Martine, ma cousine. Chapitre 4 Geneviève sa maman

Je n’ai jamais dit à Martine que j’ai couché avec sa mère. Cela s’est passé un week-end où son père était parti dans le bordelais pour visiter un vignoble avec Georges. Martine a insisté pour les accompagner.

Le samedi, je me suis retrouvé tout seul avec Geneviève, que tout le monde appelle Gény, la mère de Martine, ma tante.

Après le déjeuner de midi, ma tante m’a regardé longuement et elle m’a scotché sur ma chaise en me disant :

« Bernard…, tu sais que ce n’est pas bien de faire l’amour avec sa cousine… ! »

Je suis resté un instant sans rien dire, puis devant le léger sourire qui se dessinait sur ses lèvres, j’ai dit sans réfléchir :

« Oui…, Tatie…, comme toi avec Tonton Georges ! »

Son sourire a disparu de ses belles lèvres et elle a baissé ses yeux.

« Aahh, tu sais…, que…, je…

– Oui Tatie… je vous ai vu une fois dans la grange. C’était chaud ! Très chaud… !
– Bernard ! Tu gardes ça pour toi ! Tu ne dis rien à personne et moi je ne dis rien pour ce que tu fais à ma fille ! »

Si elle savait tout ce que je fais avec sa fille !

« OK. Tatie, je ne dirai rien, mais j’ai adoré te voir avec Tonton, j’en rêve souvent la nuit !
– Veux-tu bien te taire, sale garnement !
– Tu sais, Tatie, je ne suis plus un petit garçon et je peux comprendre certaines choses !
– Ah, oui…, et lesquelles… ?
– Qu’une femme, belle comme toi, peut avoir des envies si son mari ne s’occupe pas d’elle ou s’il n’est pas à la hauteur…, pour la satisfaire… !
– Tiens donc ! Tu crois ça…, et toi…, tu la satisfais ma fille… ?
– Oh, oui…, elle aime ça…, et elle en veut toujours plus !
– Bon ! Restons-en-là ! Je vais me changer et tu vas m’aider pour le potager ! »

Elle est montée rapidement dans sa chambre et quand je suis monté 2 minutes plus tard, je l’ai trouvée encore habillée, mais en train de soulever sa robe pour la faire passer au-dessus de sa tête.

« Bernard ! Qu’est-ce que tu fais là ?
– Je viens t’aider. Tatie… ! »

Je me suis approché d’elle et j’ai posé mes mains sur ses épaules, en lui disant :

« Tu es très belle, Tatie, j’ai envie de t’embrasser… ! »

Elle me regarde et comme elle ne dit rien, je pose mes lèvres sur les siennes. Une de ses mains prend ma nuque, sa bouche se pose sur la mienne et s’entrouvre. Sa langue est chaude et se mêle à la mienne pour un long baiser très sensuel.

Pendant ce merveilleux baiser, mes mains descendent prendre le bas de sa robe et détachant ma bouche de la sienne je commence à la déshabiller. Elle ne dit toujours rien et elle a les yeux fermés.

Je tombe à genoux devant ce corps pulpeux de femme mûre et je tire doucement sur sa petite culotte vers le bas de ses jambes.

Gény tremble légèrement et elle a même la chair de poule sur ses cuisses. Je porte son slip à mes narines et je respire l'odeur de sa féminité. Le parfum de son sexe est plus lourd que celui de sa fille et mon sexe réagit à ce parfum enivrant.

Je saisis son gros cul, encore bien ferme pour son âge. Je l’attire vers moi et la respiration de ma tante devient plus forte quand je caresse ses fesses et que j’embrasse son pubis juste au-dessus de la fente de son sexe.

Elle n'a pas encore dit un mot et reste les yeux fermés quand je lui retire son soutien-gorge, libérant ses lourdes mamelles. Mon sexe commence à durcir drôlement dans mon short et je presse mon bassin contre ses cuisses. Ses tétons sont gros et tout durs et ma bouche se retrouve tout naturellement sur ses seins pour sucer, tour à tour, ses magnifiques tétons bruns aux bouts tout roses.

