Un jour particulier
Je suis Marianne. J’ai 35 ans, mariée avec Cédric depuis près de quinze ans.
Nous avons un garçon de 7 ans, Erwan.
Cédric est ingénieur en agronomie, et moi dentiste.
Nos passions se sont brulées les ailes, nous ont séparé quelques mois ces derniers temps.
Il était en Angleterre pour gérer un domaine, et moi, attachée à mon cabinet que je partage avec Sylvie, une co-dentiste…
Sylvie est aussi maman, ce qui nous permet de gérer nos plannings, nous laissant l’une et l’autre du temps pour nos mômes, et pour nous…
Elle n’était pas mariée quand le père de sa fille est parti un beau matin faire le plein de sa voiture, après 3 ans de vie commune…
Je l’ai épaulée, j’ai gardé sa fille, comme si c’était la mienne, et maintenant, Sylvie a retrouvé le cap de sa vie, et assure notre association.
Le cabinet est florissant, nous avons une assistante, Julia, qui gère toute l’administration…
Nous sommes souvent ensemble hors du cabinet, elle vient à la maison, garde mon fils, le prend pour les vacances, mais dans ce tableau idyllique, subsiste une ombre qui voile mes rêves parfois…
Je sens de la jalousie chez Sylvie…
Jalousie, car Cédric m’entoure d’attentions, de cadeaux, alors que son compagnon, l’a laissée tomber…
Parfois son regard s’attarde sur moi, elle se met à faire des réflexions, comme quoi mon accouchement ne se voit plus, n’a laissé aucune trace sur mon corps parfait, mes seins ronds et pleins, mon ventre plat comme à 20 ans, et les cuisses fuselées que j’entretiens par de longues marches en forêt…
Sa déception l’a cruellement marquée, elle s’était abandonnée à son sort, se trouvait grosse, le visage ingrat, les cheveux en bataille.
J’ai tout réparé…
Une semaine de vacances en bord de mer, thalasso, soins divers et variés et surtout casino et clubs privés…
Je l’ai accompagnée toute la semaine dans les endroits branchés, les discothèques à la mode, découvrant des délices en cocktails, qui nous boostaient et nous excitaient comme des puces, au risque, pour moi, de tomber dans un piège, celui de l’adultère…
C’est le dernier samedi de cette parenthèse, nos enfants étaient gardés par une nounou, et mon mari…
Ce fut la liberté, la découverte de se faire masser, de se laisser manipuler, de s’endormir sous les bienfaits de notre coach…
Les restaurants gastronomiques nous ouvraient leurs portes et nos papilles se chargeaient de senteurs inconnues, venant ajouter à l’ambiance de plus en plus légère de nos distractions.
Après le shopping, nous découvrions les balades à vélo le long du sentier côtier, les plages désertes, où l’on goûtait nues les rayons de soleil…
Nos rapports devenaient plus qu’amicaux.
Nous étions déjà proches, comme deux amies, mais là, elle se lâchait, c’était le but, retrouver le goût de vivre, la sensualité, les plaisirs de la vie, et pour elle, le renouveau de sa sexualité.
Certes, elle était marquée par sa séparation, avait du mal à se projeter dans un avenir serein…
Elle m’épiait, du coin de l’œil, le soir en nous couchant côte à côte et en nous relâchant, après un bon repas…
On parlait franchement, elle cherchait à savoir comment je faisais pour profiter de tout, même du mauvais qui quelquefois venait embrumer ma joie de vivre.
Je suis d’un naturel optimiste, je vois le bon, jamais le mauvais que je laisse s’enfuir dans mes nuits et mes rêves…
Elle me demanda d’un coup, si j’avais envie de tromper Cédric…
- Que ??? Comment ?? Pourquoi cette question ?
- Bien, on va aller danser, et si tu rencontres quelqu’un…
- Je n’ai aucune intention de tromper mon mari, enfin jusque-là…
- Moi, je suis venue pour ça… On n’en n’a pas parlé ouvertement, mais le but c’est que je redevienne femme à part entière, que j’accepte un homme. Je n’en ai pas connu depuis… C’est vrai que ça me manque maintenant… J’ai envie de sexe, je me caresse de plus en plus souvent… Mais j’ai encore peur de me laisser aller…
- Tu es belle, libre, nous sommes en vacances, c’est le bon moment, mais il faut laisser la vie décider, te laisser porter par les événements. Si tu dois rencontrer un prince, ce n’est sans doute pas ici, et encore moins en boîte de nuit, mais si tu veux t’envoyer en l’air, avec un gentil garçon, oui, tu auras le choix, choisis en conséquence…
- Cela ne t’ennuie pas ? Je veux dire de me voir avec un homme, flirter en dansant, me laisser caresser, me perdre de vue une heure ou deux ?
- Non, mais j’aimerais que tu me le dises par SMS, si tu dois passer le reste de la nuit avec un amant… Je ne veux pas me faire du souci alors que tu gémis de plaisir…
- Oui, bien sûr… Tu ne seras pas jalouse ?
- Que tu te fasses du bien et moi non ?
- Ouais…
- Je… Non, sans doute, je sais que tu l’espères, cette résurrection…
- Oui… La fête à ma chatte ! Revivre le plaisir de faire l’amour… Regoûter à ces instants de découverte, du premier baiser, des caresses, du désir et du partage… Toucher et palper une queue, la serrer dans ma main, la faire coulisser… Puis m’en pénétrer, et délirer mon plaisir, savourer mes orgasmes, la vraie vie quoi !…
- Tu es lyrique… J’en aurais presque le frisson, tant tu en parles si bien…
- Et si je le faisais avec une femme, ce rapprochement, ce renouveau ? Cela te choquerait ? Lui sourire, danser, nous rapprocher, rire, nous embrasser, nous peloter dans un coin discret… Disparaître dans la nuit…
- Maintenant, rien ne me choque… Surtout pas cela. L’amour ne choisit pas le sexe, les papillons picotent nos ventres, notre cœur s’emballe, soit pour l’amour toujours, soit pour quelques instants de tendresse et de sexe…
- Tu es géniale… Et si la tendresse me manquait plus que le sexe, tu pourrais m’en donner ?
- Je vais te confier un secret, j’ai été déflorée par une femme…
- A quel âge ?
- 17 je crois, la sœur d’une amie à mes parents, un printemps dans une superbe propriété en Vendée… Mes parents découvraient la région avec leurs amis, je restais avec elle à la villa… C’était bien avant Cédric, j’avais eu un premier amant 10 mois de passion d’ado, pas mal de flirts, quelques coups du soir et là, je la trouvais belle, dans la piscine, elle s’était mise nue et bronzait à mon côté. Je regardais ses formes, ses seins plus beaux que les miens, plus galbés, plus pleins… Son pubis aux poils blonds épars, bien rangés… Elle m’a regardée, j’ai compris… Elle s’est rapprochée, moi aussi, elle a pris ma main, l’a posée sur un sein, elle regardait le ciel, puis elle l’a glissée entre ses cuisses, et on a fait l’amour, tendrement, dans un coin de verdure… On a dormi ensemble, on a recommencé plus tard dans la soirée, dans l’eau, au clair de lune, puis la nuit, on a dormi ensemble et le jour suivant…
Je vivais des moments de pur plaisir, intenses, profonds, c’était si parfait qu’on criait nos orgasmes…
Elle m’apprenait la femme, j’étais douée selon elle, elle s’offrait à moi, délicate, adorable, sans pudeur, totale… On se découvrait jusqu’à l’aube…
- Tu es tombée amoureuse ?
- Oui… Mais j’avais honte de cette relation… Mes parents se doutaient de quelque chose. Elle habitait la même ville, on se rejoignait le soir, ça a duré jusqu’aux vacances suivantes et puis on s’est perdues de vue… Quelques messages, des changements, un amant pour elle, et Cédric pour moi, mais mon diplôme en priorité…
- Cela veut dire que tu connais la femme, ses zones sensibles, ses pensées secrètes, ses humeurs, ses passions, sa soif de découverte, et ses peurs…
- Mais on aime la vie, et les plaisirs aussi, et les choix difficiles, et on hait l’ignorance, l’indécision, les obligations que souvent l’on se crée…
- Oh, j’ai eu des moments de doute avant qu’il me quitte…
- Moi, j’en ai en ce moment…
- Alors viens te cacher dans mes bras, contre moi, comme quand tu étais petite fille et te réfugiais sous une table, dans un placard ou dans le jardin…
Ce soir-là je rencontrais une autre Sylvie…
On fit l’amour tendresse, la découverte de nos corps, le désir de l’autre, et nos premiers baisers d’amour, de partage, de complicité et la flamme s’alluma…
Le plaisir suivit, les attitudes, les regards, l’amitié qui grossit, qui se change en velours, réciproque, en désir de l’autre, en besoin de l’autre…
Et le sexe qui suit, comme un besoin sauvage et entêtant…
Pas de queue pour se remplir le vagin, mais des sensations communes, un volcan, des spasmes de plaisir, un besoin de partage, de ressentir la même chose ensemble, collées, aspirées dans un tourbillon des sens qui ne s’arrêtait qu’à l’aube…
Enlacées tendrement, épuisées par notre nuit, la femme de chambre nous pensait au petit déjeuner… Elle a un moment d’hésitation, puis elle sourit, en grommelant que l’amour n’a pas de sexe, il en a besoin de deux, et parfois c’est le même…
Le soir, au moment de partir vers le centre-ville…
- Tu as réveillé des sensations divines…
- Tu m’as attirée dans un piège… Maintenant je déborde de désir d’un sexe d’homme, d’une bonne queue qui termine le travail, qui éteigne le feu que tu as allumé en moi…
- Tu ne veux plus de nous ?
- Je n’ai rien dit de tel ! Ce soir il faut que je trouve mon pompier… Rien à voir avec nous, car le fait est bien réel, nous sommes devenues amantes et j’ai adoré… Ce soir ce n’est que du sexe, il me faut le mâle qui va bien, et me redonne confiance en moi, aux hommes, en ma vie de praticienne… Je veux baiser comme une nymphomane, me faire casser le cul, détruire ma chatte, exploser ma rondelle, rougir mes seins, battre des records… Il me faut trouver le bon…
- Ou les bons ?
