sais, il me fait l’amour tout le temps, depuis l’autre soir. Il est doux, il parle au bébé, il lui fait un petit frère tous les soirs ! Je suis de nouveau amoureuse, mais nuancée… Quand il est en moi, je jouis vraiment… On crie tous les deux… C’est bon… Mais je sais qu’il m’a trompée avec toi. Et que moi, je n’étais plus satisfaite, je pensais au sexe, et je voulais le quitter…
- Tu aimerais le tromper à ton tour ?
- On l’a fait toutes le deux, je l’ai trompée avec sa maîtresse !…
- Oui, mais pour ressentir autre chose, assouvir tes envies, tes désirs…
- J’aimerais me lâcher vraiment… Connaitre l’adultère, me sentir forte… Faire le sexe comme toi, sans préjugé, sans penser, juste jouir… Être nymphomane le temps d’une soirée, baiser tout ce qui bouge, baiser à plusieurs, avec des noirs, avec des jeunes garçons, leur apprendre la femme… Tu pourrais m’aider…
- En premier, on va inviter Romain et tu verras la différence… Il adore la nouveauté, les filles comme toi, belles, sveltes, et qui en veulent… Il est très performant et Gérard sera cocu… Mais tu pourras lui expliquer… On le refera ensuite tous les 4… On baisera ensemble, comme des chiennes… Tu subiras ta première double pénétration…
- Oh, oui !... Deux queues qui s’agitent dans mes orifices et me font jouir de plaisir…
- On invitera aussi, entre temps, un voisin… Un black que je connais… Il y a aussi le fils de Marie-Anne, je t’en ai parlé… Il est timide, mais quand tu sens son mandrin fouiller ta chatte, tu te retrouves en plein rêve…

Romain, c’est la première étape après Gérard…
C’est ce soir, barbecue piscine, Gérard est parti chez sa mère…
On a toute la soirée et la nuit…

Je m’habille coquine, robe courte, transparente, il est impatient…
Quand il la voit, il me sourit…
Je comprends qu’il la kiffe…

Les premiers mots sont civils, et suivent des regards, des sourires, des attitudes…
Elle va y passer elle le désire déjà…

Apéro, bain, et on se met à poil dans mon havre de nature, mon Eden de luxure…
Dès qu’elle accepte ses lèvres, il bande comme un cerf…
Elle est pressée, et prend les devants, se glissant contre lui, sur lui, s’échauffant sans complexe, en suçant son sexe, une main dans ma chatte…

Elle perd le contrôle, il la lèche devant moi, on se gouinait pour l’exciter…
Elle en crie de plaisir, écartelée devant lui, elle s’offre, se donne, se tortille, en prenant sa bite dans sa bouche…
On le partage, elle le pompe, elle délire en se trémoussant, il plonge dans son vagin sans attendre…

C’est une folie, ils se sont trouvés, je n’existe plus et ils font l’amour comme des bêtes…
Elle se tourne, se retourne, le veut partout, m’invite enfin…
Il me prend, énorme et avide de ma chatte…
Elle monte sur lui après moi…
Elle se transperce du dard magique, je la fiste, un doigt dans son anus, elle s’envole, des mots crus, des paroles très sales, des onomatopées indécentes, de femme qui jouit en perdant sa conscience…

Dieu qu’elle est belle comme ça… Elle savoure le sexe, elle l’entraîne dans son délire, elle aime ça, il adore et se laisse pomper sans sourciller…

Les images sont délirantes, je me masturbe en pensant à la suite…

On passe la nuit tous les trois, tendrement enlacés, entrelacés, Romain répond présent tout le temps, mais sur le matin, il s’endort, à bout de ressources…

Sylvia me remercie gentiment, tendrement, en 69, en missionnaire, nous sommes rassasiées l’une et l’autre, elle est si belle ce matin !

Après cet épisode, je prends contact avec mon voisin Jérôme…

38 ans, la classe, il roule en Mercedes, porte une bague en or et une grosse chaîne à mailles autour du cou…
Oui, il est libre en fin d’après-midi, et quand je lui dis avoir une amie en détresse, il comprend et savoure par avance, me remerciant d’avoir pensé à lui…

Il est vrai que cela était en plein confinement et que je lui ai fait connaître mon espace Nature…
Un chamboulement dans la mienne ! Je criais si fort mon plaisir que ma voisine m’a téléphoné…
Excuse ! La télé !...

Bref je suis émoustillée à l’idée de me faire sauter par cet athlète, il faisait de la course, 400 mètres je crois…

A l’heure dite, nous descendons vers la piscine, vêtues de nos maillots arachnéens…
La porte du jardin grince…
Le voici, short noir, marcel jaune, une gravure…

- Sylvia, voici Jérôme… Jérôme, Sylvia et moi sommes amies, elle réside un peu plus bas dans le quartier. Tu sais mon souci d’aider les épouses en mal de cœur…
Elle se sent trompée depuis quelques mois, et a du mal à vivre sa sexualité…
J’ai dû l’aider comme je sais le faire, nous sommes devenues amies, mais rien ne remplace l’homme dans des cas bien précis.

On va plonger dans un monde léger et libertin…
Ma belle amante se lève et le regarde dans les yeux, en levant sa tête…
Je me glisse contre lui, et invite Sylvia à m’imiter…
Chacune d’un côté, il passe un bars sur nos épaules…
Je me sens aussitôt électrisée, en sécurité…
Il nous serre contre lui…
Elle ne fixe que le short qui semble s’animer…
Son haut tombe naturellement, le slip s’en va aussi…
Je me mets à la page également et on descend les escaliers tous les trois, soutenues par ses bras puissants…
Il nous devance et vient nous recueillir, afin qu’on ne trébuche pas…
On se laisse aller, puis flotter…
Nous nous retrouvons contre lui, nues, accrochées à son cou afin de lui laisser sa liberté d’action… Ainsi, il peut commencer à explorer nos atours…
Nos seins pointent leur désir, les miens sont électrisés, et le reste ressent des picotements délicieux…
Le spectacle est érotique, brûlant, ses bras foncés tranchent sur la peau laiteuse de Sylvia et la mienne…
Son sexe a doublé de longueur pendant la descente…
On ne résiste pas à la tentation…

Si Sylvia est plus timide au début, comme je l’ai déjà pratiqué, je me sens chez moi…
Sa bouche cherche les nôtres, à tour de rôle, histoire de faire connaissance…

Sa langue est large et douce et j’en frémis…
Sylvia en bave, ressentant sans doute les prémices de son plaisir…