Ma tante Gény commence même à gémir doucement. Je lui fais faire un demi-tour pour me coller contre son dos et je prends ses gros seins dans mes mains. Je joue un instant avec ses seins et ses tétons pendant que je l’embrasse dans le cou. Mon sexe est complètement en érection et calé dans sa raie des fesses.

Après avoir embrassé son cou, son dos, ses reins, je me retrouve agenouillé derrière elle. J’embrasse ses fesses et, en les écartant, j’arrive à chatouiller sa fente avec ma langue. Gény pousse un petit cri et elle se retourne pour prendre ma tête de ses deux mains pour la plaquer sur sa chatte.

Je trouve sa chatte avec ma langue et je saisis ses deux fesses pour commencer à lécher sa chatte. Gény halète à haute voix dès que ma langue trouve son clitoris. Elle maintient ma tête serrée comme elle et elle a déjà une sorte de petit orgasme doux. Son corps tremble et elle semble se retenir sur moi pour maintenir son équilibre.

« Mettons-nous dans le lit ! » Dit-elle, à bout de souffle.

Je me dépouille rapidement de mes vêtements pendant que Gény, la maman de Martine, grimpe sur son lit et se couche sur le dos. Elle écarte immédiatement ses jambes et attire ma tête entre ses cuisses pour m’inviter à revenir sur sa chatte humide. J’enfouis de nouveau, ma langue entre ses grosses lèvres luisantes, aussi profondément que je peux, pour lécher le jus qui suinte le long de ses petites lèvres finement ourlées.

Quand ma langue remonte vers son clito j'utilise la pointe de ma langue pour le chatouiller. Je tourne autour une fois, avant d’explorer les plis de cette chair si chaude et douce de chaque côté de celui-ci.

Gény commence à gémir doucement et arquant son corps, son clito ressort un peu plus de sa coquille. Je le lèche du plat de ma langue avant de l’att****r entre mes lèvres pour l’aspirer dans ma bouche.

Je tremble d'émotion et je me retire de ses cuisses pour contempler cette chose merveilleuse que les femmes ont entre leurs cuisses. Du bout des doigts, je frotte ce bourgeon et je suis surpris de ressentir comme le battement de son cœur au bout de mon doigt. J'insiste et Gény a de légères contractions, spasmodiques du ventre. Je lui donne du plaisir, uniquement en touchant cet endroit. Je bouge mon doigt et son ventre se contracte de nouveau. Gény est encore plus sensible que sa fille ! Ses cuisses se referment plusieurs fois sur ma main, puis s’ouvrent largement. Elle replie légèrement ses genoux et tire ma tête sur sa chatte que je dévore sans vergogne.

Lorsqu’elle crie d’extase, je suce son clitoris et l’aspire profondément dans ma bouche.

« OUIIIIII ! OUIIIIIII ! OOOHHHH… ! »

Je suis heureux de la faire jouir avec ma bouche et mes doigts et je ne la lâche plus.
Je suis tellement excité de faire ça avec la mère de Martine que je la suce de plus en plus fort et je joue avec son merveilleux clito avec ma bouche, avec ma langue et les dents. Je ne sais pas exactement combien de fois Gény a joui, mais, finalement, elle s’effondre sur le lit, son corps encore secoué de spasmes de jouissance.

En appui sur mes coudes, entre ses cuisses et mon sexe reposant sur le sien, je la laisse reprendre son souffle. Elle ouvre ses yeux et avec un sourire tendre et maternel. elle s'empare de ma queue raide. D’un mouvement du ventre. elle l'épouse complètement avant qu’elle ne disparaisse dans sa chatte dégoulinante de cyprine.

Je réalise que je baise la mère de Martine, ma cousine, et comme je ne bouge pas, ses mouvements de bassin me rappellent à l'ordre.

J’entre en action et Gény s’abandonne totalement détendue, souriante, cuisses écartelées pour me permettre d’aller le plus loin possible.