- Oh ! Oui ! Pourquoi pas ?
- Tu serais partante pour une soirée à 4 ? Tu participerais avec moi ?
- Je… Je n’ai pas réfléchi, cela ne concernait que toi… Je n’ai pas totalement pas trompé Cédric, mais… Je ne veux pas être en porte à faux, il le sentirait !
- Tu mens mal ?
- Non, je mens bien, je suis arracheuse de dents !
- Alors… Une câlinerie entre deux portes, une bite impatiente pour nous porter au plaisir suprême, et pourquoi pas la mixité ? Des sexes pour nous emporter dans un trip hors norme, quelque chose de phénoménal, un fantasme encore en état de larve, mais qui grossit comme une queue dans la bouche d’une femme du monde…
- Tes visions sont débordantes… Tu serais capable de tout ça ? Une soirée avec plusieurs partenaires ? Des positions scabreuses et d’un érotisme à graver dans la pierre ? Deux femmes en recherche de plaisirs extrêmes, s’abandonnant aux mains les plus perverses ?
- Oui ! Un océan de sperme sur mon visage et mes seins ! Deux bites dans mes méats, bien ouverts, bien remplis, bien excités, martelés sans répit…
- Lèche-moi, je coule de plaisir… Déjà…
- On n’a pas été plus loin que nos sexes, viens me sodomiser, explose ma rondelle, tu aimes ?
- Oui, je le fais… Pas souvent, dans les grandes occasions, et surtout en vacances…
- Justement…
Une demi-heure de léchouilles et nos doigts nous emportent dans le monde de la sodomie lesbienne, des cris, des rugissements, des râles et des orgasmes…
Maintenant il est temps, on crève de désir de se prendre une bite bien profond…
Le dancefloor est animé, jeunes et délurés, ados justes matures, filles à moitié dénudées, offrant leurs formes aux visions des plus contrits…
Jambes nues, toison à ras la moule, ou short ultra moulant, top ridiculement serré, seins en goguette, libres et fiers de l’être !...
Que de déhanchements, de saccades érotiques, des fesses évocatrices, des yeux prêts à sortir de leurs orbites, et eux impatients de la sortir, leur bite !...
Mouais… Mais tout cela c’est jeune, très frais, trop pur, pour deux aspirantes nymphomanes…
Au bout d’une heure, on perçoit un changement discret…
Quelques croupes plus adultes, des tenues plus décentes, enfin, au début…
Des yeux fouillant nos décolletés, quelques danses moins rapides et nous revoilà sur la piste…
Quelques virevoltes toutes les deux, nos yeux brillants, nos chevelures discrètement laquées…
Je cherche, j’épie, je vois, nous sommes ciblées par des possibles…
Un slow vient conclure la suite, deux messieurs nous séparent…
On rit, on accepte…
Il est d’ici, il vient de temps en temps (pour se faire un date…)
Mais il parle bien, est galant, une éducation qui disparaît…
Il me fait rire, se raconte, me raconte, me fait oublier la terre…
La musique s’est arrêtée depuis longtemps, je suis appuyée contre un mur, près du bar, et sa main droite palpe mon sein gauche en soulevant mon top. Son autre main caresse mes fesses et sa queue danse contre mon ventre…
Ses baisers s’enchaînent, mes tétons explosent, je jouis… En moi…
Que c’est bon de ressentir mon corps réagir à des caresses…
Sa main est venue s’ouvrir dans mon intimité… Un doigt coquin et aventurier me fait écarter les cuisses, tant il demande avec tendresse et politesse…
Le sexe durcit contre mon ventre, il frotte ma vulve, ma jupe est retroussée…
Il fait noir, il fait doux, il fait sexe, quand mes doigts se referment sur la hampe libérée…
Dès les premiers mouvements, mes cuisses tremblent, un doigt a trouvé mon bourgeon, je vais exploser de désir, de honte, d’envie de continuer…
Je serre les lèvres, comprime ma poitrine, il tourne mon clitoris…
Mon sexe se vide…
Je masturbe son sexe, j’ai envie de le prendre dans ma bouche, pour le remercier de me faire planer…
Cédric ne le fait plus ainsi… Il devient un mari… Il n’est plus l’amant des premières années.
Un doigt pénètre mon vagin lentement…
On va faire l’amour dans ce couloir, ce n’est pas ce dont j’ai rêvé !
J’entends d’autres râles, d’autres gémissements, d’autres couples sont étroitement enlacés, voire plus, se donnant un plaisir intense et bruyant, se masturbant et baisant sans façon…
J’aperçois Sylvie, arcboutée sur l’encadrement d’une fenêtre, pénétrée par un sexe indigène, robe relevée, culotte aux chevilles…
Je calme mon danseur, et l’entraîne vers mon amie…
Remettant un peu d’ordre sur moi, je les interromps, il me sourit, mais continue à l’empaler…
Mon danseur ouvre une porte avec une clé, Sylvie nous suit et on se retrouve toutes les deux avec nos deux partenaires de jeu, dans un petit studio…
C’est propre et gentillet…
Ils nous offrent à boire, proposent de la musique…
On boit debout, un peu étourdies, encore emportées par leurs caresses…
On reprend là où on en était…
Baisers et tendres caresses…
Déshabillées, on s’assoit toutes les deux sur un lit assez propre, et ils nous caressent de concert…
Ecartelée, sa langue m’emporte la première et mes vocalises emplissent la petite pièce…
Sylvie en est au même point, et sa voix aigu résonne, elle parle, des onomatopées, des heu !...
Son bassin va et vient sous la bouche de son amant…
Je sens la bite en pleine action dans mon vagin, je rêvais… Tandis qu’il me prenait avec tendresse…
Je ne pense à rien, je jouis de son dard, de ses mains, de sa langue, les seins massés, puis mordillés, je jouis de lui, de Sylvie qui vocalise, qui est montée sur lui, qui se prend en amazone et se délecte en jouissant du pieu qui la possède…
Sylvie gémit, il la lutine en cadence, son sexe de couleur disparait et réapparait dans son vagin, elle goûte chaque coup de rein, chaque claque sur ses fesses, et je subis le même traitement…
Mais le mien, il ne s’embarrasse pas de conventions…
Ses doigts insistent pour une danse libertine entre mes fesses écartées…
Proprement, sans effort, sa langue a joué avec mon désir hésitant, ses doigts ont emporté mes remords et se sont glissés dans mon méat, le préparant pour un assaut …
Sa hampe encastrée entre mes fesses, je me prends à gémir mon plaisir, à onduler mon bassin, à chercher le meilleur pour saliver son ardeur…
- Oh, oui encore, encule-moi plus fort ! Baise, fourre, explose ma rondelle !
Je n’ai pas pu le retenir et j’ai libéré mon orgasme…
J’entends des bruits, ressens un autre contact, un sexe dans mon vagin, vient doubler mon plaisir…
Le copain black vient de m’introduire…
Ils me baisent ensemble, me font délirer, je sens leurs deux queues, mes sensations divines, des trucs sans pareil, je n’ai jamais fait ça…
Ils me portent à l’extase, avec cette double pénétration, mon Jacky explose dans mon fion de salope, Gaby dans ma chatte heureuse, ébahie, béante, dégoulinant son sperme…
Sylvie que je ne voyais pas, jouis d’un troisième partenaire, prise en missionnaire, écartelée, cuisses bien ouvertes, genoux repliés, elle le reçoit en ahanant, scandant ses coups de rein, feulant tout à la fois, soulevant son bassin vers lui, le sexe de bonne taille la pénétrant jusqu’à la garde…
Je me vide lentement, ils se reposent contre moi, je sens des lèvres, des mains, et me laisse dériver…
Elle jouit, il se délivre, elle gémit son plaisir…
Gaby se lève et s’allonge sur elle…
Elle sent alors la grosse bite, chercher son anus…
- Oh, oui, viens ! Encule-moi bien profond, fais-moi jouir du cul, j’ai besoin de crier ma jouissance, de me gaver de votre sperme, de vibrer sous vos coups de reins…
En effet, il la prend en tendresse, caresse ses fesses, palpe ses seins, la tourne sur le côté, son cul bien ouvert, le sexe glisse lentement, passe sa rondelle, elle jouit en criant, pleurant, délirant de plaisir de se faire casser le cul comme une pouffiasse…
- Allez les gars, baisez-moi tous les trois, j’aime vos sexes en moi, échangez, fourrez-moi comme bon vous semble, mais donnez-moi du plaisir ! Et si il vous reste encore du jus après moi, prenez soin de mon amante, elle a du plaisir en retard, faites-la jouir comme une reine, pleurer sa mère, chanter Manon, crier jusqu’à s’étouffer, elle aime tout la perverse, à deux dans le même trou, elle adore sucer des queues dans les coins sombres, s’empiffrer de sperme à l’apéro, ouvrir ses cuisses à tous les intrépides, offrir sa chatte aux besogneux, aux miséreux, aux sans-dents…
J’ai oublié Sophie, j’ai oublié Cédric, j’ai oublié où j’étais, qui j’étais et suis devenue une nymphomane le temps d’un rêve éveillé…
Trois ou quatre… Qui ont conquis mon mont de Vénus, dévoré mon col de l’utérus, ouvert outrageusement la voie de mon anus, élargissant les routes qui mènent à tous les plaisirs d’un corps de femme bien constitué et adorablement consentant…
Violée ? Je ne crois pas, ils étaient trop doux, trop méfiants, trop bandants…
Ils se sont empressés, après avoir délaissé Sylvie, endormie dans une attitude très érotique, de me conduire dans leur ciel… Le 7ème ? Ou bien un autre, plus haut, plus intense, plus insistant…
Ils m’ont conduite directement et dans un accord parfait aux sommets de l’extase suprême, sans douleur, attendant chaque étape que mes chairs se dilatent…
J’ai ressenti des choses inconnues, des frissons, des besoins, des images, des sons, ma voix, et leurs râles, leurs sexes m’empalant dans tous les sens, me prenant, déchirée de toutes parts, anéantie de crier mes orgasmes, d’accélérer ma jouissance, de me donner sans retour…
Ils défilaient ensuite sur mon corps meurtri mais acceptant encore et toujours d’être honoré…
Je devenais une poupée luisante, comme une Barbie toute nue sortant de la baignoire…
Inondée, salivée, puis recouverte de leurs corps d’athlètes, venant terminer leur coït de rêve, je m’endors ainsi, et me réveille dans les bras de Sylvie…
La porte est ouverte, et après avoir récupéré nos habits, nous regagnons l’hôtel…
- On a eu ce que l’on cherchait…
- Dingue !...
