L'Histoire De Rosie (8)

Michel me vend a Norbert (1)

Quelque temps aprĂšs, Michel nous annonça Ă  Natacha et moi qu’il avait trouvĂ© un autre job de directeur dans une boite qui commercialisait des jacuzzis. Toutes les deux nous Ă©tions affolĂ©es Ă  l’idĂ©e qu’il allait nous abandonner mais il nous rassura trĂšs vite. Nous allions l’accompagner dans son nouveau boulot.

Il avait exigĂ© d’avoir ses deux « collaboratrices » avec lui et nous dit que ça allait ĂȘtre mieux car il avait plus de pouvoir dans sa nouvelle boite. Nous avons donc commencĂ© une nouvelle vie dans laquelle notre boulot Ă©tait le mĂȘme qu’avant. A savoir : Etre toujours les deux salopes Ă  disposition de Michel et accessoirement de ses amis et connaissances. Nous Ă©tions donc heureuses.
Au bout de quelques temps, Michel me dit que je devais m’occuper avec lui de l’installation de quelques jacuzzis. Ce n’était pas dans ses habitudes mais comme câ€˜Ă©tait mon patron aprĂšs tout il fallait bien que je m’exĂ©cute. Il commença donc Ă  m’envoyer dans des missions que je menais a bien avec cĂ©lĂ©ritĂ©.

Un jour, Michel m’a envoyĂ© seule une semaine pour installer un jacuzzi dans un club de gym gay qui venait d'ouvrir ou plutĂŽt qui allait ouvrir. Lors de l'installation je me faisais draguer sans arrĂȘt par les gays du club de gym. Je ne pouvais pas faire dix mĂštres dans le club sans me prendre une main au cul ou me faire caresser je ne sais oĂč le pire c'est que le patron Ă©tait le plus insistant. J’étais flattĂ©e de plaire Ă  ces garçons et j’avais trĂšs envie de cĂ©der a leurs avances mais je les laissais Ă  distance pour le moment car Michel ne m’avais pas donnĂ© ordre de me laisser faire. Ce n'est que quelques jours aprĂšs que Michel m'a convoquĂ© pour me coller une soufflante en expliquant que le client Ă©tait roi qu'il avait dĂ» se battre pour que ce directeur ne change pas de fournisseur. Il fallait que je me laisse faire et que j’obĂ©isse Ă  ce qu’on me demandait. Enfin j’allais pouvoir me laisser aller. Ça n’a pas trainĂ© le jour mĂȘme le patron du club m’appela dans son bureau.

LĂ  pour la premiĂšre fois j'ai dĂ©couvert son arriĂšre bureau. En fait un petit studio. Jusqu'Ă  maintenant je pensais que ce petit studio Ă©tait destinĂ© Ă  servir de garçonniĂšre. Tous les employĂ©s pensaient que cette piĂšce lui servait pour s'occuper de sa secrĂ©taire, pour s'occuper de sa conseillĂšre en banque et pour toutes les demoiselles qu'il pouvait croiser. Sur le coup je n'ai pas du tout pensĂ© Ă  ça sur le coup je me suis dit que j'allais encore me faire engueuler. À mon grand Ă©tonnement il a Ă©tĂ© adorable avec moi je dirais mĂȘme mieux il a carrĂ©ment Ă©tait affectueux et dĂ©licat. Il m'a fait asseoir dans le canapĂ© et s'est assis dans un beau fauteuil devant le canapĂ©. C'est Ă  partir de lĂ  qu'il a commencĂ© Ă  me faire des allusions indĂ©centes, des allusions sexuelles et des allusions sur le fait que j’étais une soumise.

Il m'a expliquĂ© que Michel l’avait autorisĂ© Ă  se servir de moi. J’étais déçue que Michel ne m’ait pas expliquĂ© tout de suite l’intĂ©gralitĂ© de ma mission mais aprĂšs tout c’était mon maitre et il faisait ce qu’il voulait de moi. Et je me sentais prĂȘte Ă  me donner Ă  cet homme qui me plaisait beaucoup en fait. Donc je pris ma posture la plus chienne et pute possible et je lui laissais voir que j’étais prĂȘte Ă  obĂ©ir Ă  tous ses dĂ©sirs.

