L'Histoire De Rosie (5)
Ma Transformation est totale et je deviens une pute. (5)
Mais au bout de quelques mois mon amant et moi Ă©tions tombĂ©s dans une routine. Tous les soirs, nous nous rejoignions en salle de pause pour me transformer en Rosie, puis nous allions nous promener en ville avant de revenir coucher ensemble comme des sauvages. Jâaimais cette situation mais je commençais un peu Ă mâennuyer tant les tenues et les positions pratiquĂ©es aprĂšs notre balade ne changeaient pas. Je voulais aller encore plus loin dans ma transformation et devenir totalement « Rosie ». Etre sa femme entiĂšrement et ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme telle.
Jâen Ă©tais venu Ă presque le harceler pour quâil y ait du changement, le menaçant mĂȘme de tout arrĂȘter sâil ne faisait pas dâeffort. Bien sĂ»r, câĂ©tait des menaces en lâair car je ne voulais absolument pas me sĂ©parer de lui et il le savait.
MalgrĂ© tout, un matin, il entra dans mon bureau avec un sac. Il me dit quâil avait une surprise pour moi et que jâallais ĂȘtre content car il allait enfin accĂ©der Ă ma requĂȘte. Jâouvris le sac et vis un ensemble tout Ă fait exceptionnel. Il y avait un bustier de marque en soie crĂšme transparent, un string ficelle tellement petit quâil ne devait rien cacher, une paire de bas blancs et des talons aiguilles brillants.
JâĂ©tais effectivement contente mais une nouvelle tenue ne faisait pas tout.
Alors que jâallais protester, il me dit que nous nâirions pas nous promener ce soir et que cette fois, ils seraient deux sur mon cul. Il mâexpliqua quâil mâavait « vendu » et que, pour une fois, je me sentirais comme une vraie pute.
Jâaurais dĂ» ĂȘtre choquĂ© de savoir que jâavais Ă©tĂ© marchandĂ©e comme un vulgaire bout de viande mais, finalement, cela mâa plus excitĂ©e quâautre chose. La journĂ©e mâa paru extrĂȘmement longue et je nâavais Ă lâesprit que ce qui devait se passer ce soir. Mais plusieurs questions me taraudaient.
A qui mâavait-il vendu ? Que pouvait-il bien y gagner ? Et surtout, pourquoi a-t-il vendu mon corps plutĂŽt que le sien ?
Sur les ordres de mon chĂ©ri, je passais la nouvelle lingerie Ă la pause de midi. Le bustier Ă©tait parfaitement Ă ma taille, il ne me resterait plus quâĂ mettre le rembourrage qui me paraissait plus imposant que dâhabitude. Comme je le pensais, le string Ă©tait vraiment petit. La ficelle disparaissait complĂštement entre mes fesses et mon sexe, qui se gonflait dâexcitation, dĂ©passait sur le devant. Je dĂ©cidais de gagner du temps en mettant les bas tout de suite car ils ne se verraient pas sous mes chaussures et chaussettes. Il nâavait rien mis dâautre que des sous-vĂȘtements, ce qui voulait dire que je devrais remettre les mĂȘmes vĂȘtements que dâhabitude ce qui ne me plaisait quâĂ moitiĂ©. Une fois fini, je retournais bosser en attendant patiemment la fin de journĂ©e.
A 19 heures pile, mon homme entra dans le bureau. Jâavais dĂ©jĂ ĂŽtĂ© mes vĂȘtements et jâenfilais les talons. Jâavais Ă©galement installĂ© le rembourrage qui donnait lâillusion dâun bon 95D (habituellement, on est plus sur du 85-90C). Il ne manquait que la jupe, le chemisier, la perruque et le maquillage. Il me regarda avec envie et me dit que jâĂ©tais parfaite. Pas besoin de vĂȘtement ce soir car on ne sortirait pas du bĂątiment.
Il me mit une nouvelle perruque : blonde coupĂ©e trĂšs courte, un peu Ă la garçonne. Il mâexpliqua que câĂ©tait ce que voulait mon « acheteur ». Il me maquilla et jâĂ©tais enfin devenu Rosie pour la soirĂ©e. A ma surprise, il sortit un collier de chien avec une laisse quâil me passa autour du cou. Il me dit que jâallais ĂȘtre traitĂ©e et prise comme une vraie chienne et que mon cul devrait sâen souvenir longtemps. Il me tira donc derriĂšre lui dans les couloirs de la boĂźte jusquâĂ un bureau Ă lâopposĂ© du bĂątiment. Je connaissais bien ce bureau, câĂ©tait celui du DRH.