Ce moment de bonheur doit durer et je ralentis la cadence. Je la pénètre plus lentement avec de fortes amplitudes. Ses yeux se ferment régulièrement dans une sorte de béatitude. Je serre légèrement les pointes de ses seins en cadence avec les coups portés dans son ventre. Gény tire ma tête vers sa bouche et caresse mes lèvres avec les siennes. Sa langue court autour des miennes avant d’écarter mes lèvres pour me donner un baiser passionné. J’en oublie de la baiser et elle me réprimande :

« Ne t’arrête pas ! Continue…, c’est merveilleux de sentir ton sexe après mes jouissances ! »

Sa respiration s’accélère et sa bouche entrouverte, elle se maîtrise moins.

Je chasse de mes pensées l'idée de prendre du plaisir et de jouir, tellement c’est bon de posséder la mère de Martine et de sentir sa chatte qui palpite sur ma queue. Nous passons par des stades de passion et de relâchements, sa respiration devient courte, je lui donne de grands coups de queue, puis je me calme, et quand je la vois s'apaiser, je la surprends en la pilonnant à nouveau pour entendre ses gémissements qui me ravissent et m’excitent à la fois. J’adore l’avoir ainsi totalement à moi.

Une douleur me sort de mon état de plénitude sexuel, proche de ma jouissance car Gény vient de planter ses ongles dans mes fesses. Elle recommence à jouir doucement.

« Ooohhhhhhh…, ouiiiiiiiiiiii…, encoooorree… ! »

Gény enroule ses bras autour de mon dos et ses jambes autour de l'arrière de mes jambes. Elle se cambre pour que ma bite reste en contact avec son clito quand je plonge au fond de son sexe. Son corps se raidit et ses jambes me broient comme dans un étau.

Je suis écrasé sur son corps secoué par les spasmes de son orgasme et je sens ma bite qui baigne dans son jus de chatte juste avant mon propre orgasme d’une intensité inouïe. Je peux presque sentir mes couilles se vider et j'explose pour remplir son ventre. Je gicle dans sa chatte brûlante et j’ai l’impression que ça ne va jamais s’arrêter.

La mère de Martine pousse des gémissements à chaque jet de sperme, émet des sons inintelligibles et son corps tremble. Les muscles de son vagin serrent et relâchent involontairement ma bite pour traire tout le jus de mes couilles.

Nous restons de longues minutes soudés par nos sexes frémissants et lorsque ma queue se dégonfle et sort doucement de son vagin dégoulinant, son corps a un frisson et elle me dit :

« Tu es un amant hors pair, Bernard ! Ma fille a bien de la chance ! Si j’avais su…, tu vas me manquer… !
– Tatie…la journée n’est pas finie…, et nous sommes seuls jusqu'à demain !
.. Ensuite, nous aurons d’autres occasions…, maintenant que j’ai goûté à ton corps, je ne vais plus pouvoir m’en passer !
– Bernard…, tu n’as pas besoin d’une vieille femme comme moi, ma fille est jeune et plus belle que moi !
– Peut-être…, mais je n’ai jamais joui aussi fort de ma jeune vie !
.. Tu es sublime quand tu prends ton pied, tout ton corps tremble de plaisir et ta chatte est vivante !
– C’est de ta faute, sale garnement ! Tu es infatigable ! Et pour ton âge, tu te sers admirablement de ta bite !
.. Moi je suis exténuée…, tout mon corps me fait mal, il faut que je me repose un instant !
– Alors, reste dans mes bras et reprends des forces. Tatie ! »

Pendant qu’elle se remet de ses fortes jouissances que je lui ai procurées, je caresse tout doucement son corps, en m’attardant sur ses grosses fesses. Ma main glisse sur ses belles rondeurs encore fermes et mes doigts glissent progressivement dans sa raie des fesses pour finir sur son anus trempé de nos mouilles.

Je m’attarde sur celui-ci en me disant que je la baiserais bien par-là. Lorsqu’un de mes doigts fureteurs s’insère dans sa corolle sombre, Tatie réagit.

« Bernard…, où vas-tu par là…, serais-tu aussi pervers que mon frère… ?
– Ben…, dans ma tête, j’imagine souvent tonton Georges qui t’encule et ça me fait sacrément bander ! »

Une de ses mains glisse sur mon ventre et att**** ma queue bandée.