- On n’en parle à personne… Jamais ! D’accord ?
- Oui, je te le jure… Je n’ai jamais été traitée comme ça… Un paillasson, une serpillère, une pute…
- Deux putes… Deux bourges en goguette… Pourtant ça avait bien commencé…
- Oui… Des trucs nouveaux, je respirais enfin, jouissant comme avant, son sexe dans le mien me portait vers l’extase, déclenchant mes orgasmes. Je redevenais femme…
- Moi, je suis passée de l’autre côté de la ligne rouge… J’ai trompé Cédric, je me suis avilie sans remords, dès le premier baiser et ses caresses m’ont emportée, des doigts m’ont donné le goût du stupre, j’ai flashé…
- Nous avons été deux salopes toutes les deux, leur donnant notre cul en pâture…
- Qu’est-ce qu’on s’est pris ma vieille… Des doubles pénétrations, en-veux-tu-en-voilà ! Deux poupées de chiffons entre leurs mains sales…
- Ils se sont délivrés dans nos chattes baveuses, où ils se succédaient… Et je ne parle pas de mon arrière-train… J’ai encore mal…
- Moi aussi, ma vulve est irritée, par trop de va-et-vient… Mon clitoris est aux abonnés absents, limé, atrophié…
- On y va ensemble constater les dégâts ?
- C’est un appel ? Tu crois que je vais refuser que tes doigts de fée ?
- Surtout en douche douce et chaude, bercée par tes bras…
On découvre des bleus en formation, autour de nos zones érogènes, tout a souffert sous la rage de nos amants…
Nous l’avions accepté ce moment de relâchement sexuel…
Je me sens coupable d’adultère… J’ai servi de jouet sexuel… De mouchoir en papier, de rince sexe… Et même ma bouche a encore le goût du sperme, et la sienne aussi…
On retourne s’allonger…
- Et si, ce soir, on retournait dans cette boîte, où les jeunes s’éclatent ? Tu n’aurais pas envie de retrouver un sexe immature ? Comme avant quand on était pucelles ?
- Un puceau ?
- Non, 18 / 25, un ado pubère, ou plusieurs… J’aime leurs hésitations qui me faisaient m’exciter de désir…
- Tu prenais le devant ?
- Souvent, car j’y serais encore… Mais c’était divin de trembler dans leurs bras, de les sentir indécis, de me frotter contre leur sexe qui ne cachait plus sa forme…
- Parfois il suffisait d’une caresse et c’était l’explosion… Ejaculation précoce… On en avait plein les doigts…
- Les pauvres ils attendaient une fille depuis l’ouverture à 22h et vers 02h du mat, c’était gonflé de semence prête à exploser au premier geste…
- On s’habille sixties ?
- Ouais… On risque d’aller dans le parking…
- Ou dans le bois ? Mais il y a aussi la plage, je crois, et là, ça y va !...
- Capote ?
- Oui…
C’est chaud, bruyant, bouillant, il est près de minuit et ça danse comme des dératés… Pas possible de flirter, c’est aux abords de la piste que ça frotte dur ! Les filles sont délurées, elles sont venues pour ça, se faire sauter et ajouter au compteur une paire de godelureaux…
Mais près des toilettes, ça deale…
Elles se donnent du courage, mais aussi absorbent des boissons pas trop clean…
J’essaie de voir la différence, je vois un gars qui s’apprête à sortir avec une jeune fille dans ses bras…
- Dis, toi, c’est ta copine ?
- Dégage, on s’en va…
- Mais elle est droguée, tu viens de lui faire prendre un truc…
- Dégage ou je te butte !
- Ah oui, et comment tu vas faire avec mon amie derrière toi ?
Sophie le calme, regarde la fille, elle est dans les vapes…
Shootée au GHB, elle allait prendre la direction des bois, et se faire violer…
On confie le gus au cerbère…
Un mec nous a vues…
- Merci, c’est ma sœur… Je lui ai appelé un taxi, elle est partie…
- Tu ne la surveillais pas ?
- Un quart d’heure avec ma copine… Partie aussi du coup, c’est son amie, elle la raccompagne… Bon… Du coup t’es seul et t’as pas baisé…
- Mouais, triste soirée… Et c’est tard, les meilleures sont en main…
- Y a nous… Tu n’aimes pas les matures ?
- Si, vous êtes bandante… Ton amie est canon… Elle a dansé avec un pote et il bavait… Il a pu effleurer ses seins… Il m’a parlé qu’elle était bonne et chaude et qu’il se la taperait bien, mais elle l’a planté pour aller boire…
- Il est où ton ami ?
- Oh, allongé avec une bouteille de vodka… Tu veux venir ?
Le canapé déborde de cuisses, de poulettes, accrochées à des boutonneux, se laissant tripoter les seins sans pudeur, dans l’obscurité…
Mon nouveau copain, m’appelle, je trouve le copain… Il ouvre un œil…
- Ouah, un ange ! Ta copine est où ?
- Tu as flashé sur elle ?
- J’ai senti ses seins en dansant et maintenant j’ai envie de téter… La bouteille fait pareil…
- Si je la trouve, tu viendrais avec nous et ton ami, on a besoin de tendresse…
- Bien sûr, mais on n’a pas de tunes…
- Attendez-nous…
La salle est grande, le dancefloor est immense, et au plus profond, je trouve Sylvie qui danse avec un jeune éphèbe, et un gigolo plus âgé… Elle se déhanche, montre tout ce qu’elle peut montrer, ils la badent, en s’agitant, en sueur…
Je la rejoins et ils s’excitent pensant que c’est leur tour…
- Du calme, je suis en taxi…
J’explique, elle me suit, ils sont contrits, et suivent nos culs du regard…
Je lui montre son ex-danseur…
- Oh, salut… Moi c’est Sophie, elle, c’est Marianne,
Ils se présentent, Luc et Yann…
- Tu les veux ?
- Non ?
- Oui, si tu veux…
On fait connaissance, puis Sophie demande à sortir, elle a chaud et aimerait marcher…
Oui, un sentier mène au lac, plage, bancs, romantique…
- Ça vous dit les jeunes, on se fait un date sur la plage ?
- Date ?
- Un rencard… Un morceau de chemin, on parle musique, on va rêver à la lune… Tu as des écouteurs pour ta playlist ?
- Yes, deux… Comme…
- Ah, oui, je sais… Mais tu n’es pas trop jeune pour jouer avec ?
- Mon nécessaire de billard va très bien, chérie, tu veux l’essayer ?
- Je suis un peu là pour ça, pour retrouver l’ambiance de mes premiers flirts… J’espère que cela ne te fait pas peur de te montrer avec une girl plus âgée…
- Tu me reposeras la question après… J’en ai dix-huit, ma mère m’a eu à 20, elle en a trente-huit et toi ?
- Trente-cinq. Et tu aimerais les montrer à ta mère parfois ?
- A un moment, mais c’était confus… Elle a divorcé et était très mal, on se consolait et je sentais son corps chaud contre moi, je bandais comme un âne…
- Tu as eu envie elle, vraiment ?
- Oui, mais elle n’a jamais franchi la ligne… Et toi tu n’as pas eu l’occasion avec un cousin, un oncle, ton père ? Même une cousine, une tante…
- Une amie à mes parents, oui…
- Et vous l’avez fait ?
- Oui, y avait pas i****te, juste lesbos…
- Tu as pris du plaisir ?
- Beaucoup, on s’est revues… 3 mois… On était en fac, les exams arrivaient…
- Tu es une femme d’expérience alors… Tu as un mari ?
- Oui et un enfant. Et là je suis avec ma copine de travail et on s’accorde un break…
- On se met là ? C’est à l’abri du vent…
- Et des regards… Viens… Regarde Sylvie… Elle a envie de lui…
- Tu le vois comment ?
- Ses yeux brillent, elle se frotte légèrement pour lui faire comprendre…
- Elle s’assoit, elle ouvre son chemisier… Il a compris… Et toi ?
J’ai envie de lui… Il est sain, ce jeune homme et beau…
Notre premier baiser est hésitant et je repense à Sylvie…
Elle a un temps d’avance, il lui suce les seins…
- Tu avais envie de moi en dansant ? Puis quand on était sur le canapé ?
- Grave !... Mais je pensais que tu cherchais ta fille…
- Non, c’était quelqu’un qui allait se faire avoir…
- C’est bien que tu l’aies arrêté…
Je me laisse aller en arrière… Il vient contre moi, empaume un sein, caresse, soulève mon tee-shirt, je sens sa bite grossir contre ma cuisse, frotter…
Il libère mes seins, s’en donne à cœur-joie… Mes tétons sont à la fête !
Je fais glisser ma jupe…
Il fait le va-et-vient entre mes seins et ma bouche…
J’arrive à déboutonner sa chemise…
Il fait nuit noire… Juste quelques halos en provenance du port voisin…
Il se plaque contre moi, sa poitrine contre mes seins…
J’entends du bruit…
Sylvie s’agite… Il est sur elle, écartelée, et je pense qu’il l’a prise, il ondule son bassin……
Elle lui parle à l’oreille, doucement, elle doit lui dire qu’elle aime ça… Qu’il est doux, qu’elle adore…
- J’ai envie de toi, comme eux…
- Ils baisent, oui… Tu veux me sucer avant ?
- Et toi tu veux mon sexe ?
- 69 ?