Alors il s'est levĂ© pour se diriger vers la cuisine et est revenu dans mon dos puis sur mon cĂŽtĂ© droit. LĂ  je n'ai rien vu venir quand il me dit, « Montre comme tu es obĂ©issante maintenant tu vas me pomper ». J'ai ouvert grand la bouche alors il a approchĂ© son sexe et, en mĂȘme temps m'a collĂ© une grande claque dans la figure en me disant que dans cette piĂšce c'est lui qui commandais. J’étais soufflĂ©e. Il m’expliqua alors que c’était son plaisir de rudoyer un peu ses partenaires. Je n’étais contre car Michel me fouettais a l’occasion et, bien sĂ»r, j’aimais ça. Je tendis donc mes joues Ă  ses dĂ©sirs. J’ouvrais la bouche pour engloutir son sexe et il me l’enfonça jusqu’à la glotte en me tenant la tĂȘte. Une gorge profonde, ma spĂ©cialitĂ©, j’entendis son gĂ©missement de plaisir.

Et lĂ  c’était parti, je pris une gifle encore plus forte et il a sorti un collier en cuir pour le mettre autour de mon cou. LĂ  il m'a dit qu'il allait faire de moi une soumise qui obĂ©irait Ă  tous ses dĂ©sirs. Pendant qu'il me parlait il a imprĂ©gnĂ© un chiffon d'un liquide que je connaissais bien. Il me l’a collĂ© sur le visage et j’ai respirĂ©e Ă  fond. La tĂȘte m’a tournĂ©e et j’ai sentis mon cƓur battre la chamade. Le Popper, l’ami de toute salope qui veulent que leur chatte s’ouvre bien pour la pĂ©nĂ©tration.

LĂ  j’étais prĂȘte Ă  faire tout ce qu'il dĂ©sirait. J'ai repris son sexe dans la bouche et je me suis mise Ă  le pomper comme une folle. J'adorais frotter ma langue contre son gland, j'adorais ce goĂ»t sauvage et intime. Il me tenait la tĂȘte et me baisait la bouche et c'est comme ça qu'Ă  un moment il s'est contractĂ© et j'ai senti sa liqueur se vider dans ma gorge. Il m'a tenu la tĂȘte pour que j'avale sa liqueur jusqu'Ă  la derniĂšre goutte.

Ce n’est qu'aprĂšs il m'a fait dĂ©shabiller et il m'a tendu un tanga avec une douce robe longue. VoilĂ  comment en moins d'une heure, je me suis retrouvĂ©e Ă  la merci de mon nouveau patron en douce robe avec un tanga en dessous et en plus totalement soumise. VoilĂ  comment cet aprĂšs-midi-lĂ  j'ai appris Ă  obĂ©ir Ă  un autre patron que Michel et Ă  me soumettre Ă  lui. Ce vendredi aprĂšs-midi j'ai appris aussi que Michel avait prĂ©vu le coup de longue date et qu’il m’avait vendue ou plutĂŽt louĂ©e Ă  son client. Je devais me mettre Ă  sa totale disposition tant qu’il le voudrait et en plus je devais faire comme si je dĂ©butais dans la soumission. Apres tout, ce que j’avais vĂ©cue avant m’avais tellement plu que le fait, disons, de recommencer Ă  zĂ©ro m’excitait formidablement. D’un coup j’oubliais tout ce que j’avais vĂ©cue avant et je me retrouvais dans la peau d’une dĂ©butante. Ma vie allait de nouveau changer.

Ce vendredi aprÚs-midi là j'ai appris à sucer mon patron, j'ai appris à bien porter une robe, j'ai appris à me déplacer de façon plus féminine, j'ai appris à marcher avec des escarpins. Ce vendredi aprÚs-midi a changé ma vie, mon patron m'a expliqué que désormais quand j'irai dans ce club je me laisserai caresser, je commençais à aimer lui obéir.

