Un doigt et un poing dans le cul au resto

On l'aime cette balade dans la campagne au long de la rivière rafraîchissante. On la fait souvent. On n'y rencontre pas grand monde. Elle est chargée de souvenirs. Tu te souviens mon amour ? Tu te souviens de ce trou dans l'eau avec une petite plage ? Et de ce saule immense qui nous faisait de l'ombre ? Et de cette cabane de forestiers dans le bois pentu ? Et de cette petite auberge où nous nous sommes réfugiés pour échapper à la pluie ?

Le matin encore frais resplendissait. Une belle journée s'annonçait.
Nous étions prêts à partir pour le grand tour qui devait nous prendre la journée. Nous avions prévu un pique-nique pour le repas du midi au bord de la rivière. Nos tenues étaient légères, de saison. À ta demande, j'avais accepté de porter mon jean découpé à l'entrejambe. De la ceinture devant à la ceinture derrière, c'est ouvert. C'est si bien fait qu'on ne remarque rien. Ça se porte sans rien dessous. Et ça ne gêne pas pour marcher. On ne peut pas faire plus pratique. Pourquoi cette demande tout à coup ? Nous partons. Nos pas se règlent rapidement. Nous avons l'habitude de marcher ensemble. Comme c'est agréable.

Et puis je remarque ton étrange comportement. Tu ne marches pas, tu me tournes autour en avançant. Comme un prédateur autour de sa proie. Qu'est-ce que tu mijotes ? On avance et tu te rapproches. Je sens une main se poser sur mes fesses. Et elle les caresse. La main se déplace, elle cherche, elle trouve et s'insère dans le jean par l'ouverture. Elle caresse mon cul. Un doigt s'insinue entre mes fesses, trouve mon anus, le presse, cherche à s'introduire, insiste. Quoi ? un doigt à sec dès le matin ? Tu es rude. Et tu insistes encore. Tes efforts me touchent, je me cambre, je fais ressortir mon cul, je pousse. Ton doigt a compris, il saisit l'occasion et s'enfonce, il va et vient, il s'enfonce, s'enfonce. Continue, salope, tu me plais. C'est pour ça que tu voulais le pantalon. Mais ce n'est pas fini, je sens un deuxième doigt. C'est serré. Je te regarde, tu me souris innocemment. Ton regard contredit ton sourire, j'y vois de la rancœur, de la revanche. Je frémis d'inquiétude. Qu'ai-je fait ? Non, je me trompe, ce n'est pas ça. Et on marche toujours. Eh, quoi, un troisième doigt ? Là, ça ne va pas rentrer. Tu le sais que ce n'est pas possible. Mais tu forces, tu pousses, tu bouges les doigts pour élargir l'ouverture. Tu recules la main et tu enfonces d'un seul coup, fort. Tu recommences. Tu forces, tu pousses, ton bras se raidit. Les trois doigts sont rentrés. Oh saloperie, tu me déchires. Et ils vont et viennent, tu les sors, tu les rentres. Tu as gagné. Merci mon amour, tu as fait mieux que l'entraîner, tu l'as instruit (voir Notre balade préférée #1). Continue tes investigations mais en douceur parce que là pffou… Bientôt, tu mettras la main entière, tu verras. Merci mon amour. Mais je me suis arrêté et ça ne te plaît pas. Tu m'at tr apes par les couilles, tu les sors et tu tires en avant. Je suis, j'avance. Où nous emmènes-tu ? Mais la lumière a changé, de gros nuages noirs roulent dans le ciel, menaçants. On entend le tonnerre. Tu n'as pas envie de subir l'orage, tu connais un abri. Tu lâches mes couilles et tu remets tes trois doigts. Ça rentre tout seul. Ah! Et tu pousses « Avance. » Tu me guides par le cul, à gauche, à droite. Tu donnes de violents à-coups pour aller plus vite. Et je l'aperçois là-bas, je me souviens, la petite auberge à l'orée du bois. J'accélère, tu as du mal à suivre. Tu replies les doigts dans mon cul comme pour t'accrocher. Je te traîne.

