Premier récit: Lectures suggestives
Xhamster a supprimé mes récits. Voici le premier que j'aie publié sur le site.
Lectures suggestives
Jour de grève à la fac…
Pas de cours.
Le bâtiment est presque désert et les couloirs ont un air glauque et désolé.
Seule la médiathèque est encore ouverte. J’ai donc fixé un rendez-vous à une autre étudiante pour que nous préparions un exposé.
Je suis presque à la porte de la salle de lecture quand mon portable vibre…
- Allo, Anna ? Oh, je suis vraiment désolée, mais je ne pourrai pas venir travailler avec toi. Je ne me sens pas bien ce matin.
Après les encouragements d’usage à ma copine, je coupe et j’entre tout de même dans la bibliothèque. Quelques étudiants sont déjà au travail, mais l’espace paraît très vide. Ca n’est pas très encourageant !
J’erre entre les rayonnages, ouvrant un livre par-ci, par-là, sans enthousiasme.
Je me trouve dans le secteur de la littérature française, tout aussi désert que les autres. Je regarde avec une certaine nostalgie quelques titres d’ouvrages que j’ai étudiés au lycée. De bons souvenirs, en fait !
Je suis perdue dans mes pensées lorsque j’entends une voix féminine derrière moi.
- Bonjour. Tu veux que je t’aide à faire ton choix ? Je suis étudiante en lettres.
Je me retourne un peu stupéfaite, mais je reste sans voix devant la fille qui m’a ainsi interpelée. Une grande blonde, un peu forte, avec des yeux bleus extraordinaires… Elle possède également un doux sourire qui favorise le dialogue. Un visage d’ange, en fait. Elle se présente immédiatement.
- Je suis Justine.
- Moi, Anna. J’accepte ta proposition. Pourquoi pas ? J’étudie l’anglais et je ne suis pas si cultivée dans ma propre langue. C’est un peu bête, non ?
- Pas du tout. C’est normal. Moi aussi je découvre chaque jour mes lacunes, tu sais. Mais je te propose de te montrer ce qu’on n’étudie pas dans les cours de fac. Tu veux ?
- Bien sûr, ce doit être moins ennuyeux, je suppose…
Elle sort du rayonnage un livre à la couverture plutôt abîmée. De loin, je peux tout de même déchiffrer le titre : Deux filles et leur mère, d’un auteur complètement inconnu de moi. Je dois faire une grimace à cette lecture peu encourageante car elle réagit aussitôt.
- Attends, j’ouvre au hasard et je te lis quelques lignes. Tu verras qu’il ne faut pas se fier à ce titre.
Elle prononce en un murmure presque imperceptible :
« Thérèse commença en prenant une fraise qu’elle trempa entre les grandes lèvres avant de la manger. Violette en fit de même. Tour à tour, les deux femmes mangèrent le dessert de cette façon. Le plat terminé, Violette lui suça les seins pendant que Thérèse lui léchait la vulve. Il ne fallut guère de temps à Julie pour jouir. Thérèse recueillit avec plaisir sur la langue l’agréable mélange de mouille, de crème et de fraises écrasées. »
Puis reprenant sur le ton de la conversation :
- Alors, ça te plaît ?
Je reste silencieuse, abasourdie non seulement par le contenu si inattendu du livre, mais aussi par l’aplomb de cette fille au visage angélique, qui ose me lire, alors que nous ne nous connaissons pas, un tel extrait !
- Si tu veux, je t’invite dans ma chambre pour découvrir d’autres extraits. C’est à la Cité U, juste en face…
Comme je reste silencieuse, elle me prend la main et me guide vers la sortie.
Nous sommes dehors maintenant. Nous traversons l’esplanade du campus. Il fait froid. Justine marche quelques pas devant moi, assez vite. Elle se retourne souvent vers moi et me jette des regards inquiets pour vérifier que je la suis bien. Je me laisse guider, partagée entre une légère inquiétude et un désir obscur qui me pousse à prolonger cette expérience.
Nous entrons dans le bâtiment de la Cité U. Encore ces couloirs gris et délabrés. Encore ce sentiment d’abandon…
Nous montons deux étages à pied et nous nous retrouvons devant la porte 22. Justine ouvre et là, changement d’atmosphère. L’entrée est claire et accueillante avec une kitchenette à droite et la salle de bain à gauche. Nous suspendons nos manteaux, déposons nos sacs à main et enlevons nos chaussures.
La pièce principale est bien plus grande que je ne pensais. Un canapé-lit le long du mur ; une table basse et un petit fauteuil lui font face. Dans un coin un petit bureau surmonté d’une bibliothèque très fournie. Des fleurs dans un vase. Les parois sont repeintes de neuf et couvertes de nombreuses photos en noir et blanc, délimitées par des cadres aux baguettes d’acier. Le soleil d’hiver éclaire l’ensemble à travers une large baie vitrée.
