Le barbecue du 15 aout

Le barbecue du 15 août


oĂč je dĂ©couvre des choses surprenantes et
.

comment je fais la connaissance de Chloé
Dans mon village, tout au bout de cette jolie petite ile de l’Atlantique, tous les ans Ă  la mĂȘme Ă©poque nous nous rĂ©unissons avec notre petit groupe d’amis pour faire une fĂȘte autour de belles grillades et admirer le feu d’artifice local. La fĂȘte change de lieu chaque annĂ©e et je ne connaissais pas encore cette jolie propriĂ©tĂ©.
C’était donc il y a 2 ans, car depuis, la Covid Ă  modifiĂ© beaucoup de choses, et ce soir lĂ  nous Ă©tions une vingtaine Ă  profiter de cette belle soirĂ©e tout en nous faisant joyeusement piquer par ces gentilles petites femelles moustiques, qui, elles aussi, aiment le sang
.
Les premiers boum-boum nous firent sortir sur la rue pour admirer quelques jolis tableaux et comme ça nous arrive, particuliÚrement nous, les nanas, une soudaine et forte envie de pipi commença à me tenailler.
En plus j’étais Ă  mon deuxiĂšme jour et avec mes deux gros OB ULTRA dans le minou qui gonflaient de minute en minute, ça m’appuyait comme il faut sur la vessie.
Je confie doucement Ă  GisĂšle – c’est une trĂšs bonne amie de maman depuis toujours – qui Ă©tait juste contre moi, que dĂšs que ça va ĂȘtre fini, il va falloir que je rentre vite pour aller faire un gros pipi.
Je vais t’accompagner me dit elle car ils vont tous y aller en rentrant
je vais t’emmener dans la buanderie, au fond du jardin, tu seras plus tranquille.
A peine le bouquet final Ă©teint, on rentre les premiĂšres dans la cour et elle me prend par la main pour m’accompagner, lĂ -bas, au fond du jardin. On n’y voit pas trop clair et je me sens bizarre depuis quelques secondes
 en fait dĂšs que GisĂšle m’a pris la main, une chaleur intense m’a envahie.
Il n’y a qu’une vingtaine de mĂštres Ă  faire mais je me sens Ă©lectrisĂ©e
les seins, le ventre, le dos

Avec le recul, c’est comme un coup foudre amoureux
pourtant, ce n’est que Gisùle, que je connais depuis mon enfance et que j’ai toujours vue à la maison ou ici, avec parfois Henri, son mari.
On arrive dans la buanderie et sans mĂȘme avoir refermĂ© la porte, ma main qu’elle enserre fort depuis quelques secondes se retrouve au chaud, plaquĂ©e contre sa chatte 
 je rĂ©alise trĂšs vite que bien sĂ»r elle n’a pas de culotte sous sa jupette et instinctivement mes doigts font dĂ©jĂ  un floc-floc bruyant.
J’ai la tĂȘte qui tourne
En quelques secondes elle m’enserre et sa bouche entre dans la mienne
nos langues s’unissent
et pourquoi aurais-je refusĂ© ce doux plaisir.
Mais l’envie pressante de pipi m’oblige Ă  nous sĂ©parer quelque peu et elle m’annonce tout de go qu’elle m’aime et qu’elle rĂȘve de ce moment depuis trĂšs longtemps.
A l’époque oĂč tu Ă©tais encore au lycĂ©e, j’avais dĂ©jĂ  envie de toi ma chĂ©rie
 on a toujours Ă©tĂ© amantes avec J
 (ma maman) mais toi, chaque fois que je te voyais et qu’on se faisait la bise je me retenais violement pour ne pas t’embrasser fougueusement comme ce soir, mais voilĂ , ce soir, je n’en pouvais plus.
Ah oui, tu as envie de pipi
.
Excuse-moi, je te choque certainement
 surtout moi qui suis vieille, tu préfÚres certainement des femmes plus jeunes

