L'Histoire De Rosie (9)
Douceur et soumission avec Claude (1)
Je venais de me faire embaucher dans une société commerciale.
Au bout de quelques semaines, j'ai commencé à constater que mon supérieur était très collant voire harcelant à mon égard. Cela me plaisait même si ça me faisait réfléchir le soir en rentrant. Régulièrement il me frôlait, toujours avec un peu plus d'insistance, toujours un peu plus intensément. Sans laisser paraître mon excitation, je répondais a ses avances par des « Arrêtez s’il vous plait ou je ne suis pas celui que vous croyez ». Mais j’attendais avec impatience le moment où il allait vraiment préciser ses intentions. Il me plaisait et je voulais me laisser faire mais pas en passant pour une folle de sexe.
Enfin, il est passé à la vitesse supérieure en se mettant carrément à me caresser dans l'ascenseur, dans le local archives, dans les locaux techniques, dans les locaux du stock; et ce coquin, à force d'insistance a réussi à me mettre en état d’excitation.
Les semaines passant il se faisait de plus en plus pressant; maintenant il en arrivait à carrément glisser sa main dans mon pantalon. Bien sûr, je me laissais faire, en fait je le sais..., j'y prenais grand plaisir.
Il arrivait toujours derrière moi, se collait dans mon dos et me caressait jusqu'à faire monter dans mon sexe une érection de fou puis les semaines allant, il a même réussi à me faire éjaculer. Je ne disais rien, je prenais de plus en plus de plaisir. Et je sentais que ma toute relative indifférence le mettait dans un état d’excitation qui allait bientôt déboucher par des actes très intéressants pour moi.
C'était devenu notre petit secret, maintenant régulièrement il me mordait le cou pendant sa séance de caresses ; il me traitais de tous les noms comme : cochonne, salope, traînée, soumise, chienne ; tous ces mots m'aurais mis en colère voilà quelques mois mais maintenant j'acceptai tout de lui, il faisait tout ce qu'il voulait de moi. Et ça me plaisait. Je sentais, sans qu’il me l’ait dit encore, qu’il commençait à me considérer comme une femelle. Et bien sûr, j’adorais être une femelle. Je me sentais prête a me soumettre à lui en tant que femme.
Un lundi matin il m'a convoquée dans son bureau et m'a donné un sac, que j'ai ouvert, il était plein de dessous sexy, j'étais étonnée et surprise au moment où il m'a dit "c'est pour toi j'aimerais que tu les essayes ici".
J'étais gênée et en même temps je sentais l'excitation monter en moi. Enfin il me donnait l’occasion de me transformer en vrai femelle. Claude, mon supérieur m'a dit que c'était l'heure du déjeuner et qu'il n'y avait personne dans le bâtiment je ne risquais rien... Il est venu me caresser pour me convaincre de passer à l'acte et il a été très convaincant... C'est ainsi que je me suis déshabillée devant lui et que j'ai enfilé les bas, le porte-jarretelles et le tanga. Il y avait aussi un petit caraco en lycra hyper moulant qui mettait mon corps en valeur.
Ainsi vêtue je me suis mis à avoir une énorme érection. Le tanga ne pouvait pas contenir la totalité de mon clito qui grossissait a vue d’œil. Claude a repéré mon érection et il s'est jeté dessus pour me faire une fellation, la meilleure que l'on ne m'ait jamais faite à ce jour. À force d'insistance et de dextérité buccale j'ai fini par partir dans sa bouche, je ne vous raconte pas le pied que j'ai pris; le pire c'est qu'après cela il a continué à me sucer jusqu'à que je tourne de l’œil. Là il me dit que c'est sa spécialité...
Au bout de quelques minutes, j'ai repris mes esprits et mon chef m'avait rhabillée. Sauf qu'il m'avait fait conserver tous les dessous sous ma tenue civile. Il m'a regardé dans les yeux et il m'a dit « je te préfère vêtue ainsi ma soumise », puis il m'a embrassé sur la bouche. C'est ainsi que je suis reparti travailler cet après-midi-là pour la première fois de ma vie en travesti sous ma tenue de tous les jours. Vers 18h il est venu dans mon bureau, tout le monde était parti il ne restait plus que nous; il m'a plaqué contre le mur, m'a collé la main au pantalon, a sorti mon sexe et fait de même pour le sien.
Il nous a masturbé tous les deux, rapidement il s'est contracté, son sexe s'est raidi plus encore puis il a éjaculé... Il a éjaculé dans mon pantalon, dans mes dessous une quantité de sperme incroyable. Après cet acte un peu dégradant à mon égard il m'a regardé dans les yeux, il m'a dit "maintenant tu es à moi". Et j’étais à lui, je le voulais vraiment et me sentais heureuse de ce qui m’arrivait.
Pendant tout le trajet retour, je sentais son sperme collé à mon corps, je sentais l'odeur de son sperme dans la voiture, je sentais l'odeur de son sperme s'imprégner dans le siège; en même temps le contact des dessous sur ma peau ne me laissais pas indifférent, bien au contraire. Je sentais l'odeur du sperme de Claude et le frottement des vêtements qu’il m'avait offert. Le nouveau statut que j’avais endossé ne me déplaisait pas..
.
Le lendemain j'arrivais au boulot toute propre avec de nouveaux vêtements qui sentait bon le doux parfum masculin, rapidement Claude m'a convoquée dans un local technique au sous-sol. Obéissant à ses consignes je me rendais dans le local ou je le retrouvais à nouveau muni d'un sac, il m'a tendu ce dernier et m'a intimé l'ordre de me parer du tout en m'expliquant qu’il se doutait bien que les dessous d'hier devaient être au lavage. La taille du sac été bien plus grosse qu'au dernier coup et il m'a expliqué que désormais il aimerait bien que je vienne travailler avec des dessous féminins à même le corps. Il m'a aidé à me déshabiller et il a sorti son sexe puis s'est mis à se masturber dans mon dos, rapidement il a éjaculé sur mes fesses, il m'a caressé la raie culière avec sa semence de telle façon à étaler son sperme sur toutes mes fesses et l'orifice de mon petit trou.