On partage son sexe, assez long pour accueillir nos deux mains sur la hampe…
On s’exerce, lentement, prenant le rythme, agissant ensemble…
Il peut nous caresser, nous flottons assez, rivées à lui, cuisses ouvertes de désir…
Chacune de ses mains devient notre centre de plaisir…
Sylvia feule dès le premier contact dans sa vulve ouverte, et je ressens un orgasme terrible couver dans mon ventre…

Il a honoré nos clitoris pour commencer, nous portant à le désirer activement, surexcitées, on l’embrasse, on se laisse doigter, lui offrant nos vulves assoiffées…

Ses doigts nous pénètrent, glissent dans nos vagins, ressortent, reviennent et reproduisent les vagues de l’amour…

C’est délicieux de vibrer ainsi accrochées à lui comme à une bouée, bien que je pense avoir pied… Mais Sylvia est plus petite…

Nous le voulons alors toutes les deux, emportées par ce désir de sexe…
Je laisse Sylvia venir la première contre lui, elle l’enlace par le cou, et frotte ses seins, son ventre, et son pubis contre son ventre…
Je la soutiens d’un bras… Elle m’embrasse et se laisse descendre sur le sexe énorme…
La pénétration est immédiate, lente, elle savoure, un peu craintive…
Mais il la guide doucement et son vagin se dilate pour avaler le monstre qui entre en elle et déclenche ses feulements de lionne…
Elle ondule sur lui, se prenant comme avec un jouet… Il la soutient par les fesses et la conduit à son rythme…
Je crève d’envie de la sentir jouir de lui….
Je branle mon clitoris, pour calmer mon désir…

Il la fourre maintenant passionnément, en la guidant le long de sa hampe, il en jouit de plaisir en fermant ses yeux…

- C’est bon !... Il me baise… Délicieux, très profond, il m’a remplie… Je me sens vissée contre lui, et quand il ressort, c’est un déchirement… Oh, oui, pousse en moi !... Viens !... Prends-moi !... Baise-moi !... Déchire-ma chatte ! Ouh ! Ouiiiiii….

Il l’emporte dans son monde, elle se laisse bercer…
Je me déchire avec mes ongles, en la voyant écarter ses cuisses et enfourner la bite avec son sexe… J’ai envie de lui, de me faire exploser la chatte !

Ses seins sont en joie, tendus, grossis, je passe dans son dos et les masse… Elle jouit de lui, de moi…
Puis elle me laisse la place…

Alors j’entraîne notre amant pour la suite, dans ma cachette, sur mes beaux coussins bretons, allongé sur le dos, je m’assois face à lui, à califourchon et j’accompagne sa bite dans ma vulve affamée… Les seins à sa portée, et je me farcis avec son dard, en ondulant mon bassin, mes fesses écartées, serrant mon sexe pour lui transmettre mon plaisir…

Il est rouge, suffoque, il bande encore plus et me saisit par les hanches en propulsant son bassin vers le mien…
Nos pubis se tapent, ses bourses cognent, Sylvia suffoque en se branlant, érotiquement exposée devant nous…

Jérôme est un artiste…
Après l’avoir pompé, sucé, partagé, échangé, on revient contre lui, chattes et dévorantes…
Ma levrette se transforme en doigtage d’anus…
On se laisse aller à sa caresse double…
Puis, il me sodomise devant mon amie un peu dépitée…
Son dard me fourre, elle comprend pourquoi il commence devant elle, quand je gémis de douleur… Mais, habituée à cette pénétration hors norme, je me décontracte et il s’enfonce dans mon arrière-train… J’en deviens sonore, et Sylvia devance son tour…

Il la sodomise à son tour, sur le côté, cuisses en ciseaux, je vois tout, j’entends tout, et je participe…
Baisers, caresses, seins, ventre, clitoris, vagin avec mes doigts de fée, jusqu’à sentir le membre la pilonner, à travers ses organes…
Elle jouit, moi aussi, et il se lâche, la remplissant de son sperme…

Chacune à notre tour, et à notre rythme, conscientes de l’effort de Jérôme pour nous donner du plaisir, nous le remercions à notre façon…

Lubriques, sensuelles, perverses, gourmandes, insatiables, nous le rendons impuissant !

On nage un instant, rafraichissant nos corps exténués, et nous allongeons ensemble, pour un moment de tendresse, évacuant notre stress, calmant nos pulsations cardiaques…

Le troisième volet de cette initiation au sexe, bien qu’elle n’en ait plus besoin vraiment, mais disons que la pratique lui manquant, autant lui faire vivre ses fantasmes… Le foursome…
A 4, les choses sont plus équilibrées…
Romain et Gérard…

Une douce soirée de fin d’été, un barbecue riche en fruits de mer, poissons, et vin rosé…

Guillerettes, sautillantes, et coquines, nous papillonnons autour des mâles, sans nous cacher, déclenchant des érections incontrôlées…

Nous avions dit avant que le repas serait sage, dans un esprit amical, et que l’on se ratt****rait après, dans la piscine, puis, où on voudrait, avec qui on voudrait…

Nous sommes restées pour ce faire habillées très classe, robes d’hôtesse, échancrées, fendues et courtes…
Eux, on a permis le short et des hauts moulants…
Romain a hésité, pour le moulant… Quant à Gérard, il arbore un marcel très échancré sous les aisselles, laissant voir ses pectoraux…

Moi, c’est la partie short qui me tarabustait…
Une bosse apparaissait selon nos positions, quand on se penchait vers eux, les seins largement découverts, ou quand nous levions les cuisses au hasard de nos mouvements…

Nous avions nos maillots en dessous, c’était de trop…
Profitant d’un pipi, je déboutonnais un peu plus, et ôtais bas et haut…
Nue sous ma robe transparente, soulevée par le vent d’Autan, ils ne résisteraient pas longtemps…

Sylvia était de mon avis, et sa robe la déshabillait… Un appel au viol !

Il fallut trois apéros, plus tard, après ceux d’avant, pour voir un premier contact s’établir…
Sylvia, la main très discrètement posée sur le short de Romain, se mit à bouger un peu…
Gérard, face à moi, n’avait d’yeux que pour mon décolleté…
Mes seins se balançaient au rythme de mes mouvements…
Nous avions mangé les poissons, les homards, délicieusement concoctés par Gérard et Romain, 2 as de la plancha…

On annonçait les glaces, un gâteau glacé, champagne et enfin liberté !