Ainsi vĂȘtue il parlait de moi au fĂ©minin, cela avait quand mĂȘme une petite tendance Ă  m'exciter, ce vendredi aprĂšs-midi j'ai eu le droit de le sucer Ă  plusieurs reprises, il est parti dans ma bouche je me suis fait doigter mon petit cul oĂč il a rĂ©ussi Ă  rentrer 4 doigts; grĂące Ă  ce qu'il m'avait fait respirer je n'ai pas protestĂ© une seule fois je me suis laissĂ©e faire comme une petite soumise qu'il avait fait de moi.
Vers 20h quand il m'a libĂ©rĂ© il m'a fait partir en m'obligeant Ă  porter le tanga, une robe moulante sculptant mon corps ainsi qu'un collant opaque. Le tout sous mes vĂȘtements. Dans la rue j'Ă©tais trĂšs gĂȘnĂ©e car j'avais l'impression que tout le monde voyait comment j'Ă©tais habillĂ©e et en mĂȘme temps le contact de ces vĂȘtements m'excitait Ă©normĂ©ment. Quand nous nous sommes quittĂ©s il m'a donnĂ© rendez-vous le lendemain pour parfaire mon Ă©ducation et ce n'Ă©tait qu'un dĂ©but car il m'a garanti que j'allais ĂȘtre Ă©tonnĂ©e de voir ce qu'il allait faire de moi. Vu qu'il avait pris des photos de moi je n'avais pas le choix j'Ă©tais obligĂ©e de revenir .Il me tenait et ça me plaisais
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Norbert me possĂšde (2)


Me voilĂ  donc sur le chemin le samedi pour retourner au boulot, c’est un jour oĂč je ne travaille pas, normalement. J’ai suivi les consignes de Norbert (mon nouveau patron) et, sous mes vĂȘtements, je me suis parĂ©e de son tanga et de sa robe moulante. ArrivĂ©e au boulot Norbert m’accueille avec « un bonjour ma belle », une fois rentrĂ©e dans son bureau j’ai eu le droit Ă  une douce bise et une main bien indiscrĂšte mais qui a instantanĂ©ment fait grossir mon clito. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il prit possession de moi et me mis un large de collier en cuir rouge autour du cou, il fit attention Ă  bien le serrer mais pas trop. Il me prit par la main et m’emmena dans sa « garçonniĂšre ».

ArrivĂ© dans cette salle il me dĂ©barrassa de mon pantalon de ma veste et mon pull sans que je n’aie rien Ă  faire, il m’a tendu une paire d’escarpins qu’il m’a fait chausser et je l’ai vu partir dans la salle de bain puis revenir avec une brosse Ă  cheveux. À l’époque j’avais les cheveux assez longs et il me les a coiffĂ© de façon Ă  ce que j’ai l’air un peu plus fĂ©minin. Une fois bien coiffĂ© il s’est approchĂ© de moi a sorti son sexe de son pantalon et me l'a tendu pour que je le prenne en bouche.

Pour la forme j’ai protestĂ© mais une grande claque m’a remis les idĂ©es en place et je me suis mis Ă  lui faire une petite pipe. Il me tenait la tĂȘte et me traitait de tous les noms, de salope, de traĂźnĂ©e, de chienne soumise, de vide couilles
 la bouche pleine et les minutes passant, j’ai fini par y prendre goĂ»t. J’étais assise sur le siĂšge en cuir, je m’accrochais Ă  ses cuisses et ma bouche Ă©tait pleine de ce sexe dĂ©sireux de moi. J’ai senti son engin se contracter et il a fini par se vider dans ma bouche et il m’a tenu la tĂȘte pour que j’avale tout. LĂ  il m’a dit que ma formation Ă©tait en cours et que si tout se passais bien j’allais devenir sa soumise, sa femelle et que je n’aurais rien Ă  regretter.

Il me dit d’aller m’allonger sur son lit oĂč des draps en satin m’attendaient pendant ce temps, il prit mes chaussures, mon pantalon, ma veste et mon pull et quitta la piĂšce. Quand il est revenu il m’a expliquĂ© qu’il Ă©tait parti mettre mes affaires dans sa voiture et sa voiture Ă©tait garĂ©e loin du boulot, ainsi si je voulais partir je n’avais pas le choix il fallait que je parte travestie par ses soins
 il m’a expliquĂ© que j’allais ĂȘtre sa femelle en formation tout le weekend jusqu’au lundi matin. Il s’est dĂ©shabillĂ©, il Ă©tait grand, fort et beau. Puis il est venu s’allonger Ă  cĂŽtĂ© de moi sur le lit ; il est venu m’embrasser le cou et l'oreille en me disant que j'allais apprendre Ă  devenir sa soumise, sa chienne et sa femelle. Il allait me rendre obĂ©issante et offerte.