Là j'ai réalisé que j'allais sentir son sperme toute la journée, bref que j'étais à lui. Une fois vêtue de ses dessous, il m'a fait agenouillé face à lui pour que je lui nettoie le sexe qu'il venait de vider sur mes fesses. Je me suis exécuté sans protester, c'est là que j'ai réalisé que j'aimais me soumettre à lui. À partir de ce jour je portais des dessous régulièrement au boulot pour ne pas dire tous les jours, il commençait désormais à prendre place dans ma vie privée en s'invitant chez moi régulièrement à l'improviste. C'est ainsi qu'un soir il s'est invité à dormir chez moi je n'ai pas su lui dire non. Et surtout je n’en avais pas envie. J’avais envie de lui tout le temps et je voulais qu’il me prenne comme une femme, Sa Femme.
Du coup, la nuit venue, je me suis retrouvée couchée, habillée en femme et lui collé à moi; c'était la première fois de ma vie que je me retrouvais au lit, chez moi, avec mon homme et en tant que femme. Nous étions allongé tous les deux, lui dans mon dos et je sentais son sexe dur calé dans mes fesses, il était littéralement collé à moi, et me caressait. Maintenant ces caresses était précises et d'une efficacité monstrueuse ; il me faisait soupirer très fort et j'en arrivais même à pousser quelques petits cris quand il me pinçait les tétons. En même temps il me mordait l'oreille, il me léchait le cou et surtout il me disait que j'allais devenir sa femelle et qu'il allait faire de moi sa femme cette nuit...
Tous ces propos m’excitaient vraiment au plus haut point et que je me sentais à lui quand je me trouvais dans ses bras désormais. Ses caresses sur mes hanches, ses caresses sur mes flancs, ses caresses sur mes fesses réveillaient en moi un côté féminin que je ne connaissais pas; mais que je ne contrôlais pas non plus. Cette sensation qu'il me faisait découvrir ne me déplaisait pas du tout, je me laissais aller, je laissais se réveiller en moi un côté féminin. Ce qui devait arriver arriva, son sexe a fini par se frayer un passage vers mon anus; je l'ai senti forcer, insister puis se glisser et arriver en butée. Je n'ai senti aucune douleur et d'après ce qu'il m'a dit c'est le désir qui a dilaté mon rectum ; il m'a dit à l'oreille d'une voix suave "ça y est maintenant tu es mienne". Au moment où il finissait sa phrase je sentais une énorme quantité de liqueur se propager en moi. Mon chef venait de me féconder, j'étais devenue sa femelle.
Douceur et soumission avec Claude (2)
Dans l'épisode précédent je vous racontais comment mon chef avait pris possession de moi en plusieurs mois et avait fait de moi sa femelle tout en douceur.
Donc nous avions passés cette première nuit en commun chez moi et Claude venait de se vider en moi. Il était en moi, tout au fond de moi et je sentais cette moiteur entre nous, celle qui est naissante entre deux corps quand ces derniers sont en train de se dépenser.
Voilà six mois maintenant que Claude m'avait demandé à ce que je ne touche plus à la coupe de mes cheveux, il les voulait plus longs. Là pendant que je m'endormais je le sentais caresser mes cheveux, passer ses mains dedans comme l'aurait fait un homme avec sa belle. Cette sensation de se sentir femme aux yeux d'un homme était troublante mais vraiment adorable.
Le lendemain matin j'avais mis le réveil à 6h30 en prévoyant que nous nous préparions tranquillement, mais Claude en a décidé autrement. Du coup ma première nuit de femme a été assez courte. Par contre mon réveil a été aussi chaud que mon endormissement, j'ai été réveillée par ses mains qui me caressaient toutes mes parties les plus intimes et surtout les plus sensibles ; du coup à 5h30 du matin j'étais réveillée par mon homme qui étais dans un état d’excitation difficile à décrire
.
Rapidement je l'ai senti s'activer dans mon dos, rapidement il s'est mis à me mordiller le cou, à me mordiller les oreilles, à me pincer les tétons et à me masturber, il me traitait désormais de tous les noms mais toujours avec douceur, il ne parlait de moi qu'au féminin. Quand je suis entrée dans cette société jamais il ne me serais venu à l'idée que je me retrouverais ainsi à cet endroit et surtout à me laisser faire comme ça. Curieuse et cochonne que je suis devenue, j'ai passé ma main dans mon dos pour aller tâter la taille du sexe qui était en train de vouloir me pénétrer à nouveau. Il était long, pas trop épais mais surtout dur, pour la première fois de ma vie je me faisais réveiller de façon anale dans les règles de l'art. Comme hier soir je n'ai ressenti aucune douleur lors de cette pénétration mais que du bonheur, il n'y a pas à dire j'avais vraiment des prédispositions à devenir sa femelle. Je l'ai senti aller et venir dans mon fondement puis fermement s'accrocher à mes hanches avant d’à nouveau me féconder. Pour la première fois de ma vie mon réveil sonnait mais c'est une femme qu'il réveillait.
En me levant je me rends directement aux toilettes et là quand je m'assois, je sens quelque chose qui veut sortir et en fait je sens qu'il y a une bonne partie de la semence qui me quitte. Je découvre certaines sensations intimes très féminines. Nous avons mangé accoudés à la table face à face et régulièrement il venait m'embrasser sur la bouche, sensation nouvelle aussi mais pas désagréable tant il était doux. Un petit moment de douceur mais surtout coquin avant de finir de m'habiller il m'a demandé de venir m'asseoir sur sa chaise en face de lui. Son sexe était sorti, dressé et je suis venue m'empaler dessus, il m'a embrassé passionnément et a fini par me dire qu'il ferait de moi une femme heureuse. Avant de quitter mon appartement il m'a offert un flacon de parfum Angel de Thierry Mugler, j'ai eu le droit à quelques gouttes sur moi. Ce parfum était enivrant et vu les circonstances, il était aussi excitant pour moi.
