La vengeance du Latino jaloux

Un SMS inattendu
« Ce soir, c’est mon anniversaire, cela me ferait plaisir de te voir. Rendez-vous chez moi dĂšs 19h30. » Ce SMS m’a surpris, la derniĂšre fois que j’ai vu Alejandro, il m’a fait une scĂšne. Je lui ai avouĂ© prendre la PrEP et immĂ©diatement il m’a demandĂ©: «mais pourquoi tu fais ça, il n’y a pas qu’avec moi que tu baises?» J’ai bredouillĂ© que je voulais gĂ©rer moi-mĂȘme ma protection ou quelque chose du genre. Ce que je ne voulais pas lui dire pour ne pas envenimer la situation, c’est que si j’ai dĂ©cidĂ© de prendre ce traitement prĂ©ventif, c’est parce que je n’ai plus vraiment confiance en lui. Je le soupçonne de baiser sans protection avec pas mal de monde.

Alejandro, je le connais depuis dix ans. Il est BrĂ©silien, 1m70 le corps fin et une queue d’au moins 20cm bien Ă©paisse et bien droite. Il aime baiser et il fait ça bien. Au dĂ©but de notre relation, j’étais amoureux. Puis j’ai dĂ©couvert qu’il vivait avec un homme. Ils se sont mĂȘme pacsĂ©s depuis. Jules qu’il s’appelle son jules. C’est marrant de porter un nom pareil Ă  35 ans: trop vieux pour que ce soit revenu Ă  la mode, trop jeune pour que ça le soit encore. Et moi je reste le plan cul au service de sa libido hors normes. À chacune de nos rencontres, il veut mon cul. «Sucer, c’est juste pour me faire bander, aprĂšs, moi, je ne peux pas jouir sans dĂ©foncer,» me dit-il. Du coup, ça fait 10 ans que je le connais et je ne connais toujours pas le goĂ»t de son jus.

Il y a deux ou trois ans, il m’a baratinĂ© que sa queue Ă©tait trop grosse pour les capotes et que comme lui et moi c’est spĂ©cial, il aimerait me dĂ©foncer nature. Au dĂ©but, j’ai rĂ©sistĂ©, lui ai rappelĂ© que je n’étais que son «à cĂŽté», qu’il avait un mari. Rien n’y faisait et j’ai fini par craquer. Et franchement
 Une queue nature c’est tellement bon. Rien ne m’excite plus que de rentrer chez moi en ayant pris une bonne dose de foutre dans le cul et en sentant le jus, que Alejandro a abondant, glisser le long de ma cuisse.


Un amant insatiable
Je ne sais pas si Jules prend aussi souvent que moi, mais moi c’est au moins quatre fois par semaine. J’habite Ă  une centaine de mĂštres de chez Alejandro et Jules, alors souvent j’ai un SMS et l’on s’organise pour que je me prenne son chibre latino dans le cul dans le quart d’heure. Le message: « j’ai dit Ă  Jules que j’allais m’acheter des clopes, prĂ©pare-toi» est un de mes plans favoris. C’est le code pour que je me mette Ă  quatre pattes, Ă  poil, le cul lubrifiĂ© derriĂšre la porte d’entrĂ©e chez moi. Pas besoin de le sucer dans ce cas, cette position de soumission fait bander Alejandro illico et il me dĂ©fonce comme ça en quelques minutes, juste en sortant sa lourde queue de sa braguette. Parfois, il laisse la porte ouverte, et je suis tout excitĂ© Ă  l’idĂ©e que le voisin, qui est trĂšs mignon, profite du spectacle au travers du judas. Une fois, il m’a baisĂ© au salon chez lui, pendant que Jules dormait Ă  cĂŽtĂ©. On a aussi essayĂ© la cave, la cage d’escalier, le grenier, le parking, cachĂ© entre deux voitures, sur son balcon et derriĂšre les diffĂ©rents buissons du parc public voisin.