Musique douce, et très vite nous étions devenues naïades, nues dans l’eau claire, activement traquées par de rustres plongeurs…

Sylvia était déjà accrochée à mon homme, bloquée et farcie par un dard puissant…
Elle en feulait, savourant la chose, qui la mettait en transes après toutes ces minutes d’attente…
Les mains de Gérard, enserraient mes lobes, et sa queue tapait entre mes fesses…
Debout près de l’échelle du fond, je me laissais enfiler, ondulant mes fesses au rythme de ses coups de rein…
J’émettais des sons rauques, ressentant son sexe grossir, me prendre avec ardeur, m’enfilant jusqu’au bout, je devenais sa chose…

Je calmais le jeu, voulant profiter de leurs faveurs…

Sylvia me rejoignit, libérée, souriante, elle m’embrassa tendrement, et l’on sortit nous allonger sur les matelas…
Boissons fraîches, champagne, reste de gâteau glacé…
Nos yeux pétillaient aussi, Sylvia était pompette, étalée sur son mari, la bouche à deux doigts du sexe qui recommençait à frétiller…

Entre deux vins, entre deux caresses, je sentis le sexe de Romain me pénétrer…
Il était dans mon dos, je me préparais, écartant mes cuisses, sentant le membre trouver sa cible grande ouverte…

Il s’enfonça délicatement, Sylvia face à nous, écartelée, fesses relevées, se donnait en levrette à son époux…
Romain me caressait le ventre, puis le clitoris, me donnant de quoi m’exprimer…
Il connaissait le terrain et j’avoue… C’est là que je sentis sa bite changer de cap, et investir mon anus…

On le faisait régulièrement, ce n’était pas nouveau… Mais je compris son idée, car il me désignait comme cible, chatte libre et ouverte à Gérard…
Etant allongée sur le dos, le sexe de Romain, me fouillant, je n’avais plus les idées claires…

Mais Gérard, délaissant sa femme, venait d’entrer dans mon vagin…
Des ‘flocs’ retentissaient, témoignant de mon imprégnation…
Ils me baisaient ensemble, royalement, jusqu’à un orgasme prenant, délicieux…

Ce fut au tour de Sylvia, elle préféra Romain dans sa chatte et son mari en sodomie…
Mais elle échangea ses partenaires, ivre de plaisir, de les avoir tous les deux pour elle…
Elle connut des orgasmes identiques aux miens, cette sensation d’être guidée vers un plaisir intense et si prenant qu’on perdait la notion des lieux, du temps, sentant notre corps irradier son plaisir…

Romain était aux anges de l’avoir sodomisée de nouveau…
Mais il se lâcha dans son ventre, comme pour lui dire qu’elle lui plaisait vraiment et ajoutait un sentiment à ce rapport bestial…

Elle était pleine de semences et de transpiration, qu’elle alla éliminer en plongeant dans la piscine…

- C’est géant comme ça… Je suis folle de joie, comblée, et ton Romain est un amour. Il me l’a fait sentimentalement, j’ai senti son sperme, mais je suis déjà enceinte de Gérard… En tous cas c’est bandant de se faire prendre par nos deux amours…
- Tu vois, il fallait y goûter, ce sentiment de tromper ton mari alors qu’il me baise aussi…
- Vrai !... C’était dément… J’ai adoré sentir leurs deux sexes fouiller mes entrailles, je les dissociais dans ma tête, et jouissais tantôt de l’un, tantôt de l’autre… La bite de Romain est très puissante et j’en suis folle… Ça ne te fais rien ? C que pour le cul…
- Tu m’as pardonnée pour Gérard, c’est la moindre des choses et maintenant on peut continuer…

Le lendemain, Marie-Anne me téléphone… On se raconte un peu, oui, son fils, Jo, est ici pour encore quelques jours et va remonter à Paris en fin de semaine…
Je conviens de les inviter deux jours plus tard, ce qui nous laisse les temps de récupérer…
L’idée c’est la découverte d’un partenaire plus jeune, inexpérimenté, quoique maintenant il a fait ses classes… Mais je pense à quelques chose…
J’appelle Jo, son fils, dans la soirée, et lui demande de venir prendre un café…
Quand il arrive, seul, je retrouve le jeune homme qui m’avait donné tant de mal, pour le détourner de sa mère à l’époque… Il en était presque arrivé à vouloir la violer… Leurs relations étaient tendues, elle avait presque cédé un soir de spleen…
Lui, était débordé par ses hormones et ne cherchait qu’à baiser…

J’y avais mis du mien, l’avais charmé, provoqué, dans une soirée organisée pour son départ… Il bandait contre moi, en dansant, ma main fit les premiers pas…
Plus tard, à l’abri des regards, dans une nuit sans lune, il m’avait entreprise avec sa fougue d’adolescent, impatient et macho…

Je lui montrais comment doigter correctement une femme, sans lui donner l'impression que l'on farfouille une dinde de Noël…

Puis on passa au second niveau, où il m’inonda de sperme avant l’heure…

Calmé, après un bain dans ma piscine, il me fit l’amour tranquille, dans mon espace détente, sa queue déjà bien agréable me permit de passer une excellente soirée, aussitôt rapportée à Marie-Anne…

J’avais réussi mon deal, il ne parlait que de moi, il la laissa tranquille, il se rendait à Nice pour ses études, et connut des filles de son âge… Qu’il me décrivit au téléphone…
Il osa même un sexto… Ce qui me charma…

Sylvia me remercia par téléphone…
Jo était un charmeur né, bouille de jeune premier, des yeux enjôleurs, toutes les femmes devaient craquer pour lui…
Il est vrai que cette expérience lui fournit un nouveau deal…

Elle avait revu dans sa tête, une semaine particulière avec son mari et sa famille, en montagne.
Ils étaient 8, le frère de Gérard, Roland avec sa femme Annie, sa sœur Julia, avec son compagnon Clément et eux 2…
Il y avait deux ados, les deux cousins, fils de Roland et de Clément. Même âge 18 ans, un peu benêts, et plongés dans leurs smartphones…
Après la journée de ski, on rentrait au chalet, bain, détente, on mangeait tôt et on sortait dans le village…

Sylvia connaissait ses deux neveux, et ce qu’elle redoutait arriva…
Un soir, les deux amis restèrent au chalet…
Elle se sentait fatiguée…

Seule avec les deux ados, elle n’imaginait pas la suite…
Comme ils jouaient avec leurs appareils dans leur chambre, elle avait le temps…
Elle alla prendre sa douche, puis tranquillement, elle regagna sa chambre, en peignoir…

