La vengeance du Latino jaloux
Un SMS inattendu
« Ce soir, câest mon anniversaire, cela me ferait plaisir de te voir. Rendez-vous chez moi dĂšs 19h30. » Ce SMS mâa surpris, la derniĂšre fois que jâai vu Alejandro, il mâa fait une scĂšne. Je lui ai avouĂ© prendre la PrEP et immĂ©diatement il mâa demandĂ©: «mais pourquoi tu fais ça, il nây a pas quâavec moi que tu baises?» Jâai bredouillĂ© que je voulais gĂ©rer moi-mĂȘme ma protection ou quelque chose du genre. Ce que je ne voulais pas lui dire pour ne pas envenimer la situation, câest que si jâai dĂ©cidĂ© de prendre ce traitement prĂ©ventif, câest parce que je nâai plus vraiment confiance en lui. Je le soupçonne de baiser sans protection avec pas mal de monde.
Alejandro, je le connais depuis dix ans. Il est BrĂ©silien, 1m70 le corps fin et une queue dâau moins 20cm bien Ă©paisse et bien droite. Il aime baiser et il fait ça bien. Au dĂ©but de notre relation, jâĂ©tais amoureux. Puis jâai dĂ©couvert quâil vivait avec un homme. Ils se sont mĂȘme pacsĂ©s depuis. Jules quâil sâappelle son jules. Câest marrant de porter un nom pareil Ă 35 ans: trop vieux pour que ce soit revenu Ă la mode, trop jeune pour que ça le soit encore. Et moi je reste le plan cul au service de sa libido hors normes. Ă chacune de nos rencontres, il veut mon cul. «Sucer, câest juste pour me faire bander, aprĂšs, moi, je ne peux pas jouir sans dĂ©foncer,» me dit-il. Du coup, ça fait 10 ans que je le connais et je ne connais toujours pas le goĂ»t de son jus.
Il y a deux ou trois ans, il mâa baratinĂ© que sa queue Ă©tait trop grosse pour les capotes et que comme lui et moi câest spĂ©cial, il aimerait me dĂ©foncer nature. Au dĂ©but, jâai rĂ©sistĂ©, lui ai rappelĂ© que je nâĂ©tais que son «à cĂŽté», quâil avait un mari. Rien nây faisait et jâai fini par craquer. Et franchement⊠Une queue nature câest tellement bon. Rien ne mâexcite plus que de rentrer chez moi en ayant pris une bonne dose de foutre dans le cul et en sentant le jus, que Alejandro a abondant, glisser le long de ma cuisse.
Un amant insatiable
Je ne sais pas si Jules prend aussi souvent que moi, mais moi câest au moins quatre fois par semaine. Jâhabite Ă une centaine de mĂštres de chez Alejandro et Jules, alors souvent jâai un SMS et lâon sâorganise pour que je me prenne son chibre latino dans le cul dans le quart dâheure. Le message: « jâai dit Ă Jules que jâallais mâacheter des clopes, prĂ©pare-toi» est un de mes plans favoris. Câest le code pour que je me mette Ă quatre pattes, Ă poil, le cul lubrifiĂ© derriĂšre la porte dâentrĂ©e chez moi. Pas besoin de le sucer dans ce cas, cette position de soumission fait bander Alejandro illico et il me dĂ©fonce comme ça en quelques minutes, juste en sortant sa lourde queue de sa braguette. Parfois, il laisse la porte ouverte, et je suis tout excitĂ© Ă lâidĂ©e que le voisin, qui est trĂšs mignon, profite du spectacle au travers du judas. Une fois, il mâa baisĂ© au salon chez lui, pendant que Jules dormait Ă cĂŽtĂ©. On a aussi essayĂ© la cave, la cage dâescalier, le grenier, le parking, cachĂ© entre deux voitures, sur son balcon et derriĂšre les diffĂ©rents buissons du parc public voisin.