Avant d'arriver au boulot il m'a demandé de le déposer dans une rue commerçante, il m'a dit qu'il arriverait à pied au boulot. Pour la première fois de ma vie j'arrivais homme au boulot mais femme aux yeux d'un collègue, mon chef...
La matinée s'est passée lentement; comme toutes les matinées dans cette boîte, vers midi à l'heure où tout le monde part pour le déjeuner, je me rends aux toilettes en cherchant Claude des yeux. Heureuse, je le trouve à l’entrée des toilettes. Il est midi et nous sommes les seuls à cet étage, là il me prend par la main, m'emmène dans les toilettes, ferme la porte à clé, me fait asseoir et sort son sexe qu'il me donne à sucer; il va de soi que je m’exécute en y mettant tout mon cœur... Durant cette fellation il m'a informé que cela allait devenir régulier, qu’il faudrait que je sois à lui et à son entière disposition, plus question de rencontrer de femmes, ma sexualité devait lui appartenir totalement. Je validais ses injonctions, une étape de plus été franchi dans ma soumission totale à mon chef... Il s'est vidé dans ma bouche et m'a imposé de tout avaler et je n'ai pas rouspétée tellement je prends vraiment goût à avaler sa semence, par contre je vais avoir une haleine au sperme tout l'après-midi.
18h arrivait et c'était l'heure de partir, c'est à ce moment-là que Claude est apparu dans mon bureau et m'a tendu plusieurs sacs. À l'intérieur se trouvaient des robes très longues, très douces et moulantes en lycra, il y avait aussi une boîte avec de magnifiques cuissardes qui montaient à mi-cuisse. Inquiet ou inquiète, comme on veut, je lui demande "je ne vais pas aller bosser comme ça..?". Là il me rassure mais me confie qu'il aimerait que je sois ainsi vêtue sans arrêt à la maison.
Une fois rentrée je me suis empressée d'aller essayer tout ce qui m'avait offert. C'est bête à dire mais je me trouvais de plus en plus belle ainsi vêtue. Pour enfiler les cuissardes il a fallu que j'enfile un collant avant car sinon ma peau accrochait et je n'arrivais pas à aller jusqu'au bout; par contre je ne vous raconte pas la sensation du contact entre le collant et les cuissardes, une érection instantanée. J'avais l'impression que Claude me connaissait quand même très bien tellement il anticipait bien mes gouts.
Le soir, Claude est venu à l'improviste à la maison ; il a beaucoup apprécié que je sois vêtue ainsi qu’il me l’avait demandé; en femme à la maison il m'a trouvé très belle et du coup j'ai eu le droit de passer à la casserole. Il ne m'a pas demandé mon avis et il m'a allongé sur la table du séjour, les fesses bien en évidence, il a soulevé ma robe et grâce à une petite noix de salive sur ma raie, il est entré en moi. Accroché au bas de mes hanches il m'a limé un bon quart d'heure avant de se vider en moi. Il m'a agrippé par les cheveux tout en restant enfoncé en moi et il m'a claqué les fesses et trituré les tétons; décidément j'adorais le traitement qu'il m’infligeait. Vers 21h30 il m'a quitté et vers 22h je me suis endormie avec sa liqueur en moi. Il n'y a pas à dire j'adorerais me sentir ainsi remplie.
J'étais devenue sa femme, sa maîtresse à disposition qu'il pouvait venir saillir quand il le désirait. Le côté féminin qui s'est réveillé en moi a fait s'endormir l'homme qui y était.
Douceur et Soumission avec Claude (3)
Dans les deux premiers épisodes je vous expliquais comment mon supérieur hiérarchique avait fait de moi sa soumise, prête à tout pour lui faire du bien...
En six mois maintenant, j'avais pris l'habitude de me faire belle pour lui, j'avais pris l'habitude de me mettre à genoux devant lui pour lui faire une petite gâterie, j'avais pris l'habitude d’être totalement obéissante, j'avais pris l'habitude de passer de folles nuits avec lui.
Moi, qui voilà six mois, étais encore quand même un coureur de jupons c'est moi qui maintenant me promenais en jupe ou robe, c'est moi qui me faisais saisir par les hanches, c'est moi qui soupirais de plaisir à chaque fois qu'il me pénétrait.
Plus le temps passait et plus je prenais des manières efféminées; mes cheveux commençaient à être relativement longs cela me permettait de me faire des coupes de plus en plus féminines en dehors du boulot.
Au fur et à mesure que le temps passait mon homme me montait une garde-robe de plus en plus fourni, il adorait me voir dans des robes douces et moulantes.
Au bout d'un an mon homme est passé à la vitesse supérieure; un soir alors que j'étais toute belle dans une robe très longue moulante noire, j'étais dans sa chambre dans son bel appartement, on a sonné à la porte il est allé ouvrir en me disant d'attendre dans la chambre. C'est un homme qui venait de rentrer chez lui, ce dernier paraissait invité. Mon chef est revenu me voir dans sa chambre il m'a expliqué que ce soir j'allais avoir le droit à une surprise; grande fut ma surprise quand il m'a collé une cagoule en lycra sur la tête avec une seule ouverture au niveau de la bouche. Il m'a prise par la main et d'une voix douce il m'a dit « Aujourd'hui tu vas passer une nouvelle étape dans ton statut de femelle soumise; ». Il m'a guidé jusqu'au séjour où il m'a fait assoir dans le canapé.
J'étais totalement dans le noir mais j'ai entendu une fermeture éclair se baisser j'en ai conclu qu’un sexe allait se libérer pour rapidement investir ma bouche. Quelle ne fut pas ma surprise quand je sentis que le sexe qui se trouvait face à mes lèvres n'était pas celui de mon homme. Il n'avait pas la même odeur, il n'avait pas la même taille et il n'avait pas le même goût. De plus j'ai entendu mon chéri me parler et il était à l'autre bout de la pièce.