- Salut, ça va tante Sylvia ?
- Oui, mieux, un coup de fatigue… Et vous ? Pas de regret d’être loin de vos amis ?
- Non, on fait du ski c’est super… Au fait, tu es vachement belle comme ça, en déshabillé. On t’a reluquée dans ta douche, ça nous a émoustillés…
- Oh ! Voyons, je suis votre tante et bien plus âgée que vous, alors un peu de respect !
- Ce ne sont que des compliments, nos mères ne sont pas aussi belles, tes seins sont superbes et bien fermes, certes un peu petits, mais agréables… Tes cuisses très musclées par le ski et tu dois marcher pour avoir cette pêche…
- C’est gentil, mais c’est vrai que vous m’avez regardée ?
- Ben… Oui… On t’a vu passer… Tu as quitté tes vêtements, et tu t’es décoiffée devant le miroir… Ensuite tu t’es savonnée sous la douche…
- Oui, avec grâce, un shampoing corps et cheveux… D’abord la tête, puis le corps et surtout tu as insisté de partout où c’est bandant…
- Oh !... Arrêtez, bande de malades !
- On aurait dit que tu te caressais vraiment, les yeux fermés, les cuisses un peu écartées…
- Mais non ! Oh, quelle impolitesse ! Je vais le dire à vos pères…
- Tu crois ? Pourtant on voyait que tu y prenais plaisir… Tu fais chaque fois ça sous la douche, tu pensais à quelqu’un ?
- Tu te frottes la minette ?
- Tu te masturbes en cachette ? Nous aussi tu sais, mais c’est de notre âge ! Si la famille apprenait tes secrets… Regarde dans quel état tu nous as mis !
- Bande de tordus, allez-vous en !

A ce moment les voici qui s’approchent d’elle, la queue pointée, hors de leurs shorts …

- Tu pourrais nous aider, ça resterait entre nous… On a juste besoin d’un coup de main, c’est une urgence…
- Comme un secret de famille, on gardera ça pour nous évidemment… Et puis tu dois aimer ça… Je me trompe ?

Quand ils s’approchent, elle est tétanisée… Impossible de bouger !

Leurs mains font glisser le frêle vêtement, elle est nue, sans défense…

- Prends-la dans ta main… Elle est plus dure que celle de mon oncle ?
- Ou du mien ? C’est à lui que tu pensais en te caressant, tu en avais envie ?
- Ou tu as un amant ?
- Tu penses à lui ? Loin du cœur…
- Laissez-moi tranquille, je vais crier !
- Oh, on en demande pas tant !
- Et pas si vite ! On a encore rien fait ! Tiens, agenouille-toi entre mes cuisses, viens la goûter… C’est juste un apéro… Tu dois le faire souvent, ça…
- Et n’oublie pas de bien astiquer la mienne dans ta main !

Comme un automate, elle a obéi…
Agenouillée, vaincue…
Elle ouvre ses lèvres… Sa main droite caresse la bite de son second neveu…

Ses lèvres glissent le long de la hampe…
Il en ferme les yeux… Il grogne…
Sa main se crispe sur l’autre sexe, elle accélère… Au plus tôt ce sera fait…

Sa tête dodeline, elle ressent une main sur ses fesses…

- Non ! Je veux bien vous branler mais c’est tout ! Nous sommes de la même famille, il y a des limites !
- C’était juste une caresse pour te remercier et t’encourager, car ton cul est si tentant…

Elle reprend la fellation et astique la bite avec frénésie…
Sentir une main sur ses fesses… Elle allait droit au but…
Elle se rend compte dans quel état elle est… Elle en jouit presque, sa chatte est en émoi…
Elle est trempée…

- Tatie, je viens !

Elle se retourne, écarte ses cuisses et s’assied sur la bite en fusion !
Elle se pénètre doucement… Puis elle bouge, s’agite, prend du plaisir malgré elle, assise sur son neveu…
Elle s’approche de l’autre sexe et le porte dans sa bouche…
Il était temps… Il éjacule dans sa gorge !...

Elle se délecte de ce sexe durci, qui la lutine avec tendresse…
Il a saisi ses seins, tandis qu’elle se prend avec fougue…

- Ouh… Ah !... Oh !... Mmm !...

La vie est un long fleuve tranquille ?
Un fleuve de sperme continue à jaillir dans sa bouche tel un volcan en éruption !...
Un autre remplit allègrement sa cavité vaginale, si bien qu’elle dégouline abondamment de semence blanchâtre, sur son menton, ses seins et ses cuisses…

Elle prend ses affaires, et sort de la chambre, les laissant pantois, étendus, vidés…

- Tu vois, Marika, j’ai eu des rapports intimes avec mes neveux…
De vrais petits hommes à vrai dire, pleins de vitalité… Qui m’ont forcée…
Ils essayèrent encore jusqu’à notre départ, mais je tins bon, bien que l’idée me hanta plusieurs jours, même après notre retour…

Quand elle arriva ce soir-là, Jo et moi étions dans la piscine…
Il était devenu un beau jeune homme, musclé, hâlé, blond frisé, yeux bleus adorables…
Elle nous rejoignit… Après s’être déshabillée entièrement, comme il était de rigueur chez moi…

Elle virevoltait, n’osant pas approcher de lui…
C’est lui qui la rattrapa, lui parla, la séduisit et l’embrassa, tandis que je revenais avec un plateau…

- Ton ami est… très coquin…
- Je le considère comme de ma famille… Nous nous sommes rapprochés quand je l’ai aidé à passer les affres de l’adolescence…
- Donc, cela ne sort pas d’ici… Sa mère est d’accord ?
- Il a eu 20 ans…
- J’en ai trente-neuf… Je peux être sa mère…
- Ou sa maitresse…

Elle me regarde…

- J’aime bien la seconde solution…

A l’écoute et rapide comme l’éclair, il la prend dans ses bras et l’embrasse sur la bouche, en la caressant…

- Tu as déjà fait ça dans l’eau ?
- Oui… Ici, tu sais…
- Marika, je peux ?