Bref, je suis un vide-couilles comblĂ©. Ou plutĂŽt je lâĂ©tais jusquâĂ cette fameuse dispute. Le peu fidĂšle Alejandro sâest avĂ©rĂ© ĂȘtre un amant particuliĂšrement jaloux. Cela fait un mois quâil ne mâa pas donnĂ© de nouvelles, vexĂ© dâimaginer que je puisse avoir dâautres amants. Ce qui par ailleurs est vrai. Mais je nâai jamais jurĂ© fidĂ©litĂ© Ă ce mec pour qui je ne suis que lâamant discret et efficace. Avant de recevoir ce SMS, je pensais avoir Ă©tĂ© remplacĂ©.
Je me suis donc prĂ©parĂ© en nettoyant consciencieusement mon anus, en le lubrifiant dĂ©jĂ , histoire de pouvoir assumer toute dĂ©fonce en mode bourrin qui pourrait survenir. Je me suis habillĂ© dâune chemisette et dâun petit pantalon de lin, sans rien dessous. Câest un peu transparent, câest sexy.
Invitation surprise
Ă lâheure dite, je prends la bouteille de champagne que jâai mise au frigo, je sais que Alejandro aime bien ça et je me rends chez mon amant. Je sonne et lĂ , surprise, câest Jules qui mâouvre. Je crois bien que câĂ©tait la premiĂšre fois que je le vois. Grand maigre, le teint mat, genre mĂ©diterranĂ©en. PlutĂŽt beau mec! Avec un type comme ça Ă la maison, je ne vois pas bien lâintĂ©rĂȘt quâa Alejandro Ă se taper un nounours comme moi⊠Je me prĂ©sente. «Ah! Câest toi le fameux JoĂ«l,» me fait-il rigolard. «Alejandro a fini par tout mâavouer! Il faut dire que jâai bien remarquĂ© que du jour au lendemain il a commencĂ© Ă vouloir baiser tout le temps. Beaucoup trop pour moi! Il faut que vous vous rĂ©conciliiez, je nâen peux plus. Dâailleurs. Je vais tâavouer un truc: ce nâest pas lui qui tâa invitĂ©. Je lui ai piquĂ© son smartphone pour tâenvoyer ce SMS pour que tu viennes.»
Une douche froide pour moi qui mâattendais secrĂštement Ă des retrouvailles intimes. Me voilĂ Ă une fĂȘte Ă laquelle je ne suis pas invitĂ©. Une quinzaine de mecs latinos sont lĂ . Ăa parle brĂ©silien, ça parle espagnol. Toute lâAmĂ©rique latine est reprĂ©sentĂ©e⊠et câest plutĂŽt beau Ă voir.
Jules est encore Ă cĂŽtĂ© de moi quand Alejandro arrive: «OĂč as-tu mis les verres pour les cockâŠÂ» En me voyant, Alejandro se coupe au milieu de sa phrase. «Il pensait ĂȘtre invitĂ©, je lui ai envoyĂ© un SMS depuis ton tĂ©lĂ©phone,» sourit Jules. «Je voudrais que vous vous rĂ©conciliiez, moi je nâen peux plus! Tu as tout le temps envie de baiser depuis que vous ne vous voyez plus!» Je rougis, et Alejandro nous lance un regard noir et retourne vers ses amis. Je suis trĂšs mal Ă lâaise. Jâai lâimpression que tous les regards se tournent vers moi. Jules me tend un verre de sangria: «Bois un peu, ça va tâaider Ă te dĂ©tendre.» Je sirote le breuvage en essayant de me faire discret.
Un mec mâaborde:
â Tâes un copain de Alejandro?
â Euh, lĂ je crois quâil mâen veut un peu, mais oui, on Ă©tait amisâŠ
â Ami ou amant? Parce que ce cul quâon voit en transparence dans ton pantalon, câest assez son genre! Enfin sâil ne veut plus de toi, je veux bien mâoccuper de toi. Je mâappelle Pablo!
