Transport en commun
Tous les matins ils se croisaient dans le train.
Mel l'avait repĂ©rĂ© une de ces fois oĂč des avaries matĂ©riels les avaient bloquĂ©s sur le quai un peu plus d'une heure.
Un beau brun, d'une trentaine dâannĂ©es. Il Ă©tait large dâĂ©paules, lĂ©gĂšrement plus grand qu'elle.
JusquâĂ prĂ©sent ils n'avaient fait que se regarder en coin. Parfois juste Ă la faveur de leurs tĂȘtes levĂ©es lors du trajet.
CâĂ©tait un de ces trains de derniĂšres gĂ©nĂ©rations sur les lignes de banlieue. Mel rĂ©sidait Ă moins de 20 mn de Paris.
Elle entreprenait ce trajet que depuis six mois, ou Ă peine plus. Nouveau boulot.
Plus long que pour ces derniÚres missions. Et avec plusieurs correspondances. Mais la jeune femme préférait cependant ce travail en banlieue, à la foule parisienne.
Sa ligne de train traversait des forĂȘts boisĂ©es entrelacĂ©es aux villes.
Elle dĂ©vorait les livres. Ăcoutait de la musique Ă plus soif. Passait cette heure Ă repenser sa vie, soigner les bons moments, dĂ©jĂ passĂ©s et rĂ©volus.
Les journĂ©es sâĂ©coulaient sereines, Ă un rythme de vie beaucoup plus apaisĂ©.
Au fil de ce quotidien Mel sâĂ©tait habituĂ©e Ă certains corps et visages.
Un soir au quai de leur correspondance encore retardée, leurs regards se croisÚrent, et timidement, ils échangÚrent un sourire.
Mel Ă©tait dâun tempĂ©rament avenant, et câĂ©tait une femme sĂ»re d'elle. Mais solitaire.
Elle ne ressentait pas le besoin de faire le trajet Ă deux.
Ce matin, ça avait Ă©tĂ© la courseâŠPour sâextirper de son lit chaud.
Att****r au vol son dernier bus, direction la gare, avant dâĂȘtre trop en retard. Sauter dans le train au dĂ©part.
Adossée au dernier rang, Mel regardait machinalement la ligne peu occupée ce matin là quand elle fut traversée d'un frisson.
CâĂ©tait lui. A deux rangĂ©es en diagonale en face dâelle. Il la fixait . Du moins son regard glissait sur sa bouche, puis plus bas. JusquâĂ la jointure de ses jambes croisĂ©es.
Elle fut tentĂ©e de redescendre le tissu lĂ©gĂšrement remontĂ© de sa jupe. Mais elle ne put esquisser de gestes. PercĂ©e par le trouble qui lâenvahissait.
Elle se faisait sans doute des idĂ©es⊠Et ne voulait pas exprimer sa gĂȘne.
Mais la sensation de son regard se fit plus insistante. Sa proximitĂ©, leur isolement dans le wagon presque dĂ©sert, lui donnaient chaudâŠ
Mel senti son corps se raidir, comme prĂȘte Ă bondir.
Il ne la lĂąchait pas du regard. Mais quâ est ce qui lui prenait Ă celui-lĂ ?!
Mel Leva la tĂȘte dans sa direction , afin peut-ĂȘtre de reprendre un tant soit peu le contrĂŽle.
Croiser son regard, et mettre fin Ă ce petit jeu.
Mais en retour, il esquissa un petit sourire. Presque carnassier. Ils se dévisagÚrent ainsi une fraction de secondes de plus, puis il replongea le nez dans son livre, et ce fut comme si de rien était.
Mel ne savait plus que penserâŠtroublĂ©e par lâattitude de cet inconnu.
Il était mignon certes. Viril, et élégant dans son manteau noir. Et elle se sentait étrangement excitée.
Mais il sâĂ©tait passĂ© quoi Ă l'instant ?
Mel fit semblant elle aussi de se plonger dans la contemplation des voies ferrées qui défilaient. Mais incapable d'apaiser son cerveau en feu.
Cinq minutes plus tard, ils arrivaient Ă leur correspondance commune. Elle descendit dans un bond, sans chercher Ă savoir sâil la suivait.
Et en cette matinĂ©e froide et brumeuse, tout sâenchaĂźna comme Ă son habitude.
Lâattente de sa derniĂšre correspondance. La chaleur apaisante et feutrĂ©e du bus.
Les 30/40mn de trajet, la circulation dense sur cet axe.
Parfois Mel s'assoupissait. Dâautres fois elle lisait. Un casque sur les oreilles. La coupant ainsi des autres passagers.
Mais ce matin lĂ , elle dĂ» s'y reprendre Ă plusieurs fois avant dâintĂ©grer le chapitre quâelle lisait.
Ce mec l'avait franchement désarçonnée. Mel fantasmait de fait sur lui. Sur ce contexte qui les réunissait au quotidien.
Pour ne rien cacher, son appĂ©tit sexuel Ă©tant le sien, nombreux Ă©taient les scĂ©narios quâelle avait pu Ă©chafauder lors de ces prĂ©cĂ©dents trajets.
A la croisĂ©e d'une ligne. D'une gare. Un homme, parfois mĂȘme une femme, ayant captĂ© son attention. Aiguisant ainsi ses sens.
Mel était plutÎt prompte aux plaisirs sexuels. Mais privilégiait la discrétion d'un lieu non public.
NĂ©anmoins, ce matin lĂ , cet inconnu lui avait donnĂ© envie de scĂ©narios autrement plus osĂ©sâŠ
D'un regard il avait éveillé la salope en elle. Et malgré elle, Mel se demanda si il était loin d'elle dans le bus. Car elle savait que leurs déplacements se rejoignaient aussi sur le trajet du bus.
Un matin, il sâassis Ă ses cĂŽtĂ©s. Mel nâavait pas remarquĂ© sa prĂ©sence sur la correspondance prĂ©cĂ©dente.
Et quâelle ne fĂ»t sa surprise en tournant la tĂȘte vers son voisin.
Elle lui fit un lĂ©ger sourire. Puis dĂ©tourna le regard, trop gĂȘnĂ©e pour agir autrement.
En premier lieu, ce fut la sensation de chaleur sur sa cuisseâŠ
Puis le poids de son Ă©paule, Ă lâoccasion d'un virage un peu serrĂ©.
Un lĂ©ger trouble commençait Ă l'envahir. Elle sentait ses sens en alerte, Ă lâaffĂ»t du moindre souffle.
A cette heure matinale, il faisait encore sombre. Et lâambiance calme et endormie les isolait des autres travailleurs, extirpĂ©s eux aussi de leur lit.
Mel avait envie de se laisser aller⊠Alanguie contre cette homme. Le moment était venu donc. Fini les jeux de regards et autres sourires de connivence.
Il n'avait jamais Ă©changer un seul mot.
Comme si il lisait dans son esprit fébrile, il pressa un peu plus sa cuisse contre la sienne. Le message était clair. Le contact physique établi.