- On peut ici ? Oui, on est masqués par les taillis…
Je me mets sur le dos, ouvre mes cuisses, retrousse ma jupe, descends ma culotte et il monte me proposer son sexe que je prends dans ma main…
Il sent le chaud, le savon… et je goûte avec des frissons…
Je le branle et le décalotte, et, tandis que sa langue m’électrise d’un coup, je sens ma vulve s’ouvrir et couler son désir…
Il ne peut cacher son envie, bandé tout droit comme une épée, moins pointu, mais aussi long, son vît glisse entre mes lèvres et c’est un paradis…
Je sens venir mon plaisir, mon désir est plus que réveillé…
Je me remets dans son sens, l’attire sur moi, l’embrasse, il sent mon parfum, celui de mon savon intime…
J’ouvre mes cuisses, prête à le recevoir…
Il échoue dans mon jardin, visant sa cible comme un athlète pressé de performer…
Le gland parcours mon sillon, remonte vers mon puits d’amour, et, trempé de désir, tremblant d’impatience, il entre doucement de quelques millimètres qui me font défaillir, moi aussi…
Tout mon corps s’est tendu, il attend sans bouger, sans doute un conseil d’un ami, je me mets à trembler aussi, impatiente et perverse, je me dérobe et me frotte, je feule et parle sans réfléchir, le sentant prêt à me pourfendre et à me porter aux nues…
Il a de l’expérience, car doucement, il plonge dans mon fourreau, se repaît de ma douceur, de ma chaleur, de mon intimité offerte…
Et petit à petit il prend toute la place, s’encastrant en moi parfaitement…
C’est quand il commence à bouger, imprimant un va-et-vient lancinant, que je prends toute la notion de mon plaisir qui s’envole et me fait délirer, comme s’il était le premier, comme si j’étais vierge…
- Oh ! Ah !... Ouh !... Doucement…. J’adore… Oui! Prends-moi… Comme cela… C’est divin…
- Oui… Tu es bonne… J’avais envie comme jamais de te sauter, tu sais… Ta chatte et tes seins sont des trésors, beaux, bons et je vais te défoncer, te faire crier ton plaisir…
- Oui, mon chéri, empale-moi, fais-moi l’amour comme tu aimes, prends-moi comme une copine de ton âge, je me sens si jeune sous toi, enfilée jusqu’à la garde par ton pieu de chevalier…
- Les copines de mon âge croient avoir tout vu, veulent baiser, pas faire l’amour, tu fais toute la différence, je te ressens jouir de moi…
Il accélère légèrement, et je m’envole, cette fois c’est la bonne, plus de faux-semblants…
Je sens le premier orgasme m’emporter, partir de mon sexe, remonter dans mon ventre, et gonfler ma poitrine…
J’ai chaud, je deviens une autre… Ses mains caressent mes seins, prolongent l’onde de chaleur, ses yeux dans le miens, épiant mes réactions…
Il baisse la tête et me donne un baiser tendresse, un baiser d’amour, baveux et profond…
Je me retiens de crier… Son sexe me laboure…
Je suis folle… J’ai son âge, je veux qu’il me tringle toute la nuit…
Je veux qu’il me performe, qu’il me délecte, qu’il suce et lèche la moindre parcelle de mon corps…
Je le lui dis, il est d’accord, mais pas ici, il sent le froid… Moi aussi…
Sylvie est prise en levrette, la tête entre ses bras, et s’offre un moment délirant, le sentant la marteler à grands coups de reins, qui font trembler ses seins…
Elle jouit en feulant son plaisir, sans doute ayant entendu mes gémissements de louve, elle se fait démonter, mais il va bien trop vite, et ne pourra pas tenir la distance…
Je les interromps en grelottant de froid…
- Oui, tu as raison, on se gèle… Venez dans notre hôtel…
On se resape, on tourne vers le parking, elle avec Luc, Yann avec moi, dans ma voiture…
On fait doucement, pour atteindre notre chambre…
Le grand lit nous tend les draps…
Toilettes, boissons, et on s’allonge en travers, on a de la place, c’est un 160…
On reprend, côte à côte, deux couples dans la pénombre, nos onomatopées résonnent, je suis montée sur lui et mène la danse… Sylvie m’a imitée, et grâce à mon interruption, elle peut continuer à profiter de son sexe…
Deux louves écartelées sur leurs bassins, assoiffées de plaisir, chevauchant leurs jeunes amants, à notre tour de leur montrer la différence…
Yann s’occupe de mes seins, caresse mes tétons, les pince et je délire…
Sylvie s’est offerte en levrette, elle y tenait vraiment…
C’est une chevauchée fantastique à mon côté, elle scande chaque coup de rein…
- Fais attention, retiens-toi…
- Oui, pas de crainte, je maîtrise…
Elle ondule au même rythme, il la tient par les hanches, comme Yann, et ils nous fourrent maintenant en duo… Un concert de gémissements, de râles de femelles, quelques bruits incongrus, et on change de position…
- Vous voulez échanger ?
- Heu… Si vous voulez… C’est une partie à 4… Oui…
- Oui, d’accord…
Luc vient vers moi, je m’offre sur le dos, écartelée…
Il vient entre mes cuisses et me salive, me suce, me lèche, et c’est le paradis…
Une autre douceur plus intime, plus tendre, plus complète…
Je monte dans mon nuage, et il me prend, remplaçant le sexe de son ami…
Ils sont différents, et lui est plus large et je ressens des sensations nouvelles…
Mais il ne va pas au fond, contre mon utérus…
Je feule, tenant compte des voisins… Il est 3 heures…
Sylvie découvre Yann, le suce, se fait prendre en ciseau, la chatte bien découverte, et il l’entraîne comme moi, dans un univers de plaisir…
Elle feule, puis se met à jouir vraiment, se tourne vers moi, et vient m’embrasser…
Luc nous voit, nous laisse nous embrasser, nous caresser les seins, et ils nous reprennent, plus gros, plus fort, plus macho, en rallant leur plaisir, nous griffant au passage…
Ils sont tous les deux bons et tendres, deux jeunes amants faisant leurs classes avec des femmes plus expérimentées…
Aussi, quand se met à leur donner du plaisir, prenant leurs sexes entre nos seins, puis nous offrant en duo, les voulant ensemble, tour à tour, ils passent dans une autre dimension…
La sodomie est un plaisir commun de nos jour, pratiqué par beaucoup de couples…
On se délecte de leurs queues dans nos tripes, ils viennent parfaire les duos…
Doublement pénétrées, comme avec nos amis, je ressens une différence, celle de la nouveauté pour eux… Ils n’ont pas l’expérience, arrivent tout de même, avec moi, la première, à se synchroniser et me donner le même plaisir…
Sylvie me suit de près et je la regarde, la bite de Yann dans sa chatte, Luc enfilant son dard dans un anus luisant de salive…
Elle orgasme rapidement, modérant ses effets, me grisant par ses gestes et ses paroles, et je m’écartèle sur sa bouche…
Elle me suce avec délice tout en gémissant, puis la regardant me lécher la chatte, ils vont au bout et explosent dans ses méats en rugissant !...
Ils sont épuisés, elle est ravie, et vient contre moi échanger de nouvelles caresses et des délicieux baisers d’amour…
On dégouline de sperme, on va sous la douche, on joue, on continue à nous caresser, sa langue me fait du bien, la mienne avale ce qu’elle récolte et je trouve le goût de l’adultère bien agréable…
Cette fois, c’est plus tendre l’autrefois, ils manquent d’autorité, de pratique…
Je suce la queue de Yann, la réveille, mais elle est vide et reste flasque…
Sylvie s’est endormie…
Nous sommes enlacés tous les quatre, enchevêtrés, dans un abandon complet…
Après un moment de détente, je prends le sexe de Luc dans ma main, il réagit…
Il se réveille… Je me tourne vers lui et le prends en bouche…
Il s’est allongé sur le dos, pour mieux se laisser caresser…
Ma tête va-et-vient, comme celle d’un pigeon qui marche…
Je sens les odeurs acres et suaves de nos sécrétions féminines mêlées au sperme…
Il bande très correctement, mes lèvres glissent sur la hampe, lentement, doucement, de haut en bas, puis de bas en haut, sentant l’objet se durcir…
Il grogne à son tour, savoure la douceur de ma caresse…
Je continue sans changer de vitesse, caressant les bourses, puis enfonçant lentement un doigt dans l’anus…
Il ne s’y attendait pas… Il est surpris, mais accepte en me regardant dans les yeux…
Puis il me fait pareil, son doigt glisse dans mon sphincter… Nous voici doigtés l’un et l’autre… Sa bite est devenue une barre de fer…
- Viens !
Je m’offre en collant mon derche contre son bassin, son sexe contre mon arrière-train…
- Prends-moi en douceur… Couchée de côté, baise-moi tendrement, empale-moi avec ton dard… Fais-moi jouir par derrière… J’adore me faire tringler en silence… Et si tu veux, tu peux décharger dans mon derrière…
- Refais-moi le doigt que tu m’as enfoncé aussi, j’en ai joui…
Je sens le sexe ouvrir mon anus, glisser doucement, remplir mon sphincter, puis doucement, onduler, déclencher mes spasmes de plaisir, je ne peux résister à me branler, m’enfoncer trois doigts, jubiler de ce plaisir intense d’une bite qui me ravage, puis il accélère, devient encore plus gros, me dilate, me saisit par les hanches, me tenant fortement, et explose sa jouissance en même temps que la mienne me faisant perdre le nord quelques instants…
Que c’est bon de se faire prendre par un jeune homme, comme avant, comme une ado en chaleur, sodomisée avec passion, doigtée, épuisée par ses jeux adultères…
J'en suis là de mes pensées, quand la porte s'ouvre doucement, et que la femme de chambre me regarde droit dans les yeux en contemplant le sexe de mon amant, glisser entre mes lèvres...
Elle bredouille comme hier, de plus en plus surprise, et referme la porte en me lançant un clin d’œil...
Sylvie n’en n’a rien su…
Cédric m’a pardonnée cette parenthèse entre filles…
Je ne lui ai avoué que mon penchant lesbien pour ma nouvelle amie…
Il a hâte ainsi de lui préparer une fondue samedi prochain…
Sylvie va adorer la fondue de Cédric…
On a l’habitude de manger la fondue, tout nu, devant la cheminée, avec des gages si on perd le pain dans le caquelon…
FIN
Marika842010
octobre 2021
Nous avons un garçon de 7 ans, Erwan.