Abasourdie, mais aussi tellement excitée par ces mots, je la rassure immédiatement et je lui répÚte
pipi, pipi.
Fais dans l’évier ma chĂ©rie, tu es assise dessus.
C’est vrai, ne sentant plus vraiment mon corps, mes fesses Ă©taient dĂ©jĂ  dedans.
Mais il fallait que je retire mon petit short et ma culotte
je n’allais quand mĂȘme pas pisser dedans car la soirĂ©e Ă©tait loin d’ĂȘtre finie.
Et je sentis ses mains, dans la pĂ©nombre, qui dĂ©faisaient ma ceinture. Je me redressai pour que le short et ma culotte puissent descendre car c’était elle qui me dĂ©shabillait, j’étais sa soumise.
LibĂ©rĂ©e de ces cache-minous, je me replaçai Ă  nouveau au-dessus de l’évier et je pissai comme une truie. C’était tellement bon de se vider 
. ça giclait de partout, je n’entendais que ce bruit d’éclaboussures et soudain je sentis une douce chaleur prĂšs de mon ventre.
Mes mains se posĂšrent sur sa tĂȘte pendant que sa langue allait et venait sur mon pubis, toujours un petit peu velu
la petite toison sexy que j’aime
.
Oh, s’exclama t’elle
 tu as tes rĂšgles ma chĂ©rie, quel bonheur.
Oui, lui rĂ©pondis-je et je me sens trĂšs bien
 c’est mon deuxiĂšme jour, ça dĂ©gouline

Ses doigts commençaient à chercher le cordon et je lui dis que j’en avais deux.
C’est vrai qu’on Ă©tait toujours dans le noir, enfin, pas tout Ă  fait car la lueur des guirlandes suspendues dans le jardin permettait quand mĂȘme de nous voir un peu.
De la façon dont les choses avaient dĂ©butĂ©, je la laissai faire et trĂšs vite, je sentis que l’un de mes gros bouchons n’allait pas tarder Ă  exploser en sortant.
Je me redressai et lui dit qu’il fallait que l’on prenne des prĂ©cautions car ça allait, comme ma pisse juste avant, Ă©clabousser partout. Si nous revenions avec de belles taches rouges de partout, ça ne ferait pas trĂšs propre et surtout extrĂȘmement bizarre

Elle verrouilla la porte qui Ă©tait restĂ©e entr’ouverte et nous nous mimes nues.
On s’embrassa de nouveau fougueusement et c’est elle qui me souleva pour me poser les fesses sur le bord de l’évier.
Ne bouge plus ma chĂ©rie, je veux ton tampon, toi, toi, toi dont je rĂȘve depuis si longtemps.
Elle pinça un des cordons avec ses dents et pfiiittttt, il lui jaillit sur le museau
je ne discernais pas l’image, mais son visage devait ĂȘtre bien constellĂ© de petites Ă©toiles rouges

HĂ© oui, les anglais Ă©taient lĂ , c’était la semaine ON THE RAG!!!
Elle ne parlait plus et moi, je sentais que ma chatte coulait, coulait
. C’était bien mon deuxiĂšme jour. Il faut que j’absorbe un flux Ă©norme et les deux OB simultanĂ©s ne sont que trĂšs rarement suffisants, il me faut une serviette en sĂ©curitĂ©, et elle est toujours bien chargĂ©e.
Juste avec un seul ça ne le fait pas. Je le lui dis mais elle marmonnait quelque chose que je ne comprenais pas
 elle suçait et avait pompĂ© mon tampon.
Aprùs quelques secondes elle me dit - je veux ton autre tampon pour me le renfiler dans la chatte
.
Et elle ajouta, j’en crĂšve de ne plus avoir mes rĂšgles
ça fait presque 1 an que c’est dĂ©finitivement fini et j’ai ce besoin, tu sais comme ta maman
 un silence et elle me dit, je pense que tu l’as toujours su
.et tu es comme elle je crois

Et là, silences de nous deux pendant plusieurs secondes
.
Tu vas te renfiler celui que je t’ai pompĂ© et moi, tu vas m’enfiler l’autre qui doit dĂ©gouliner vu ce que j’ai eu dans la bouche
huuuummmm c’était dĂ©licieux
Tu voudras bien que l’on recommence ?
Resurprise, Ă©tonnĂ©e, je lui dis oui, mais
 et mon mais fut suivi d’une proposition complĂštement imprĂ©vue