Mel resserra les cuisses. Juste un peu. Sans doute que nul ne pouvait les voir dans cette semi-obscurité, mais elle craignait de faire tous mouvements. Comme si chacun de ses gestes pouvaient les trahir, et mettre à jour les envies lubriques qui commençaient à assourdir son cerveau.
Mel se cala un peu plus dans son siĂšge. Se trĂ©moussant, indĂ©cise. Cette fois-ci elle le voyait de prĂšs. Du moins son profil. Car ils regardaient tous deux, droit devant. Elle pouvait sentir sa chaleur Ă travers leurs vĂȘtements d'hiver. Il Ă©tait beaucoup plus grand qu'elle. Et plus fin qu'elle ne le croyait.
De longues jambes. Des bras tout aussi longs. Une bouche trĂšs sensuelle pour un homme.
Un nez fort.
Lasse de réfléchir, et de lutter contre cette cuisse masculine qui prenait de plus en plus de place, Mel lui rendit son mouvement. Elle aussi avança sa jambe. Ce qui eu pour effet celui de légÚrement entrouvrir ses cuisses.
Elle espĂ©rait qu'il comprendrait lâinvitation, car si Mel Ă©tait vite dâhumeur salope, elle nâirai pas jusquâĂ prendre les choses en mains. Il la voulait. Qu'il la prenne.
Il commença par approcher sa main de l'ouverture entre ses cuisses. Mel Ă©tait ravie de porter ce jour cette jupe Ă tissu fin. Il remonta ses doigts le long de sa cuisse. Fit des aller retours de plus en plus appuyĂ©s. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Mel avait dĂ©jĂ la pointe des seins tendus. Le tissu de sa culotte adhĂ©rait aux plis de sa vulve. La jeune femme se retenait maintenant dâouvrir largement les jambes. De se laisser aller au fond du dossier. Peut-ĂȘtre mĂȘme de passer sa jambe par-dessus celle du jeune homme pour des caresses plus franches.
Les yeux toujours rivĂ©s sur les coutures du siĂšge. Parfois la tĂȘte tournĂ©e vers la route qui dĂ©filait, et ses voitures aux seuls passagers.
Entre temps il sâĂ©tait montrĂ© plus hardi. Ses doigts Ă©taient remontĂ©s plus haut. Sa paume largement aplatie sur son pubis. Du majeur il titillait son clitoris. Entre ronds durs et exigeants. Et comme si ça ne lui suffisait pas, sentant sans doute le petit bout de chair gonfler, se tendre plus, il le prit entre deux doigts. Dans de douces et douloureuses petites pressions.
A ce manĂšge, Mel BrĂ»lait de lâintĂ©rieur. Elle se sentait partir. Au bord de l'orgasme. Elle aurait voulu accompagner son exploration de mouvements de hanches dĂ©sordonnĂ©s. Sauvage. Renverser la nuque, et hurler de plaisir.
Elle devait se contenter de fermer les yeux. Les fermer aussi serrĂ©s que ses poingsâŠLes lĂšvres pincĂ©es sur ses gĂ©missements de plaisir.
Il approcha son visage du sien. Et tournĂ©e vers le dehors obscur, elle sentait son regard la transpercer. Il la surprit en posant ses lĂšvres contre son oreille. Sa langue sâenroulant doucement autour de son lobe.
La jeune femme se crispa malgrĂ© elle, ce qui par rĂ©flexe, lui fit refermer les cuisses sur cette main baladeuse. Comme pour lâemprisonner. Ou lâempĂȘcher d'aller plus loin.
« J'ai envie de te sucer la chatteâŠmais je ne le ferai pas.
Pas ici. Pas tout de suite.
Ecarte les cuisses. Je veux glisser ma main sous tes collants. Sentir ta chatte couler sur mes doigts. »
Au son rauque de sa voix dans le creux de son oreille, Mel ouvrit aussitĂŽt les yeux. Les paroles de cet inconnu se rĂ©percutĂšrent en ondes de choc dans tout son corps jusquâĂ se nouer dans son ventre.
Elle n'osait ni bouger, ni Ă©mettre de son. Avaient-ils des voisins ? Les siĂšges de la rangĂ©e dâĂ cotĂ© n Ă©taient pas occupĂ©s . Mais devant eux, si. Et impossible pour Mel de vĂ©rifier si derriĂšre eux, il en Ă©tait de mĂȘme. Elle se sentait incapable de se retourner. MĂȘme de trois quart.
Elle nâarrivait plus Ă rĂ©flĂ©chir. Ca allait trop viteâŠ
Apres tout, ils seraient amenĂ©s Ă se revoir, empruntant tous deux le mĂȘme trajet.
Si ça se passait mal. Ou que ce mec au final était cinglé.
La sensation de cette main dure entre ses cuisses se fit dĂšs lors, trĂšs gĂȘnante.
Il devait avoir senti son hésitation. Et son léger recul.
Il Îta sa main. Descendit le tissu de sa jupe sur ses cuisses et se replaça face à son siÚge.
Mais pour son plus grand soulagement, il n'abandonna pas leurs jeux pour autant.
Il prit la main de la jeune femme et la posa sur son entrejambe.
Sur la braguette de son jean. Mel sentait son membre compressé sous le tissu.
CourbĂ©. PrĂȘte Ă se tendre, une fois libĂ©rĂ©.
Ce geste Ă©lectrisa Mel. Un frisson lui parcouru le creux des reins jusquâĂ la naissance de ses cheveux.
Elle ouvrit la bouche pour expirer l'air quâelle semblait retenir depuis dans ses poumons.
Sa bouche s'ouvrant dans un souffle. Peut-ĂȘtre pour accueillir cette queue, si elle venait Ă sortir de sa cage.
Mel se dit que câĂ©tait lâoccasion de se positionner. Dire non clairement. Ou balayer ses craintes, et jouir de lâinstant.
Alors elle su quoi faire au moment oĂč leurs regards se croisĂšrent dans la pĂ©nombre.
Elle lui lécha le coin de la lÚvre. Lui octroyant la premiÚre caresse assumée. Furtivement.
Puis sa main à elle se fit plus pressante. Elle voulait caresser ce membre. En éprouver la taille. La longueur. Son élasticité. Le sentir palpiter. Et se dérouler entre ses doigts fébriles.
Elle voulait le sentir durcir dans sa bouche. Mais Mel se tenait droite. Regardant fixement devant elle. Comme si cela se passait en dehors dâelle.
Elle branlait un mec dans un bus. Tout ça sur le trajet du travail.
Dans ce mĂȘme bus, certains lisaient, discutaient. Dormaient. Dans lâespoir de prolonger le confort du lit, rentabiliser le temps.
Mais dans quel Ă©tat il la mettait..
Car il avait réussi à isoler Mel de ce monde. Elle ne percevait plus que le ronflement régulier du chauffage soufflant son air chaud sur ses mollets, et le sang qui affluait à ses tempes.
La queue de son voisin de siĂšge avait durci sous la pression de ses mains. Elle Ă©tait mĂȘme carrĂ©ment dure. Et lâĂ©rection franche du jeune homme excitait terriblement la jeune femme.