Dans mon souvenir, câĂ©tait un homme grand, costaud, au charisme puissant et au charme certain. Par contre, jâaurais pu parier tout ce que jâavais quâil Ă©tait cent pour cent hĂ©tĂ©ro. Mon amant frappa Ă la porte et une voix forte nous dit dâentrer. A notre arrivĂ©e, nous fĂ»mes surpris de voir et le DRH et le big boss de lâentreprise. Ils souriaient tous les deux quand ils nous ont vus.
Je vis Ă la tĂȘte de mon chĂ©ri que la prĂ©sence dâun deuxiĂšme homme nâĂ©tait pas prĂ©vue et, avant de pouvoir protester, le DRH lui expliqua que la participation du chef ferait avancer plus vite son dossier. Je ne comprenais rien mais lui avait lâair dâĂȘtre grandement satisfait. Et câest lĂ que tout commença, finit les paroles et la discussion, il Ă©tait temps de passer Ă lâaction. Nos deux supĂ©rieurs dĂ©grafĂšrent leur pantalon et le baissĂšrent en mĂȘme temps que leurs sous-vĂȘtements. On me fit mettre Ă genou et je pris les deux bites en bouche avant que lâon mâen donne lâordre. Je suçais ces deux monstres (et oui, elles Ă©taient toutes les deux trĂšs impressionnantes) avec gourmandise et jâentendais leurs gĂ©missements satisfaits ce qui mâencourageait Ă y aller de plus en plus vite et de plus en plus fort.
AprÚs quelques minutes de ce traitement, on me fit mettre à quatre pattes sans ménagement en tirant sur la laisse.
Le DRH se positionna devant moi et mâenfonça son engin au fond de la gorge et insista jusquâĂ toucher le fond de mon palais. Jâen avais les larmes aux yeux et rien ne sâarrangea quand mon patron me colla sa queue dans le cul Ă sec et plutĂŽt violemment.
Jâai maintenant lâhabitude de me faire dĂ©foncer Ă sec mais lĂ , je me faisais littĂ©ralement dĂ©chirĂ© par ce monstre beaucoup plus gros que celui de mon amant.
Jâaurais voulu crier mais impossible avec la bouche pleine.
Ils mâont dĂ©foncĂ©e comme ça quelques minutes avant dâĂ©changer de place. Mon cul fut tout autant meurtri que prĂ©cĂ©demment et ma bouche toujours aussi pleine. Ce traitement dura lui aussi plusieurs minutes. Jâai cru que câĂ©tait fini quand ils se retirĂšrent tous les deux mais câĂ©tait pour quâils puissent me prĂ©senter leur bite devant la bouche et Ă©jaculer dedans Ă grands jets puissants. Ils mâobligĂšrent Ă avaler et Ă nettoyer avec ma langue leur queue du peu de sperme quâil restait dessus. Une fois fini, je tombais sur le sol le souffle court, je nâavais jamais Ă©tĂ© dĂ©montĂ©e de la sorte et, en effet, je mâen souviendrais toute ma vie.
Jâentendis quand mĂȘme les deux hommes dire Ă mon chĂ©ri quâil leur avait trouvĂ© une belle salope et quâil nây aurait aucun problĂšme pour lâobtention de sa promotion et quâen plus, ils verraient sâil Ă©tait possible que la chienne, elle aussi, ait de lâavancement. Je compris au ralenti quâils parlaient de moi et je compris que ces deux-lĂ nâen resteraient pas lĂ avec moi.
JâĂ©tais dans un tel Ă©tat second que je nâai pas pensĂ© que je nâavais pas joui et que je suis reparti comme un zombie Ă mon bureau pour me changer. JâĂ©tais secouĂ© par le traitement infligĂ© Ă mon corps mais aussi par le fait que mon amant mâait rĂ©ellement vendu pour avoir une promotion. Je pensais que le terme « vendre » Ă©tait Ă prendre au second degrĂ© et quâon jouerait avec quelquâun dâautre Ă la pute et au client.
Mais non, jâĂ©tais devenu une vraie pute au sens premier du terme. Jâappris plus tard par le DRH que ce dernier avait demandĂ© Ă mon amant de lui trouver une salope dans mon genre pour avoir cette promotion et ceci bien avant quâon ait une relation tous les deux ce qui Ă©tait devenu pour moi insupportable. Je ne pus lui pardonner et mis fin Ă notre relation.