Voilà l'auberge. À regret, tu retires tes doigts après avoir forcé une dernière fois. Tu me les mets dans la bouche. Je les suce avec reconnaissance. Tu m'as bien ouvert le cul, salope, merci. On va continuer mon amour. Tu vas me l'ouvrir en grand hein ? Elle est charmante cette auberge. Toute fleurie. Des petits rideaux aux fenêtres. De grosses poutres noircies par le temps. Et une bonne odeur de ragoût. On s'y sent déjà bien. On entre. La patronne nous accueille, l'homme est aux fourneaux. Quel accueil. Elle a un visage sans expression, un regard dur sous des sourcils épilés très fin. Son maquillage est noir, rouge et argenté. Sa coiffure est courte, blonde, la mèche raide. Elle est dans un tailleur strict et sombre qui la moule au plus près. Sa pochette est rouge. Ses seins tentent de faire exploser sa veste. Son cul tend le tissu à le rompre. On s'attend à la voir avec une cravache à la main. On se ferait battre volontiers, mais on la battrait volontiers aussi. Que fait cette femelle évocatrice dans ce coin perdu ? Comme la mante, elle attend sa proie ? Elle nous précède dans la salle. Elle a un cul imposant, bien proportionné, haut placé et chaque fesse tour à tour se soulève lorsqu'elle marche. Ses hanches sont larges. Elle nous propose une table ronde près d'une fenêtre qui donne sur le bois. Nous sommes les seuls clients. Nous avons commandé une soupe de légumes et une saucisse de Morteau à la purée. Le vin qu'elle nous a servi en guise de bienvenue est admirable. Elle apporte la soupière. Nous sert. S'enquiert d'un désir éventuel. Nous indique qu'elle fait des préparations en cuisine, mais que si nous avons besoin de quoi que ce soit, il nous suffit d'agiter cette clochette. Elle se retire. Ah, ça requinque une bonne soupe paysanne. Une idée me vient. Je te demande si tu connais chabrot. Non. C'est ajouter du vin rouge à ce qui reste de soupe au fond de l'assiette. Et boire ce mélange. On dit faire chabrot. Je te regarde intensément. Tu tressailles. Tu le sens, il se passe quelque chose. Mais quoi ? Chabrot ? Te voilà aux aguets. Je souris. Tu souris. Tout en buvant ma soupe, je t'explique. Tu es intéressée mais tu hésites. Et si on te surprenait ? Il me reste quelques cuillerées de soupe. Je te les montre, je t'encourage.

Je reçois quelque chose au visage. C'est ta culotte. Je te regarde, je la sens. C'est bien ta culotte. Je t'adresse un regard de reconnaissance. Je la sens à nouveau. J'y goûte. Ma queue se fait reconnaître. Tu es nue maintenant sous ta robe légère. Allez, quoi, vas-y, il n'y a personne. Tu es montée sur la table. Tu t'es accroupie au dessus de mon assiette. Et tu as lâché quelques petits traits de pisse par ta chatte velue. Assez, merci. Pendant que tu es là, je te fais remplir mon verre à eau. Je t'aide à redescendre de la table et je croise le regard de la patronne. Depuis combien de temps est-elle ici ? Elle n'a rien pu voir, ta robe était déployée sur tes jambes. Elle ne peut qu'imaginer. Elle ne dit rien. Je vois que sa curiosité a été éveillée. Elle vient voir, sans gêne, s'il ne nous manque rien. Elle croit que mon assiette est vide. Elle tend le bras pour la saisir. Je la laisse faire puis je la retiens par une légère pression sur le poignet. Une étincelle. Non, je n'ai pas fini. Elle sourit, suspend son geste, saisit la bouteille de vin, nous ressert. Elle a vu le verre de pisse. Elle s'éloigne. Je reprends ma cuiller. Je touille ce mélange de soupe et de ton urine. Je porte l'assiette à ma bouche, je bois. Ah! Je te regarde. Tu as l'air heureux en train de me regarder. Tu es aussi interrogative. Quoi ? Tu me montres ton assiette presque vide. Oh, la bouffée de désir. Mais comment faire ? La patronne est là. Il faut pourtant que je me décide. Ta demande est claire, je ne peux pas ne pas la satisfaire. Je me lève. En m'approchant de toi, je regarde la patronne au fond des yeux. Je suis près de ton assiette. La patronne ne cille pas. Je sors ma queue. Un sourcil a un léger tressaillement. Je vois la lutte dans sa tête. Et je pisse. Va-t-elle hurler ? Non. Elle mate. Je l'aime déjà. Tu me dis stop. Tu me fais aussi remplir ton verre. Tu prends ma queue, tu la portes à tes lèvres, pour la dernière goutte. Que va-t-elle faire ? Elle est travaillée, sur son visage passe une foule d'émotions. Elle se décide. Elle s'approche. À ton service, lui dis-je avec un sourire bienveillant et reconnaissant. Elle s'agenouille devant moi, saisit ma queue et l'amène à sa bouche. Elle l'avale tout entière. Elle pompe. Je lâche une petite goutte. Elle lève les yeux, ils sourient, ils appellent à plus. J'en lâche une deuxième. Je me laisse sucer un peu puis je laisse aller. Son regard s'illumine. Elle boit. Elle sort ma queue de sa bouche et s'arrose le visage. Je te regarde, tu mates, tu te masturbes. J'aimerais que tu participes. Je te le dis. Je touche ta chatte. Elle est déjà mouillée. Je lèche mon doigt tout en pissant sur la patronne. Elle se relève, me dit qu'elle ne savait pas qu'elle aimait ça, me remercie. Je prends son visage entre mes mains et je le lèche, j'assèche l'urine, je lui roule une pelle. Elle prends ma main, l'amène sous sa jupe et me fait toucher son sexe dodu. Pas de culotte. Woua, il est trempé, il coule, il glisse. J'ai soif. Je le lui dis. Elle s'apprête à aller chercher une nouvelle bouteille. Je l'arrête. Elle me regarde, elle comprend. Et elle aime comprendre. Elle soulève sa jupe et va s'asseoir au bord de mon siège. Elle écarte ses énormes cuisses. Son sexe dodu et mouillé lâche un jet d'urine. Arrête, attends. Je m'agenouille entre ses jambes. Je me cambre. Je regarde ce que tu fais. Tu as l'air ailleurs. Tu va bouger, oui ? Et tu te réveilles, tu vois mon cul. Il n'y a que ça qui peut te faire agir aujourd'hui. Tu te lèves. Je t'attends avec impatience. Je me retourne vers le gros con qu'elle me propose. Je lui dit de l'ouvrir. Elle écarte bien ses grosses lèvres. Je me lance, j'enfouis mon visage dans toute cette chair humide. Je lèche, je suce. Mais je veux autre chose. Je lui dit. On voit qu'elle a envie, qu'elle ne demande pas mieux. Mais ça ne sort pas, ça coince. Elle est désespérée. Elle pousse, elle se concentre. Rien. Ça y est, je sens ta main posée sur une de mes fesses. Je sens tes trois doigts qui s'enfoncent d'un seul coup à fond dans mon cul encore lâche. Et puis un petit bruit connu, un petit jet tremblant lui échappe. Elle se détend. Et le jet fuse, puissant, copieux. Sa chatte chante. Ta main va et vient. Elle guide le jet vers ma bouche. Je l'ouvre, on entend le bruit du remplissage. Ta main essaye de s'enfoncer encore plus. Je bois. Elle envoie le dernier jet. Que de bonheur. Je me lèche les moustaches. Elle prend ma tête entre ses mains, me fixe profondément et m'embrasse.