Cédric est ingénieur en agronomie, et moi dentiste.
Nos passions se sont brulées les ailes, nous ont séparé quelques mois ces derniers temps.
Il était en Angleterre pour gérer un domaine, et moi, attachée à mon cabinet que je partage avec Sylvie, une co-dentiste…
Sylvie est aussi maman, ce qui nous permet de gérer nos plannings, nous laissant l’une et l’autre du temps pour nos mômes, et pour nous…
Elle n’était pas mariée quand le père de sa fille est parti un beau matin faire le plein de sa voiture, après 3 ans de vie commune…
Je l’ai épaulée, j’ai gardé sa fille, comme si c’était la mienne, et maintenant, Sylvie a retrouvé le cap de sa vie, et assure notre association.
Le cabinet est florissant, nous avons une assistante, Julia, qui gère toute l’administration…
Nous sommes souvent ensemble hors du cabinet, elle vient à la maison, garde mon fils, le prend pour les vacances, mais dans ce tableau idyllique, subsiste une ombre qui voile mes rêves parfois…
Je sens de la jalousie chez Sylvie…
Jalousie, car Cédric m’entoure d’attentions, de cadeaux, alors que son compagnon, l’a laissée tomber…
Parfois son regard s’attarde sur moi, elle se met à faire des réflexions, comme quoi mon accouchement ne se voit plus, n’a laissé aucune trace sur mon corps parfait, mes seins ronds et pleins, mon ventre plat comme à 20 ans, et les cuisses fuselées que j’entretiens par de longues marches en forêt…
Sa déception l’a cruellement marquée, elle s’était abandonnée à son sort, se trouvait grosse, le visage ingrat, les cheveux en bataille.
J’ai tout réparé…
Une semaine de vacances en bord de mer, thalasso, soins divers et variés et surtout casino et clubs privés…
Je l’ai accompagnée toute la semaine dans les endroits branchés, les discothèques à la mode, découvrant des délices en cocktails, qui nous boostaient et nous excitaient comme des puces, au risque, pour moi, de tomber dans un piège, celui de l’adultère…
C’est le dernier samedi de cette parenthèse, nos enfants étaient gardés par une nounou, et mon mari…
Ce fut la liberté, la découverte de se faire masser, de se laisser manipuler, de s’endormir sous les bienfaits de notre coach…
Les restaurants gastronomiques nous ouvraient leurs portes et nos papilles se chargeaient de senteurs inconnues, venant ajouter à l’ambiance de plus en plus légère de nos distractions.
Après le shopping, nous découvrions les balades à vélo le long du sentier côtier, les plages désertes, où l’on goûtait nues les rayons de soleil…
Nos rapports devenaient plus qu’amicaux.
Nous étions déjà proches, comme deux amies, mais là, elle se lâchait, c’était le but, retrouver le goût de vivre, la sensualité, les plaisirs de la vie, et pour elle, le renouveau de sa sexualité.
Certes, elle était marquée par sa séparation, avait du mal à se projeter dans un avenir serein…
Elle m’épiait, du coin de l’œil, le soir en nous couchant côte à côte et en nous relâchant, après un bon repas…
On parlait franchement, elle cherchait à savoir comment je faisais pour profiter de tout, même du mauvais qui quelquefois venait embrumer ma joie de vivre.
Je suis d’un naturel optimiste, je vois le bon, jamais le mauvais que je laisse s’enfuir dans mes nuits et mes rêves…
Elle me demanda d’un coup, si j’avais envie de tromper Cédric…
- Que ??? Comment ?? Pourquoi cette question ?
- Bien, on va aller danser, et si tu rencontres quelqu’un…
- Je n’ai aucune intention de tromper mon mari, enfin jusque-là…
- Moi, je suis venue pour ça… On n’en n’a pas parlé ouvertement, mais le but c’est que je redevienne femme à part entière, que j’accepte un homme. Je n’en ai pas connu depuis… C’est vrai que ça me manque maintenant… J’ai envie de sexe, je me caresse de plus en plus souvent… Mais j’ai encore peur de me laisser aller…
- Tu es belle, libre, nous sommes en vacances, c’est le bon moment, mais il faut laisser la vie décider, te laisser porter par les événements. Si tu dois rencontrer un prince, ce n’est sans doute pas ici, et encore moins en boîte de nuit, mais si tu veux t’envoyer en l’air, avec un gentil garçon, oui, tu auras le choix, choisis en conséquence…
- Cela ne t’ennuie pas ? Je veux dire de me voir avec un homme, flirter en dansant, me laisser caresser, me perdre de vue une heure ou deux ?
- Non, mais j’aimerais que tu me le dises par SMS, si tu dois passer le reste de la nuit avec un amant… Je ne veux pas me faire du souci alors que tu gémis de plaisir…
- Oui, bien sûr… Tu ne seras pas jalouse ?
- Que tu te fasses du bien et moi non ?
- Ouais…
- Je… Non, sans doute, je sais que tu l’espères, cette résurrection…
- Oui… La fête à ma chatte ! Revivre le plaisir de faire l’amour… Regoûter à ces instants de découverte, du premier baiser, des caresses, du désir et du partage… Toucher et palper une queue, la serrer dans ma main, la faire coulisser… Puis m’en pénétrer, et délirer mon plaisir, savourer mes orgasmes, la vraie vie quoi !…
- Tu es lyrique… J’en aurais presque le frisson, tant tu en parles si bien…
- Et si je le faisais avec une femme, ce rapprochement, ce renouveau ? Cela te choquerait ? Lui sourire, danser, nous rapprocher, rire, nous embrasser, nous peloter dans un coin discret… Disparaître dans la nuit…
- Maintenant, rien ne me choque… Surtout pas cela. L’amour ne choisit pas le sexe, les papillons picotent nos ventres, notre cœur s’emballe, soit pour l’amour toujours, soit pour quelques instants de tendresse et de sexe…
- Tu es géniale… Et si la tendresse me manquait plus que le sexe, tu pourrais m’en donner ?
- Je vais te confier un secret, j’ai été déflorée par une femme…
- A quel âge ?
- 17 je crois, la sœur d’une amie à mes parents, un printemps dans une superbe propriété en Vendée… Mes parents découvraient la région avec leurs amis, je restais avec elle à la villa… C’était bien avant Cédric, j’avais eu un premier amant 10 mois de passion d’ado, pas mal de flirts, quelques coups du soir et là, je la trouvais belle, dans la piscine, elle s’était mise nue et bronzait à mon côté. Je regardais ses formes, ses seins plus beaux que les miens, plus galbés, plus pleins… Son pubis aux poils blonds épars, bien rangés… Elle m’a regardée, j’ai compris… Elle s’est rapprochée, moi aussi, elle a pris ma main, l’a posée sur un sein, elle regardait le ciel, puis elle l’a glissée entre ses cuisses, et on a fait l’amour, tendrement, dans un coin de verdure… On a dormi ensemble, on a recommencé plus tard dans la soirée, dans l’eau, au clair de lune, puis la nuit, on a dormi ensemble et le jour suivant…
Je vivais des moments de pur plaisir, intenses, profonds, c’était si parfait qu’on criait nos orgasmes…
Elle m’apprenait la femme, j’étais douée selon elle, elle s’offrait à moi, délicate, adorable, sans pudeur, totale… On se découvrait jusqu’à l’aube…
- Tu es tombée amoureuse ?
- Oui… Mais j’avais honte de cette relation… Mes parents se doutaient de quelque chose. Elle habitait la même ville, on se rejoignait le soir, ça a duré jusqu’aux vacances suivantes et puis on s’est perdues de vue… Quelques messages, des changements, un amant pour elle, et Cédric pour moi, mais mon diplôme en priorité…
- Cela veut dire que tu connais la femme, ses zones sensibles, ses pensées secrètes, ses humeurs, ses passions, sa soif de découverte, et ses peurs…
- Mais on aime la vie, et les plaisirs aussi, et les choix difficiles, et on hait l’ignorance, l’indécision, les obligations que souvent l’on se crée…
- Oh, j’ai eu des moments de doute avant qu’il me quitte…
- Moi, j’en ai en ce moment…
- Alors viens te cacher dans mes bras, contre moi, comme quand tu étais petite fille et te réfugiais sous une table, dans un placard ou dans le jardin…
Ce soir-là je rencontrais une autre Sylvie…
On fit l’amour tendresse, la découverte de nos corps, le désir de l’autre, et nos premiers baisers d’amour, de partage, de complicité et la flamme s’alluma…
Le plaisir suivit, les attitudes, les regards, l’amitié qui grossit, qui se change en velours, réciproque, en désir de l’autre, en besoin de l’autre…
Et le sexe qui suit, comme un besoin sauvage et entêtant…
Pas de queue pour se remplir le vagin, mais des sensations communes, un volcan, des spasmes de plaisir, un besoin de partage, de ressentir la même chose ensemble, collées, aspirées dans un tourbillon des sens qui ne s’arrêtait qu’à l’aube…
Enlacées tendrement, épuisées par notre nuit, la femme de chambre nous pensait au petit déjeuner… Elle a un moment d’hésitation, puis elle sourit, en grommelant que l’amour n’a pas de sexe, il en a besoin de deux, et parfois c’est le même…
Le soir, au moment de partir vers le centre-ville…
- Tu as réveillé des sensations divines…
- Tu m’as attirée dans un piège… Maintenant je déborde de désir d’un sexe d’homme, d’une bonne queue qui termine le travail, qui éteigne le feu que tu as allumé en moi…
- Tu ne veux plus de nous ?
- Je n’ai rien dit de tel ! Ce soir il faut que je trouve mon pompier… Rien à voir avec nous, car le fait est bien réel, nous sommes devenues amantes et j’ai adoré… Ce soir ce n’est que du sexe, il me faut le mâle qui va bien, et me redonne confiance en moi, aux hommes, en ma vie de praticienne… Je veux baiser comme une nymphomane, me faire casser le cul, détruire ma chatte, exploser ma rondelle, rougir mes seins, battre des records… Il me faut trouver le bon…
- Ou les bons ?