Mon gynĂ©co m’a fait suivre un traitement il y a quelques annĂ©es pour que je continue Ă  avoir une vie toujours bien rĂ©glĂ©e et tu vois, ça a durĂ© jusqu’à NoĂ«l l’annĂ©e derniĂšre. Ça me manque Ă©normĂ©ment et je suis obligĂ©e, le mot est un peu fort, car c’est justement un plaisir, de chercher les serviettes ou les tampons de mes collĂšgues au boulot.
Alors, en janvier l’annĂ©e derniĂšre, j’ai pris en stage pour 6 mois une jeune Ă©tudiante en Ă©conomie -marketing. Ça m’intĂ©ressait pour Ă©toffer mon service commercial.
On a vite sympathisé à la cafeteria.
Je lui parlais sans arriĂšre-pensĂ©e aucune, et c’est elle qui m’a fait du rentre dedans pour m’annoncer, au bout de 15 jours de prĂ©sence, que ses rĂšgles Ă©taient lĂ  ce matin

Chaude comme tu me connais maintenant ma chĂ©rie, je l’ai pistĂ©e aux toilettes et bien sĂ»r, j’ai trouvĂ© ses gros tampax (pas de serviettes Ă  l’époque).
Sans dĂ©tours, le soir mĂȘme, avant qu’Henri n’arrive pour me chercher, je lui ai parlĂ© de ma sexualitĂ© un peu hors du commun, voire perverse et en fait, c’est elle qui a insistĂ© pour que l’on continue, surtout en essayant le plus possible de faire ça ensemble.
Je n’ai pas dormi de la nuit et le lendemain midi, j’ai rĂ©ussi Ă  la prendre Ă  part des autres collĂšgues et lui ai suggĂ©rĂ© de bien vouloir me fournir ses tampons tout chauds lorsqu’elle irait les changer pour en faire ce que j’adore, me les refourrer dans la chatte, mais je ne lui ai pas avouĂ© ça Ă  ce moment-lĂ  !!
Elle a été diplÎmée à la fin de ses études début juillet en je viens de lui faire un CDI.
Depuis on a fait l’amour plusieurs fois toutes les deux et tous les mois, j’ai ma chatte qui baigne dans ses tampax.
Alors voilĂ , ce que je viens d’échafauder pour nous Ă  l’instant.
Toi ma chĂ©rie, qui est bien la fille de ta maman, est ce que tu serais partante pour qu’on se rencontre toutes les trois, vous deux avec vos rĂšgles et moi, la mĂ©mĂ© qui en profiterais.
Je ne sais plus si j’ai dit oui, mais comme elle venait de s’allonger par terre les jambes levĂ©es et bien Ă©cartĂ©es, j’ai extrait mon autre gros bouchon et tant bien que mal, entre ses doigts qui Ă©cartaient un maximum ses grosses lĂšvres Ă©paisses, je lui ai renfilĂ© mon tampon mais ça avait dĂ©goulinĂ© largement sur son pubis et ses fesses.
C’est elle qui, toujours allongĂ©e, m’a fait me mettre au-dessus d’elle, cuisses Ă©cartĂ©es et qui m’a enfoncĂ© mon OB pompĂ© redevenu Ă©trangement rĂ©duit

On a allumĂ©, on s’est briĂšvement nettoyĂ©es, heureusement car il y avait des dĂ©gĂąts
et nous sommes retournĂ©es auprĂšs des autres qui apparemment ne s’étaient pas aperçus de nos absences.
Je me suis précipitée sur ma pochette pour recharger ma grosse chatte qui dégoulinait (culotte saignante et quelques traces dans le short
).
Le WE suivant, GisĂšle m’a fait rencontrer Chloé ravies de nous rencontrer
surtout en imaginant notre avenir
.
Et on en a dĂ©jĂ  bien profitĂ© toutes les trois depuis 2 ans
sauf cette annĂ©e oĂč ça a Ă©tĂ© un peu plus difficile.

ChloĂ© vient juste d’avoir 21 ans aujourd’hui

Published by caline
3 years ago
Comments
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LoyalLovebird0
LoyalLovebird0 1 year ago
Un plaisir de te lire merci Caline
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ccandau
ccandau 1 year ago
trÚs beau récit bien écris un régal
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