Je pensais quâil serait dur de le voir tous les jours au bureau mais ça ne dura car sa promotion Ă©tait pour un poste Ă lâautre bout de la France. Ce salaud avait tout calculĂ© depuis le dĂ©but, il mâavait initiĂ©e puis dressĂ©e pour finalement me vendre pour son propre intĂ©rĂȘt. Le bon cĂŽtĂ© de la chose Ă©tait que jâai eu moi aussi ma promotion : un meilleur poste, un plus grand bureau et un meilleur salaire. Le seul fait quâil ait fallu me faire baiser (dans tous les sens du terme) pour lâavoir me laisse un goĂ»t amer renforcĂ© par le fait que jâai maintenant deux supĂ©rieurs qui profitent de la situation et surtout de mon trou du cul qui sâĂ©largit Ă vue dâĆil.
Mais je finis par apprĂ©cier cette situation car maintenant je suis la chienne de deux hommes au lieu dâun et jâadore ça.
Tous les jours, au boulot, jâattends lâappel de mes maĂźtres et quand il arrive je me dĂ©pĂȘche de me transformer en Rosie pour assouvir tous leurs dĂ©sirs.
Et ils ne me font pas attendre longtemps, Michel (Câest le DRH) mâappelle pour me dire quâĂ partir de maintenant je serais a son service exclusif. Je pose la question « Et le grand patron ? ». « Non tu es seulement Ă moi, il ne veut pas se faire remarquer, alors je te propose de tâinstaller dans le bureau a cĂŽtĂ© pour ĂȘtre Ă ma disposition ».
CâĂ©tait une proposition allĂ©chante et jâacceptais avec joie. Il finit en me disant « Tu seras toujours travestie en Rosie et tu ne tâoccuperas que de mon plaisir. En contrepartie je serais trĂšs gentil avec toi et ferais de toi ma maitresse attitrĂ©e.
« Et si tu es trĂšs obĂ©issante tu auras une vie de rĂȘve. Maintenant va dans ton bureau et apprĂȘte toi comme jâaime. »
JâĂ©tais heureuse en rentrant dans mon bureau et je pensais que Michel allais transformer ma vie. Je ne me trompais pas.
A suivre.
Mais au bout de quelques mois mon amant et moi Ă©tions tombĂ©s dans une routine. Tous les soirs, nous nous rejoignions en salle de pause pour me transformer en Rosie, puis nous allions nous promener en ville avant de revenir coucher ensemble comme des sauvages. Jâaimais cette situation mais je commençais un peu Ă mâennuyer tant les tenues et les positions pratiquĂ©es aprĂšs notre balade ne changeaient pas. Je voulais aller encore plus loin dans ma transformation et devenir totalement « Rosie ». Etre sa femme entiĂšrement et ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme telle.
Jâen Ă©tais venu Ă presque le harceler pour quâil y ait du changement, le menaçant mĂȘme de tout arrĂȘter sâil ne faisait pas dâeffort. Bien sĂ»r, câĂ©tait des menaces en lâair car je ne voulais absolument pas me sĂ©parer de lui et il le savait.
MalgrĂ© tout, un matin, il entra dans mon bureau avec un sac. Il me dit quâil avait une surprise pour moi et que jâallais ĂȘtre content car il allait enfin accĂ©der Ă ma requĂȘte. Jâouvris le sac et vis un ensemble tout Ă fait exceptionnel. Il y avait un bustier de marque en soie crĂšme transparent, un string ficelle tellement petit quâil ne devait rien cacher, une paire de bas blancs et des talons aiguilles brillants.
JâĂ©tais effectivement contente mais une nouvelle tenue ne faisait pas tout.
Alors que jâallais protester, il me dit que nous nâirions pas nous promener ce soir et que cette fois, ils seraient deux sur mon cul. Il mâexpliqua quâil mâavait « vendu » et que, pour une fois, je me sentirais comme une vraie pute.
Jâaurais dĂ» ĂȘtre choquĂ© de savoir que jâavais Ă©tĂ© marchandĂ©e comme un vulgaire bout de viande mais, finalement, cela mâa plus excitĂ©e quâautre chose. La journĂ©e mâa paru extrĂȘmement longue et je nâavais Ă lâesprit que ce qui devait se passer ce soir. Mais plusieurs questions me taraudaient.