Il m’a pris la tĂȘte et m’a donnĂ© son sexe Ă  pomper de nouveau, chose que je fis sans broncher ce coup-ci. Pendant que je le suçais il s’est mis Ă  me caresser le corps avec beaucoup de douceur avant de s’attarder plus longuement sur mon sexe et surtout mes fesses. Je me suis Ă©tonnĂ© Ă  constater combien mes fesses Ă©taient sensibles Ă  ses caresses; il s’en est rendu compte et du coup il a Ă©tĂ© bien plus insistant sur la raie de mes fesses et moi je me tortillais de plus en plus. Puis ce qui devait arriver arriva, il a glissĂ© un doigt dans ma chatte anale. Je me sentais mieux mais j’en voulais encore, il l’a senti puis en a glissĂ© un deuxiĂšme puis un troisiĂšme. Il y allait de bon cƓur avec ses trois doigts dans mon petit trou et je sentais ce dernier se dilater Ă  grande vitesse. Pendant qu’il me doigtait, il me disait qu’il allait faire une grosse cochonne de moi et je ne demandais que ça. Il m’a expliquĂ© que dans peu de temps, j'allais ĂȘtre fĂ©condĂ©e par le sexe que j'avais dans ma bouche.

Il m’a expliquĂ© qu’à partir de ce moment-lĂ  il aurait fait de moi une femme et que je ne pourrai plus rien lui refuser. Il m’a dit qu’au rythme oĂč j’allais je prendrai rapidement goĂ»t Ă  sa liqueur, que ce soit par voie orale ou anale. Il me dit qu’au dĂ©but il allait me maquiller mais qu’ensuite il faudrait que j’apprenne Ă  le faire toute seule. Il faudrait que je me vernisse les ongles des mains et des pieds. Il allait aussi me faire prendre des mĂ©dicaments pour que je me dĂ©barrasse de mes poils et que par la mĂȘme occasion une poitrine allait naĂźtre. J’étais en train de me dire que ce qu’il allait me faire faire allait ĂȘtre sans retour possible.

Pendant que je le suçais je me posais plein de questions, Qu’allais-je devenir entre ses mains
 A force de penser j’ai fini par ralentir un peu la fellation que je lui faisais. Il me l’a fait savoir et je me suis Ă  nouveau remise Ă  la tĂąche. LĂ  je l’ai senti retirer ses doigts, qui Ă©taient toujours en moi, et je l’ai senti introduire autre chose dans ma chatte mais bien plus profondĂ©ment. Le sentiment de douleur a rapidement Ă©tĂ© remplacĂ© par une sensation de plaisir intense, il le savait bien et en a profitĂ© pour jouer avec puis le faire aller et venir. C’est ainsi que j’ai appris Ă  prendre du plaisir avec un godemichet
.
Ce matin quand je suis arrivée au boulot je ne me doutais à quel point Norbert allait faire de moi sa femelle.

Je deviens La femelle de Norbert (3)

Norbert m'avait faite toute belle et il Ă©tait en train de goder mon petit trou. Quand j'ai senti le gode sortir de mes fesses j'ai pu le voir et lĂ  j'Ă©tais trĂšs Ă©tonnĂ©e de voir son Ă©norme taille. Je sentais maintenant un vide dans mes fesses et machinalement je remuais le croupion comme pour demander Ă  ĂȘtre prise encore. Il a posĂ© le gode par terre et ma allongĂ©e sur le lit, jambes trĂšs Ă©cartĂ©es, c'Ă©tait vraiment trĂšs agrĂ©able de se sentir ainsi offerte Ă  son patron. Le propriĂ©taire et fondateur de la sociĂ©tĂ© oĂč je travaillais Ă©tait en train de prĂ©senter son gland turgescent Ă  l'entrĂ©e de mes fesses et je ne demandais que ça.

Je l'ai senti s'agripper fermement Ă  mes cuisses et commencer Ă  forcer mon intimitĂ©, tout doucement il s'est immiscĂ© et a fini par arriver en butĂ©e, j'Ă©tais aux anges. J'en suis arrivĂ©e Ă  pousser des cris de femelle en chaleur tellement mon mĂąle me faisait du bien. Pas une seconde il ne me serait venu Ă  l'idĂ©e de me dĂ©battre; je me laissais faire comme une petite femme.., ce qu'il voulait faire de moi... La douceur Ă  laisser place Ă  la fermetĂ© et je commençais Ă  sentir ses coups de boutoir toujours plus puissants en moi. De temps Ă  autre il cessait et venait m'embrasser de force au dĂ©but, puis ensuite je me laissais faire, j'ai mĂȘme Ă©tĂ© jusqu'Ă  attendre ses baisers qui ont fini par ĂȘtre doux.