Je suis un peu surpris de cette approche des plus directes. Pablo est grand, il doit faire un 1m90 il a la peau couleur caramel, un grand sourire et une pointe dâaccent caliente. MĂȘme si la proposition me semble dĂ©passĂ©e, je ne vais pas laisser passer un beau mec comme ça. Je balbutie: «Avec plaisirâŠÂ»
Nos sex-tapes sur grand Ă©cran
Tout Ă coup, la musique sâest arrĂȘtĂ©e⊠Alejandro allume la tĂ©lĂ©, il a une clĂ© USB dans la main.
â Les mecs, je vais vous montrer un truc! Il y a quelque temps jâai larguĂ© une salope parce quâelle me trompait. Et cette pute ose se pointer Ă mon anniversaire!
Il plante la clĂ© USB dans le tĂ©lĂ©viseur et commence Ă montrer son contenu sur le grand Ă©cran devant tous ces mecs. Sur la premiĂšre vidĂ©o, on me voit en gros plans avec la grosse queue de Alejandro entre mes lĂšvres. Sur la deuxiĂšme, on voit sa queue sâenfoncer sans capote dans mon cul. Je savais quâil avait pris une ou deux images quand on baisait, mais lĂ il y en a au moins pour dix minutes. Les regards se tournent vers moi et les braguettes gonflent⊠la mienne en particulier! Jâai honte, mais je trouve la situation trĂšs excitante. Un joli mec sâĂ©crie alors en pointant ma braguette du doigt: «Dis donc, ça Ă lâair de lâexciter de se faire exposer comme une salope, tâas vu comme il bande!» Et Alejandro de rĂ©pondre: «Oui, je suis déçu. Je pensais quâil mâaimait, mais en fait il nâen voulait quâĂ ma queue. Il mĂ©rite une punition. Foutez-le Ă poil et dĂ©foncez-le jusquâĂ ce quâil supplie dâarrĂȘter!»
Ă poil au milieu de tous ces machos
Ă peine sa phrase est terminĂ©e que le mec qui avait dĂ©noncĂ© mon Ă©rection se jette sur mon pantalon et le baisse. «Il nâa rien mis dessous, la chaudasse!» et glissant un doigt dans mon anus il continue: «En plus il est lubrifiĂ©, prĂȘt Ă se faire dĂ©monter.» Jâentends des rires⊠je sens quâon me retire mon t-shirt. Je nâai pas le temps de comprendre ce qui se passe que je me retrouve Ă poil au milieu dâun groupe de mecs sublimes. Câest gĂȘnant, mais tellement excitant.
Le dĂ©nonciateur de mon Ă©rection me crie: «Allez! ObĂ©is Ă Alejandro, met-toi Ă quatre pattes.» Je ne sais pas pourquoi je le fais. Le petit nerveux ouvre sa braguette. Il sort son engin dĂ©jĂ Ă moitiĂ© dur et lâenfile entre mes lĂšvres. Il a un beau gland couvrant une tige plus fine. Assez longue. Je chatouille son mĂ©at de la pointe de ma langue et pompe cette belle tige. «Câest vrai quâil aime la queue!» Sâexclame le petit mec, alors que je sens une pression contre mon anus. Jâessaie de me retourner pour voir qui est derriĂšre moi quand jâentends «Non regarde ici, salope!» En me tournant en direction de la voix, je vois mon Alejandro en train de filmer la scĂšne avec son tĂ©lĂ©phone. Je nâai pas le temps de rĂ©agir que dĂ©jĂ le petit nerveux me renfile son chibre en bouche. Il sâen Ă©tait Ă©chappĂ© quand jâai essayĂ© de voir ce qui se passait derriĂšre moi.
Mon anus cĂšde sous la pression et câest donc une queue que jâimagine bien grosse qui me laboure Ă prĂ©sent. Le petit nerveux sâexclame: «Putain câest trop excitant je ne vais pas tenir, je vais juter.» Et jâentends la voix de Alejandro qui lui dit: «Vas-y Ă©jacule lui sur la gueule, ça fera une vidĂ©o excitante!»