- Oh ! Oui ! Pourquoi pas ?
- Tu serais partante pour une soirée à 4 ? Tu participerais avec moi ?
- Je… Je n’ai pas réfléchi, cela ne concernait que toi… Je n’ai pas totalement pas trompé Cédric, mais… Je ne veux pas être en porte à faux, il le sentirait !
- Tu mens mal ?
- Non, je mens bien, je suis arracheuse de dents !
- Alors… Une câlinerie entre deux portes, une bite impatiente pour nous porter au plaisir suprême, et pourquoi pas la mixité ? Des sexes pour nous emporter dans un trip hors norme, quelque chose de phénoménal, un fantasme encore en état de larve, mais qui grossit comme une queue dans la bouche d’une femme du monde…
- Tes visions sont débordantes… Tu serais capable de tout ça ? Une soirée avec plusieurs partenaires ? Des positions scabreuses et d’un érotisme à graver dans la pierre ? Deux femmes en recherche de plaisirs extrêmes, s’abandonnant aux mains les plus perverses ?
- Oui ! Un océan de sperme sur mon visage et mes seins ! Deux bites dans mes méats, bien ouverts, bien remplis, bien excités, martelés sans répit…
- Lèche-moi, je coule de plaisir… Déjà…
- On n’a pas été plus loin que nos sexes, viens me sodomiser, explose ma rondelle, tu aimes ?
- Oui, je le fais… Pas souvent, dans les grandes occasions, et surtout en vacances…
- Justement…
Une demi-heure de léchouilles et nos doigts nous emportent dans le monde de la sodomie lesbienne, des cris, des rugissements, des râles et des orgasmes…
Maintenant il est temps, on crève de désir de se prendre une bite bien profond…
Le dancefloor est animé, jeunes et délurés, ados justes matures, filles à moitié dénudées, offrant leurs formes aux visions des plus contrits…
Jambes nues, toison à ras la moule, ou short ultra moulant, top ridiculement serré, seins en goguette, libres et fiers de l’être !...
Que de déhanchements, de saccades érotiques, des fesses évocatrices, des yeux prêts à sortir de leurs orbites, et eux impatients de la sortir, leur bite !...
Mouais… Mais tout cela c’est jeune, très frais, trop pur, pour deux aspirantes nymphomanes…
Au bout d’une heure, on perçoit un changement discret…
Quelques croupes plus adultes, des tenues plus décentes, enfin, au début…
Des yeux fouillant nos décolletés, quelques danses moins rapides et nous revoilà sur la piste…
Quelques virevoltes toutes les deux, nos yeux brillants, nos chevelures discrètement laquées…
Je cherche, j’épie, je vois, nous sommes ciblées par des possibles…
Un slow vient conclure la suite, deux messieurs nous séparent…
On rit, on accepte…
Il est d’ici, il vient de temps en temps (pour se faire un date…)
Mais il parle bien, est galant, une éducation qui disparaît…
Il me fait rire, se raconte, me raconte, me fait oublier la terre…
La musique s’est arrêtée depuis longtemps, je suis appuyée contre un mur, près du bar, et sa main droite palpe mon sein gauche en soulevant mon top. Son autre main caresse mes fesses et sa queue danse contre mon ventre…
Ses baisers s’enchaînent, mes tétons explosent, je jouis… En moi…
Que c’est bon de ressentir mon corps réagir à des caresses…
Sa main est venue s’ouvrir dans mon intimité… Un doigt coquin et aventurier me fait écarter les cuisses, tant il demande avec tendresse et politesse…
Le sexe durcit contre mon ventre, il frotte ma vulve, ma jupe est retroussée…
Il fait noir, il fait doux, il fait sexe, quand mes doigts se referment sur la hampe libérée…
Dès les premiers mouvements, mes cuisses tremblent, un doigt a trouvé mon bourgeon, je vais exploser de désir, de honte, d’envie de continuer…
Je serre les lèvres, comprime ma poitrine, il tourne mon clitoris…
Mon sexe se vide…
Je masturbe son sexe, j’ai envie de le prendre dans ma bouche, pour le remercier de me faire planer…
Cédric ne le fait plus ainsi… Il devient un mari… Il n’est plus l’amant des premières années.
Un doigt pénètre mon vagin lentement…
On va faire l’amour dans ce couloir, ce n’est pas ce dont j’ai rêvé !
J’entends d’autres râles, d’autres gémissements, d’autres couples sont étroitement enlacés, voire plus, se donnant un plaisir intense et bruyant, se masturbant et baisant sans façon…
J’aperçois Sylvie, arcboutée sur l’encadrement d’une fenêtre, pénétrée par un sexe indigène, robe relevée, culotte aux chevilles…
Je calme mon danseur, et l’entraîne vers mon amie…
Remettant un peu d’ordre sur moi, je les interromps, il me sourit, mais continue à l’empaler…
Mon danseur ouvre une porte avec une clé, Sylvie nous suit et on se retrouve toutes les deux avec nos deux partenaires de jeu, dans un petit studio…
C’est propre et gentillet…
Ils nous offrent à boire, proposent de la musique…
On boit debout, un peu étourdies, encore emportées par leurs caresses…
On reprend là où on en était…
Baisers et tendres caresses…
Déshabillées, on s’assoit toutes les deux sur un lit assez propre, et ils nous caressent de concert…
Ecartelée, sa langue m’emporte la première et mes vocalises emplissent la petite pièce…
Sylvie en est au même point, et sa voix aigu résonne, elle parle, des onomatopées, des heu !...
Son bassin va et vient sous la bouche de son amant…
Je sens la bite en pleine action dans mon vagin, je rêvais… Tandis qu’il me prenait avec tendresse…
Je ne pense à rien, je jouis de son dard, de ses mains, de sa langue, les seins massés, puis mordillés, je jouis de lui, de Sylvie qui vocalise, qui est montée sur lui, qui se prend en amazone et se délecte en jouissant du pieu qui la possède…
Sylvie gémit, il la lutine en cadence, son sexe de couleur disparait et réapparait dans son vagin, elle goûte chaque coup de rein, chaque claque sur ses fesses, et je subis le même traitement…
Mais le mien, il ne s’embarrasse pas de conventions…
Ses doigts insistent pour une danse libertine entre mes fesses écartées…
Proprement, sans effort, sa langue a joué avec mon désir hésitant, ses doigts ont emporté mes remords et se sont glissés dans mon méat, le préparant pour un assaut …
Sa hampe encastrée entre mes fesses, je me prends à gémir mon plaisir, à onduler mon bassin, à chercher le meilleur pour saliver son ardeur…
- Oh, oui encore, encule-moi plus fort ! Baise, fourre, explose ma rondelle !
Je n’ai pas pu le retenir et j’ai libéré mon orgasme…
J’entends des bruits, ressens un autre contact, un sexe dans mon vagin, vient doubler mon plaisir…
Le copain black vient de m’introduire…
Ils me baisent ensemble, me font délirer, je sens leurs deux queues, mes sensations divines, des trucs sans pareil, je n’ai jamais fait ça…
Ils me portent à l’extase, avec cette double pénétration, mon Jacky explose dans mon fion de salope, Gaby dans ma chatte heureuse, ébahie, béante, dégoulinant son sperme…
Sylvie que je ne voyais pas, jouis d’un troisième partenaire, prise en missionnaire, écartelée, cuisses bien ouvertes, genoux repliés, elle le reçoit en ahanant, scandant ses coups de rein, feulant tout à la fois, soulevant son bassin vers lui, le sexe de bonne taille la pénétrant jusqu’à la garde…
Je me vide lentement, ils se reposent contre moi, je sens des lèvres, des mains, et me laisse dériver…
Elle jouit, il se délivre, elle gémit son plaisir…
Gaby se lève et s’allonge sur elle…
Elle sent alors la grosse bite, chercher son anus…
- Oh, oui, viens ! Encule-moi bien profond, fais-moi jouir du cul, j’ai besoin de crier ma jouissance, de me gaver de votre sperme, de vibrer sous vos coups de reins…
En effet, il la prend en tendresse, caresse ses fesses, palpe ses seins, la tourne sur le côté, son cul bien ouvert, le sexe glisse lentement, passe sa rondelle, elle jouit en criant, pleurant, délirant de plaisir de se faire casser le cul comme une pouffiasse…
- Allez les gars, baisez-moi tous les trois, j’aime vos sexes en moi, échangez, fourrez-moi comme bon vous semble, mais donnez-moi du plaisir ! Et si il vous reste encore du jus après moi, prenez soin de mon amante, elle a du plaisir en retard, faites-la jouir comme une reine, pleurer sa mère, chanter Manon, crier jusqu’à s’étouffer, elle aime tout la perverse, à deux dans le même trou, elle adore sucer des queues dans les coins sombres, s’empiffrer de sperme à l’apéro, ouvrir ses cuisses à tous les intrépides, offrir sa chatte aux besogneux, aux miséreux, aux sans-dents…
J’ai oublié Sophie, j’ai oublié Cédric, j’ai oublié où j’étais, qui j’étais et suis devenue une nymphomane le temps d’un rêve éveillé…
Trois ou quatre… Qui ont conquis mon mont de Vénus, dévoré mon col de l’utérus, ouvert outrageusement la voie de mon anus, élargissant les routes qui mènent à tous les plaisirs d’un corps de femme bien constitué et adorablement consentant…
Violée ? Je ne crois pas, ils étaient trop doux, trop méfiants, trop bandants…
Ils se sont empressés, après avoir délaissé Sylvie, endormie dans une attitude très érotique, de me conduire dans leur ciel… Le 7ème ? Ou bien un autre, plus haut, plus intense, plus insistant…
Ils m’ont conduite directement et dans un accord parfait aux sommets de l’extase suprême, sans douleur, attendant chaque étape que mes chairs se dilatent…
J’ai ressenti des choses inconnues, des frissons, des besoins, des images, des sons, ma voix, et leurs râles, leurs sexes m’empalant dans tous les sens, me prenant, déchirée de toutes parts, anéantie de crier mes orgasmes, d’accélérer ma jouissance, de me donner sans retour…
Ils défilaient ensuite sur mon corps meurtri mais acceptant encore et toujours d’être honoré…
Je devenais une poupée luisante, comme une Barbie toute nue sortant de la baignoire…
Inondée, salivée, puis recouverte de leurs corps d’athlètes, venant terminer leur coït de rêve, je m’endors ainsi, et me réveille dans les bras de Sylvie…
La porte est ouverte, et après avoir récupéré nos habits, nous regagnons l’hôtel…
- On a eu ce que l’on cherchait…
- Dingue !...