Norbert Ă©tait en train de me fĂ©miniser tout en douceur et par les vĂȘtements et par mon comportement envers lui. VoilĂ  dĂ©jĂ  dix bonnes minutes qu'il allait et venait au plus profond de moi et je commençais vraiment Ă  y prendre plaisir. Il m'embrassait sur la bouche et m'embrassait le ventre pendant qu'il me possĂ©dait je me sentais vraiment fĂ©minine, vraiment Ă  la place d'une femme. Je l'ai senti se contracter, je connaissais bien ce moment quand j'Ă©tais sur le point de partir en masturbant mon clito; lĂ  c'Ă©tait mon patron qui Ă©tait sur le point de se vider en moi. Je l'ai vu fermer les yeux et se caler au fond de moi, au plus profond de moi et j'ai senti sa liqueur se rĂ©pandre dans mes entrailles. Il est venu m'embrasser goulĂ»ment forçant mes jambes Ă  s'Ă©carter un peu plus je sentais maintenant ses bras sur mes hanches. Quelques minutes passĂšrent et il est venu me glisser un petit mot Ă  l'oreille: "maintenant tu es Ă  moi"...
Son dard Ă©tait encore dur et il m'a un peu poussĂ© avec pour que nous puissions tous les deux ĂȘtre allongĂ© sur le lit, c'est vraiment trĂšs agrĂ©able d'ĂȘtre traitĂ©e comme une femme. Je ne savais pas combien c'Ă©tait agrĂ©able de se faire caresser aprĂšs l'amour par mon amant.

Mais lĂ  la femme c'Ă©tait moi... ayant repris ses esprits Norbert est sorti de moi, je sentais son sperme se dĂ©placer vers la sortie de mon petit trou. LĂ  Ă  ma grande surprise il m'a tendu un Tampax qu'il a lui-mĂȘme introduit dans ma chatte. « Garde ma liqueur en toi ma belle, tu es faite pour l'amour » me dit-il...!!! Il s'est relevĂ©, s'est rhabillĂ©, c'est Ă©loignĂ© et il est revenu avec une robe longue et douce qu'il m'a donnĂ© Ă  enfiler. Une fois la robe sur moi je me suis tournĂ©e sur moi-mĂȘme pour lui montrer combien elle m'allait. Il est arrivĂ© derriĂšre moi m'a saisie par les Ă©paules et m'a embrassĂ© le cou et me le mordant un peu en mĂȘme temps.

LĂ  il me confesse: "qu'il ne pensait pas que je serais Ă  ce point soumise et obĂ©issante et qu'il rĂ©ussirait Ă  ce point Ă  faire de moi sa femelle aussi rapidement". LĂ  il a sorti un gros collier en cuir rouge il m'a posĂ© autour du cou, il l'a bien serrĂ© en faisant attention Ă  quand mĂȘme ne pas m'Ă©trangler. Toujours dans mon dos Ă  travers ma robe il a commencĂ© Ă  me pincer les tĂ©tons, je trouvais ça vraiment trĂšs excitant; il m'a encore glissĂ© Ă  l'oreille comme quoi: "il allait faire de moi une Ă©norme salope, une chienne assoiffĂ©e de sexe", je suis faite pour ça, je suis nĂ©e pour ça".

Le weekend s'annonçait chaud et mĂ©morable voire mĂȘme peut-ĂȘtre probablement inaltĂ©rable...

Je suis la femme de Norbert (4)


L'aprÚs-midi avançait et j'étais arrivé en homme et maintenant j'étais une vraie femme offerte à mon homme.
Norbert m'a fait enfiler une douce culotte en lycra sous ma robe j'étais trÚs heureuse de pouvoir me déplacer ainsi dans la maison. Je me sentais vraiment une femelle en chaleur. Tout l'aprÚs-midi j'ai dû le sucer quand il le désirait, tout l'aprÚs-midi il m'a embrassée avec passion et je me suis laissé faire.