Une fois le sexe bien ancré au fond de ma bouche, j'ai réalisé une fois de plus que j'aimais vraiment ça, que j'aimais vraiment faire une fellation et surtout que j'aimais pomper un dard jusqu'à ce qu'il me crache sa liqueur au fond de la gorge. Je ne trompais pas mon homme ; j’obéissais à ses désirs. Au bout d'un certain temps nous avons changé de position l'invité s'est assis dans le canapé et je me suis retrouvé à genoux entre ses jambes, c'est vrai que c'était ma position préférée. C'est ainsi qu'au bout d'une fellation d'un quart d'heure, il à lâché sa semence au fond de ma gorge, c'était le deuxième homme de ma vie dont je vidais les bourses.
Décidément j'adorerais me retrouver dans de telles position entre les jambes d'un homme, mon homme lui est venu s'asseoir à côté de notre invité et je me suis mis à m'occuper de sa virilité. Maintenant que je pompais mon homme, l'invité est venu se caler derrière moi, a soulevé ma robe et écarté la ficelle de mon tanga pour la caler sur mes fesses ainsi ma petite fente devenait apparente; j'ai senti son sexe, qui avait repris vigueur, se positionner contre mon petit œillet. J'ai senti ses mains s'accrocher à mes hanches et ensuite il s’est glissé tout en douceur jusqu'au fond de mes entrailles ; il avait un sexe de la même longueur que celui de mon homme mais par contre il était un peu plus gros. Du coup bien que je sois correctement dilaté, je le sentais coulisser en moi.
Contrairement à d'habitude je ne pouvais pas soupirer car j'avais la bouche pleine, bref pour la première fois de ma vie j'étais prise en sandwich et cela avait une petite tendance à fortement me plaire, j'aimais vraiment donner du plaisir à deux hommes en même temps. Le mâle qui m'avait embroché était manifestement de corpulence supérieure à celle de mon homme il était plus puissant du coup je me sentais encore plus féminine et offerte.
Puis subitement il s'est mis à me claquer les fesses et de temps à autre à me tirer sur les tétons. La situation que je vivais à l'instant était la plus excitante et la plus intense que je n'ai vécu à ce jour et j'aurais aimé faire ça tout le weekend. Au bout de trois heures de ce traitement, à me faire prendre dans tous les sens, notre invité nous a quitté rassasié et épuisé.
Une fois à nouveau en tête à tête mon homme m'a retiré ma cagoule et m'a expliqué qu'il me l’avait enfilé car en fait l'invité était un collègue de boulot. Maintenant qu'il me le disait c'est vrai que cette voix m'était familière. Mon homme m'a expliqué que ce collègue avait payé trois cent € pour pouvoir pleinement abuser de moi toute la soirée. Par contre lui ne savait pas qui j'étais. Je venais donc d'apprendre que j'étais la prostituée de mon homme désormais.
Cela ne me déplaisait pas du tout et avait même une petite tendance à m'exciter plus encore. C'est ainsi que j'ai appris que mon homme désirais faire de moi une prostituée occasionnelle pour ses collègues de boulot masculins et féminins. À partir de là j'ai essayé de faire attention aux voix de tous mes collègues car mon petit doigt me disait que beaucoup allait abuser de moi sans le savoir...
Quelques semaines plus tard, ce ne fut pas vraiment une surprise, mais à nouveau j'étais toute belle dans sa chambre et la sonnette a de nouveau retentit. Comme la fois précédente mon homme est parti ouvrir puis est revenu me voir et m'a collé la cagoule sur le visage avec juste un orifice pour la bouche, comme la fois précédente mon homme m'a pris par la main pour me guider jusqu'au séjour mais là quelque chose avait changé je me suis retrouvé directement à genoux sans passer par l'étape "assise dans le canapé". La chose qui avait changé c'est que ce coup-ci il y avait un parfum féminin en plus du mien dans la pièce. C'est à quatre pattes que je me suis rendue entre les jambes de notre invitée. Cela sentait très bon le minou, le minou désireux, le minou très attirant au niveau olfactif...
Je peux vous promettre que je n'ai pas été bien longue à aller m'engouffrer entre les cuisses de notre invitée, ma langue gourmande est partie exciter son clito très sensible et j'ai mis tout mon cœur à lui donner du plaisir et réveiller sa source de cyprine dont je me suis abreuvée. Rapidement elle prit son pied puis désira que je la pénètre. Je vous promets que je ne me suis pas fait prier. Elle avait un corps magnifique qui appelait les caresses, qui appelait l'amour, qui appelait la douceur. Tout son corps appelait les désirs de la chair...
Au bout de quelques temps j'ai senti Claude qui commençait à s'occuper de moi, il a commencé par me mordre le cou, me titiller les seins et surtout caresser mon petit cul pour ensuite m'embrocher avec force et douceur a la fois. Ce soir-là j'ai découvert une sensation nouvelles à savoir pénétrer une inconnue pendant que mon homme me pénètre lui de son côté. Quand je m'enfonçais dans cette femme le sexe qui me pénétrait ressortait et quand je ressortais d’elle le sexe qui me pénétrait s'enfonçait et ainsi de suite. Cela a duré au moins deux heures et je suis partie plusieurs fois dans son vagin.
Quand notre invitée nous a quittés mon homme m'a encore expliqué que c'était une collègue de boulot. La boîte dans lequel je travaillais employait à peu près deux cent personnes, j'étais en train d'en devenir la pute pour mon plus grand plaisir.
Voilà comment en 18 mois, moi qui étais un gros baiseur, j'étais devenue la femme de mon homme et la pute de mon Mac. Ces deux personnes n'en étant qu'une dans les deux cas. J'étais vraiment très heureuse de ce que j'étais devenue, j'étais vraiment très heureuse de vivre la sexualité que mon homme m'imposait. Ma soumission et ma féminisation s'était opéré tout en douceur, une totale réussite de la part de mon chef.