Je sens alors le foutre Ă©pais du petit mec sâĂ©craser dâabord sur ma langue, puis sa queue se retire et sa semence gluante me gicle par saccade sur le nez et jâai juste le temps de fermer les yeux. La mixture coule le long de ma joue. Ă quatre pattes avec lâinconnu qui me bourrine le cul, je nâai pas assez dâĂ©quilibre pour lever ma main pour mâessuyer. Je suis obligĂ© de garder les yeux fermĂ©s quand je sens une nouvelle queue qui se plante dans ma bouche. DerriĂšre jâentends un rĂąle. Le mec se retire de mon cul et je sens sa sĂšve tiĂšde sâĂ©craser sur mes fesses et le bas de mon dos.
Recouvert de foutre
Me voilĂ livrĂ© Ă quatre pattes, aveuglĂ© par du sperme, Ă une quinzaine de mecs un peu Ă©mĂ©chĂ©s et bien chauds. Jâentends les rires, les insultes, salope, trou Ă jus, pute,⊠Jâentends les cris de jouissance, les rĂąles. Quelques compliments: «Il suce bien, il encaisse bien, on voit quâil aime ça.» Je sens le sperme qui coule dans ma bouche, sur ma peau, dans mon cul. Je le sens parfois liquide, parfois Ă©pais, toujours chaud. Dans ma bouche, le goĂ»t est sucrĂ©, puis amer ou salĂ©. Lâair se remplit dâodeurs de sexe! Ăa sent la sueur, ça sent le sperme, il ne faut pas longtemps pour que les parfums des backrooms les plus sordides embaument les environs.
Franchement, je ne sais pas combien de temps cela a durĂ©. Jâai complĂštement perdu la notion du temps. Quand je reprends mes esprits, jâai la tĂȘte posĂ©e sur des genoux, et je sens un dernier mec qui me dĂ©fonce. Une main mâessuie le visage. Quand jâouvre les yeux, je vois le charmant Pablo tout sourire. Il crie alors. «Dis donc Alejandro, il a eu lâair dâaimer ta punition ton amant!» Puis en se penchant vers moi, il me glisse Ă lâoreille. «Toi, il faudra que tu me donnes ton numĂ©ro, car je compte bien te revoir. Tâas de sacrĂ©s bons trous!»
Le dernier mec qui Ă©tait encore en moi gĂ©mit⊠et au son de sa voix je reconnais Jules! Je me redresse Ă©tonnĂ© et lisant la stupeur sur mon visage, il sâexplique: «Avec un mari comme Alejandro, ça faisait longtemps que je nâavais pas pu prendre un cul. Je ne suis pas que passif, moi! En plus, un beau cul comme ça bien ouvert par une douzaine de bourrins!» Ăa le fait rire. Moi je suis presque fier de mon exploit. Un peu honteux, aussi, mais me sentir aussi chienne mâexcite. En plus, franchement, treize queues dans le cul et je ne sais combien en bouche, je vais en faire fantasmer des passifs quand je raconterai ça.
Alors que je suis perdu dans ces pensĂ©es contradictoires, Alejandro sâapproche. «CâĂ©tait bon de retrouver ton cul. Il me manquait. Mais je reste fĂąchĂ©! Alors cette vidĂ©o, je vais lâenvoyer Ă tout le monde, sauf Ă toi. Et peut-ĂȘtre que je leur donnerai ton numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone en prime!»
Oh punaise, les jours Ă venir vont ĂȘtre chargĂ©s!
-----------------------------
J'ai publié ce texte une premiÚre fois en août 2018 sur gai-éros, mais comme cet excellent site a de nombreux problÚmes ces temps, je sauve mes contributions avant qu'elles ne disparaissent complÚtement.
Finalement c'est de Xhamster que le surprise est venue: les story ont Ă©tĂ© supprimĂ©es (heureusement les archives pouvaient ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ©es). Revoici donc mon histoire sous forme de billet.