J’allais pas lui dire qu’on était là pour ça…
Le voici en train de jouer avec les seins menus de mon amie, je m’approche et prend son sexe dans ma main…

- Tu as envie d’elle coquin, pourtant on vient de faire l’amour…
- Je sais, mais je n’ai pas changé, j’aime les beaux culs et les belles chattes sans moustaches… J’ai envie de les pourfendre, de les faire jouir…
- Alors caresse-la comme je t’ai appris… Tendrement, délicat et respectueux, patient, laisse son désir se manifester… Elle va venir te chercher d’elle-même et te montrera ce qu’elle aime en premier… Chaque femme a ses préférences…
- Je sais… Mais c’est long…

Après s’être laissée masser les seins, fièrement plantée dans l’eau, cuisses écartées, elle a envie de lui…
En l’embrassant, elle saisit son sexe… Puis le berce dans sa main, un moment… Il bande, fier, et puissant… Elle craque vite…
Elle se rapproche, colle son pubis contre celui du jeune homme, se frotte en sentant son clitoris vibrer…
Elle le calme, tout en s’approchant du membre bien tendu…
Elle soulève une cuisse et le guide jusqu’à l’entrée de sa grotte…
Il est rouge de désir, il va exploser…
Il l’aide, la soutient par les épaules, les hanches…
Elle se laisse descendre sur le sexe pour s’y empaler avec délice…

- Oh, oui… Prends-moi… J’ai envie de toi…

Il ne se le fait pas dire 2 fois et la baise avec réserve… Se souvenant des conseils de Marika…
Sylvia est écartelée sur le sexe, plongé au fond de son vagin et qui commence sa danse érotique, infernale…

- Oh, oui, viens ! Plus vite ! Baise-moi !... Fais-moi jouir !

C’est un métronome, glissant en elle tel un piston… Elle en jouit, s’appuie sur moi, passée dans son dos pour la soutenir…
Je sens l’ardeur de Jo, qui accélère ses coups de reins…
J’en ai la vulve détrempée de mouille…

Une main vient à mon aide, elle me sourit en me masturbant !...

- Oui, Jo, je viens, garde-toi pour la suite… Oh, que c’est bon comme ça !...

Elle a atteint un palier, un orgasme vaginal… Moi aussi, mais plutôt clitoridien, car son doigt m’a emportée…

Je sers trois verres, et on sort les boire dans mon espace douillet…

Il s’est allongé entre nous, on savoure nos boissons, on récupère de ces instants très torrides…
C’est bon de jouir…

Le souci, avec Jo, c’est qu’il bande déjà…
Je me dévoue et monte sur lui, je m’empale sur son sexe, et me donne du plaisir…
Il la caresse et ses doigts la pénètrent…
Je masturbe ma minette, tout me prenant ardemment…
Il la fait jouir, moi aussi…

Je redescends… Il monte sur moi, embrasse mes seins, caresse les siens, et vient brouter mon gazon rasé… Sa langue fait merveille et mon plaisir augmente…
Il veut mon cul…
Je le sens tourner autour de mon anus…
Je me couche sur le côté et lui offre mes fesses, mais il se tourne et suce Sylvia…
Ecartelée, ouverte, elle se donne…
La langue plonge et ressort en cadence ce qui déclenche ses sensations, ondulant, le voulant en elle, je la doigte… Il me sodomise !

Son jeune dard s’est faufilé dans ma rondelle et maintenant il me possède…

J’arrive à atteindre la chatte de Sylvia en ahanant les coups de reins de mon amant…
Elle se tourne et m’offre ses fesses…
C’est un délice, son nectar coule, je prends un sein, la pénètre d’une autre main, on jouit ensemble dans un parfait ensemble…

Quand il la voit ainsi, sur le dos, cuisses repliées, offerte, il plonge en elle…
Il explose sa chatte, puis ouvre sa rondelle et la sodomise aussi…

Elle pleure de plaisir, mon doigt tourne son clitoris, la fait exploser un orgasme puissant qui la vide d’un coup et la laisse inerte…

- Vas-y, finit la… Elle reprend vie, elle aime le sexe…

Son sexe plonge dans le vagin ouvert, elle se laisse prendre, écartelée, vagissant, feulant…

- Je vais venir !
- Oui, viens !... Donne-moi ta semence, couvre-moi !... Ton sperme est frais, j’en veux dans ma bouche aussi… Et sur mes seins !... Un traitement anti-rides…

Il se vide dans sa gorge, et jaillit encore un peu sur ses seins…
J’approche mes lèvres et recueille le doux liquide…
Puis j’embrasse Sylvia…
Quelle passion !

Une semaine plus tard, après pas mal de séances dans ma piscine, seule, ou avec Romain en toute amitié, Sylvia m’appelle…

- Allo, Marika ?
- Oui, ma chérie… Tu as bien récupéré de notre jeune complice Jo ?
- Oh !... Terrible !... Un tsunami ce post ado… Il m’a étonnée…
- Et ton Gérard, je ne le vois plus ?
- Il bosse et s’occupe de moi en rentrant… Régime amoureux… Tant pis pour toi… Mais, en fait j’ai un truc…
- Oui ?
- Nous avons mené à bien la plus grande partie de mon éducation sexuelle… Je me suis très bien acclimatée à ce régime très fatigant… Surtout que Gérard est présent chaque soir… J’aimerais me promener dans des zones plus sensuelles, érotiques, voire sexuelles et limites de la bienséance… Tu vois ? On avait abordé le sujet…
- Oui… Je vois, te dessaler comme une morue ?
- Voilà !... Faire enfin ce que j’ai parfois refusé…
- Je te concocte une séance, genre entraînement…
- Oh ? Tu fais ça ? Miam-miam !

Je suis tombée assez bas dans ma vie de femme… Mes histoires du début témoignent souvent de mes frasques, suite à ma séparation d’avec mon mari, Paul… 2 ans de galères, qui m’ont conduite dans les bas-fonds de la société, jusqu’à la lie… Puis la Remontada, grâce à ma première amante, et hop, je suis repartie. Mais dans ces moments, j’ai fréquenté de quoi élaborer un carnet mondain… Si je le croise avec les femmes que j’ai aidé, les « clientes » de mes ventes à domicile, j’ai un carnet fort bien rempli et très étendu…

Pour Sylvia, je pense faire un retour en arrière avec l’un d’entre eux…
Cet homme très influent dans la ville, alors que j’étais en vue, dotée de pouvoirs au sein d’une administration, mais en passe de plonger et de tout perdre, cet homme donc, m’avait un peu aidée, disons « à sa manière »… Ne donnant rien sans rien, il s’est servie de moi, de ma notoriété, de mes connaissances pour son biseness.
Mes talents de négociatrice, les dossiers que j’accumulais pouvaient un jour me servir. Il le savait et ne fit rien d’illégal… Juste me proposer des choses sexuelles…
Là où j’en étais, je ne risquais rien de ce côté, et je savais qu’il ne mettrait jamais en danger.