Je venais de me faire embaucher dans une société commerciale.
Au bout de quelques semaines, j'ai commencé à constater que mon supérieur était très collant voire harcelant à mon égard. Cela me plaisait même si ça me faisait réfléchir le soir en rentrant. Régulièrement il me frôlait, toujours avec un peu plus d'insistance, toujours un peu plus intensément. Sans laisser paraître mon excitation, je répondais a ses avances par des « Arrêtez s’il vous plait ou je ne suis pas celui que vous croyez ». Mais j’attendais avec impatience le moment où il allait vraiment préciser ses intentions. Il me plaisait et je voulais me laisser faire mais pas en passant pour une folle de sexe.
Enfin, il est passé à la vitesse supérieure en se mettant carrément à me caresser dans l'ascenseur, dans le local archives, dans les locaux techniques, dans les locaux du stock; et ce coquin, à force d'insistance a réussi à me mettre en état d’excitation.
Les semaines passant il se faisait de plus en plus pressant; maintenant il en arrivait à carrément glisser sa main dans mon pantalon. Bien sûr, je me laissais faire, en fait je le sais..., j'y prenais grand plaisir.
Il arrivait toujours derrière moi, se collait dans mon dos et me caressait jusqu'à faire monter dans mon sexe une érection de fou puis les semaines allant, il a même réussi à me faire éjaculer. Je ne disais rien, je prenais de plus en plus de plaisir. Et je sentais que ma toute relative indifférence le mettait dans un état d’excitation qui allait bientôt déboucher par des actes très intéressants pour moi.
C'était devenu notre petit secret, maintenant régulièrement il me mordait le cou pendant sa séance de caresses ; il me traitais de tous les noms comme : cochonne, salope, traînée, soumise, chienne ; tous ces mots m'aurais mis en colère voilà quelques mois mais maintenant j'acceptai tout de lui, il faisait tout ce qu'il voulait de moi. Et ça me plaisait. Je sentais, sans qu’il me l’ait dit encore, qu’il commençait à me considérer comme une femelle. Et bien sûr, j’adorais être une femelle. Je me sentais prête a me soumettre à lui en tant que femme.
Un lundi matin il m'a convoquée dans son bureau et m'a donné un sac, que j'ai ouvert, il était plein de dessous sexy, j'étais étonnée et surprise au moment où il m'a dit "c'est pour toi j'aimerais que tu les essayes ici".
J'étais gênée et en même temps je sentais l'excitation monter en moi. Enfin il me donnait l’occasion de me transformer en vrai femelle. Claude, mon supérieur m'a dit que c'était l'heure du déjeuner et qu'il n'y avait personne dans le bâtiment je ne risquais rien... Il est venu me caresser pour me convaincre de passer à l'acte et il a été très convaincant... C'est ainsi que je me suis déshabillée devant lui et que j'ai enfilé les bas, le porte-jarretelles et le tanga. Il y avait aussi un petit caraco en lycra hyper moulant qui mettait mon corps en valeur.
Ainsi vêtue je me suis mis à avoir une énorme érection. Le tanga ne pouvait pas contenir la totalité de mon clito qui grossissait a vue d’œil. Claude a repéré mon érection et il s'est jeté dessus pour me faire une fellation, la meilleure que l'on ne m'ait jamais faite à ce jour. À force d'insistance et de dextérité buccale j'ai fini par partir dans sa bouche, je ne vous raconte pas le pied que j'ai pris; le pire c'est qu'après cela il a continué à me sucer jusqu'à que je tourne de l’œil. Là il me dit que c'est sa spécialité...
Au bout de quelques minutes, j'ai repris mes esprits et mon chef m'avait rhabillée. Sauf qu'il m'avait fait conserver tous les dessous sous ma tenue civile. Il m'a regardé dans les yeux et il m'a dit « je te préfère vêtue ainsi ma soumise », puis il m'a embrassé sur la bouche. C'est ainsi que je suis reparti travailler cet après-midi-là pour la première fois de ma vie en travesti sous ma tenue de tous les jours. Vers 18h il est venu dans mon bureau, tout le monde était parti il ne restait plus que nous; il m'a plaqué contre le mur, m'a collé la main au pantalon, a sorti mon sexe et fait de même pour le sien.
Il nous a masturbé tous les deux, rapidement il s'est contracté, son sexe s'est raidi plus encore puis il a éjaculé... Il a éjaculé dans mon pantalon, dans mes dessous une quantité de sperme incroyable. Après cet acte un peu dégradant à mon égard il m'a regardé dans les yeux, il m'a dit "maintenant tu es à moi". Et j’étais à lui, je le voulais vraiment et me sentais heureuse de ce qui m’arrivait.
Pendant tout le trajet retour, je sentais son sperme collé à mon corps, je sentais l'odeur de son sperme dans la voiture, je sentais l'odeur de son sperme s'imprégner dans le siège; en même temps le contact des dessous sur ma peau ne me laissais pas indifférent, bien au contraire. Je sentais l'odeur du sperme de Claude et le frottement des vêtements qu’il m'avait offert. Le nouveau statut que j’avais endossé ne me déplaisait pas..
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Le lendemain j'arrivais au boulot toute propre avec de nouveaux vêtements qui sentait bon le doux parfum masculin, rapidement Claude m'a convoquée dans un local technique au sous-sol. Obéissant à ses consignes je me rendais dans le local ou je le retrouvais à nouveau muni d'un sac, il m'a tendu ce dernier et m'a intimé l'ordre de me parer du tout en m'expliquant qu’il se doutait bien que les dessous d'hier devaient être au lavage. La taille du sac été bien plus grosse qu'au dernier coup et il m'a expliqué que désormais il aimerait bien que je vienne travailler avec des dessous féminins à même le corps. Il m'a aidé à me déshabiller et il a sorti son sexe puis s'est mis à se masturber dans mon dos, rapidement il a éjaculé sur mes fesses, il m'a caressé la raie culière avec sa semence de telle façon à étaler son sperme sur toutes mes fesses et l'orifice de mon petit trou.