Mel sentait son cĆur qui battait Ă tout rompre dans sa cage thoracique. Elle se retenait de se pencher pour lĂ©cher le tissu rigide du vĂȘtement. Le frottement de la matiĂšre, et cette chair chaude juste en dessous, lâaffolaient. Elle se sentait saliver.
Elle tenta agacĂ©e dâouvrir un bouton. Nâen pouvant plus. Elle n'irai pas jusquâĂ le sucer lĂ ainsi, mais elle voulait le toucher. Prendre son membre entre les doigts de sa main. Faire coulisser sa peau, dĂ©gager son gland.
Il comprit son besoin impĂ©rieux. Et malgrĂ© le fait quâil soit cĂŽtĂ© couloir, il nâhĂ©sita pas un instant. Son manteau entrouvert, il ouvrit son pantalon dâune main. L autre ayant retrouvĂ© sa place sur la cuisse de la jeune femme.
Cette fois-ci Mel dĂ©cida que le plaisir devait ĂȘtre mutuel.
En plus de lâexcitation que lui procurait cette chair douce et chaude au creux de la main, elle voulait la caresse de ses doigts Ă lui.
Qu'il rejoue sa partition sur les plis de sa chatte. Ouvre grand les lĂšvres humides de son sexe. En caresses appuyĂ©es sur son clitoris. Elle voulait quâil la fasse jouir.
Une fois sa queue libre de toutes contraintes, Mel pu en apprécier la vigueur.
Elle fit sa main remonter et descendre en douceur.
Et dans lâobscuritĂ© du bus, elle laissa ses doigts se repaĂźtre de la chaleur de cette queue raide et gonflĂ©e.
Sous son pouce, la fragilitĂ© et lâhumiditĂ© de son gland.
Dans la paume de sa main, les tressaillements de son membre dressé.
Mel sâhumecta les lĂšvres. Une envie sourde au ventre de se pencher, et de lâengloutir.
Prudente, elle glissa deux doigts entre ses lÚvres pour les mouiller, puis trop gourmande, enfonça carrément la main.
Elle lécha ses doigts généreusement. Sans se presser. Lui la fouillait de plus en plus fort.
Ses mains avaient écartées son collant. Ses doigts glissaient entre les lÚvres de sa chatte. Parfois s'enfonçaient dans son trou devenu gluant de sÚve.
MalgrĂ© lâexcitation, elle ne put sâempĂȘcher de craindre quâils ne soient surpris.
Mel prenait lâodeur de sa chatte qui montait. Entendait le bruit de succion de ses doigts lorsquâil sâenfonçait en elle. La jeune femme Ă©tait mortifiĂ©e . Mais incapable de se contenir. Ou dâarrĂȘter.
Mel jugea que sa main était assez mouillée pour le faire glisser en douceur entre ses doigts.
Elle passa dâabord le pouce sur son gland. En Ă©prouva la douceur. Elle sentit le bassin de son partenaire se tendre dâun coup sous la caresse. Elle continua les ronds concentriques jusquâĂ le faire mouiller lui aussi.
Elle avait tellement envie de le sucer. Recueillir cette premiĂšre goutte du bout de la langue.
Fallait quâils se retiennent tous deux. Elle voulait que ça dure.
Mel sentait la chaleur de leurs deux corps. Leurs odeurs qui se mĂȘlaient. Ils sâempĂȘchaient encore de se regarder. De se tourner l'un vers lâautre. Deux inconnus qui partagent cĂŽte Ă cĂŽte la mĂȘme banquette de bus.
Quand son partenaire de jeux dĂ©cida quâils iraient encore plus loin.
« Je veux te baiser. Ici tout de suite. Tâes tellement ouverteâŠtu mâexcites trop"
La baiser ?! Paniquée Mel ne su que faire, ni dire.
« LÚve un peu ton cul de salope. Ne t inquiÚte pas. Je veille. Personne ne s'occupe de nous. »
Mel, devenue chaude et docile, souleva les pans de son manteau. Glissa jupe et collants jusquâĂ mi-cuisses.
Se retrouvant ainsi, chatte et culs offerts sous son manteau.
Il ne se fit pas prier. La minute suivante Mel se sentit envahie par deux doigts durs et Ă©pais.
Il avait passĂ© ses mains dans son dos. Mel se trouvait maintenant assise sur son bras. Pas dâautres choix que de sâempaler sur les doigts fichĂ©s en elle.
Mel se retenait de ne pas se mouvoir sur cette main qui la fouillait franchement.
Avec les va et vient, son poignet et son bras frottaient le sillon de ses fesses.
Mel sentait son anus s'ouvrir. L'anneau se gonfler de sang.
Encore une fois , soit il lu dans ses pensées, soit c'est son traßtre de corps qui appela trop fort à cette caresse.
La jeune femme sentit quâil lui enfonçait le pouce dans le cul.
Et à son corps défendant, elle s'empala un peu plus loin, plus fort.
Les doigts de son voisin de trajet la ravageait.
CâĂ©tait trop bon.
Mel n'avait pas lùché la queue raide de son partenaire. Et dans des mouvements parfois désordonnés, elle faisait coulisser son membre entre ses doigts. Sa queue devenue aussi brûlante que son intérieur à elle.
Mel se sentait devenir folleâŠElle aurait voulu se pencher en avant. Tendre son cul. Offrir ses trous Ă cette main, jusquâau poing.
La tĂȘte entre les chevilles. Sa bouche ouverte dans une symphonie de cris.
Entre ça, et toutes les sensations qui la traversaient , Mel ne savait plus oĂč donner de la tĂȘte.
Elle se laissait faire. Comme une heureuse poupée de chiffons.
Et ne se retenait plus de jouir. Les dents serrĂ©es. La tĂȘte en feu, et en plein dĂ©lire.
La jouissance lâavait prise quelques secondes aprĂšs avoir eu son cul Ă©cartelĂ©.
Les yeux fermés, des spasmes parcourant le creux de ses reins, et la peau nue de ses fesses.
Faisant se contracter la chatte. Mel ne savait plus si le nombre de doigts qui la fouillait Ă©tait le mĂȘme. Mais il sâenfonçait toujours plus profondĂ©ment. Chatte et cul, sans se lasser.
Et Mel s'accrochait Ă sa queue pour ne pas chavirer.
Il se pencha vers elle et lui chuchota Ă lâoreille :
« TâarrĂȘtes pas de mouiller. MĂȘme ton cul est grand ouvert.
Jâai tellement envie de te remplir.
T as de la chance que l'on soit dans ce putain de bus. Sinon tu serai déjà sur ma queue petite salope »
Et sur ces mots, il reprit ses attouchements de plus belle.
« Je veux que tâĂ©cartes les cuisses pour moi. Tu vas me faire juter. Et je veux jouir sur ton corps de pute. Ecarte encoreâŠet colle au maximum ta jambe contre moi.
Je vais tâen mettre partout salope ! Dis tu veux bien ?! »
Et alors que sa main sâĂ©tait extraite de son cul pour passer devant entre les cuisses de la jeune femme, Mel sâexĂ©cuta sans dire un mot.
Certes, elle sâinquiĂ©tait de son aspect par la suite. Mais sur le coup, la situation Ă©tait bien trop excitante pour quâelle puisse se rĂ©frĂ©ner.