Pendant que j’observe les images suspendues – des paysages parisiens, des visages, quelques nus – Justine nous prépare un thé au jasmin. Je m’installe sur le canapé au milieu de multiples coussins et elle se place devant moi dans le petit fauteuil. Nous sirotons en silence notre boisson chaude, puis elle tire de son sac le fameux livre qu’elle a emprunté en quittant la médiathèque. Elle l’ouvre au hasard et reprend la lecture pendant que je l’observe.
« La jouissance l’envahissait inexorablement. Violette soupirait en poussant des plaintes semblables à celles d’une chatte en chaleur. Elle obéit machinalement lorsque sa mère la fit s’agenouiller en avançant vers elle, ses seins en forme de poire qui ballotaient au-dessus de son visage… »
Dans sa propre chambre Justine a une voix plus forte et assurée. Elle lit son texte non dénué de perversion tout en conservant son expression parfaitement angélique. J’ai, quant à moi, bien du mal à conserver cette sérénité. Des images excitantes traversent mon esprit. Ma respiration manque de régularité. J’ai envie de me caresser devant elle, ce que je n’ose pas faire.
« … Rose avait entièrement fourré son doigt dans le cul qui s’était peu à peu dilaté. Oubliant totalement où elle se trouvait, Violette jouit en râlant un peu plus fort. Ninon retira son doigt trempé pour le porter à sa bouche. Elle goûta avec volupté la saveur marine de la mouille de sa fille… »
Parvenue à ce point de sa lecture et ayant observé discrètement le trouble qui m’habite, Justine me tend son livre.
- A toi de jouer. Montre-moi comment tu es capable, à ton tour, de prononcer des paroles si suggestives…
Je tends une main un peu tremblante et je commence à m’exécuter.
« Elle n’avait plus sur elle que des bas à jarretières noirs. Et surtout, elle était installée à genoux, de dos par rapport à Gérard, sur le canapé… »
Ma voix, au début, manque d’assurance car ce sont des mots que j’ai pu parcourir des yeux ou employer dans des situations rêvées, mais que ma pudeur naturelle ne m’a jamais permis de dire à haute voix. Heureusement, ma crainte de paraître ridicule devant Justine me pousse peu à peu à me concentrer et à mieux traduire le charme vénéneux du texte.
«… Entre ses cuisses écartées, sa vulve charnue s’exhibait impudiquement sous les poils clairs. Cette posture a****le troubla aussitôt Violette qui fourra une main sous sa jupe. Elle imita quasiment la femme qui, elle aussi, avait engagé un doigt dans son con pour se stimuler… »
Justine qui, jusqu’à présent, est restée totalement immobile sur son fauteuil, se lève et se place à genoux devant moi. Elle soulève délicatement ma jupe plissée et révèle ma petite culotte en dentelle noire ainsi que le haut de mes bas. Du bout de ses doigts, elle caresse délicatement la partie découverte de mes cuisses. A ce contact, ma respiration s’accélère de nouveau et ma voix manque de chavirer, mais j’ai une sorte de réflexe me poussant à considérer que ce premier contact sensuel est aussi un défi. Je m’applique donc à continuer ma lecture comme si de rien n’était.
«… sans vraiment réfléchir, elle rejoignit sa chambre et retira avec des gestes fébriles son jupon et sa culotte. Nue sous sa jupe, elle ouvrit son corsage jusqu’au bas des seins… »
Mais Justine n’en reste pas là. Elle glisse ses mains sous mes fesses, les attire au plus près du bord de l’assise du canapé puis elle tire sur le tissu de ma culotte, la fait remonter lentement le long de mes cuisses, de mes genoux, de mes chevilles et de mes pieds. Elle porte alors la culotte à son visage et, tout en m’observant intensément, hume mon parfum intime. Maintenant motivée par la relation étrange de désir et de défi qui s’est instaurée entre nous, je m’obstine à poursuivre ma lecture.