Là j'ai réalisé que j'allais sentir son sperme toute la journée, bref que j'étais à lui. Une fois vêtue de ses dessous, il m'a fait agenouillé face à lui pour que je lui nettoie le sexe qu'il venait de vider sur mes fesses. Je me suis exécuté sans protester, c'est là que j'ai réalisé que j'aimais me soumettre à lui. À partir de ce jour je portais des dessous régulièrement au boulot pour ne pas dire tous les jours, il commençait désormais à prendre place dans ma vie privée en s'invitant chez moi régulièrement à l'improviste. C'est ainsi qu'un soir il s'est invité à dormir chez moi je n'ai pas su lui dire non. Et surtout je n’en avais pas envie. J’avais envie de lui tout le temps et je voulais qu’il me prenne comme une femme, Sa Femme.
Du coup, la nuit venue, je me suis retrouvée couchée, habillée en femme et lui collé à moi; c'était la première fois de ma vie que je me retrouvais au lit, chez moi, avec mon homme et en tant que femme. Nous étions allongé tous les deux, lui dans mon dos et je sentais son sexe dur calé dans mes fesses, il était littéralement collé à moi, et me caressait. Maintenant ces caresses était précises et d'une efficacité monstrueuse ; il me faisait soupirer très fort et j'en arrivais même à pousser quelques petits cris quand il me pinçait les tétons. En même temps il me mordait l'oreille, il me léchait le cou et surtout il me disait que j'allais devenir sa femelle et qu'il allait faire de moi sa femme cette nuit...
Tous ces propos m’excitaient vraiment au plus haut point et que je me sentais à lui quand je me trouvais dans ses bras désormais. Ses caresses sur mes hanches, ses caresses sur mes flancs, ses caresses sur mes fesses réveillaient en moi un côté féminin que je ne connaissais pas; mais que je ne contrôlais pas non plus. Cette sensation qu'il me faisait découvrir ne me déplaisait pas du tout, je me laissais aller, je laissais se réveiller en moi un côté féminin. Ce qui devait arriver arriva, son sexe a fini par se frayer un passage vers mon anus; je l'ai senti forcer, insister puis se glisser et arriver en butée. Je n'ai senti aucune douleur et d'après ce qu'il m'a dit c'est le désir qui a dilaté mon rectum ; il m'a dit à l'oreille d'une voix suave "ça y est maintenant tu es mienne". Au moment où il finissait sa phrase je sentais une énorme quantité de liqueur se propager en moi. Mon chef venait de me féconder, j'étais devenue sa femelle.
Douceur et soumission avec Claude (2)
Dans l'épisode précédent je vous racontais comment mon chef avait pris possession de moi en plusieurs mois et avait fait de moi sa femelle tout en douceur.
Donc nous avions passés cette première nuit en commun chez moi et Claude venait de se vider en moi. Il était en moi, tout au fond de moi et je sentais cette moiteur entre nous, celle qui est naissante entre deux corps quand ces derniers sont en train de se dépenser.
Voilà six mois maintenant que Claude m'avait demandé à ce que je ne touche plus à la coupe de mes cheveux, il les voulait plus longs. Là pendant que je m'endormais je le sentais caresser mes cheveux, passer ses mains dedans comme l'aurait fait un homme avec sa belle. Cette sensation de se sentir femme aux yeux d'un homme était troublante mais vraiment adorable.
Le lendemain matin j'avais mis le réveil à 6h30 en prévoyant que nous nous préparions tranquillement, mais Claude en a décidé autrement. Du coup ma première nuit de femme a été assez courte. Par contre mon réveil a été aussi chaud que mon endormissement, j'ai été réveillée par ses mains qui me caressaient toutes mes parties les plus intimes et surtout les plus sensibles ; du coup à 5h30 du matin j'étais réveillée par mon homme qui étais dans un état d’excitation difficile à décrire
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Rapidement je l'ai senti s'activer dans mon dos, rapidement il s'est mis à me mordiller le cou, à me mordiller les oreilles, à me pincer les tétons et à me masturber, il me traitait désormais de tous les noms mais toujours avec douceur, il ne parlait de moi qu'au féminin. Quand je suis entrée dans cette société jamais il ne me serais venu à l'idée que je me retrouverais ainsi à cet endroit et surtout à me laisser faire comme ça. Curieuse et cochonne que je suis devenue, j'ai passé ma main dans mon dos pour aller tâter la taille du sexe qui était en train de vouloir me pénétrer à nouveau. Il était long, pas trop épais mais surtout dur, pour la première fois de ma vie je me faisais réveiller de façon anale dans les règles de l'art. Comme hier soir je n'ai ressenti aucune douleur lors de cette pénétration mais que du bonheur, il n'y a pas à dire j'avais vraiment des prédispositions à devenir sa femelle. Je l'ai senti aller et venir dans mon fondement puis fermement s'accrocher à mes hanches avant d’à nouveau me féconder. Pour la première fois de ma vie mon réveil sonnait mais c'est une femme qu'il réveillait.
En me levant je me rends directement aux toilettes et là quand je m'assois, je sens quelque chose qui veut sortir et en fait je sens qu'il y a une bonne partie de la semence qui me quitte. Je découvre certaines sensations intimes très féminines. Nous avons mangé accoudés à la table face à face et régulièrement il venait m'embrasser sur la bouche, sensation nouvelle aussi mais pas désagréable tant il était doux. Un petit moment de douceur mais surtout coquin avant de finir de m'habiller il m'a demandé de venir m'asseoir sur sa chaise en face de lui. Son sexe était sorti, dressé et je suis venue m'empaler dessus, il m'a embrassé passionnément et a fini par me dire qu'il ferait de moi une femme heureuse. Avant de quitter mon appartement il m'a offert un flacon de parfum Angel de Thierry Mugler, j'ai eu le droit à quelques gouttes sur moi. Ce parfum était enivrant et vu les circonstances, il était aussi excitant pour moi.