Elle pressa sa queue un peu plus. Se concentra sur le souffle du jeune homme devenu court, et le regarda enfin.
Se tournant lĂ©gĂšrement vers lui, elle colla sa cuisse sur la sienne, ouvrant largement ses jambes nues. Seule la culotte enroulĂ©e autour de ses genoux lâempĂȘchaient de les ouvrir plus.
Elle voulait quâil la souille. Qu'il lâinonde. Elle soutint son regard. La bouche entrouverte.
Accentuant la masturbation de son sexe tendu, jusquâĂ le sentir se rĂ©pandre sur ses doigts. Des jets chauds arrivant jusquâĂ lâintĂ©rieur de ses cuisses.
Mel eut lâenvie brutale de se pencher pour gober les premiĂšres gouttes. LĂ©cher les filets de sperme sur sa main. Accueillir chaque jet sur sa langue. Ou directement au fond de sa gorge.
Mais elle ne le connaissait pas. LĂ encore elle se tempĂ©ra. Peut-ĂȘtre pour une prochaine fois.
Mel le laissa reprendre son souffle. Il sâavachit dans le fauteuil, la nuque renversĂ©e.
Machinalement, Mel continua Ă le caresser, entre ses doigts devenus collants.
Elle joua avec sa queue qui montrait les premiers signes de repli .
Il se tourna alors vers elle. Lui sourit. Passa une main encore brûlante sur ses cuisses entrouvertes et souillées.
« Tu m as excitĂ© dĂšs la premiĂšre foisâŠsi j'avais su que ca serait aussi bon, j aurais bandĂ© dans mon jean direct.
Et t arrĂȘte pasâŠjâaime bien quand tu t'occupes de ma queue. Et je crois qu'elle aussi t'aime bien ! «
HummâŠtâes tellement belle. Encore plus les cuisses ouvertes et pleine de mon foutre.
DisâŠils sont opaques tes collantsâŠĂ§a te dirait de les remettre sans te nettoyer.
Je veux penser à toi ainsi toute la journée »
Il grognait un flot de paroles Ă lâoreille de la jeune femme tout en Ă©talant le sperme tiĂšde sur ses cuisses.
Mel sentait sa queue reprendre vigueur entre ses mains. Les doigts de la jeune femme agglutinés à ses chairs. Elle sentait le membre palpiter et frémir.
Mel avait envie de consentir Ă sa demande. CâĂ©tait insensĂ©. Et risquĂ©, car il ne se connaissait pas. Mais elle avait envie de jouer. Et ce genre de jeux rĂ©pondait Ă ses envies les plus perverses.
Elle le fixa du regard et remonta sa culotte, puis les collants. Le tissu adhérait à ses cuisses. Et la variation entre les zones sÚches et humides rajouta à son trouble.
Elle Ă©tait folle de faire ça ⊠ses vĂȘtements Ă©taient maintenant dĂ©finitivement souillĂ©s, et elle ne savait pas si ça se remarquerait. DĂ©jĂ Ă la descente du bus.
Loin de se douter de toutes ces prises tardives de conscience, il la regardait le regard illuminĂ©, comme fou. Et prĂȘt Ă la baiser lĂ dans le bus.
TournĂ© vers elle, il lui pinçait la pointe des seins. Glissait fiĂ©vreusement lâautre main entre ses cuisses.
La palpait frénétiquement, comme si il la touchait aprÚs une longue attente.
Mel se sentait Ă nouveau partir. Incandescente.
Il sâĂ©tait approchĂ© d'elle, ne se retenant plus de la presser, de la coller Ă lui.
« Tu mâexcites trop⊠» soufflait -il dans sa nuque.
Ses mains pressant de plus en plus fort sa poitrine. Roulant presque brutalement la pointe de ses seins entre ses doigts. Cherchant fébrilement à dénuder sa poitrine.
Il tira sur les vĂȘtements de la jeune femme. Souleva sans peine un pan de son tee-shirt et prit la pointe dĂ©nudĂ©e de son sein gauche dans la bouche.
Mel nây tenant plus, pressa la tĂȘte du jeune homme plus fort contre elle. La gorge renversĂ©e. Totalement livrĂ©e aux envies de ce presquâinconnu.
Et comme à la dérive lui aussi, a****l, il aspirait et tétait. Grognant de plaisir, mordant à pleines dents ses globes de chairs. Ses mains triturant sans répit sa poitrine à vif.
La jouissance arriva sans crier gare. Et câest le point serrĂ© sur la bouche quâelle Ă©touffa ses cris de plaisir.
Le jeune homme Ă©tait maintenant carrĂ©ment couchĂ© sur elle. Lâenfoncant contre la paroi glacĂ©e et moite.
Elle le sentait se branler contre sa cuisse. Son ventre.
Il se branla sur elle ainsi quelques minutes. Lâabreuvant de mots crus et dâinsultes bien choisies.
Et dans le creux de son oreille. Le visage plaque contre la vitre du bus, Mel se laissa utiliser en vide couilles docile et servile.
« Tâes trop bonne..une vraie salope qu sâignore. Une pute Ă baiser tous les matins. Une bonne vide couilles.. »
Mel encore hagarde, dans son brouillard de sensations et de chairs repues, se fit plus molle, plus douce, plus chaude, afin quâil lui jouisse encore dessus.
Elle sentit un long jet chaud lui taper sur le ventre..il avait levé son tee-shirt, et se regardait juter sur son corps offert.
Quelques gouttes Ă©claboussĂšrent ses seins.
Elle sentait son foutre sâĂ©couler attirĂ© par la gravitĂ©.
Il avait Ă©tĂ© moins gĂ©nĂ©reux en sperme cette fois ci, mais lâavait dĂ©finitivement souillĂ©e.
Il replaca presque dĂ©licatement ses vĂȘtements par-dessus. Le tissu adhĂ©rant de suite aux coulures de sperme.
Il lâaida Ă se redresserâŠBoutonna son manteau. Caressant au passage tantĂŽt son visage, tantĂŽt l arrĂȘte de son poignet. Ou le pli de son genou..
Mel se laissa faire tout le long. En poupĂ©e de porcelaine. Quand il se cala enfin sur son siĂšge, la tĂȘte penchĂ©e vers elle, Mel reprit ses esprits.
Mon dieuâŠque câĂ©tait t-il passĂ© ?!
Ătait ce allĂ© au si loin ?? Au point quâelle ne soit plus sure de son Ă©tat physique et vestimentaire !
Mel était mortifiée.
Et encore une fois, comme si sa consternation se lisait sur son visage, il prit son portable et les Ă©claira discrĂštement.
Et passant le faisceau de lumiĂšre sur leur tenue respective il tenta de la rassurer sur son aspect.
Ils se fixÚrent du regard enfin tous deux pour la premiÚre fois depuis le début du trajet.
Son regard chaud, Ă©tait franc et doux.
Mel parti dans un fou rire libérateur.
Au fond elle savait quâelle passerait une bonne journĂ©e..
AprĂšs tout, on a toujours le cĆur et lâesprit plus lĂ©gers aprĂšs avoir joui.