Il me proposa de recruter quelques femmes issues de mes ventes, qui n’avaient pas froid aux yeux et étaient fiables. Les gains seraient exponentiels…
Me vendre n’était pas impossible, du moment que j’échappais aux mafieux qui m’avaient en point de mire… Il saurait les contrer, et faire revenir le calme dans ma vie.
Il me fallait m’engager pour quelques années, il devait investir pour me donner un cadre d’action particulier, à moi, et à mes « copines »…

J’ai tout de suite ciblé mes proies, enfin disons mes bras droits…
Camille, Sylviane et Lily…
3 femmes qui n’ont pas froid aux yeux, libres, entre trente et quarante ans, assez belles et différentes physiquement… Une brune volontaire, avec un corps de rêve et des cheveux auburn, yeux verts, une rousse à faire pâlir un caméléon et une blonde pulpeuse, aux formes voluptueuses… Les trois femmes de niveau licence parlent plusieurs langues…
Avec mes 50 ans passés, je faisais pâle figure… Et bien non, car la suite me prouva que je plaisais encore, grâce à mes autres talents…

Quand je fus prête, il me fit visiter mon bureau…
Un superbe yacht, de 30 mètres. Du luxe dédié aux plaisirs de quelques clients et fournisseurs…
Il me fallait maintenant un homme, un sex-toy, évidemment…
J’avais un copain black aux abois qui ne demanderait que ça, baiser il aime, et être payé pour le faire, c’était du nanan…

J’ajouterais aussi que l’équipage, 1 pilote et une employée, était à mon service…

Je repris contact avec mon manager… Discrète et secrète, je demandais juste une audience de quelques minutes… Le soir même ; j’avais mon rendez-vous.
J’appelais Sylvia… Elle me serait utile en cas…

- Bonjour, que me vaut l’honneur de cette résurrection ?
- Oh, rien de bien folichon… Mon amie, ici présente, est dans une passe disons transitoire. Elle a entamé une procédure. Son mari, jaloux, violent, ne lui laisse aucun répit… Elle a besoin d’argent, et d’un chez elle pour quelques semaines… J’ai pensé au bateau si tu l’as toujours, et je me ferai un plaisir de participer à ton geste…
- Ah, au moins tu n’as pas changé, tu es directe… Oui, j’ai toujours mon yacht, et oui, ce que tu connais existe encore, avec quelques changements. Il est difficile de trouver des gens comme toi, je me suis résolu à manager autrement… Bref, oui, cela est possible. Tu viendrais habiter toi aussi au bateau ?
- Si le besoin s’en fait sentir ou que je sois utile…
- Alors c’est parfait. Ma serveuse veut prendre quelques jours, vous la remplacerez… Le pilote voudra aussi partir…
- J’ai mon permis hauturier…
- Non ? Alors c’est conclu, pour leur retour, on verra… J’ai un rendez-vous la semaine prochaine, des clients de passage… Le bateau possède 6 cabines… Vous prendrez la cabine équipage, celle de nos employés. Votre travail tu le connais, cela est toujours d’actualité… Le hic, je n’ai plus de garçon, en cas de besoin… enfin si une femme…
- J’ai… Il peut rester à terre et ne venir que la journée ou même la demi-journée…
- Parfait on se comprend… Alors soyez à bord le lundi 12 à 10h00, on fera un planning pour la semaine, et tu passeras les commandes pour moi. Marika ?
- Oui ?
- Je peux compter sur toi comme avant ? Je parle discrétion, et management complet…
- Bien sûr, je m’occupe de tout… D’autres diraient que c’est un travail, maintenant que je suis retraitée, c’est du plaisir…

Il regarde les cuisses de Sylvia, les miennes, il les connait…
Elle en tombe dans mes bras, sitôt de retour et m’assaille de questions…

- Mais c’est quoi ce plan ? Et je dois vivre à bord ? Et Gérard ?

J’explique calmement, en partant du début, lui raconte ma vie d’alors, et ce que j’ai fait pour lui, en contrepartie de mon sauvetage…

- Un mécène !
- Non, plutôt un maquereau de haut vol, il ne plaisante pas… Et si il te veut, ne dis pas non…
- Et les clients on leur fait quoi ?
- Je pense que tu n’as pas compris chérie… On leur fait tout !
- Putes ?
- Hôtesses de bord… Ils sont là pour ça, PDG avec leurs femmes parfois, ou même femmes PDG, accompagnées de leur mari, mais souvent seules… Quand il y a des femmes, on a moins de travail, sauf les lesbiennes… Les orgies à bord sont douces, du sexe tranquille, mélangisme, échangisme, candaulisme, ça baise toute la journée, comme nous avec nos mecs… Là c’est free…
- C’est génial… Je vais m’éclater alors ! Faire l’amour dans un cadre sécure et luxueux…

Trois jours plus tard, on prend notre poste, je pilote, facile, aidé par Gérard, venu nous assister, et il a accepté de participer en cas de besoin…
Nous sommes seules, Pierre, mon mécène ne viendra que vers midi…
Je vais faire le plein, il m’a laissé une carte de paiement…
Gérard est impressionné que je conduise ce monstre… Mais c’est assez simple quand on le connait… L’ancien pilote m’avait montré… Et pas que ça…

Je leur fais visiter le bateau, les cabines, la nôtre, le salon, la cuisine, les coursives et le pont avec la cabine de pilotage. J’explique, je démontre, je me souviens de tout…
Je lance le moteur, Gérard descend, j’explique comment retirer les amarres…
Parfait, il saute et nous voici dans le port…
Le gas-oil est ras le réservoir… Je paye et décide de tester le navire… Je sors, et prend la direction du large… Ils sont bouche bée, quand je mets les gaz à fond… Impressionnant !

J’arrête et lâche l’ancre, qui descend doucement et me signale le fond… C’est parfait…
Je leur fais un condensé des instruments devant moi, avant de descendre pour déployer l’échelle de bain…

Sylvia a un maillot neuf… Je dirais même 69…
Mon top s’envole sous les doigts de Gérard, Sylvia a déjà sa bite dans la bouche…
On baise en pleine mer, je sais que les jumelles marines sont très puissantes et leur conseille de rester à l’intérieur…

Il me bascule sur un canapé et me bouffe la chatte sans ménagement, excité par les mains de sa femme qui joue avec ses testicules…
Il nous délice toutes les deux, nous excite, affole nos seins, nos moules deviennent ses apéritifs, et sont pénétrées à loisir, en toute équité…

Elle ronronne, je feule, elle cajole, je gémis, elle ondule, je me donne…

Variantes du 69, couchées sur le côté, ou emboitées pour son lus grand plaisir, nous voir gémir en frottant nos vulves, écartelées ou en ciseau, bien plaquées, le tableau est impressionnant…
Le whisky coca est sans doute à l’origine de nos prouesses, sa queue fait merveille dans nos chattes épanouies, il est temps de rentrer au port…