« Ben mon cochon…, je vois ça ! »

Tatie se détache de moi pour se mettre à quatre pattes, le cul en l’air et pose sa tête sur le traversin. Elle n’a pas besoin de m’en dire plus. Elle m’offre son cul !

Je commence par jouer avec sa chatte et son cul et je lubrifie bien son trou du cul avec son propre jus de chatte. Je suis tout excité de pouvoir lui prendre son cul.

« Bernard, va prendre de la vaseline dans ma table de nuit ! »

Je mets une bonne quantité de vaseline dans son cul et Gény roucoule comme une colombe pendant que je doigte son cul et sa chatte en même temps. Je graisse aussi mon gland et je présente ma bite sur son anus brun.

« Bernard…, prends moi doucement…, va lentement au début, sois un amour et pas une brute comme ton oncle ! »

Son trou du cul résiste un instant à la pression de mon gland et ma bite lutte pour étirer les muscles du sphincter résistant. Je la maintiens bien en place et je force le passage. Son trou du cul s’ouvre sous la poussée de ma bite. Gény pousse un petit cri et puis gémit sans arrêt jusqu'à ce que mes couilles frappent sa chatte et que ma bite soit enfouie entièrement dans ses entrailles.

Je reste immobile un moment pour profiter de cet instant inoubliable. J’encule ma Tatie ! C’est super !

C’est Tatie qui lance les hostilités en remuant du croupion.
Je commence à l’enculer doucement jusqu'à ce que ma bite glisse parfaitement dans ce canal qui enserre merveilleusement mon sexe. Agrippant ses hanches, je la baise à grands coups de bite en frappant son cul à chaque fois, pour entendre ses cris de plaisir. Je me calme un peu pour ne pas jouir trop vite et je caresse ses fesses galbées, en regardant ma queue entrer et ressortir de son rectum.

Mes mains parcourent librement son corps et je tire ses hanches pour plaquer ses fesses contre moi, bien enfoncé dans son trou du cul tout chaud. Avec ma main sur son pubis, mes doigts plongent dans sa chatte trempée pour chercher son point sensible dans le haut de son vagin et mon pouce frotte son clitoris. Ses couinements de plaisir m’excitent énormément et je sens ma bite qui gonfle dans son cul. Je l’encule plus vite et plus fort et dans un cri que je ne peux retenir, je jouis dans son trou du cul avec mes doigts crochetés dans sa chatte.

Dès que Tatie a senti mon foutre chaud asperger ses entrailles, elle jouit avec moi. Sa chatte se convulse sur ma main et ses muscles anaux écrasent ma queue en éruption. Tétanisé par cette formidable jouissance, je reste plaqué contre elle, vidant complètement mes couilles dans un orgasme commun qui n’en finit pas.

Plusieurs minutes après, je m’écroule à côté d’elle. La chambre pue le sexe. Gény a suggéré de faire une pause. Nous avons pris une douche ensemble et j’ai pu constater en la lavant qu’elle a encore un beau corps tout en rondeurs et bien conservé pour son âge. De son côté, elle a bien nettoyé ma queue et m’a fait sortir de la douche. lorsque celle-ci reprenait de la vigueur. Apres une petite collation et quelques questions coquines sur ma relation sexuelle avec sa fille, elle m’a pris la main et elle m’a entraîné dans sa chambre.

« Viens me montrer comment tu manges la chatte de ma fille ! Si tu es doué, je te laisserais encore me baiser…, devant ou derrière…, comme tu veux ! »

Une seconde plus tard, je suis entre les cuisses de ma tante, ma bouche sur sa chatte et ma langue fouille tous les recoins de son sexe. Je lèche, je tète, j’aspire ses grandes lèvres, son clito, pendant que mes mains se baladent sur son cul, entre ses fesses qui tremblent lorsque je titille son anus en aspirant son clito.