Bref, je suis un vide-couilles comblĂ©. Ou plutĂŽt je l’étais jusqu’à cette fameuse dispute. Le peu fidĂšle Alejandro s’est avĂ©rĂ© ĂȘtre un amant particuliĂšrement jaloux. Cela fait un mois qu’il ne m’a pas donnĂ© de nouvelles, vexĂ© d’imaginer que je puisse avoir d’autres amants. Ce qui par ailleurs est vrai. Mais je n’ai jamais jurĂ© fidĂ©litĂ© Ă  ce mec pour qui je ne suis que l’amant discret et efficace. Avant de recevoir ce SMS, je pensais avoir Ă©tĂ© remplacĂ©.

Je me suis donc prĂ©parĂ© en nettoyant consciencieusement mon anus, en le lubrifiant dĂ©jĂ , histoire de pouvoir assumer toute dĂ©fonce en mode bourrin qui pourrait survenir. Je me suis habillĂ© d’une chemisette et d’un petit pantalon de lin, sans rien dessous. C’est un peu transparent, c’est sexy.


Invitation surprise

À l’heure dite, je prends la bouteille de champagne que j’ai mise au frigo, je sais que Alejandro aime bien ça et je me rends chez mon amant. Je sonne et lĂ , surprise, c’est Jules qui m’ouvre. Je crois bien que c’était la premiĂšre fois que je le vois. Grand maigre, le teint mat, genre mĂ©diterranĂ©en. PlutĂŽt beau mec! Avec un type comme ça Ă  la maison, je ne vois pas bien l’intĂ©rĂȘt qu’a Alejandro Ă  se taper un nounours comme moi
 Je me prĂ©sente. «Ah! C’est toi le fameux JoĂ«l,» me fait-il rigolard. «Alejandro a fini par tout m’avouer! Il faut dire que j’ai bien remarquĂ© que du jour au lendemain il a commencĂ© Ă  vouloir baiser tout le temps. Beaucoup trop pour moi! Il faut que vous vous rĂ©conciliiez, je n’en peux plus. D’ailleurs. Je vais t’avouer un truc: ce n’est pas lui qui t’a invitĂ©. Je lui ai piquĂ© son smartphone pour t’envoyer ce SMS pour que tu viennes.»

Une douche froide pour moi qui m’attendais secrĂštement Ă  des retrouvailles intimes. Me voilĂ  Ă  une fĂȘte Ă  laquelle je ne suis pas invitĂ©. Une quinzaine de mecs latinos sont lĂ . Ça parle brĂ©silien, ça parle espagnol. Toute l’AmĂ©rique latine est reprĂ©sentĂ©e
 et c’est plutĂŽt beau Ă  voir.

Jules est encore Ă  cĂŽtĂ© de moi quand Alejandro arrive: «OĂč as-tu mis les verres pour les cock » En me voyant, Alejandro se coupe au milieu de sa phrase. «Il pensait ĂȘtre invitĂ©, je lui ai envoyĂ© un SMS depuis ton tĂ©lĂ©phone,» sourit Jules. «Je voudrais que vous vous rĂ©conciliiez, moi je n’en peux plus! Tu as tout le temps envie de baiser depuis que vous ne vous voyez plus!» Je rougis, et Alejandro nous lance un regard noir et retourne vers ses amis. Je suis trĂšs mal Ă  l’aise. J’ai l’impression que tous les regards se tournent vers moi. Jules me tend un verre de sangria: «Bois un peu, ça va t’aider Ă  te dĂ©tendre.» Je sirote le breuvage en essayant de me faire discret.

Un mec m’aborde:
— T’es un copain de Alejandro?
— Euh, lĂ  je crois qu’il m’en veut un peu, mais oui, on Ă©tait amis

— Ami ou amant? Parce que ce cul qu’on voit en transparence dans ton pantalon, c’est assez son genre! Enfin s’il ne veut plus de toi, je veux bien m’occuper de toi. Je m’appelle Pablo!