- On n’en parle à personne… Jamais ! D’accord ?
- Oui, je te le jure… Je n’ai jamais été traitée comme ça… Un paillasson, une serpillère, une pute…
- Deux putes… Deux bourges en goguette… Pourtant ça avait bien commencé…
- Oui… Des trucs nouveaux, je respirais enfin, jouissant comme avant, son sexe dans le mien me portait vers l’extase, déclenchant mes orgasmes. Je redevenais femme…
- Moi, je suis passée de l’autre côté de la ligne rouge… J’ai trompé Cédric, je me suis avilie sans remords, dès le premier baiser et ses caresses m’ont emportée, des doigts m’ont donné le goût du stupre, j’ai flashé…
- Nous avons été deux salopes toutes les deux, leur donnant notre cul en pâture…
- Qu’est-ce qu’on s’est pris ma vieille… Des doubles pénétrations, en-veux-tu-en-voilà ! Deux poupées de chiffons entre leurs mains sales…
- Ils se sont délivrés dans nos chattes baveuses, où ils se succédaient… Et je ne parle pas de mon arrière-train… J’ai encore mal…
- Moi aussi, ma vulve est irritée, par trop de va-et-vient… Mon clitoris est aux abonnés absents, limé, atrophié…
- On y va ensemble constater les dégâts ?
- C’est un appel ? Tu crois que je vais refuser que tes doigts de fée ?
- Surtout en douche douce et chaude, bercée par tes bras…
On découvre des bleus en formation, autour de nos zones érogènes, tout a souffert sous la rage de nos amants…
Nous l’avions accepté ce moment de relâchement sexuel…
Je me sens coupable d’adultère… J’ai servi de jouet sexuel… De mouchoir en papier, de rince sexe… Et même ma bouche a encore le goût du sperme, et la sienne aussi…
On retourne s’allonger…
- Et si, ce soir, on retournait dans cette boîte, où les jeunes s’éclatent ? Tu n’aurais pas envie de retrouver un sexe immature ? Comme avant quand on était pucelles ?
- Un puceau ?
- Non, 18 / 25, un ado pubère, ou plusieurs… J’aime leurs hésitations qui me faisaient m’exciter de désir…
- Tu prenais le devant ?
- Souvent, car j’y serais encore… Mais c’était divin de trembler dans leurs bras, de les sentir indécis, de me frotter contre leur sexe qui ne cachait plus sa forme…
- Parfois il suffisait d’une caresse et c’était l’explosion… Ejaculation précoce… On en avait plein les doigts…
- Les pauvres ils attendaient une fille depuis l’ouverture à 22h et vers 02h du mat, c’était gonflé de semence prête à exploser au premier geste…
- On s’habille sixties ?
- Ouais… On risque d’aller dans le parking…
- Ou dans le bois ? Mais il y a aussi la plage, je crois, et là, ça y va !...
- Capote ?
- Oui…
C’est chaud, bruyant, bouillant, il est près de minuit et ça danse comme des dératés… Pas possible de flirter, c’est aux abords de la piste que ça frotte dur ! Les filles sont délurées, elles sont venues pour ça, se faire sauter et ajouter au compteur une paire de godelureaux…
Mais près des toilettes, ça deale…
Elles se donnent du courage, mais aussi absorbent des boissons pas trop clean…
J’essaie de voir la différence, je vois un gars qui s’apprête à sortir avec une jeune fille dans ses bras…
- Dis, toi, c’est ta copine ?
- Dégage, on s’en va…
- Mais elle est droguée, tu viens de lui faire prendre un truc…
- Dégage ou je te butte !
- Ah oui, et comment tu vas faire avec mon amie derrière toi ?
Sophie le calme, regarde la fille, elle est dans les vapes…
Shootée au GHB, elle allait prendre la direction des bois, et se faire violer…
On confie le gus au cerbère…
Un mec nous a vues…
- Merci, c’est ma sœur… Je lui ai appelé un taxi, elle est partie…
- Tu ne la surveillais pas ?
- Un quart d’heure avec ma copine… Partie aussi du coup, c’est son amie, elle la raccompagne… Bon… Du coup t’es seul et t’as pas baisé…
- Mouais, triste soirée… Et c’est tard, les meilleures sont en main…
- Y a nous… Tu n’aimes pas les matures ?
- Si, vous êtes bandante… Ton amie est canon… Elle a dansé avec un pote et il bavait… Il a pu effleurer ses seins… Il m’a parlé qu’elle était bonne et chaude et qu’il se la taperait bien, mais elle l’a planté pour aller boire…
- Il est où ton ami ?
- Oh, allongé avec une bouteille de vodka… Tu veux venir ?
Le canapé déborde de cuisses, de poulettes, accrochées à des boutonneux, se laissant tripoter les seins sans pudeur, dans l’obscurité…
Mon nouveau copain, m’appelle, je trouve le copain… Il ouvre un œil…
- Ouah, un ange ! Ta copine est où ?
- Tu as flashé sur elle ?
- J’ai senti ses seins en dansant et maintenant j’ai envie de téter… La bouteille fait pareil…
- Si je la trouve, tu viendrais avec nous et ton ami, on a besoin de tendresse…
- Bien sûr, mais on n’a pas de tunes…
- Attendez-nous…
La salle est grande, le dancefloor est immense, et au plus profond, je trouve Sylvie qui danse avec un jeune éphèbe, et un gigolo plus âgé… Elle se déhanche, montre tout ce qu’elle peut montrer, ils la badent, en s’agitant, en sueur…
Je la rejoins et ils s’excitent pensant que c’est leur tour…
- Du calme, je suis en taxi…
J’explique, elle me suit, ils sont contrits, et suivent nos culs du regard…
Je lui montre son ex-danseur…
- Oh, salut… Moi c’est Sophie, elle, c’est Marianne,
Ils se présentent, Luc et Yann…
- Tu les veux ?
- Non ?
- Oui, si tu veux…
On fait connaissance, puis Sophie demande à sortir, elle a chaud et aimerait marcher…
Oui, un sentier mène au lac, plage, bancs, romantique…
- Ça vous dit les jeunes, on se fait un date sur la plage ?
- Date ?
- Un rencard… Un morceau de chemin, on parle musique, on va rêver à la lune… Tu as des écouteurs pour ta playlist ?
- Yes, deux… Comme…
- Ah, oui, je sais… Mais tu n’es pas trop jeune pour jouer avec ?
- Mon nécessaire de billard va très bien, chérie, tu veux l’essayer ?
- Je suis un peu là pour ça, pour retrouver l’ambiance de mes premiers flirts… J’espère que cela ne te fait pas peur de te montrer avec une girl plus âgée…
- Tu me reposeras la question après… J’en ai dix-huit, ma mère m’a eu à 20, elle en a trente-huit et toi ?
- Trente-cinq. Et tu aimerais les montrer à ta mère parfois ?
- A un moment, mais c’était confus… Elle a divorcé et était très mal, on se consolait et je sentais son corps chaud contre moi, je bandais comme un âne…
- Tu as eu envie elle, vraiment ?
- Oui, mais elle n’a jamais franchi la ligne… Et toi tu n’as pas eu l’occasion avec un cousin, un oncle, ton père ? Même une cousine, une tante…
- Une amie à mes parents, oui…
- Et vous l’avez fait ?
- Oui, y avait pas i****te, juste lesbos…
- Tu as pris du plaisir ?
- Beaucoup, on s’est revues… 3 mois… On était en fac, les exams arrivaient…
- Tu es une femme d’expérience alors… Tu as un mari ?
- Oui et un enfant. Et là je suis avec ma copine de travail et on s’accorde un break…
- On se met là ? C’est à l’abri du vent…
- Et des regards… Viens… Regarde Sylvie… Elle a envie de lui…
- Tu le vois comment ?
- Ses yeux brillent, elle se frotte légèrement pour lui faire comprendre…
- Elle s’assoit, elle ouvre son chemisier… Il a compris… Et toi ?
J’ai envie de lui… Il est sain, ce jeune homme et beau…
Notre premier baiser est hésitant et je repense à Sylvie…
Elle a un temps d’avance, il lui suce les seins…
- Tu avais envie de moi en dansant ? Puis quand on était sur le canapé ?
- Grave !... Mais je pensais que tu cherchais ta fille…
- Non, c’était quelqu’un qui allait se faire avoir…
- C’est bien que tu l’aies arrêté…
Je me laisse aller en arrière… Il vient contre moi, empaume un sein, caresse, soulève mon tee-shirt, je sens sa bite grossir contre ma cuisse, frotter…
Il libère mes seins, s’en donne à cœur-joie… Mes tétons sont à la fête !
Je fais glisser ma jupe…
Il fait le va-et-vient entre mes seins et ma bouche…
J’arrive à déboutonner sa chemise…
Il fait nuit noire… Juste quelques halos en provenance du port voisin…
Il se plaque contre moi, sa poitrine contre mes seins…
J’entends du bruit…
Sylvie s’agite… Il est sur elle, écartelée, et je pense qu’il l’a prise, il ondule son bassin……
Elle lui parle à l’oreille, doucement, elle doit lui dire qu’elle aime ça… Qu’il est doux, qu’elle adore…
- J’ai envie de toi, comme eux…
- Ils baisent, oui… Tu veux me sucer avant ?
- Et toi tu veux mon sexe ?
- 69 ?