« Ce soir, câest mon anniversaire, cela me ferait plaisir de te voir. Rendez-vous chez moi dĂšs 19h30. » Ce SMS mâa surpris, la derniĂšre fois que jâai vu Alejandro, il mâa fait une scĂšne. Je lui ai avouĂ© prendre la PrEP et immĂ©diatement il mâa demandĂ©: «mais pourquoi tu fais ça, il nây a pas quâavec moi que tu baises?» Jâai bredouillĂ© que je voulais gĂ©rer moi-mĂȘme ma protection ou quelque chose du genre. Ce que je ne voulais pas lui dire pour ne pas envenimer la situation, câest que si jâai dĂ©cidĂ© de prendre ce traitement prĂ©ventif, câest parce que je nâai plus vraiment confiance en lui. Je le soupçonne de baiser sans protection avec pas mal de monde.
Alejandro, je le connais depuis dix ans. Il est BrĂ©silien, 1m70 le corps fin et une queue dâau moins 20cm bien Ă©paisse et bien droite. Il aime baiser et il fait ça bien. Au dĂ©but de notre relation, jâĂ©tais amoureux. Puis jâai dĂ©couvert quâil vivait avec un homme. Ils se sont mĂȘme pacsĂ©s depuis. Jules quâil sâappelle son jules. Câest marrant de porter un nom pareil Ă 35 ans: trop vieux pour que ce soit revenu Ă la mode, trop jeune pour que ça le soit encore. Et moi je reste le plan cul au service de sa libido hors normes. Ă chacune de nos rencontres, il veut mon cul. «Sucer, câest juste pour me faire bander, aprĂšs, moi, je ne peux pas jouir sans dĂ©foncer,» me dit-il. Du coup, ça fait 10 ans que je le connais et je ne connais toujours pas le goĂ»t de son jus.
Il y a deux ou trois ans, il mâa baratinĂ© que sa queue Ă©tait trop grosse pour les capotes et que comme lui et moi câest spĂ©cial, il aimerait me dĂ©foncer nature. Au dĂ©but, jâai rĂ©sistĂ©, lui ai rappelĂ© que je nâĂ©tais que son «à cĂŽté», quâil avait un mari. Rien nây faisait et jâai fini par craquer. Et franchement⊠Une queue nature câest tellement bon. Rien ne mâexcite plus que de rentrer chez moi en ayant pris une bonne dose de foutre dans le cul et en sentant le jus, que Alejandro a abondant, glisser le long de ma cuisse.
Un amant insatiable
Je ne sais pas si Jules prend aussi souvent que moi, mais moi câest au moins quatre fois par semaine. Jâhabite Ă une centaine de mĂštres de chez Alejandro et Jules, alors souvent jâai un SMS et lâon sâorganise pour que je me prenne son chibre latino dans le cul dans le quart dâheure. Le message: « jâai dit Ă Jules que jâallais mâacheter des clopes, prĂ©pare-toi» est un de mes plans favoris. Câest le code pour que je me mette Ă quatre pattes, Ă poil, le cul lubrifiĂ© derriĂšre la porte dâentrĂ©e chez moi. Pas besoin de le sucer dans ce cas, cette position de soumission fait bander Alejandro illico et il me dĂ©fonce comme ça en quelques minutes, juste en sortant sa lourde queue de sa braguette. Parfois, il laisse la porte ouverte, et je suis tout excitĂ© Ă lâidĂ©e que le voisin, qui est trĂšs mignon, profite du spectacle au travers du judas. Une fois, il mâa baisĂ© au salon chez lui, pendant que Jules dormait Ă cĂŽtĂ©. On a aussi essayĂ© la cave, la cage dâescalier, le grenier, le parking, cachĂ© entre deux voitures, sur son balcon et derriĂšre les diffĂ©rents buissons du parc public voisin.
