Mon oncle 1

Cela fait dĂ©jĂ  quelque mois que je me fais baiser par mon oncle. Et depuis je ne pense plus qu’à ça. Il faut dire qu’il a une bite Ă©norme, bien plus grosse et plus longue que mon Ă©poux. Il me sodomise comme on ne me l’a jamais fait. Mon mari aprĂšs une dizaine d’allers-retours n’en peut plus, mon oncle, avec l’ñge qu’il a, lui, il peut rester des heures Ă  me dĂ©foncer le cul !
VoilĂ  mon histoire :
Mon mari est en voyage pour son travail en Allemagne. Au tĂ©lĂ©phone, le frĂšre de mon pĂšre m’a demandĂ© s’il pouvait passer quelques jours chez moi. J’ai dit pourquoi pas ! Je suis vraiment heureuse qu’il vienne, qui passerait quelques jours avec moi ! Ce sera une occasion qui me tiendra compagnie, au moment oĂč mon mari ne sera pas ici. Mon oncle arrivĂ©, Ă  sept heures, mon oncle me prend dans ses bras, me caressant les fesses, je vais immĂ©diatement Ă  la cuisine pour prĂ©parer le repas.
Je prĂ©parais Ă  manger quand mon oncle s’est mis derriĂšre moi, et promener ses mains sur mes fesses en contact avec ses mains sur mes fesses il me fait bouillir, puis sur mes seins qu’il se mit Ă  caresser par-dessus ma robe qu’il m’a retirĂ©e dĂ©licatement et laisser tomber Ă  terre. Ne portant rien dessous, je me suis retrouvĂ©e toute nue au milieu de la cuisine, mon oncle parcourait mon corps avec sa langue.
Il suçait les bouts de mes seins, tournant et retournant autour de mes tĂ©tons qui durcissaient. Il m’occupe ainsi de mes deux seins d’une maniĂšre magique. Puis sa langue a repris son chemin en descendant jusqu’à ma chatte tiĂšde et tout humide, sa langue se promenait sur ma chatte, je n’en pouvais plus, je me suis mise Ă  hurler de plaisir. Il a commencĂ© Ă  me rendre folle.
Doucement, il m’a fait tourner, il a Ă©cartĂ© mes fesses puis il a promenĂ© sa langue sur mon petit trou. AprĂšs quelques minutes, il se relevait, il a collĂ© sa bite entre mes fesses, c’est penchĂ© sur moi et doucement Ă  l’oreille il me dit : ma niĂšce, je vais te dĂ©foncer le cul, lĂ , tout de suite dans la cuisine !
Je me suis alors abandonnĂ©e Ă  son bon vouloir, en lui criant : oui, vas-y enculer moi, dĂ©fonce-moi le cul, fait moi hurler. J’étais prĂȘt Ă  recevoir sa grosse bite dans mon cul. Il a alors posĂ© sa bite sur mon petit trou et il m’a dit : je vais te faire hurler ma petite-niĂšce. Et il a commencĂ© Ă  introduire sa bite dans mon petit trou.
Et doucement il s’est mis Ă  aller et venir lentement, s’enfonçant un peu plus Ă  chaque mouvement. C’était douloureux, mais trop bon, je n’ai pu m’empĂȘcher de lui dire : dĂ©fonce-moi le cul Ă  fond, oui va y c’est bon ! J’aime trop ça, dĂ©fonce-moi le cul encore plus fort. Il m’a alors poussĂ©e contre le mur en me disant : tu la veux ma bite tu vas l’avoir. Et il s’est mis Ă  me dĂ©foncer le cul. C’était au-delĂ  de ce que je pouvais imaginer, Ă  chaque coup de bite, mes pieds ne touchaient plus par terre, cela a durĂ© un sacrĂ© moment avant qu’il ne se vide dans mon cul et il se retire doucement. AprĂšs qu’il m’ait bien dĂ©foncĂ© le cul dans le couloir, on est allĂ© se doucher. Et on a mangĂ© aprĂšs. Puis on est allĂ© au salon pour boire le cafĂ©. Moi je n’en pouvais plus, j’avais encore envie de sa bite. Je me suis alors approchĂ©e de lui et je lui ai dit : tu sais, tonton je n’ai jamais fait de pipe jusqu’au bout, mais avec toi je suis prĂȘte Ă  tout
 Doucement, j’ai posĂ© ma main droite sur sa bite qui a commencĂ© Ă  se dresser, je l’ai alors regardĂ© dans les yeux et je lui ai dit : tu as une sacrĂ©e bite mon salaud. Et je me suis mise Ă  la dĂ©vorer
 Oui, je ne lui suçais pas la bite, je la dĂ©vorais. J’en avais plein la bouche, sa bite me paraissait encore plus grosse, plus raide !
Mon oncle me dit : ma niĂšce sucez-moi la bite. Continuez comme ça
 Je n’en revenais pas, je suçais la bite de mon oncle avec plaisir, pourtant dans mon for intĂ©rieur je pensais que j’étais un peu folle
 Mais j’étais tellement heureuse d’avoir enfin quelqu’un qui s’occupe de mon corps. Et c’était la premiĂšre fois que j’étais traitĂ©e ainsi. Oui jamais mon Ă©poux ne m’avait traitĂ©e de salope ou claquĂ© les fesses en me baisant, il m’a alors attrapĂ©e par les cheveux puis il m’a dit : tu es vraiment une sacrĂ©e salope, tu sais, il y a longtemps que j’aurais dĂ» te dĂ©foncer. Je me suis mise Ă  lui sucer la bite comme je ne l’avais jamais fait. Il me disait : ne t’arrĂȘte pas, continue, oui encore, tu me fais du bien
 Oh que tu es une belle salope et que tu suces bien
 Et j’ai senti son sperme se dĂ©verser dans ma bouche, tellement il y en avait je n’ai pas pu tout garder ! J’ai alors avalĂ© puis je lui ai nettoyĂ© la bite. Il m’a pris par les cheveux et en souriant, il m’a dit : c’est bien ma niĂšce, Ă  partir de maintenant tu vas me sucer comme ça tous les jours.

moloses236
Published by MOLOSES236
3 years ago
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