«… Violette colla la bouche sur la vulve d’Odile qui en fit de même sur la sienne. Elle mâchait le sexe qui exhalait une forte odeur marine. Sa partenaire avait glissé sa langue dardée dans son vagin d’où suintait une mouille déjà abondante… »
Alors, Justine saisit mes chevilles, les soulève à la hauteur du bord du canapé et les écarte, ce qui lui permet d’avoir une vision totale de ma vulve dénudée et offerte. Elle approche son visage et je sens le contact de sa langue qui se lance dans l’exploration des parties les plus secrètes de mon anatomie. Je dois admettre qu’à ce moment, ma respiration devient plus saccadée et que ma lecture est entrecoupée de petits gémissements incontrôlables. J’ai du mal à ne pas me laisser déconcentrer par certains bruits de succion qui me confirment que je mouille en abondance. D’ailleurs Justine ne se contente pas d’y goûter, elle semble vouloir s’enduire le nez, le menton et le front de ma liqueur vaginale. Elle frotte son visage de façon pressante à mon entrejambe, ce qui déclenche au plus profond de moi des ondes de plaisir de plus en plus puissantes. Submergée par l’intensité de telles sensations, j’en oublie le livre et je ferme les yeux en gémissant, ouverte et totalement offerte à celle qui a su peu à peu s’emparer de ma volonté.
Soudain, la porte d’entrée s’ouvre avec fracas. Effarée, je tourne la tête et je vois un homme d’une trentaine d’années dans l’encadrement. Il montre un visage furieux. Il claque la porte et se dirige vers nous. Justine se lève en affichant une expression coupable. L’individu la saisit vigoureusement aux épaules et crie :
- Mais, qu’est-ce qui se passe ici ?
Puis se souvenant de ma présence, il se tourne brièvement vers moi et hurle :
- Casse-toi, salope !
Totalement en panique, je me dirige précipitamment vers la sortie. Je ramasse mon sac, je décroche mon manteau et j’ouvre la porte qui doit me libérer de cette situation effrayante… En sortant, je jette un dernier coup d’œil au couple resté debout et étrangement silencieux. L’homme maintient encore Justine par les épaules, mais tout signe de v******e a disparu : je découvre, stupéfaite, qu’il lèche docilement le visage angélique de la jeune femme encore brillant de ma cyprine. Justine, quant à elle, caresse une énorme verge extraite du pantalon de son partenaire.
A leurs pieds gît ma petite culotte en dentelle noire…
Lectures suggestives
Jour de grève à la fac…
Pas de cours.
Le bâtiment est presque désert et les couloirs ont un air glauque et désolé.
Seule la médiathèque est encore ouverte. J’ai donc fixé un rendez-vous à une autre étudiante pour que nous préparions un exposé.
Je suis presque à la porte de la salle de lecture quand mon portable vibre…
- Allo, Anna ? Oh, je suis vraiment désolée, mais je ne pourrai pas venir travailler avec toi. Je ne me sens pas bien ce matin.
Après les encouragements d’usage à ma copine, je coupe et j’entre tout de même dans la bibliothèque. Quelques étudiants sont déjà au travail, mais l’espace paraît très vide. Ca n’est pas très encourageant !
J’erre entre les rayonnages, ouvrant un livre par-ci, par-là, sans enthousiasme.
Je me trouve dans le secteur de la littérature française, tout aussi désert que les autres. Je regarde avec une certaine nostalgie quelques titres d’ouvrages que j’ai étudiés au lycée. De bons souvenirs, en fait !
Je suis perdue dans mes pensées lorsque j’entends une voix féminine derrière moi.
- Bonjour. Tu veux que je t’aide à faire ton choix ? Je suis étudiante en lettres.
Je me retourne un peu stupéfaite, mais je reste sans voix devant la fille qui m’a ainsi interpelée. Une grande blonde, un peu forte, avec des yeux bleus extraordinaires… Elle possède également un doux sourire qui favorise le dialogue. Un visage d’ange, en fait. Elle se présente immédiatement.
- Je suis Justine.
- Moi, Anna. J’accepte ta proposition. Pourquoi pas ? J’étudie l’anglais et je ne suis pas si cultivée dans ma propre langue. C’est un peu bête, non ?
- Pas du tout. C’est normal. Moi aussi je découvre chaque jour mes lacunes, tu sais. Mais je te propose de te montrer ce qu’on n’étudie pas dans les cours de fac. Tu veux ?
- Bien sûr, ce doit être moins ennuyeux, je suppose…
Elle sort du rayonnage un livre à la couverture plutôt abîmée. De loin, je peux tout de même déchiffrer le titre : Deux filles et leur mère, d’un auteur complètement inconnu de moi. Je dois faire une grimace à cette lecture peu encourageante car elle réagit aussitôt.
- Attends, j’ouvre au hasard et je te lis quelques lignes. Tu verras qu’il ne faut pas se fier à ce titre.