Bref, je suis un vide-couilles comblĂ©. Ou plutĂŽt je lâĂ©tais jusquâĂ cette fameuse dispute. Le peu fidĂšle Alejandro sâest avĂ©rĂ© ĂȘtre un amant particuliĂšrement jaloux. Cela fait un mois quâil ne mâa pas donnĂ© de nouvelles, vexĂ© dâimaginer que je puisse avoir dâautres amants. Ce qui par ailleurs est vrai. Mais je nâai jamais jurĂ© fidĂ©litĂ© Ă ce mec pour qui je ne suis que lâamant discret et efficace. Avant de recevoir ce SMS, je pensais avoir Ă©tĂ© remplacĂ©.
Je me suis donc prĂ©parĂ© en nettoyant consciencieusement mon anus, en le lubrifiant dĂ©jĂ , histoire de pouvoir assumer toute dĂ©fonce en mode bourrin qui pourrait survenir. Je me suis habillĂ© dâune chemisette et dâun petit pantalon de lin, sans rien dessous. Câest un peu transparent, câest sexy.
Invitation surprise
Ă lâheure dite, je prends la bouteille de champagne que jâai mise au frigo, je sais que Alejandro aime bien ça et je me rends chez mon amant. Je sonne et lĂ , surprise, câest Jules qui mâouvre. Je crois bien que câĂ©tait la premiĂšre fois que je le vois. Grand maigre, le teint mat, genre mĂ©diterranĂ©en. PlutĂŽt beau mec! Avec un type comme ça Ă la maison, je ne vois pas bien lâintĂ©rĂȘt quâa Alejandro Ă se taper un nounours comme moi⊠Je me prĂ©sente. «Ah! Câest toi le fameux JoĂ«l,» me fait-il rigolard. «Alejandro a fini par tout mâavouer! Il faut dire que jâai bien remarquĂ© que du jour au lendemain il a commencĂ© Ă vouloir baiser tout le temps. Beaucoup trop pour moi! Il faut que vous vous rĂ©conciliiez, je nâen peux plus. Dâailleurs. Je vais tâavouer un truc: ce nâest pas lui qui tâa invitĂ©. Je lui ai piquĂ© son smartphone pour tâenvoyer ce SMS pour que tu viennes.»
Une douche froide pour moi qui mâattendais secrĂštement Ă des retrouvailles intimes. Me voilĂ Ă une fĂȘte Ă laquelle je ne suis pas invitĂ©. Une quinzaine de mecs latinos sont lĂ . Ăa parle brĂ©silien, ça parle espagnol. Toute lâAmĂ©rique latine est reprĂ©sentĂ©e⊠et câest plutĂŽt beau Ă voir.
Jules est encore Ă cĂŽtĂ© de moi quand Alejandro arrive: «OĂč as-tu mis les verres pour les cockâŠÂ» En me voyant, Alejandro se coupe au milieu de sa phrase. «Il pensait ĂȘtre invitĂ©, je lui ai envoyĂ© un SMS depuis ton tĂ©lĂ©phone,» sourit Jules. «Je voudrais que vous vous rĂ©conciliiez, moi je nâen peux plus! Tu as tout le temps envie de baiser depuis que vous ne vous voyez plus!» Je rougis, et Alejandro nous lance un regard noir et retourne vers ses amis. Je suis trĂšs mal Ă lâaise. Jâai lâimpression que tous les regards se tournent vers moi. Jules me tend un verre de sangria: «Bois un peu, ça va tâaider Ă te dĂ©tendre.» Je sirote le breuvage en essayant de me faire discret.
Un mec mâaborde:
â Tâes un copain de Alejandro?
â Euh, lĂ je crois quâil mâen veut un peu, mais oui, on Ă©tait amisâŠ
â Ami ou amant? Parce que ce cul quâon voit en transparence dans ton pantalon, câest assez son genre! Enfin sâil ne veut plus de toi, je veux bien mâoccuper de toi. Je mâappelle Pablo!