Mel l'avait repĂ©rĂ© une de ces fois oĂč des avaries matĂ©riels les avaient bloquĂ©s sur le quai un peu plus d'une heure.
Un beau brun, d'une trentaine dâannĂ©es. Il Ă©tait large dâĂ©paules, lĂ©gĂšrement plus grand qu'elle.
JusquâĂ prĂ©sent ils n'avaient fait que se regarder en coin. Parfois juste Ă la faveur de leurs tĂȘtes levĂ©es lors du trajet.
CâĂ©tait un de ces trains de derniĂšres gĂ©nĂ©rations sur les lignes de banlieue. Mel rĂ©sidait Ă moins de 20 mn de Paris.
Elle entreprenait ce trajet que depuis six mois, ou Ă peine plus. Nouveau boulot.
Plus long que pour ces derniÚres missions. Et avec plusieurs correspondances. Mais la jeune femme préférait cependant ce travail en banlieue, à la foule parisienne.
Sa ligne de train traversait des forĂȘts boisĂ©es entrelacĂ©es aux villes.
Elle dĂ©vorait les livres. Ăcoutait de la musique Ă plus soif. Passait cette heure Ă repenser sa vie, soigner les bons moments, dĂ©jĂ passĂ©s et rĂ©volus.
Les journĂ©es sâĂ©coulaient sereines, Ă un rythme de vie beaucoup plus apaisĂ©.
Au fil de ce quotidien Mel sâĂ©tait habituĂ©e Ă certains corps et visages.
Un soir au quai de leur correspondance encore retardée, leurs regards se croisÚrent, et timidement, ils échangÚrent un sourire.
Mel Ă©tait dâun tempĂ©rament avenant, et câĂ©tait une femme sĂ»re d'elle. Mais solitaire.
Elle ne ressentait pas le besoin de faire le trajet Ă deux.
Ce matin, ça avait Ă©tĂ© la courseâŠPour sâextirper de son lit chaud.
Att****r au vol son dernier bus, direction la gare, avant dâĂȘtre trop en retard. Sauter dans le train au dĂ©part.
Adossée au dernier rang, Mel regardait machinalement la ligne peu occupée ce matin là quand elle fut traversée d'un frisson.
CâĂ©tait lui. A deux rangĂ©es en diagonale en face dâelle. Il la fixait . Du moins son regard glissait sur sa bouche, puis plus bas. JusquâĂ la jointure de ses jambes croisĂ©es.
Elle fut tentĂ©e de redescendre le tissu lĂ©gĂšrement remontĂ© de sa jupe. Mais elle ne put esquisser de gestes. PercĂ©e par le trouble qui lâenvahissait.
Elle se faisait sans doute des idĂ©es⊠Et ne voulait pas exprimer sa gĂȘne.
Mais la sensation de son regard se fit plus insistante. Sa proximitĂ©, leur isolement dans le wagon presque dĂ©sert, lui donnaient chaudâŠ
Mel senti son corps se raidir, comme prĂȘte Ă bondir.
Il ne la lĂąchait pas du regard. Mais quâ est ce qui lui prenait Ă celui-lĂ ?!
Mel Leva la tĂȘte dans sa direction , afin peut-ĂȘtre de reprendre un tant soit peu le contrĂŽle.
Croiser son regard, et mettre fin Ă ce petit jeu.
Mais en retour, il esquissa un petit sourire. Presque carnassier. Ils se dévisagÚrent ainsi une fraction de secondes de plus, puis il replongea le nez dans son livre, et ce fut comme si de rien était.
Mel ne savait plus que penserâŠtroublĂ©e par lâattitude de cet inconnu.
Il était mignon certes. Viril, et élégant dans son manteau noir. Et elle se sentait étrangement excitée.
Mais il sâĂ©tait passĂ© quoi Ă l'instant ?
Mel fit semblant elle aussi de se plonger dans la contemplation des voies ferrées qui défilaient. Mais incapable d'apaiser son cerveau en feu.
Cinq minutes plus tard, ils arrivaient Ă leur correspondance commune. Elle descendit dans un bond, sans chercher Ă savoir sâil la suivait.
Et en cette matinĂ©e froide et brumeuse, tout sâenchaĂźna comme Ă son habitude.
Lâattente de sa derniĂšre correspondance. La chaleur apaisante et feutrĂ©e du bus.
Les 30/40mn de trajet, la circulation dense sur cet axe.
Parfois Mel s'assoupissait. Dâautres fois elle lisait. Un casque sur les oreilles. La coupant ainsi des autres passagers.
Mais ce matin lĂ , elle dĂ» s'y reprendre Ă plusieurs fois avant dâintĂ©grer le chapitre quâelle lisait.
Ce mec l'avait franchement désarçonnée. Mel fantasmait de fait sur lui. Sur ce contexte qui les réunissait au quotidien.
Pour ne rien cacher, son appĂ©tit sexuel Ă©tant le sien, nombreux Ă©taient les scĂ©narios quâelle avait pu Ă©chafauder lors de ces prĂ©cĂ©dents trajets.
A la croisĂ©e d'une ligne. D'une gare. Un homme, parfois mĂȘme une femme, ayant captĂ© son attention. Aiguisant ainsi ses sens.
Mel était plutÎt prompte aux plaisirs sexuels. Mais privilégiait la discrétion d'un lieu non public.
NĂ©anmoins, ce matin lĂ , cet inconnu lui avait donnĂ© envie de scĂ©narios autrement plus osĂ©sâŠ
D'un regard il avait éveillé la salope en elle. Et malgré elle, Mel se demanda si il était loin d'elle dans le bus. Car elle savait que leurs déplacements se rejoignaient aussi sur le trajet du bus.
Un matin, il sâassis Ă ses cĂŽtĂ©s. Mel nâavait pas remarquĂ© sa prĂ©sence sur la correspondance prĂ©cĂ©dente.
Et quâelle ne fĂ»t sa surprise en tournant la tĂȘte vers son voisin.
Elle lui fit un lĂ©ger sourire. Puis dĂ©tourna le regard, trop gĂȘnĂ©e pour agir autrement.
En premier lieu, ce fut la sensation de chaleur sur sa cuisseâŠ
Puis le poids de son Ă©paule, Ă lâoccasion d'un virage un peu serrĂ©.
Un lĂ©ger trouble commençait Ă l'envahir. Elle sentait ses sens en alerte, Ă lâaffĂ»t du moindre souffle.
A cette heure matinale, il faisait encore sombre. Et lâambiance calme et endormie les isolait des autres travailleurs, extirpĂ©s eux aussi de leur lit.
Mel avait envie de se laisser aller⊠Alanguie contre cette homme. Le moment était venu donc. Fini les jeux de regards et autres sourires de connivence.
Il n'avait jamais Ă©changer un seul mot.
Comme si il lisait dans son esprit fébrile, il pressa un peu plus sa cuisse contre la sienne. Le message était clair. Le contact physique établi.
Mel resserra les cuisses. Juste un peu. Sans doute que nul ne pouvait les voir dans cette semi-obscurité, mais elle craignait de faire tous mouvements. Comme si chacun de ses gestes pouvaient les trahir, et mettre à jour les envies lubriques qui commençaient à assourdir son cerveau.