A qui mâavait-il vendu ? Que pouvait-il bien y gagner ? Et surtout, pourquoi a-t-il vendu mon corps plutĂŽt que le sien ?
Sur les ordres de mon chĂ©ri, je passais la nouvelle lingerie Ă la pause de midi. Le bustier Ă©tait parfaitement Ă ma taille, il ne me resterait plus quâĂ mettre le rembourrage qui me paraissait plus imposant que dâhabitude. Comme je le pensais, le string Ă©tait vraiment petit. La ficelle disparaissait complĂštement entre mes fesses et mon sexe, qui se gonflait dâexcitation, dĂ©passait sur le devant. Je dĂ©cidais de gagner du temps en mettant les bas tout de suite car ils ne se verraient pas sous mes chaussures et chaussettes. Il nâavait rien mis dâautre que des sous-vĂȘtements, ce qui voulait dire que je devrais remettre les mĂȘmes vĂȘtements que dâhabitude ce qui ne me plaisait quâĂ moitiĂ©. Une fois fini, je retournais bosser en attendant patiemment la fin de journĂ©e.
A 19 heures pile, mon homme entra dans le bureau. Jâavais dĂ©jĂ ĂŽtĂ© mes vĂȘtements et jâenfilais les talons. Jâavais Ă©galement installĂ© le rembourrage qui donnait lâillusion dâun bon 95D (habituellement, on est plus sur du 85-90C). Il ne manquait que la jupe, le chemisier, la perruque et le maquillage. Il me regarda avec envie et me dit que jâĂ©tais parfaite. Pas besoin de vĂȘtement ce soir car on ne sortirait pas du bĂątiment.
Il me mit une nouvelle perruque : blonde coupĂ©e trĂšs courte, un peu Ă la garçonne. Il mâexpliqua que câĂ©tait ce que voulait mon « acheteur ». Il me maquilla et jâĂ©tais enfin devenu Rosie pour la soirĂ©e. A ma surprise, il sortit un collier de chien avec une laisse quâil me passa autour du cou. Il me dit que jâallais ĂȘtre traitĂ©e et prise comme une vraie chienne et que mon cul devrait sâen souvenir longtemps. Il me tira donc derriĂšre lui dans les couloirs de la boĂźte jusquâĂ un bureau Ă lâopposĂ© du bĂątiment. Je connaissais bien ce bureau, câĂ©tait celui du DRH.
Dans mon souvenir, câĂ©tait un homme grand, costaud, au charisme puissant et au charme certain. Par contre, jâaurais pu parier tout ce que jâavais quâil Ă©tait cent pour cent hĂ©tĂ©ro. Mon amant frappa Ă la porte et une voix forte nous dit dâentrer. A notre arrivĂ©e, nous fĂ»mes surpris de voir et le DRH et le big boss de lâentreprise. Ils souriaient tous les deux quand ils nous ont vus.
Je vis Ă la tĂȘte de mon chĂ©ri que la prĂ©sence dâun deuxiĂšme homme nâĂ©tait pas prĂ©vue et, avant de pouvoir protester, le DRH lui expliqua que la participation du chef ferait avancer plus vite son dossier. Je ne comprenais rien mais lui avait lâair dâĂȘtre grandement satisfait. Et câest lĂ que tout commença, finit les paroles et la discussion, il Ă©tait temps de passer Ă lâaction. Nos deux supĂ©rieurs dĂ©grafĂšrent leur pantalon et le baissĂšrent en mĂȘme temps que leurs sous-vĂȘtements. On me fit mettre Ă genou et je pris les deux bites en bouche avant que lâon mâen donne lâordre. Je suçais ces deux monstres (et oui, elles Ă©taient toutes les deux trĂšs impressionnantes) avec gourmandise et jâentendais leurs gĂ©missements satisfaits ce qui mâencourageait Ă y aller de plus en plus vite et de plus en plus fort.
AprÚs quelques minutes de ce traitement, on me fit mettre à quatre pattes sans ménagement en tirant sur la laisse.
Le DRH se positionna devant moi et mâenfonça son engin au fond de la gorge et insista jusquâĂ toucher le fond de mon palais. Jâen avais les larmes aux yeux et rien ne sâarrangea quand mon patron me colla sa queue dans le cul Ă sec et plutĂŽt violemment.
Jâai maintenant lâhabitude de me faire dĂ©foncer Ă sec mais lĂ , je me faisais littĂ©ralement dĂ©chirĂ© par ce monstre beaucoup plus gros que celui de mon amant.