Je suis un peu surpris de cette approche des plus directes. Pablo est grand, il doit faire un 1m90 il a la peau couleur caramel, un grand sourire et une pointe dâaccent caliente. MĂȘme si la proposition me semble dĂ©passĂ©e, je ne vais pas laisser passer un beau mec comme ça. Je balbutie: «Avec plaisirâŠÂ»
Nos sex-tapes sur grand Ă©cran
Tout Ă coup, la musique sâest arrĂȘtĂ©e⊠Alejandro allume la tĂ©lĂ©, il a une clĂ© USB dans la main.
â Les mecs, je vais vous montrer un truc! Il y a quelque temps jâai larguĂ© une salope parce quâelle me trompait. Et cette pute ose se pointer Ă mon anniversaire!
Il plante la clĂ© USB dans le tĂ©lĂ©viseur et commence Ă montrer son contenu sur le grand Ă©cran devant tous ces mecs. Sur la premiĂšre vidĂ©o, on me voit en gros plans avec la grosse queue de Alejandro entre mes lĂšvres. Sur la deuxiĂšme, on voit sa queue sâenfoncer sans capote dans mon cul. Je savais quâil avait pris une ou deux images quand on baisait, mais lĂ il y en a au moins pour dix minutes. Les regards se tournent vers moi et les braguettes gonflent⊠la mienne en particulier! Jâai honte, mais je trouve la situation trĂšs excitante. Un joli mec sâĂ©crie alors en pointant ma braguette du doigt: «Dis donc, ça Ă lâair de lâexciter de se faire exposer comme une salope, tâas vu comme il bande!» Et Alejandro de rĂ©pondre: «Oui, je suis déçu. Je pensais quâil mâaimait, mais en fait il nâen voulait quâĂ ma queue. Il mĂ©rite une punition. Foutez-le Ă poil et dĂ©foncez-le jusquâĂ ce quâil supplie dâarrĂȘter!»
Ă poil au milieu de tous ces machos
Ă peine sa phrase est terminĂ©e que le mec qui avait dĂ©noncĂ© mon Ă©rection se jette sur mon pantalon et le baisse. «Il nâa rien mis dessous, la chaudasse!» et glissant un doigt dans mon anus il continue: «En plus il est lubrifiĂ©, prĂȘt Ă se faire dĂ©monter.» Jâentends des rires⊠je sens quâon me retire mon t-shirt. Je nâai pas le temps de comprendre ce qui se passe que je me retrouve Ă poil au milieu dâun groupe de mecs sublimes. Câest gĂȘnant, mais tellement excitant.
Le dĂ©nonciateur de mon Ă©rection me crie: «Allez! ObĂ©is Ă Alejandro, met-toi Ă quatre pattes.» Je ne sais pas pourquoi je le fais. Le petit nerveux ouvre sa braguette. Il sort son engin dĂ©jĂ Ă moitiĂ© dur et lâenfile entre mes lĂšvres. Il a un beau gland couvrant une tige plus fine. Assez longue. Je chatouille son mĂ©at de la pointe de ma langue et pompe cette belle tige. «Câest vrai quâil aime la queue!» Sâexclame le petit mec, alors que je sens une pression contre mon anus. Jâessaie de me retourner pour voir qui est derriĂšre moi quand jâentends «Non regarde ici, salope!» En me tournant en direction de la voix, je vois mon Alejandro en train de filmer la scĂšne avec son tĂ©lĂ©phone. Je nâai pas le temps de rĂ©agir que dĂ©jĂ le petit nerveux me renfile son chibre en bouche. Il sâen Ă©tait Ă©chappĂ© quand jâai essayĂ© de voir ce qui se passait derriĂšre moi.
Mon anus cĂšde sous la pression et câest donc une queue que jâimagine bien grosse qui me laboure Ă prĂ©sent. Le petit nerveux sâexclame: «Putain câest trop excitant je ne vais pas tenir, je vais juter.» Et jâentends la voix de Alejandro qui lui dit: «Vas-y Ă©jacule lui sur la gueule, ça fera une vidĂ©o excitante!»
