Encaisser
Le mot est vilain, il m'évoque l'argent qu'on me paierait -combien me demandent si je suis vénale- ou la boîte dans laquelle on m'enfermerait, et je suis justement hors classement. Mais c'est pourtant moi qui vais le dire, à ce grand gaillard baraqué, trapu, qui vient me voir aujourd'hui, dernier jour de cet arrêt ... où je n'ai décidément pas arrêté!
Alors oui, c'est bien moi qui lui dis, tu as vu, hein, comme j'encaisse bien? Oui, oh oui, tu encaisses bien, t'es trop bonne. Je lui plais tant, dans ma robe noire moulante, qu'il s'interrompt parfois juste pour me regarder, pétrir mon petit cul et mes seins de ses grandes mains, avant de se remettre à l'ouvrage. Dans le miroir, je le vois, derrière mon derrière (!), imposant, viril, un peu enrobé hélas, me donner de grands coups de reins. Et moi, penchée, bouche bée, souple, mince et blonde échevelée: j'encaisse!
Il doit me dépasser de 10 bons centimètres, quand il est debout, malgré mes talons. Sa queue? De longueur moyenne, mais très épaisse, avec un beau gland arrondi qui emplit ma bouche, alors que je lui offre une petite pause. Mais bien vite, il repart à l'assaut, infatigable, me faisant crier sans cesse, au bout de sa grosse bite, jusqu'à ce que je lui demande grâce. Il me caresse les épaules, les seins, les hanches, je le suce et il se branle, mais rien n'y fait. Par contre il est enchanté de sa visite, et nous nous quittons sur un sourire, et la promesse de se revoir. En attendant, c'est avec beaucoup plus de délicatesse que j'introduis mon godemichet dans mon cul, bien ouvert. Je prends le temps d'admirer ma tenue, mes formes, et de me souvenir des queues que j'ai prises cette semaine, et bien vite le plaisir m'emporte... Il ne reste qu'à tout ranger!
Mais malgré mes efforts, certaines traces demeurent. Je n'en reviens pas, le lendemain matin, lorsque ma compagne, moqueuse, me lance, alors que je sors de la douche: "tu as encore été faire des horreurs, hier?" Je n'y comprends rien! Narquoise, elle m'explique: "eh oui, mon poulet, tu as un beau bleu sur le cul!"
Encaissez, encaissez, il en restera toujours quelque chose.
Alors oui, c'est bien moi qui lui dis, tu as vu, hein, comme j'encaisse bien? Oui, oh oui, tu encaisses bien, t'es trop bonne. Je lui plais tant, dans ma robe noire moulante, qu'il s'interrompt parfois juste pour me regarder, pétrir mon petit cul et mes seins de ses grandes mains, avant de se remettre à l'ouvrage. Dans le miroir, je le vois, derrière mon derrière (!), imposant, viril, un peu enrobé hélas, me donner de grands coups de reins. Et moi, penchée, bouche bée, souple, mince et blonde échevelée: j'encaisse!
Il doit me dépasser de 10 bons centimètres, quand il est debout, malgré mes talons. Sa queue? De longueur moyenne, mais très épaisse, avec un beau gland arrondi qui emplit ma bouche, alors que je lui offre une petite pause. Mais bien vite, il repart à l'assaut, infatigable, me faisant crier sans cesse, au bout de sa grosse bite, jusqu'à ce que je lui demande grâce. Il me caresse les épaules, les seins, les hanches, je le suce et il se branle, mais rien n'y fait. Par contre il est enchanté de sa visite, et nous nous quittons sur un sourire, et la promesse de se revoir. En attendant, c'est avec beaucoup plus de délicatesse que j'introduis mon godemichet dans mon cul, bien ouvert. Je prends le temps d'admirer ma tenue, mes formes, et de me souvenir des queues que j'ai prises cette semaine, et bien vite le plaisir m'emporte... Il ne reste qu'à tout ranger!
Mais malgré mes efforts, certaines traces demeurent. Je n'en reviens pas, le lendemain matin, lorsque ma compagne, moqueuse, me lance, alors que je sors de la douche: "tu as encore été faire des horreurs, hier?" Je n'y comprends rien! Narquoise, elle m'explique: "eh oui, mon poulet, tu as un beau bleu sur le cul!"
Encaissez, encaissez, il en restera toujours quelque chose.
5 tháng trước đây