Gérard nous aide à amarrer, puis décline notre offre, retournant dans son gite…

- Quelle prise en main, ce bateau est magique !
- Gérard a été scotché… J’ai fait des progrès et me donne comme toi… Je sens mon fétus grandir, ça me met en joie… Faire l’amour avec d’autres, un peu de Gérard dans le ventre, est excitant.
- Il t’aime, je le ressens… Il est moins pressant avec moi… Il est viril, oui, mais il doit partager… ça me plait… Et puis quand il baise à couilles rabattues, c’est géant !
- J’adore ! Je plane sous ses coups de rein…
- Romain est pareil…
- C’est vrai, il me donne beaucoup de plaisir et puis c’est ton mari… Je jouis encore plus de tromper le mien…
- On va les tromper tous les deux…
- Gérard ne sera pas là ?
- Non, il restera au port. Ça te dérangerait…
- De me faire baiser devant lui ?
- Par des inconnus, ou par Pierre s’il décide de te goûter…
- Tu as raison, j’aurais d’autres occasions de jouir devant lui avec d’autres hommes…
- Sans doute…

Le premier arrivant est un couple d’allemands, Hans et Greta… Bien dans le style, lui rougeaud, les yeux ronds et fureteurs, elle blondasse, couverte de bijoux voyants, potelée, les seins en vitrine, la cinquantaine…
Le second, un suisse, Armand, seul, 45 ans…
Le troisième, une femme, jeune et jolie, 35 ans, française, Norma, brune aux yeux noirs, svelte.
Quatrième arrivants, couple d’amoureux se tenant pas la main… Italiens, Paolo et Ludivine, en vacances en France, fournisseurs de voyages…
Cinquième cabine, Jordan, un français, ami de Pierre, et habitué des mini-croisières…

7 personnes… 4 hommes 3 femmes… Et nous deux, ça fait plus !

Il fait très chaud, je décide de décaler le repas d’une heure, le temps d’aller mouiller en pleine mer, près d’une île…

Ils apprécient l’apéritif, je reste seule dans ma tour d’ivoire, attentive au pilotage…
Soudain, j’ai un appel de Pierre…

- Tu es sortie ?
- Oui, on crevait de chaud au port…
- Tu as bien fait. Je te piste et vous rejoints… J’ai deux heures de libre…

Je trouve une anse agréable, active la descente de l’ancre de proue…
Je fais pareil avec l’arrière, sinon il tournera autour avec le vent et les courants…
Le repas est prêt, Sylvia a sorti ce qui était prévu, la table est mise…

On trinque à la société de Pierre, un empire, construction, informatique, parfums, import-export, etc…

Je lance la journée, je me mets en maillot, un deux pièces qui ne cachent rien…
Sylvia c’est affolant, et les autres sont sur le même ton….
Décontractés…

- Bien, la journée sera belle… Ici, vous le savez, tout est permis entre gens du monde et de bonne compagnie… Profitez du soleil, et faites ce qu’il vous plait…
Je rappelle qu’il vaut mieux rester à couvert, pour ne pas attirer l’attention…
Le buffet est en place, si vous désirez quelque chose n’hésitez pas à nous le demander…

La grosse blonde s’est mise à l’aise, un maillot une pièce, décolleté, l’entrejambe est un peu juste et laisse dépasser sa petite forêt, qu’elle ne dissimule pas…
La jeune femme, Norma, demande si elle peut se mettre seins-nus…
Pas de problème ici…
Elle va bronzer tranquillement, un verre à la main, sur un matelas qu’elle prend dans un coffre, sur le devant du bateau… Il fallait le savoir…

Je descends l’échelle au moment ou un hors-bord s’amarre à notre navire…

- Bonjour…
- Tout va bien ? Ils sont content ?
- Bien sûr, 7 personnes… 2 couples et trois solos dont une femme… ce qui était prévu.

Il monte à bord, et salue ses invités. Norma revient de l’avant, en culotte, gente tankini minima…

- Bonjour Norma, vous êtes en beauté… Tout va bien ? N’hésitez pas à demander à nos hôtesses et à vous détendre… Je vais partager ce buffet et reprendrai la mer en début d’après-midi…

Sylvia passe de l’un à l’autre, présentant des plateaux de toasts, je l’aide en remplissant les verres…

Les conversations s’animent, les verres se vident et se remplissent…

Pierre leur parle de ses nouvelles productions, soulevant des questions, auxquelles il répond du tac au tac, surtout à Norma…
La jeune femme prend souvent Armand comme témoin, mais le jeune commercial semble gêné de prendre sa défense…

Pierre reluque le fessier de Sylvia quand elle passe à sa portée, tout en sirotant son champagne…
Greta s’intéresse à Jordan, son voisin…
Ludivine me sourit souvent dans son deux pièces trop petit, et ses deux seins qui essaient de s’échapper de leur carcan…
Son mari, Paolo, suit Sylvia des yeux en détaillant ses formes et il contemple également ma poitrine, sans doute la comparant à celle de son épouse…

Nous sommes maintenant protégés des regards, je viens d’installer un taud contre le soleil…
Je me repose un peu, contemplant nos invités…

Greta est au bord de son matelas, tournée vers Jordan, qui ne regarde que sa poitrine qu’elle vient de libérer…
- Tu peux les toucher tu sais…

Pierre a accosté Sylvia, et rentre avec elle dans le salon intérieur…
Ludivine s’est défaite de ses vêtements, Paolo lui sourit…
- Elle est belle…
- Qui ?
- Oh, fiche-toi de moi…
La jeune femme s’allonge à mon côté…
- J’aime la compagnie des femmes, c’est agréable, et réserve souvent des instants tendres et divertissants…
- Je ne suis pas contre me détendre, mais je dois surveiller mes invités, devancer leurs désirs…
- Justement…
Sa main s’approche de mon sein, qu’elle caresse délicatement…
La mienne remonte le long de ses cuisses, jusqu’à son bouton d’amour déjà érigé de désir…

Paolo parle avec Norma, qui lui sourit… Son attitude change, elle regarde l’intérieur, mais se décide et embrasse Paolo surpris…
Elle lui tend la main et l’invite à la suivre devant, sur le matelas…

Hans est venu à notre hauteur et s’est déshabillé…
Son sexe grossit en nous regardant nous caresser, en feulant notre plaisir de femme…
Armand rentre dans le bateau…