Avant d'arriver au boulot il m'a demandé de le déposer dans une rue commerçante, il m'a dit qu'il arriverait à pied au boulot. Pour la première fois de ma vie j'arrivais homme au boulot mais femme aux yeux d'un collègue, mon chef...
La matinée s'est passée lentement; comme toutes les matinées dans cette boîte, vers midi à l'heure où tout le monde part pour le déjeuner, je me rends aux toilettes en cherchant Claude des yeux. Heureuse, je le trouve à l’entrée des toilettes. Il est midi et nous sommes les seuls à cet étage, là il me prend par la main, m'emmène dans les toilettes, ferme la porte à clé, me fait asseoir et sort son sexe qu'il me donne à sucer; il va de soi que je m’exécute en y mettant tout mon cœur... Durant cette fellation il m'a informé que cela allait devenir régulier, qu’il faudrait que je sois à lui et à son entière disposition, plus question de rencontrer de femmes, ma sexualité devait lui appartenir totalement. Je validais ses injonctions, une étape de plus été franchi dans ma soumission totale à mon chef... Il s'est vidé dans ma bouche et m'a imposé de tout avaler et je n'ai pas rouspétée tellement je prends vraiment goût à avaler sa semence, par contre je vais avoir une haleine au sperme tout l'après-midi.
18h arrivait et c'était l'heure de partir, c'est à ce moment-là que Claude est apparu dans mon bureau et m'a tendu plusieurs sacs. À l'intérieur se trouvaient des robes très longues, très douces et moulantes en lycra, il y avait aussi une boîte avec de magnifiques cuissardes qui montaient à mi-cuisse. Inquiet ou inquiète, comme on veut, je lui demande "je ne vais pas aller bosser comme ça..?". Là il me rassure mais me confie qu'il aimerait que je sois ainsi vêtue sans arrêt à la maison.
Une fois rentrée je me suis empressée d'aller essayer tout ce qui m'avait offert. C'est bête à dire mais je me trouvais de plus en plus belle ainsi vêtue. Pour enfiler les cuissardes il a fallu que j'enfile un collant avant car sinon ma peau accrochait et je n'arrivais pas à aller jusqu'au bout; par contre je ne vous raconte pas la sensation du contact entre le collant et les cuissardes, une érection instantanée. J'avais l'impression que Claude me connaissait quand même très bien tellement il anticipait bien mes gouts.
Le soir, Claude est venu à l'improviste à la maison ; il a beaucoup apprécié que je sois vêtue ainsi qu’il me l’avait demandé; en femme à la maison il m'a trouvé très belle et du coup j'ai eu le droit de passer à la casserole. Il ne m'a pas demandé mon avis et il m'a allongé sur la table du séjour, les fesses bien en évidence, il a soulevé ma robe et grâce à une petite noix de salive sur ma raie, il est entré en moi. Accroché au bas de mes hanches il m'a limé un bon quart d'heure avant de se vider en moi. Il m'a agrippé par les cheveux tout en restant enfoncé en moi et il m'a claqué les fesses et trituré les tétons; décidément j'adorais le traitement qu'il m’infligeait. Vers 21h30 il m'a quitté et vers 22h je me suis endormie avec sa liqueur en moi. Il n'y a pas à dire j'adorerais me sentir ainsi remplie.
J'étais devenue sa femme, sa maîtresse à disposition qu'il pouvait venir saillir quand il le désirait. Le côté féminin qui s'est réveillé en moi a fait s'endormir l'homme qui y était.
Douceur et Soumission avec Claude (3)
Dans les deux premiers épisodes je vous expliquais comment mon supérieur hiérarchique avait fait de moi sa soumise, prête à tout pour lui faire du bien...
En six mois maintenant, j'avais pris l'habitude de me faire belle pour lui, j'avais pris l'habitude de me mettre à genoux devant lui pour lui faire une petite gâterie, j'avais pris l'habitude d’être totalement obéissante, j'avais pris l'habitude de passer de folles nuits avec lui.
Moi, qui voilà six mois, étais encore quand même un coureur de jupons c'est moi qui maintenant me promenais en jupe ou robe, c'est moi qui me faisais saisir par les hanches, c'est moi qui soupirais de plaisir à chaque fois qu'il me pénétrait.
Plus le temps passait et plus je prenais des manières efféminées; mes cheveux commençaient à être relativement longs cela me permettait de me faire des coupes de plus en plus féminines en dehors du boulot.
Au fur et à mesure que le temps passait mon homme me montait une garde-robe de plus en plus fourni, il adorait me voir dans des robes douces et moulantes.
Au bout d'un an mon homme est passé à la vitesse supérieure; un soir alors que j'étais toute belle dans une robe très longue moulante noire, j'étais dans sa chambre dans son bel appartement, on a sonné à la porte il est allé ouvrir en me disant d'attendre dans la chambre. C'est un homme qui venait de rentrer chez lui, ce dernier paraissait invité. Mon chef est revenu me voir dans sa chambre il m'a expliqué que ce soir j'allais avoir le droit à une surprise; grande fut ma surprise quand il m'a collé une cagoule en lycra sur la tête avec une seule ouverture au niveau de la bouche. Il m'a prise par la main et d'une voix douce il m'a dit « Aujourd'hui tu vas passer une nouvelle étape dans ton statut de femelle soumise; ». Il m'a guidé jusqu'au séjour où il m'a fait assoir dans le canapé.
J'étais totalement dans le noir mais j'ai entendu une fermeture éclair se baisser j'en ai conclu qu’un sexe allait se libérer pour rapidement investir ma bouche. Quelle ne fut pas ma surprise quand je sentis que le sexe qui se trouvait face à mes lèvres n'était pas celui de mon homme. Il n'avait pas la même odeur, il n'avait pas la même taille et il n'avait pas le même goût. De plus j'ai entendu mon chéri me parler et il était à l'autre bout de la pièce.