Mel se cala un peu plus dans son siĂšge. Se trĂ©moussant, indĂ©cise. Cette fois-ci elle le voyait de prĂšs. Du moins son profil. Car ils regardaient tous deux, droit devant. Elle pouvait sentir sa chaleur Ă travers leurs vĂȘtements d'hiver. Il Ă©tait beaucoup plus grand qu'elle. Et plus fin qu'elle ne le croyait.
De longues jambes. Des bras tout aussi longs. Une bouche trĂšs sensuelle pour un homme.
Un nez fort.
Lasse de réfléchir, et de lutter contre cette cuisse masculine qui prenait de plus en plus de place, Mel lui rendit son mouvement. Elle aussi avança sa jambe. Ce qui eu pour effet celui de légÚrement entrouvrir ses cuisses.
Elle espĂ©rait qu'il comprendrait lâinvitation, car si Mel Ă©tait vite dâhumeur salope, elle nâirai pas jusquâĂ prendre les choses en mains. Il la voulait. Qu'il la prenne.
Il commença par approcher sa main de l'ouverture entre ses cuisses. Mel Ă©tait ravie de porter ce jour cette jupe Ă tissu fin. Il remonta ses doigts le long de sa cuisse. Fit des aller retours de plus en plus appuyĂ©s. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Mel avait dĂ©jĂ la pointe des seins tendus. Le tissu de sa culotte adhĂ©rait aux plis de sa vulve. La jeune femme se retenait maintenant dâouvrir largement les jambes. De se laisser aller au fond du dossier. Peut-ĂȘtre mĂȘme de passer sa jambe par-dessus celle du jeune homme pour des caresses plus franches.
Les yeux toujours rivĂ©s sur les coutures du siĂšge. Parfois la tĂȘte tournĂ©e vers la route qui dĂ©filait, et ses voitures aux seuls passagers.
Entre temps il sâĂ©tait montrĂ© plus hardi. Ses doigts Ă©taient remontĂ©s plus haut. Sa paume largement aplatie sur son pubis. Du majeur il titillait son clitoris. Entre ronds durs et exigeants. Et comme si ça ne lui suffisait pas, sentant sans doute le petit bout de chair gonfler, se tendre plus, il le prit entre deux doigts. Dans de douces et douloureuses petites pressions.
A ce manĂšge, Mel BrĂ»lait de lâintĂ©rieur. Elle se sentait partir. Au bord de l'orgasme. Elle aurait voulu accompagner son exploration de mouvements de hanches dĂ©sordonnĂ©s. Sauvage. Renverser la nuque, et hurler de plaisir.
Elle devait se contenter de fermer les yeux. Les fermer aussi serrĂ©s que ses poingsâŠLes lĂšvres pincĂ©es sur ses gĂ©missements de plaisir.
Il approcha son visage du sien. Et tournĂ©e vers le dehors obscur, elle sentait son regard la transpercer. Il la surprit en posant ses lĂšvres contre son oreille. Sa langue sâenroulant doucement autour de son lobe.
La jeune femme se crispa malgrĂ© elle, ce qui par rĂ©flexe, lui fit refermer les cuisses sur cette main baladeuse. Comme pour lâemprisonner. Ou lâempĂȘcher d'aller plus loin.
« J'ai envie de te sucer la chatteâŠmais je ne le ferai pas.
Pas ici. Pas tout de suite.
Ecarte les cuisses. Je veux glisser ma main sous tes collants. Sentir ta chatte couler sur mes doigts. »
Au son rauque de sa voix dans le creux de son oreille, Mel ouvrit aussitĂŽt les yeux. Les paroles de cet inconnu se rĂ©percutĂšrent en ondes de choc dans tout son corps jusquâĂ se nouer dans son ventre.
Elle n'osait ni bouger, ni Ă©mettre de son. Avaient-ils des voisins ? Les siĂšges de la rangĂ©e dâĂ cotĂ© n Ă©taient pas occupĂ©s . Mais devant eux, si. Et impossible pour Mel de vĂ©rifier si derriĂšre eux, il en Ă©tait de mĂȘme. Elle se sentait incapable de se retourner. MĂȘme de trois quart.
Elle nâarrivait plus Ă rĂ©flĂ©chir. Ca allait trop viteâŠ
Apres tout, ils seraient amenĂ©s Ă se revoir, empruntant tous deux le mĂȘme trajet.
Si ça se passait mal. Ou que ce mec au final était cinglé.
La sensation de cette main dure entre ses cuisses se fit dĂšs lors, trĂšs gĂȘnante.
Il devait avoir senti son hésitation. Et son léger recul.
Il Îta sa main. Descendit le tissu de sa jupe sur ses cuisses et se replaça face à son siÚge.
Mais pour son plus grand soulagement, il n'abandonna pas leurs jeux pour autant.
Il prit la main de la jeune femme et la posa sur son entrejambe.
Sur la braguette de son jean. Mel sentait son membre compressé sous le tissu.
CourbĂ©. PrĂȘte Ă se tendre, une fois libĂ©rĂ©.
Ce geste Ă©lectrisa Mel. Un frisson lui parcouru le creux des reins jusquâĂ la naissance de ses cheveux.
Elle ouvrit la bouche pour expirer l'air quâelle semblait retenir depuis dans ses poumons.
Sa bouche s'ouvrant dans un souffle. Peut-ĂȘtre pour accueillir cette queue, si elle venait Ă sortir de sa cage.
Mel se dit que câĂ©tait lâoccasion de se positionner. Dire non clairement. Ou balayer ses craintes, et jouir de lâinstant.
Alors elle su quoi faire au moment oĂč leurs regards se croisĂšrent dans la pĂ©nombre.
Elle lui lécha le coin de la lÚvre. Lui octroyant la premiÚre caresse assumée. Furtivement.
Puis sa main à elle se fit plus pressante. Elle voulait caresser ce membre. En éprouver la taille. La longueur. Son élasticité. Le sentir palpiter. Et se dérouler entre ses doigts fébriles.
Elle voulait le sentir durcir dans sa bouche. Mais Mel se tenait droite. Regardant fixement devant elle. Comme si cela se passait en dehors dâelle.
Elle branlait un mec dans un bus. Tout ça sur le trajet du travail.
Dans ce mĂȘme bus, certains lisaient, discutaient. Dormaient. Dans lâespoir de prolonger le confort du lit, rentabiliser le temps.
Mais dans quel Ă©tat il la mettait..
Car il avait réussi à isoler Mel de ce monde. Elle ne percevait plus que le ronflement régulier du chauffage soufflant son air chaud sur ses mollets, et le sang qui affluait à ses tempes.
La queue de son voisin de siĂšge avait durci sous la pression de ses mains. Elle Ă©tait mĂȘme carrĂ©ment dure. Et lâĂ©rection franche du jeune homme excitait terriblement la jeune femme.
Mel sentait son cĆur qui battait Ă tout rompre dans sa cage thoracique. Elle se retenait de se pencher pour lĂ©cher le tissu rigide du vĂȘtement. Le frottement de la matiĂšre, et cette chair chaude juste en dessous, lâaffolaient. Elle se sentait saliver.