La suite est interdite aux mineurs et aux âmes sensibles…
Greta s’est penchée sur le sexe de Jordan, et lui procure une fellation, tout en se caressant… Elle est nue, lui aussi, ils s’apprêtent à un 69 dantesque… Il découvre la forêt noire de l’allemande, et elle part en extases bruyantes que son mari calme de loin…
- Greta ! Tu n’es pas seule ! Vas-y toi, fourre ta bite dans sa bouche, ça lui coupe le tirage et elle s’étouffe…
- Hans ! Oh, oui !... Mmm… BBBon… Good !... Ya !...
Paolo est allongé, la tête entre les cuisses de Norma, qui refrène ses miaulements de chatte en chaleur…
Elle se retourne d’un coup et présente ses délices à son amant…
Il obéit, pénétrant le sexe, offert en levrette… Elle délire doucement…
Il la fourre avec aisance et volupté… Elle adore !
Ludivine est une liane et on se gousse royalement, encastrées, dégoulinantes de mouille, impudiques devant notre voyeur… Et ça nous excite au plus haut point !… Et lui aussi !
- Tu as vu sa bite ?
- Oh !... Un white monster cock!
- On partage ?
Sitôt dit… On se glisse vers la chose étrange, énorme, gluante de désir !...
Elle s’en saisit et la happe, puis elle me la tend…
Nos langues volent sur la hampe, tandis qu’il ne reste pas passif et ses doigts torturent nos chattes à en baver !...
Greta regarde nous livrer à son mari, Ludivine est la première à escalader le ventre de l’allemand, et à se pénétrer violemment et fièrement avec son sexe, en amazone, tandis que je me suis mise à crapotons, lui offrant ma vulve telle une glace en fusion…

Nos grognement réveillent le bateau entier…
On s’embrasse, dressées sur le ventre rebondissant…
Norma regarde de loin, en se cambrant en cadence sur la bite de Paolo avec sa chatte en éruption… Le sexe agit comme un piston infernal et la jeune femme délire sa jouissance, le pompant à un rythme effréné…
Ludivine se met à jouir et en veut encore plus… Je m’écarte, les laissant s’expliquer.
Je l’entends jouir en enjambant les partenaires…
Je rentre dans le grand salon, Sylvia et empalée de dos, sur Pierre, qui la sodomise, et Armand la baise par devant… Les deux hommes savourent ses méats de reine, combinent leurs actions, en la menant à un orgasme imminent !... Je regarde… J’attends…
Ils la prennent comme des chiens, des vautours assoiffés de sexe, la baisant sans relâche, jusqu’au bout, la pilonnant de coups de reins rageurs en lui assénant des claques sur les fesses et les seins, la griffant, tenant ses mains liées, écartelant ses cuisses pour mieux l’humilier…

- Eh bien ! On s’acharne sur mon amie ? Vous n’avez pas honte ?
- Laisse Marika, j’ai joui comme jamais, c’est moi qui les ai excités, j’ai fait ma salope je suis devenue leur chienne… Ils me baisent comme telle, soumise et perverse, et j’aime ça… Je les veux encore, échangez-vous, mes amis et recommencez à me prendre et à me dominer ensemble…
- Tu pourrais participer Marika, quoi de mieux qu’une partie carrée ?
- Oui, mais avant vous finissez avec moi, sans jouir OK ? Marika viendra compléter ce tableau divin…
Leurs bites assaillent Sylvia qui se tord de plaisir en savourant les deux queues dans ses orifices…
Ils s’entendent bien, accélèrent, pendant que je la caresse et augmente son plaisir, pinçant ses seins et excitant son clitoris…
Elle crie, elle orgasme, elle jouit longuement, se tordant sous mes doigts, s’offrant à ses assaillants…
Puis elle s’effondre épuisée…

Ils me tournent autour, me caressent, m’embrassent, me partagent, investissent mon sexe et mon anus, devant, derrière, sur le côté, allongée, assise, debout, chevilles et mains liées, bâillonnée, mais sans douleur, tout en douceur ou presque, un festival en trio, elle ne fait que regarder d’un œil dans le vague…
- Enculez-la aussi, elle adore ça ! Oui, vos 2 bites dans son cul de chienne, elle va crier de plaisir ! Alors laissez-lui son bâillon…
Ils le font et elle fiste ma chatte, m’envoyant au paradis du sexe !...

Quelle baise ardente, déjantée, rude, intense, avilie ! J’ai mal au cul, je crie…
Ils explosent dans mon rectum, à deux, comme un feu d’artifice, cela faisait longtemps que je n’avais pas eu une double pénétration rectale…

Quand je reviens vers la plage arrière, je marche avec difficulté, quelques traces de sang que me prouvent l’intensité de mes derniers rapports sexuels…
Je m’essuie discrètement dans les toilettes et fonce vers l’échelle de bain…
Un long séjour salvateur et lénifiant…

Ces dames en sont au même point.
A deux, à trois et à quatre, écartelées, défoncées, doigtées, fistées…
Les hommes papillonnent autour, enchevêtrés, enlacés, assouvissant leurs fantasmes…
Greta se masturbe avec une canette de bière, tandis qu’elle est sodomisée par Paolo, puis Hans remplace la bouteille et elle s’envole de nouveau en criant comme une hyène, sa touffe éclaboussée de bière et de sécrétions diverses…
Plus loin, Norma a eu ce qu’elle voulait, lovée dans les bras de Pierre, écartelée, et plantée d’un dard vigoureux…
Jordan est à leur côté, Norma le suce en jouissant de Pierre…
Avant qu’ils ne terminent, elle masturbe les deux sexes qui éjaculent sur son visage et sa poitrine, c’est divin !

Le ton est donné pour cette soirée, nous rentrerons chez nous dimanche épuisées toutes les deux, avec un gros chèque en poche…
Lundi, je reçois un coup de fil de Pierre…
Il aurait voulu me rencontrer, mais vient de partir pour Paris.
Il aurait aimé me parler de vive voix… Mais tant pis…
Ses clients, fournisseurs et amis ont été enjoués, comblés, et si ravis de leurs nouvelles hôtesses, qu’ils en ont parlé et insistent pour que nous revenions aux prochains séminaires…

- Ah, oui, Marika, ils ont tous voté pour ta nomination au Patrimoine de l’Humanité !

FIN
Marika842010 Août 2022
Published by marika842010
2 years ago
Comments
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Arapaho
Arapaho 2 years ago
Merci Marika...vos mots m’enflamment...moi qui me croyait éteint 
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Rojau
Rojau 2 years ago
Quel plaisir de vous lire...
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