Jâaurais voulu crier mais impossible avec la bouche pleine.
Ils mâont dĂ©foncĂ©e comme ça quelques minutes avant dâĂ©changer de place. Mon cul fut tout autant meurtri que prĂ©cĂ©demment et ma bouche toujours aussi pleine. Ce traitement dura lui aussi plusieurs minutes. Jâai cru que câĂ©tait fini quand ils se retirĂšrent tous les deux mais câĂ©tait pour quâils puissent me prĂ©senter leur bite devant la bouche et Ă©jaculer dedans Ă grands jets puissants. Ils mâobligĂšrent Ă avaler et Ă nettoyer avec ma langue leur queue du peu de sperme quâil restait dessus. Une fois fini, je tombais sur le sol le souffle court, je nâavais jamais Ă©tĂ© dĂ©montĂ©e de la sorte et, en effet, je mâen souviendrais toute ma vie.
Jâentendis quand mĂȘme les deux hommes dire Ă mon chĂ©ri quâil leur avait trouvĂ© une belle salope et quâil nây aurait aucun problĂšme pour lâobtention de sa promotion et quâen plus, ils verraient sâil Ă©tait possible que la chienne, elle aussi, ait de lâavancement. Je compris au ralenti quâils parlaient de moi et je compris que ces deux-lĂ nâen resteraient pas lĂ avec moi.
JâĂ©tais dans un tel Ă©tat second que je nâai pas pensĂ© que je nâavais pas joui et que je suis reparti comme un zombie Ă mon bureau pour me changer. JâĂ©tais secouĂ© par le traitement infligĂ© Ă mon corps mais aussi par le fait que mon amant mâait rĂ©ellement vendu pour avoir une promotion. Je pensais que le terme « vendre » Ă©tait Ă prendre au second degrĂ© et quâon jouerait avec quelquâun dâautre Ă la pute et au client.
Mais non, jâĂ©tais devenu une vraie pute au sens premier du terme. Jâappris plus tard par le DRH que ce dernier avait demandĂ© Ă mon amant de lui trouver une salope dans mon genre pour avoir cette promotion et ceci bien avant quâon ait une relation tous les deux ce qui Ă©tait devenu pour moi insupportable. Je ne pus lui pardonner et mis fin Ă notre relation.
Je pensais quâil serait dur de le voir tous les jours au bureau mais ça ne dura car sa promotion Ă©tait pour un poste Ă lâautre bout de la France. Ce salaud avait tout calculĂ© depuis le dĂ©but, il mâavait initiĂ©e puis dressĂ©e pour finalement me vendre pour son propre intĂ©rĂȘt. Le bon cĂŽtĂ© de la chose Ă©tait que jâai eu moi aussi ma promotion : un meilleur poste, un plus grand bureau et un meilleur salaire. Le seul fait quâil ait fallu me faire baiser (dans tous les sens du terme) pour lâavoir me laisse un goĂ»t amer renforcĂ© par le fait que jâai maintenant deux supĂ©rieurs qui profitent de la situation et surtout de mon trou du cul qui sâĂ©largit Ă vue dâĆil.
Mais je finis par apprĂ©cier cette situation car maintenant je suis la chienne de deux hommes au lieu dâun et jâadore ça.
Tous les jours, au boulot, jâattends lâappel de mes maĂźtres et quand il arrive je me dĂ©pĂȘche de me transformer en Rosie pour assouvir tous leurs dĂ©sirs.
Et ils ne me font pas attendre longtemps, Michel (Câest le DRH) mâappelle pour me dire quâĂ partir de maintenant je serais a son service exclusif. Je pose la question « Et le grand patron ? ». « Non tu es seulement Ă moi, il ne veut pas se faire remarquer, alors je te propose de tâinstaller dans le bureau a cĂŽtĂ© pour ĂȘtre Ă ma disposition ».
CâĂ©tait une proposition allĂ©chante et jâacceptais avec joie. Il finit en me disant « Tu seras toujours travestie en Rosie et tu ne tâoccuperas que de mon plaisir. En contrepartie je serais trĂšs gentil avec toi et ferais de toi ma maitresse attitrĂ©e.
« Et si tu es trĂšs obĂ©issante tu auras une vie de rĂȘve. Maintenant va dans ton bureau et apprĂȘte toi comme jâaime. »
JâĂ©tais heureuse en rentrant dans mon bureau et je pensais que Michel allais transformer ma vie. Je ne me trompais pas.
A suivre.
3 years ago