Il m'a fait enfiler des escarpins avec de trĂšs hauts talons et m'a fait marcher tout l'aprĂšs-midi pour que j'apprenne Ă  les porter correctement sans me faire mal. Il m'a parfumĂ©e et maquillĂ©e. M’a coiffĂ©e d’une perruque blonde. J’ai glissĂ©e aussi mes jambes rasĂ©es dans des bas nylons et revĂȘtus des jarretelles pour les tenir. J’étais de plus en plus fĂ©minine et mĂȘme ma voie avait changĂ©e.
Il a mis la télé pour me montrer un DVD avec pour sujet les Sissi soumises. Il s'est enfoncé dans le canapé, j'étais assise à cÎté de lui et pendant tout le film je l'ai sucé en m'inspirant de ce que je voyais à la télé.

Rapidement son sexe s'est contractĂ© et il m’a rempli la bouche en m'obligeant Ă  tout avaler. Je l’ai fait avec dĂ©lice. J'ai trĂšs rapidement pris goĂ»t Ă  tenir ce sexe dans la main, Ă  prendre son sexe de belle taille dans la bouche, je prends vraiment grand plaisir Ă  caresser sous le prĂ©puce avec ma langue et en plus manifestement cela lui fait de l'effet. J'adore lui gober les boules une par une et sentir ses poils coupĂ©s dans ma bouche maintenant il exige que je le regarde dans les yeux quand je le suce c'est une forme de soumission que j'apprĂ©cie.

AprÚs le film il m'a fait enfiler une culotte en latex avec un gode à l'arriÚre du coup j'ai passé la soirée avec un beau gode dans les fesses cela m'a fait énormément de bien et je n'ai pas débandé de la soirée.

Toute la soirĂ©e Norbert m'a traitĂ©e de tous les noms, il m'a dit que j'Ă©tais faite pour me faire dĂ©foncer du matin au soir, que j'Ă©tais faite pour lui obĂ©ir, que j'Ă©tais faite pour lui pomper le dard. C’était tellement bon de l’entendre m’insulter. Et je savais que ça lui faisait plaisir. Je regrettais seulement qu’il ait ralentis un peu les coups qu’il m’infligeait au dĂ©but.

Il m'a dit qu'Ă  ce rythme Ă  la fin du weekend je lui serai totalement soumise et que je pourrais aller le sucer sous le bureau quand il me le demandera au boulot.

Il m'a complĂštement Ă©pilĂ©e ; que ce soit sous les bras, la poitrine, les jambes, le dos, les fesses et le sexe. J'Ă©tais maintenant totalement imberbe. Il m'a dit qu'une femelle ne doit pas ĂȘtre poilu et que j'Ă©tais sa femelle. Toute Ă©pilĂ©e comme ça je me sentis vraiment femelle et je dois dire que j’étais vraiment trĂšs belle
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Avant de me coucher il m'a fait enfiler un body manches longues en lycra fendu pour pouvoir avoir accĂšs Ă  mes fesses toute la nuit, vu combien j'Ă©tais excitĂ©e je me suis laissĂ© faire... Je ne pensais pas que j'allais prendre goĂ»t aussi vite Ă  me faire dilater la rondelle, mon patron avait vraiment bien trouvĂ© sa proie. Quoi de plus agrĂ©able que de se faire cĂąliner par son patron le weekend alors que pendant la semaine il Ă©tait en gĂ©nĂ©ral assez ferme et autoritaire. Je n'ose imaginer ce que mes collĂšgues penseraient de moi s’ils savaient ce que je suis en train de faire ce weekend avec leur patron. J'espĂšre quand mĂȘme qu'en devenant la femelle de Norbert j'aurais le droit Ă  une petite promotion...Je plaisante car ma promotion je l’avais dĂ©jĂ .

Vers 21h nous nous sommes couchĂ©s il m'a fait l'amour pendant au moins une heure et c'est ainsi que je me suis endormie avec son sexe profondĂ©ment enfoncĂ© dans mon petit trou. J'Ă©tais devenue sa femme totalement cette nuit mais mon petit doigt me dit que ça allait durer beaucoup plus longtemps. Il Ă©tait collĂ© dans mon dos, ses bras m’enlaçaient, son sexe toujours enfoncĂ© dans ma chatte offerte et je me sentais vraiment comme sa douce femelle.
Published by Rosie83
3 years ago
Comments
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babettevar 3 years ago
Je suis toute humide 
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LacRob96
LacRob96 3 years ago
VoilĂ  une bonne femme gourmande comme je les aimes. Norbert en a vraiment de la chance
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