Je sens alors le foutre Ă©pais du petit mec sâĂ©craser dâabord sur ma langue, puis sa queue se retire et sa semence gluante me gicle par saccade sur le nez et jâai juste le temps de fermer les yeux. La mixture coule le long de ma joue. Ă quatre pattes avec lâinconnu qui me bourrine le cul, je nâai pas assez dâĂ©quilibre pour lever ma main pour mâessuyer. Je suis obligĂ© de garder les yeux fermĂ©s quand je sens une nouvelle queue qui se plante dans ma bouche. DerriĂšre jâentends un rĂąle. Le mec se retire de mon cul et je sens sa sĂšve tiĂšde sâĂ©craser sur mes fesses et le bas de mon dos.
Recouvert de foutre
Me voilĂ livrĂ© Ă quatre pattes, aveuglĂ© par du sperme, Ă une quinzaine de mecs un peu Ă©mĂ©chĂ©s et bien chauds. Jâentends les rires, les insultes, salope, trou Ă jus, pute,⊠Jâentends les cris de jouissance, les rĂąles. Quelques compliments: «Il suce bien, il encaisse bien, on voit quâil aime ça.» Je sens le sperme qui coule dans ma bouche, sur ma peau, dans mon cul. Je le sens parfois liquide, parfois Ă©pais, toujours chaud. Dans ma bouche, le goĂ»t est sucrĂ©, puis amer ou salĂ©. Lâair se remplit dâodeurs de sexe! Ăa sent la sueur, ça sent le sperme, il ne faut pas longtemps pour que les parfums des backrooms les plus sordides embaument les environs.
Franchement, je ne sais pas combien de temps cela a durĂ©. Jâai complĂštement perdu la notion du temps. Quand je reprends mes esprits, jâai la tĂȘte posĂ©e sur des genoux, et je sens un dernier mec qui me dĂ©fonce. Une main mâessuie le visage. Quand jâouvre les yeux, je vois le charmant Pablo tout sourire. Il crie alors. «Dis donc Alejandro, il a eu lâair dâaimer ta punition ton amant!» Puis en se penchant vers moi, il me glisse Ă lâoreille. «Toi, il faudra que tu me donnes ton numĂ©ro, car je compte bien te revoir. Tâas de sacrĂ©s bons trous!»
Le dernier mec qui Ă©tait encore en moi gĂ©mit⊠et au son de sa voix je reconnais Jules! Je me redresse Ă©tonnĂ© et lisant la stupeur sur mon visage, il sâexplique: «Avec un mari comme Alejandro, ça faisait longtemps que je nâavais pas pu prendre un cul. Je ne suis pas que passif, moi! En plus, un beau cul comme ça bien ouvert par une douzaine de bourrins!» Ăa le fait rire. Moi je suis presque fier de mon exploit. Un peu honteux, aussi, mais me sentir aussi chienne mâexcite. En plus, franchement, treize queues dans le cul et je ne sais combien en bouche, je vais en faire fantasmer des passifs quand je raconterai ça.
Alors que je suis perdu dans ces pensĂ©es contradictoires, Alejandro sâapproche. «CâĂ©tait bon de retrouver ton cul. Il me manquait. Mais je reste fĂąchĂ©! Alors cette vidĂ©o, je vais lâenvoyer Ă tout le monde, sauf Ă toi. Et peut-ĂȘtre que je leur donnerai ton numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone en prime!»
Oh punaise, les jours Ă venir vont ĂȘtre chargĂ©s!
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J'ai publié ce texte une premiÚre fois en août 2018 sur gai-éros, mais comme cet excellent site a de nombreux problÚmes ces temps, je sauve mes contributions avant qu'elles ne disparaissent complÚtement.
Finalement c'est de Xhamster que le surprise est venue: les story ont Ă©tĂ© supprimĂ©es (heureusement les archives pouvaient ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ©es). Revoici donc mon histoire sous forme de billet.
4 years ago