- On peut ici ? Oui, on est masqués par les taillis…
Je me mets sur le dos, ouvre mes cuisses, retrousse ma jupe, descends ma culotte et il monte me proposer son sexe que je prends dans ma main…
Il sent le chaud, le savon… et je goûte avec des frissons…
Je le branle et le décalotte, et, tandis que sa langue m’électrise d’un coup, je sens ma vulve s’ouvrir et couler son désir…
Il ne peut cacher son envie, bandé tout droit comme une épée, moins pointu, mais aussi long, son vît glisse entre mes lèvres et c’est un paradis…
Je sens venir mon plaisir, mon désir est plus que réveillé…
Je me remets dans son sens, l’attire sur moi, l’embrasse, il sent mon parfum, celui de mon savon intime…
J’ouvre mes cuisses, prête à le recevoir…
Il échoue dans mon jardin, visant sa cible comme un athlète pressé de performer…
Le gland parcours mon sillon, remonte vers mon puits d’amour, et, trempé de désir, tremblant d’impatience, il entre doucement de quelques millimètres qui me font défaillir, moi aussi…
Tout mon corps s’est tendu, il attend sans bouger, sans doute un conseil d’un ami, je me mets à trembler aussi, impatiente et perverse, je me dérobe et me frotte, je feule et parle sans réfléchir, le sentant prêt à me pourfendre et à me porter aux nues…
Il a de l’expérience, car doucement, il plonge dans mon fourreau, se repaît de ma douceur, de ma chaleur, de mon intimité offerte…
Et petit à petit il prend toute la place, s’encastrant en moi parfaitement…
C’est quand il commence à bouger, imprimant un va-et-vient lancinant, que je prends toute la notion de mon plaisir qui s’envole et me fait délirer, comme s’il était le premier, comme si j’étais vierge…
- Oh ! Ah !... Ouh !... Doucement…. J’adore… Oui! Prends-moi… Comme cela… C’est divin…
- Oui… Tu es bonne… J’avais envie comme jamais de te sauter, tu sais… Ta chatte et tes seins sont des trésors, beaux, bons et je vais te défoncer, te faire crier ton plaisir…
- Oui, mon chéri, empale-moi, fais-moi l’amour comme tu aimes, prends-moi comme une copine de ton âge, je me sens si jeune sous toi, enfilée jusqu’à la garde par ton pieu de chevalier…
- Les copines de mon âge croient avoir tout vu, veulent baiser, pas faire l’amour, tu fais toute la différence, je te ressens jouir de moi…
Il accélère légèrement, et je m’envole, cette fois c’est la bonne, plus de faux-semblants…
Je sens le premier orgasme m’emporter, partir de mon sexe, remonter dans mon ventre, et gonfler ma poitrine…
J’ai chaud, je deviens une autre… Ses mains caressent mes seins, prolongent l’onde de chaleur, ses yeux dans le miens, épiant mes réactions…
Il baisse la tête et me donne un baiser tendresse, un baiser d’amour, baveux et profond…
Je me retiens de crier… Son sexe me laboure…
Je suis folle… J’ai son âge, je veux qu’il me tringle toute la nuit…
Je veux qu’il me performe, qu’il me délecte, qu’il suce et lèche la moindre parcelle de mon corps…
Je le lui dis, il est d’accord, mais pas ici, il sent le froid… Moi aussi…
Sylvie est prise en levrette, la tête entre ses bras, et s’offre un moment délirant, le sentant la marteler à grands coups de reins, qui font trembler ses seins…
Elle jouit en feulant son plaisir, sans doute ayant entendu mes gémissements de louve, elle se fait démonter, mais il va bien trop vite, et ne pourra pas tenir la distance…
Je les interromps en grelottant de froid…
- Oui, tu as raison, on se gèle… Venez dans notre hôtel…
On se resape, on tourne vers le parking, elle avec Luc, Yann avec moi, dans ma voiture…
On fait doucement, pour atteindre notre chambre…
Le grand lit nous tend les draps…
Toilettes, boissons, et on s’allonge en travers, on a de la place, c’est un 160…
On reprend, côte à côte, deux couples dans la pénombre, nos onomatopées résonnent, je suis montée sur lui et mène la danse… Sylvie m’a imitée, et grâce à mon interruption, elle peut continuer à profiter de son sexe…
Deux louves écartelées sur leurs bassins, assoiffées de plaisir, chevauchant leurs jeunes amants, à notre tour de leur montrer la différence…
Yann s’occupe de mes seins, caresse mes tétons, les pince et je délire…
Sylvie s’est offerte en levrette, elle y tenait vraiment…
C’est une chevauchée fantastique à mon côté, elle scande chaque coup de rein…
- Fais attention, retiens-toi…
- Oui, pas de crainte, je maîtrise…
Elle ondule au même rythme, il la tient par les hanches, comme Yann, et ils nous fourrent maintenant en duo… Un concert de gémissements, de râles de femelles, quelques bruits incongrus, et on change de position…
- Vous voulez échanger ?
- Heu… Si vous voulez… C’est une partie à 4… Oui…
- Oui, d’accord…
Luc vient vers moi, je m’offre sur le dos, écartelée…
Il vient entre mes cuisses et me salive, me suce, me lèche, et c’est le paradis…
Une autre douceur plus intime, plus tendre, plus complète…
Je monte dans mon nuage, et il me prend, remplaçant le sexe de son ami…
Ils sont différents, et lui est plus large et je ressens des sensations nouvelles…
Mais il ne va pas au fond, contre mon utérus…
Je feule, tenant compte des voisins… Il est 3 heures…
Sylvie découvre Yann, le suce, se fait prendre en ciseau, la chatte bien découverte, et il l’entraîne comme moi, dans un univers de plaisir…
Elle feule, puis se met à jouir vraiment, se tourne vers moi, et vient m’embrasser…
Luc nous voit, nous laisse nous embrasser, nous caresser les seins, et ils nous reprennent, plus gros, plus fort, plus macho, en rallant leur plaisir, nous griffant au passage…
Ils sont tous les deux bons et tendres, deux jeunes amants faisant leurs classes avec des femmes plus expérimentées…
Aussi, quand se met à leur donner du plaisir, prenant leurs sexes entre nos seins, puis nous offrant en duo, les voulant ensemble, tour à tour, ils passent dans une autre dimension…
La sodomie est un plaisir commun de nos jour, pratiqué par beaucoup de couples…
On se délecte de leurs queues dans nos tripes, ils viennent parfaire les duos…
Doublement pénétrées, comme avec nos amis, je ressens une différence, celle de la nouveauté pour eux… Ils n’ont pas l’expérience, arrivent tout de même, avec moi, la première, à se synchroniser et me donner le même plaisir…
Sylvie me suit de près et je la regarde, la bite de Yann dans sa chatte, Luc enfilant son dard dans un anus luisant de salive…
Elle orgasme rapidement, modérant ses effets, me grisant par ses gestes et ses paroles, et je m’écartèle sur sa bouche…
Elle me suce avec délice tout en gémissant, puis la regardant me lécher la chatte, ils vont au bout et explosent dans ses méats en rugissant !...
Ils sont épuisés, elle est ravie, et vient contre moi échanger de nouvelles caresses et des délicieux baisers d’amour…
On dégouline de sperme, on va sous la douche, on joue, on continue à nous caresser, sa langue me fait du bien, la mienne avale ce qu’elle récolte et je trouve le goût de l’adultère bien agréable…
Cette fois, c’est plus tendre l’autrefois, ils manquent d’autorité, de pratique…
Je suce la queue de Yann, la réveille, mais elle est vide et reste flasque…
Sylvie s’est endormie…
Nous sommes enlacés tous les quatre, enchevêtrés, dans un abandon complet…
Après un moment de détente, je prends le sexe de Luc dans ma main, il réagit…
Il se réveille… Je me tourne vers lui et le prends en bouche…
Il s’est allongé sur le dos, pour mieux se laisser caresser…
Ma tête va-et-vient, comme celle d’un pigeon qui marche…
Je sens les odeurs acres et suaves de nos sécrétions féminines mêlées au sperme…
Il bande très correctement, mes lèvres glissent sur la hampe, lentement, doucement, de haut en bas, puis de bas en haut, sentant l’objet se durcir…
Il grogne à son tour, savoure la douceur de ma caresse…
Je continue sans changer de vitesse, caressant les bourses, puis enfonçant lentement un doigt dans l’anus…
Il ne s’y attendait pas… Il est surpris, mais accepte en me regardant dans les yeux…
Puis il me fait pareil, son doigt glisse dans mon sphincter… Nous voici doigtés l’un et l’autre… Sa bite est devenue une barre de fer…
- Viens !
Je m’offre en collant mon derche contre son bassin, son sexe contre mon arrière-train…
- Prends-moi en douceur… Couchée de côté, baise-moi tendrement, empale-moi avec ton dard… Fais-moi jouir par derrière… J’adore me faire tringler en silence… Et si tu veux, tu peux décharger dans mon derrière…
- Refais-moi le doigt que tu m’as enfoncé aussi, j’en ai joui…
Je sens le sexe ouvrir mon anus, glisser doucement, remplir mon sphincter, puis doucement, onduler, déclencher mes spasmes de plaisir, je ne peux résister à me branler, m’enfoncer trois doigts, jubiler de ce plaisir intense d’une bite qui me ravage, puis il accélère, devient encore plus gros, me dilate, me saisit par les hanches, me tenant fortement, et explose sa jouissance en même temps que la mienne me faisant perdre le nord quelques instants…
Que c’est bon de se faire prendre par un jeune homme, comme avant, comme une ado en chaleur, sodomisée avec passion, doigtée, épuisée par ses jeux adultères…
J'en suis là de mes pensées, quand la porte s'ouvre doucement, et que la femme de chambre me regarde droit dans les yeux en contemplant le sexe de mon amant, glisser entre mes lèvres...
Elle bredouille comme hier, de plus en plus surprise, et referme la porte en me lançant un clin d’œil...
Sylvie n’en n’a rien su…
Cédric m’a pardonnée cette parenthèse entre filles…
Je ne lui ai avoué que mon penchant lesbien pour ma nouvelle amie…
Il a hâte ainsi de lui préparer une fondue samedi prochain…
Sylvie va adorer la fondue de Cédric…
On a l’habitude de manger la fondue, tout nu, devant la cheminée, avec des gages si on perd le pain dans le caquelon…
FIN
Marika842010
octobre 2021
3 years ago