Elle tenta agacĂ©e dâouvrir un bouton. Nâen pouvant plus. Elle n'irai pas jusquâĂ le sucer lĂ ainsi, mais elle voulait le toucher. Prendre son membre entre les doigts de sa main. Faire coulisser sa peau, dĂ©gager son gland.
Il comprit son besoin impĂ©rieux. Et malgrĂ© le fait quâil soit cĂŽtĂ© couloir, il nâhĂ©sita pas un instant. Son manteau entrouvert, il ouvrit son pantalon dâune main. L autre ayant retrouvĂ© sa place sur la cuisse de la jeune femme.
Cette fois-ci Mel dĂ©cida que le plaisir devait ĂȘtre mutuel.
En plus de lâexcitation que lui procurait cette chair douce et chaude au creux de la main, elle voulait la caresse de ses doigts Ă lui.
Qu'il rejoue sa partition sur les plis de sa chatte. Ouvre grand les lĂšvres humides de son sexe. En caresses appuyĂ©es sur son clitoris. Elle voulait quâil la fasse jouir.
Une fois sa queue libre de toutes contraintes, Mel pu en apprécier la vigueur.
Elle fit sa main remonter et descendre en douceur.
Et dans lâobscuritĂ© du bus, elle laissa ses doigts se repaĂźtre de la chaleur de cette queue raide et gonflĂ©e.
Sous son pouce, la fragilitĂ© et lâhumiditĂ© de son gland.
Dans la paume de sa main, les tressaillements de son membre dressé.
Mel sâhumecta les lĂšvres. Une envie sourde au ventre de se pencher, et de lâengloutir.
Prudente, elle glissa deux doigts entre ses lÚvres pour les mouiller, puis trop gourmande, enfonça carrément la main.
Elle lécha ses doigts généreusement. Sans se presser. Lui la fouillait de plus en plus fort.
Ses mains avaient écartées son collant. Ses doigts glissaient entre les lÚvres de sa chatte. Parfois s'enfonçaient dans son trou devenu gluant de sÚve.
MalgrĂ© lâexcitation, elle ne put sâempĂȘcher de craindre quâils ne soient surpris.
Mel prenait lâodeur de sa chatte qui montait. Entendait le bruit de succion de ses doigts lorsquâil sâenfonçait en elle. La jeune femme Ă©tait mortifiĂ©e . Mais incapable de se contenir. Ou dâarrĂȘter.
Mel jugea que sa main était assez mouillée pour le faire glisser en douceur entre ses doigts.
Elle passa dâabord le pouce sur son gland. En Ă©prouva la douceur. Elle sentit le bassin de son partenaire se tendre dâun coup sous la caresse. Elle continua les ronds concentriques jusquâĂ le faire mouiller lui aussi.
Elle avait tellement envie de le sucer. Recueillir cette premiĂšre goutte du bout de la langue.
Fallait quâils se retiennent tous deux. Elle voulait que ça dure.
Mel sentait la chaleur de leurs deux corps. Leurs odeurs qui se mĂȘlaient. Ils sâempĂȘchaient encore de se regarder. De se tourner l'un vers lâautre. Deux inconnus qui partagent cĂŽte Ă cĂŽte la mĂȘme banquette de bus.
Quand son partenaire de jeux dĂ©cida quâils iraient encore plus loin.
« Je veux te baiser. Ici tout de suite. Tâes tellement ouverteâŠtu mâexcites trop"
La baiser ?! Paniquée Mel ne su que faire, ni dire.
« LÚve un peu ton cul de salope. Ne t inquiÚte pas. Je veille. Personne ne s'occupe de nous. »
Mel, devenue chaude et docile, souleva les pans de son manteau. Glissa jupe et collants jusquâĂ mi-cuisses.
Se retrouvant ainsi, chatte et culs offerts sous son manteau.
Il ne se fit pas prier. La minute suivante Mel se sentit envahie par deux doigts durs et Ă©pais.
Il avait passĂ© ses mains dans son dos. Mel se trouvait maintenant assise sur son bras. Pas dâautres choix que de sâempaler sur les doigts fichĂ©s en elle.
Mel se retenait de ne pas se mouvoir sur cette main qui la fouillait franchement.
Avec les va et vient, son poignet et son bras frottaient le sillon de ses fesses.
Mel sentait son anus s'ouvrir. L'anneau se gonfler de sang.
Encore une fois , soit il lu dans ses pensées, soit c'est son traßtre de corps qui appela trop fort à cette caresse.
La jeune femme sentit quâil lui enfonçait le pouce dans le cul.
Et à son corps défendant, elle s'empala un peu plus loin, plus fort.
Les doigts de son voisin de trajet la ravageait.
CâĂ©tait trop bon.
Mel n'avait pas lùché la queue raide de son partenaire. Et dans des mouvements parfois désordonnés, elle faisait coulisser son membre entre ses doigts. Sa queue devenue aussi brûlante que son intérieur à elle.
Mel se sentait devenir folleâŠElle aurait voulu se pencher en avant. Tendre son cul. Offrir ses trous Ă cette main, jusquâau poing.
La tĂȘte entre les chevilles. Sa bouche ouverte dans une symphonie de cris.
Entre ça, et toutes les sensations qui la traversaient , Mel ne savait plus oĂč donner de la tĂȘte.
Elle se laissait faire. Comme une heureuse poupée de chiffons.
Et ne se retenait plus de jouir. Les dents serrĂ©es. La tĂȘte en feu, et en plein dĂ©lire.
La jouissance lâavait prise quelques secondes aprĂšs avoir eu son cul Ă©cartelĂ©.
Les yeux fermés, des spasmes parcourant le creux de ses reins, et la peau nue de ses fesses.
Faisant se contracter la chatte. Mel ne savait plus si le nombre de doigts qui la fouillait Ă©tait le mĂȘme. Mais il sâenfonçait toujours plus profondĂ©ment. Chatte et cul, sans se lasser.
Et Mel s'accrochait Ă sa queue pour ne pas chavirer.
Il se pencha vers elle et lui chuchota Ă lâoreille :
« TâarrĂȘtes pas de mouiller. MĂȘme ton cul est grand ouvert.
Jâai tellement envie de te remplir.
T as de la chance que l'on soit dans ce putain de bus. Sinon tu serai déjà sur ma queue petite salope »
Et sur ces mots, il reprit ses attouchements de plus belle.
« Je veux que tâĂ©cartes les cuisses pour moi. Tu vas me faire juter. Et je veux jouir sur ton corps de pute. Ecarte encoreâŠet colle au maximum ta jambe contre moi.
Je vais tâen mettre partout salope ! Dis tu veux bien ?! »
Et alors que sa main sâĂ©tait extraite de son cul pour passer devant entre les cuisses de la jeune femme, Mel sâexĂ©cuta sans dire un mot.
Certes, elle sâinquiĂ©tait de son aspect par la suite. Mais sur le coup, la situation Ă©tait bien trop excitante pour quâelle puisse se rĂ©frĂ©ner.
Elle pressa sa queue un peu plus. Se concentra sur le souffle du jeune homme devenu court, et le regarda enfin.