Une fois le sexe bien ancré au fond de ma bouche, j'ai réalisé une fois de plus que j'aimais vraiment ça, que j'aimais vraiment faire une fellation et surtout que j'aimais pomper un dard jusqu'à ce qu'il me crache sa liqueur au fond de la gorge. Je ne trompais pas mon homme ; j’obéissais à ses désirs. Au bout d'un certain temps nous avons changé de position l'invité s'est assis dans le canapé et je me suis retrouvé à genoux entre ses jambes, c'est vrai que c'était ma position préférée. C'est ainsi qu'au bout d'une fellation d'un quart d'heure, il à lâché sa semence au fond de ma gorge, c'était le deuxième homme de ma vie dont je vidais les bourses.
Décidément j'adorerais me retrouver dans de telles position entre les jambes d'un homme, mon homme lui est venu s'asseoir à côté de notre invité et je me suis mis à m'occuper de sa virilité. Maintenant que je pompais mon homme, l'invité est venu se caler derrière moi, a soulevé ma robe et écarté la ficelle de mon tanga pour la caler sur mes fesses ainsi ma petite fente devenait apparente; j'ai senti son sexe, qui avait repris vigueur, se positionner contre mon petit œillet. J'ai senti ses mains s'accrocher à mes hanches et ensuite il s’est glissé tout en douceur jusqu'au fond de mes entrailles ; il avait un sexe de la même longueur que celui de mon homme mais par contre il était un peu plus gros. Du coup bien que je sois correctement dilaté, je le sentais coulisser en moi.
Contrairement à d'habitude je ne pouvais pas soupirer car j'avais la bouche pleine, bref pour la première fois de ma vie j'étais prise en sandwich et cela avait une petite tendance à fortement me plaire, j'aimais vraiment donner du plaisir à deux hommes en même temps. Le mâle qui m'avait embroché était manifestement de corpulence supérieure à celle de mon homme il était plus puissant du coup je me sentais encore plus féminine et offerte.
Puis subitement il s'est mis à me claquer les fesses et de temps à autre à me tirer sur les tétons. La situation que je vivais à l'instant était la plus excitante et la plus intense que je n'ai vécu à ce jour et j'aurais aimé faire ça tout le weekend. Au bout de trois heures de ce traitement, à me faire prendre dans tous les sens, notre invité nous a quitté rassasié et épuisé.
Une fois à nouveau en tête à tête mon homme m'a retiré ma cagoule et m'a expliqué qu'il me l’avait enfilé car en fait l'invité était un collègue de boulot. Maintenant qu'il me le disait c'est vrai que cette voix m'était familière. Mon homme m'a expliqué que ce collègue avait payé trois cent € pour pouvoir pleinement abuser de moi toute la soirée. Par contre lui ne savait pas qui j'étais. Je venais donc d'apprendre que j'étais la prostituée de mon homme désormais.
Cela ne me déplaisait pas du tout et avait même une petite tendance à m'exciter plus encore. C'est ainsi que j'ai appris que mon homme désirais faire de moi une prostituée occasionnelle pour ses collègues de boulot masculins et féminins. À partir de là j'ai essayé de faire attention aux voix de tous mes collègues car mon petit doigt me disait que beaucoup allait abuser de moi sans le savoir...
Quelques semaines plus tard, ce ne fut pas vraiment une surprise, mais à nouveau j'étais toute belle dans sa chambre et la sonnette a de nouveau retentit. Comme la fois précédente mon homme est parti ouvrir puis est revenu me voir et m'a collé la cagoule sur le visage avec juste un orifice pour la bouche, comme la fois précédente mon homme m'a pris par la main pour me guider jusqu'au séjour mais là quelque chose avait changé je me suis retrouvé directement à genoux sans passer par l'étape "assise dans le canapé". La chose qui avait changé c'est que ce coup-ci il y avait un parfum féminin en plus du mien dans la pièce. C'est à quatre pattes que je me suis rendue entre les jambes de notre invitée. Cela sentait très bon le minou, le minou désireux, le minou très attirant au niveau olfactif...
Je peux vous promettre que je n'ai pas été bien longue à aller m'engouffrer entre les cuisses de notre invitée, ma langue gourmande est partie exciter son clito très sensible et j'ai mis tout mon cœur à lui donner du plaisir et réveiller sa source de cyprine dont je me suis abreuvée. Rapidement elle prit son pied puis désira que je la pénètre. Je vous promets que je ne me suis pas fait prier. Elle avait un corps magnifique qui appelait les caresses, qui appelait l'amour, qui appelait la douceur. Tout son corps appelait les désirs de la chair...
Au bout de quelques temps j'ai senti Claude qui commençait à s'occuper de moi, il a commencé par me mordre le cou, me titiller les seins et surtout caresser mon petit cul pour ensuite m'embrocher avec force et douceur a la fois. Ce soir-là j'ai découvert une sensation nouvelles à savoir pénétrer une inconnue pendant que mon homme me pénètre lui de son côté. Quand je m'enfonçais dans cette femme le sexe qui me pénétrait ressortait et quand je ressortais d’elle le sexe qui me pénétrait s'enfonçait et ainsi de suite. Cela a duré au moins deux heures et je suis partie plusieurs fois dans son vagin.
Quand notre invitée nous a quittés mon homme m'a encore expliqué que c'était une collègue de boulot. La boîte dans lequel je travaillais employait à peu près deux cent personnes, j'étais en train d'en devenir la pute pour mon plus grand plaisir.
Voilà comment en 18 mois, moi qui étais un gros baiseur, j'étais devenue la femme de mon homme et la pute de mon Mac. Ces deux personnes n'en étant qu'une dans les deux cas. J'étais vraiment très heureuse de ce que j'étais devenue, j'étais vraiment très heureuse de vivre la sexualité que mon homme m'imposait. Ma soumission et ma féminisation s'était opéré tout en douceur, une totale réussite de la part de mon chef.
3 years ago