Depuis tout à l'heure, je voyais qu'elle regardait mon cul et ce que tu y faisais. Elle se lève et vient se placer à côté de toi derrière moi. Elle regarde ta main aller et venir, entrer et sortir. Elle soupire. Elle arrête ta main, la fait ressortir un peu et introduit le quatrième doigt dans mon cul. Elle apprend vite. Je le sens lorsque tu enfonces à nouveau. Oh putain, je suis écartelé. Ça tire, ça tend. J'ai peur que ça se déchire. Elle saisit ton poignet avec ses deux mains et pousse, elle pousse fort. Les quatre doigts sont dedans. Alors elle revient devant moi et me montre ses mains. Elle me demande ce que j'en pense. Jolies petites mains potelées. Oh, la vicieuse, je comprends. Et je comprends qu'elle comprend vite. Je me réjouis. Ça va peut-être passer. Essaye je lui dit. Essaye et réussit. Elle se replace derrière moi. Ta main sort. Je touche mon trou. J'y met trois doigts facilement. J'entends chuchoter. Eh, pas de chuchotements, les salopes. Elle dit tout haut « Je vais la lui mettre profond ». Une bonne résolution. Je sens une autre main se poser sur mes fesses. Et une main s'introduit sans dévier dans mon cul, directe, jusqu'au poignet. Elle ressort complètement. Elle rentre à nouveau entièrement. Et ça recommence. Que c'est bon. N'arrête pas je lui dis. Branle-moi je te demande. Tu saisis ma queue molle, tu la branles. Eh, elle aime ça, elle durcit un peu. Sa main continue dans mon cul. Elle a accéléré. Et puis elle s'arrête. Elle ressort. Une nouvelle idée ? Quelque chose de gros se pose sur mon anus. Qu'est-ce que c'est je demande. Mon poing dit-elle. Elle a deviné. Essaye s'il te plaît, mais pas de sang hein. Je reçois une grande claque sur une fesse. Vas-y, essaye, fais ce qu'il faut. Et son poing pèse sur mon trou. Il appuie. Il force. Mais il est trop gros. Elle le met en biais, un peu allongé. Ah! Ça rentre. Prend ton temps. Elle le fais rentrer doucement. Ça passe. Elle referme le poing à l'intérieur. Elle l'amène au bord et tire. Aïïïe! Le poing fermé sort. Salope! Et puisqu'il est sorti, elle s'arrange pour qu'il y rentre. Elle y arrive. Il entre, il sort. Il entre, il sort. Enfin, depuis le temps que j'attendais un bon poing dans le fion, c'est elle une inconnue qui me le fait. Tu t'es placé en face de ma queue et tu dis « Pisse. » Je pisse dans ta bouche. Sans problème. Mais la patronne s'agite. Elle sort son poing de mon cul. « C'est l'heure de l'apéro. Mon mari va arriver. » Nous émergeons. Nous comprenons. Nous nous rajustons. Et nous prenons congé. Avant que son mari arrive, je prends sa tête entre mes mains, je la regarde dans les yeux, je lui dit simplement merci et je l'embrasse.

Nous mangerons les saucisses une prochaine fois. Car il est certain que nous viendrons souvent déjeuner dans cette auberge surprenante.
Ким опубліковано: JeLesAimeSaggy
2 роки(-ів) тому
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