Se tournant lĂ©gĂšrement vers lui, elle colla sa cuisse sur la sienne, ouvrant largement ses jambes nues. Seule la culotte enroulĂ©e autour de ses genoux lâempĂȘchaient de les ouvrir plus.
Elle voulait quâil la souille. Qu'il lâinonde. Elle soutint son regard. La bouche entrouverte.
Accentuant la masturbation de son sexe tendu, jusquâĂ le sentir se rĂ©pandre sur ses doigts. Des jets chauds arrivant jusquâĂ lâintĂ©rieur de ses cuisses.
Mel eut lâenvie brutale de se pencher pour gober les premiĂšres gouttes. LĂ©cher les filets de sperme sur sa main. Accueillir chaque jet sur sa langue. Ou directement au fond de sa gorge.
Mais elle ne le connaissait pas. LĂ encore elle se tempĂ©ra. Peut-ĂȘtre pour une prochaine fois.
Mel le laissa reprendre son souffle. Il sâavachit dans le fauteuil, la nuque renversĂ©e.
Machinalement, Mel continua Ă le caresser, entre ses doigts devenus collants.
Elle joua avec sa queue qui montrait les premiers signes de repli .
Il se tourna alors vers elle. Lui sourit. Passa une main encore brûlante sur ses cuisses entrouvertes et souillées.
« Tu m as excitĂ© dĂšs la premiĂšre foisâŠsi j'avais su que ca serait aussi bon, j aurais bandĂ© dans mon jean direct.
Et t arrĂȘte pasâŠjâaime bien quand tu t'occupes de ma queue. Et je crois qu'elle aussi t'aime bien ! «
HummâŠtâes tellement belle. Encore plus les cuisses ouvertes et pleine de mon foutre.
DisâŠils sont opaques tes collantsâŠĂ§a te dirait de les remettre sans te nettoyer.
Je veux penser à toi ainsi toute la journée »
Il grognait un flot de paroles Ă lâoreille de la jeune femme tout en Ă©talant le sperme tiĂšde sur ses cuisses.
Mel sentait sa queue reprendre vigueur entre ses mains. Les doigts de la jeune femme agglutinés à ses chairs. Elle sentait le membre palpiter et frémir.
Mel avait envie de consentir Ă sa demande. CâĂ©tait insensĂ©. Et risquĂ©, car il ne se connaissait pas. Mais elle avait envie de jouer. Et ce genre de jeux rĂ©pondait Ă ses envies les plus perverses.
Elle le fixa du regard et remonta sa culotte, puis les collants. Le tissu adhérait à ses cuisses. Et la variation entre les zones sÚches et humides rajouta à son trouble.
Elle Ă©tait folle de faire ça ⊠ses vĂȘtements Ă©taient maintenant dĂ©finitivement souillĂ©s, et elle ne savait pas si ça se remarquerait. DĂ©jĂ Ă la descente du bus.
Loin de se douter de toutes ces prises tardives de conscience, il la regardait le regard illuminĂ©, comme fou. Et prĂȘt Ă la baiser lĂ dans le bus.
TournĂ© vers elle, il lui pinçait la pointe des seins. Glissait fiĂ©vreusement lâautre main entre ses cuisses.
La palpait frénétiquement, comme si il la touchait aprÚs une longue attente.
Mel se sentait Ă nouveau partir. Incandescente.
Il sâĂ©tait approchĂ© d'elle, ne se retenant plus de la presser, de la coller Ă lui.
« Tu mâexcites trop⊠» soufflait -il dans sa nuque.
Ses mains pressant de plus en plus fort sa poitrine. Roulant presque brutalement la pointe de ses seins entre ses doigts. Cherchant fébrilement à dénuder sa poitrine.
Il tira sur les vĂȘtements de la jeune femme. Souleva sans peine un pan de son tee-shirt et prit la pointe dĂ©nudĂ©e de son sein gauche dans la bouche.
Mel nây tenant plus, pressa la tĂȘte du jeune homme plus fort contre elle. La gorge renversĂ©e. Totalement livrĂ©e aux envies de ce presquâinconnu.
Et comme à la dérive lui aussi, a****l, il aspirait et tétait. Grognant de plaisir, mordant à pleines dents ses globes de chairs. Ses mains triturant sans répit sa poitrine à vif.
La jouissance arriva sans crier gare. Et câest le point serrĂ© sur la bouche quâelle Ă©touffa ses cris de plaisir.
Le jeune homme Ă©tait maintenant carrĂ©ment couchĂ© sur elle. Lâenfoncant contre la paroi glacĂ©e et moite.
Elle le sentait se branler contre sa cuisse. Son ventre.
Il se branla sur elle ainsi quelques minutes. Lâabreuvant de mots crus et dâinsultes bien choisies.
Et dans le creux de son oreille. Le visage plaque contre la vitre du bus, Mel se laissa utiliser en vide couilles docile et servile.
« Tâes trop bonne..une vraie salope qu sâignore. Une pute Ă baiser tous les matins. Une bonne vide couilles.. »
Mel encore hagarde, dans son brouillard de sensations et de chairs repues, se fit plus molle, plus douce, plus chaude, afin quâil lui jouisse encore dessus.
Elle sentit un long jet chaud lui taper sur le ventre..il avait levé son tee-shirt, et se regardait juter sur son corps offert.
Quelques gouttes Ă©claboussĂšrent ses seins.
Elle sentait son foutre sâĂ©couler attirĂ© par la gravitĂ©.
Il avait Ă©tĂ© moins gĂ©nĂ©reux en sperme cette fois ci, mais lâavait dĂ©finitivement souillĂ©e.
Il replaca presque dĂ©licatement ses vĂȘtements par-dessus. Le tissu adhĂ©rant de suite aux coulures de sperme.
Il lâaida Ă se redresserâŠBoutonna son manteau. Caressant au passage tantĂŽt son visage, tantĂŽt l arrĂȘte de son poignet. Ou le pli de son genou..
Mel se laissa faire tout le long. En poupĂ©e de porcelaine. Quand il se cala enfin sur son siĂšge, la tĂȘte penchĂ©e vers elle, Mel reprit ses esprits.
Mon dieuâŠque câĂ©tait t-il passĂ© ?!
Ătait ce allĂ© au si loin ?? Au point quâelle ne soit plus sure de son Ă©tat physique et vestimentaire !
Mel était mortifiée.
Et encore une fois, comme si sa consternation se lisait sur son visage, il prit son portable et les Ă©claira discrĂštement.
Et passant le faisceau de lumiĂšre sur leur tenue respective il tenta de la rassurer sur son aspect.
Ils se fixÚrent du regard enfin tous deux pour la premiÚre fois depuis le début du trajet.
Son regard chaud, Ă©tait franc et doux.
Mel parti dans un fou rire libérateur.
Au fond elle savait quâelle passerait une bonne journĂ©e..
AprĂšs tout, on a toujours le cĆur et lâesprit plus lĂ©gers aprĂšs avoir joui.
3 years ago
Je n'ai pas pu m'empĂȘcher de la relire cette fois isolĂ© pour en jouir une seconde fois librementÂ