Je lui dévore sa chatte pendant 5 minutes et je déguste sa liqueur féminine qui coule abondamment. Gény apprécie ma technique et elle ne tarde pas à avoir un autre orgasme. Elle jouit longuement et tout son corps tremble pendant que je continue de manger sa chatte. Je veux qu’elle jouisse plusieurs fois avant que je ne la baise. Son bassin gigote dans tous les sens et je m’agrippe fermement à elle pour que ma bouche ne quitte pas son sexe. Elle a plusieurs orgasmes successifs. Elle hurle son plaisir, puis son corps se cambre comme pour me repousser avant de se déplacer violemment pour échapper à ma bouche vorace. Je ne peux la retenir et elle s’effondre sur le lit.

Je ne lui laisse pas le temps de récupérer et je fourre rapidement ma queue palpitante dans sa chatte pleine de jus. Elle pousse, crie et commence à haleter dès que je la baise. Je lui défonce sa chatte comme un dingue, jusqu'à ce que j’éjacule dans son con de belle salope qui se verrouille sur ma bite dans un ultime orgasme. Nos jouissances sont tellement fortes que nous restons verrouillés, l’un sur l’autre, tant que nos sexes palpitent et répondent aux soubresauts de l’autre. Je suis encore novice en amour et en baise, mais je pense que je ne verrais jamais une femme autant jouir que ma Tatie et avoir plusieurs orgasmes coup sur coup !

« Alors, Tatie…, j’ai gagné…, je peux prendre ton petit cul… ? »

Tatie se met à rigoler franchement et me dit :

« Tu crois que tu as encore des forces pour le faire… ?
– Accorde-moi quelques minutes, puis montre-moi ton petit trou en écartant tes fesses et je serai de nouveau d’attaque ! »

Nous nous sommes caressés et embrassés pendant un bon moment, puis je fais mettre ma tante à quatre pattes pour lui glisser ma langue entre les fesses. Son petit trou estt tout propre après la douche et ma langue pénètre son anus le plus loin possible. Gény halète, gémit.

« OOOhhhhhh…, petit salopard ! Tu sais y faire ! »

Elle met une de ses mains dans sa chatte, pendant que je bouffe son trou du cul. C’est elle qui craque la première.

« Arrête de me taquiner et viens ! Encule ta salope de Tante ! »

Gény retient son souffle pendant la pénétration, mais une fois que je commence à me déplacer dans son cul, elle accompagne mes mouvements et elle pousse son cul vers moi quand je me renfonce dans son trou du cul. Nous sommes à l’unisson et Gény grogne de plus en plus vite.

« OUIIIIIIII, BERNARD ! C’est excellent… ! »

Je lui martèle son cul pendant que sa main s’occupe de sa chatte et on baise comme des bêtes.

« Ouiii ! Comme ça ! Plus fooorrrt… ! Donne-moi tout… ! AAAAAHHHHHH… ! Putain, que c’est boonnnn… ! Vas-y ! Je viens ! Jouis avec moi dans mon cul… ! »

Je voudrais bien prolonger cette baise, mais je ne peux pas. Dans un grand cri, j’éjacule tout le sperme qu’il me reste dans son conduit anal.

« AAAHHHH…, OUIIIII, je te sens ! OOOooohhh, mon dieu… ! AAAaaahhh, moi aussi…, je JOUIIIISSSS… ! »

J’ai du mal à maintenir ma queue dans son cul, je m’effondre sur elle qui s’écroule sur le lit et nous continuons à jouir pendant de longues minutes.

Totalement épuisés, nous restons allongés sur le lit et finissons par nous endormir.

Je l’ai encore baisée 3 fois avant que Martine ne rentre avec George et son père. Tatie m’a fait jurer de ne rien dire à sa fille si je voulais encore la baiser quand nous en aurons l’occasion.
Published by wolfie91
3 years ago
Comments
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ccandau
ccandau 1 month ago
la mère est encore plus chaude que la fille tu es un veinard 
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danyzzw
danyzzw 1 month ago
bandant
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TourneTonFilm
TourneTonFilm 1 year ago
très excitant cette histoire.. on aimerait tous avoir une tante aussi coquine...
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davidtoulouse
davidtoulouse 3 years ago
une tante bien sympathique !!
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chiefconsultant
chiefconsultant 3 years ago
Hell, I know I wouldn't tell and ruin a good thing!!
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