Je suis un peu surpris de cette approche des plus directes. Pablo est grand, il doit faire un 1m90 il a la peau couleur caramel, un grand sourire et une pointe d’accent caliente. MĂȘme si la proposition me semble dĂ©passĂ©e, je ne vais pas laisser passer un beau mec comme ça. Je balbutie: «Avec plaisir »

Nos sex-tapes sur grand Ă©cran
Tout Ă  coup, la musique s’est arrĂȘtĂ©e
 Alejandro allume la tĂ©lĂ©, il a une clĂ© USB dans la main.

— Les mecs, je vais vous montrer un truc! Il y a quelque temps j’ai larguĂ© une salope parce qu’elle me trompait. Et cette pute ose se pointer Ă  mon anniversaire!

Il plante la clĂ© USB dans le tĂ©lĂ©viseur et commence Ă  montrer son contenu sur le grand Ă©cran devant tous ces mecs. Sur la premiĂšre vidĂ©o, on me voit en gros plans avec la grosse queue de Alejandro entre mes lĂšvres. Sur la deuxiĂšme, on voit sa queue s’enfoncer sans capote dans mon cul. Je savais qu’il avait pris une ou deux images quand on baisait, mais lĂ  il y en a au moins pour dix minutes. Les regards se tournent vers moi et les braguettes gonflent
 la mienne en particulier! J’ai honte, mais je trouve la situation trĂšs excitante. Un joli mec s’écrie alors en pointant ma braguette du doigt: «Dis donc, ça Ă  l’air de l’exciter de se faire exposer comme une salope, t’as vu comme il bande!» Et Alejandro de rĂ©pondre: «Oui, je suis déçu. Je pensais qu’il m’aimait, mais en fait il n’en voulait qu’à ma queue. Il mĂ©rite une punition. Foutez-le Ă  poil et dĂ©foncez-le jusqu’à ce qu’il supplie d’arrĂȘter!»


À poil au milieu de tous ces machos
À peine sa phrase est terminĂ©e que le mec qui avait dĂ©noncĂ© mon Ă©rection se jette sur mon pantalon et le baisse. «Il n’a rien mis dessous, la chaudasse!» et glissant un doigt dans mon anus il continue: «En plus il est lubrifiĂ©, prĂȘt Ă  se faire dĂ©monter.» J’entends des rires
 je sens qu’on me retire mon t-shirt. Je n’ai pas le temps de comprendre ce qui se passe que je me retrouve Ă  poil au milieu d’un groupe de mecs sublimes. C’est gĂȘnant, mais tellement excitant.

Le dĂ©nonciateur de mon Ă©rection me crie: «Allez! ObĂ©is Ă  Alejandro, met-toi Ă  quatre pattes.» Je ne sais pas pourquoi je le fais. Le petit nerveux ouvre sa braguette. Il sort son engin dĂ©jĂ  Ă  moitiĂ© dur et l’enfile entre mes lĂšvres. Il a un beau gland couvrant une tige plus fine. Assez longue. Je chatouille son mĂ©at de la pointe de ma langue et pompe cette belle tige. «C’est vrai qu’il aime la queue!» S’exclame le petit mec, alors que je sens une pression contre mon anus. J’essaie de me retourner pour voir qui est derriĂšre moi quand j’entends «Non regarde ici, salope!» En me tournant en direction de la voix, je vois mon Alejandro en train de filmer la scĂšne avec son tĂ©lĂ©phone. Je n’ai pas le temps de rĂ©agir que dĂ©jĂ  le petit nerveux me renfile son chibre en bouche. Il s’en Ă©tait Ă©chappĂ© quand j’ai essayĂ© de voir ce qui se passait derriĂšre moi.

Mon anus cĂšde sous la pression et c’est donc une queue que j’imagine bien grosse qui me laboure Ă  prĂ©sent. Le petit nerveux s’exclame: «Putain c’est trop excitant je ne vais pas tenir, je vais juter.» Et j’entends la voix de Alejandro qui lui dit: «Vas-y Ă©jacule lui sur la gueule, ça fera une vidĂ©o excitante!»

Je sens alors le foutre Ă©pais du petit mec s’écraser d’abord sur ma langue, puis sa queue se retire et sa semence gluante me gicle par saccade sur le nez et j’ai juste le temps de fermer les yeux. La mixture coule le long de ma joue. À quatre pattes avec l’inconnu qui me bourrine le cul, je n’ai pas assez d’équilibre pour lever ma main pour m’essuyer. Je suis obligĂ© de garder les yeux fermĂ©s quand je sens une nouvelle queue qui se plante dans ma bouche. DerriĂšre j’entends un rĂąle. Le mec se retire de mon cul et je sens sa sĂšve tiĂšde s’écraser sur mes fesses et le bas de mon dos.

Recouvert de foutre
Me voilĂ  livrĂ© Ă  quatre pattes, aveuglĂ© par du sperme, Ă  une quinzaine de mecs un peu Ă©mĂ©chĂ©s et bien chauds. J’entends les rires, les insultes, salope, trou Ă  jus, pute,
 J’entends les cris de jouissance, les rĂąles. Quelques compliments: «Il suce bien, il encaisse bien, on voit qu’il aime ça.» Je sens le sperme qui coule dans ma bouche, sur ma peau, dans mon cul. Je le sens parfois liquide, parfois Ă©pais, toujours chaud. Dans ma bouche, le goĂ»t est sucrĂ©, puis amer ou salĂ©. L’air se remplit d’odeurs de sexe! Ça sent la sueur, ça sent le sperme, il ne faut pas longtemps pour que les parfums des backrooms les plus sordides embaument les environs.

Franchement, je ne sais pas combien de temps cela a durĂ©. J’ai complĂštement perdu la notion du temps. Quand je reprends mes esprits, j’ai la tĂȘte posĂ©e sur des genoux, et je sens un dernier mec qui me dĂ©fonce. Une main m’essuie le visage. Quand j’ouvre les yeux, je vois le charmant Pablo tout sourire. Il crie alors. «Dis donc Alejandro, il a eu l’air d’aimer ta punition ton amant!» Puis en se penchant vers moi, il me glisse Ă  l’oreille. «Toi, il faudra que tu me donnes ton numĂ©ro, car je compte bien te revoir. T’as de sacrĂ©s bons trous!»

Le dernier mec qui Ă©tait encore en moi gĂ©mit
 et au son de sa voix je reconnais Jules! Je me redresse Ă©tonnĂ© et lisant la stupeur sur mon visage, il s’explique: «Avec un mari comme Alejandro, ça faisait longtemps que je n’avais pas pu prendre un cul. Je ne suis pas que passif, moi! En plus, un beau cul comme ça bien ouvert par une douzaine de bourrins!» Ça le fait rire. Moi je suis presque fier de mon exploit. Un peu honteux, aussi, mais me sentir aussi chienne m’excite. En plus, franchement, treize queues dans le cul et je ne sais combien en bouche, je vais en faire fantasmer des passifs quand je raconterai ça.

Alors que je suis perdu dans ces pensĂ©es contradictoires, Alejandro s’approche. «C’était bon de retrouver ton cul. Il me manquait. Mais je reste fĂąchĂ©! Alors cette vidĂ©o, je vais l’envoyer Ă  tout le monde, sauf Ă  toi. Et peut-ĂȘtre que je leur donnerai ton numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone en prime!»

Oh punaise, les jours Ă  venir vont ĂȘtre chargĂ©s!


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J'ai publié ce texte une premiÚre fois en août 2018 sur gai-éros, mais comme cet excellent site a de nombreux problÚmes ces temps, je sauve mes contributions avant qu'elles ne disparaissent complÚtement.

Finalement c'est de Xhamster que le surprise est venue: les story ont Ă©tĂ© supprimĂ©es (heureusement les archives pouvaient ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ©es). Revoici donc mon histoire sous forme de billet.
Published by jaimeca78
4 years ago
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