Elle prononce en un murmure presque imperceptible :
« Thérèse commença en prenant une fraise qu’elle trempa entre les grandes lèvres avant de la manger. Violette en fit de même. Tour à tour, les deux femmes mangèrent le dessert de cette façon. Le plat terminé, Violette lui suça les seins pendant que Thérèse lui léchait la vulve. Il ne fallut guère de temps à Julie pour jouir. Thérèse recueillit avec plaisir sur la langue l’agréable mélange de mouille, de crème et de fraises écrasées. »
Puis reprenant sur le ton de la conversation :
- Alors, ça te plaît ?
Je reste silencieuse, abasourdie non seulement par le contenu si inattendu du livre, mais aussi par l’aplomb de cette fille au visage angélique, qui ose me lire, alors que nous ne nous connaissons pas, un tel extrait !
- Si tu veux, je t’invite dans ma chambre pour découvrir d’autres extraits. C’est à la Cité U, juste en face…
Comme je reste silencieuse, elle me prend la main et me guide vers la sortie.
Nous sommes dehors maintenant. Nous traversons l’esplanade du campus. Il fait froid. Justine marche quelques pas devant moi, assez vite. Elle se retourne souvent vers moi et me jette des regards inquiets pour vérifier que je la suis bien. Je me laisse guider, partagée entre une légère inquiétude et un désir obscur qui me pousse à prolonger cette expérience.
Nous entrons dans le bâtiment de la Cité U. Encore ces couloirs gris et délabrés. Encore ce sentiment d’abandon…
Nous montons deux étages à pied et nous nous retrouvons devant la porte 22. Justine ouvre et là, changement d’atmosphère. L’entrée est claire et accueillante avec une kitchenette à droite et la salle de bain à gauche. Nous suspendons nos manteaux, déposons nos sacs à main et enlevons nos chaussures.
La pièce principale est bien plus grande que je ne pensais. Un canapé-lit le long du mur ; une table basse et un petit fauteuil lui font face. Dans un coin un petit bureau surmonté d’une bibliothèque très fournie. Des fleurs dans un vase. Les parois sont repeintes de neuf et couvertes de nombreuses photos en noir et blanc, délimitées par des cadres aux baguettes d’acier. Le soleil d’hiver éclaire l’ensemble à travers une large baie vitrée.
Pendant que j’observe les images suspendues – des paysages parisiens, des visages, quelques nus – Justine nous prépare un thé au jasmin. Je m’installe sur le canapé au milieu de multiples coussins et elle se place devant moi dans le petit fauteuil. Nous sirotons en silence notre boisson chaude, puis elle tire de son sac le fameux livre qu’elle a emprunté en quittant la médiathèque. Elle l’ouvre au hasard et reprend la lecture pendant que je l’observe.
« La jouissance l’envahissait inexorablement. Violette soupirait en poussant des plaintes semblables à celles d’une chatte en chaleur. Elle obéit machinalement lorsque sa mère la fit s’agenouiller en avançant vers elle, ses seins en forme de poire qui ballotaient au-dessus de son visage… »
Dans sa propre chambre Justine a une voix plus forte et assurée. Elle lit son texte non dénué de perversion tout en conservant son expression parfaitement angélique. J’ai, quant à moi, bien du mal à conserver cette sérénité. Des images excitantes traversent mon esprit. Ma respiration manque de régularité. J’ai envie de me caresser devant elle, ce que je n’ose pas faire.
« … Rose avait entièrement fourré son doigt dans le cul qui s’était peu à peu dilaté. Oubliant totalement où elle se trouvait, Violette jouit en râlant un peu plus fort. Ninon retira son doigt trempé pour le porter à sa bouche. Elle goûta avec volupté la saveur marine de la mouille de sa fille… »
Parvenue à ce point de sa lecture et ayant observé discrètement le trouble qui m’habite, Justine me tend son livre.
- A toi de jouer. Montre-moi comment tu es capable, à ton tour, de prononcer des paroles si suggestives…
Je tends une main un peu tremblante et je commence à m’exécuter.
« Elle n’avait plus sur elle que des bas à jarretières noirs. Et surtout, elle était installée à genoux, de dos par rapport à Gérard, sur le canapé… »
Ma voix, au début, manque d’assurance car ce sont des mots que j’ai pu parcourir des yeux ou employer dans des situations rêvées, mais que ma pudeur naturelle ne m’a jamais permis de dire à haute voix. Heureusement, ma crainte de paraître ridicule devant Justine me pousse peu à peu à me concentrer et à mieux traduire le charme vénéneux du texte.
«… Entre ses cuisses écartées, sa vulve charnue s’exhibait impudiquement sous les poils clairs. Cette posture a****le troubla aussitôt Violette qui fourra une main sous sa jupe. Elle imita quasiment la femme qui, elle aussi, avait engagé un doigt dans son con pour se stimuler… »
Justine qui, jusqu’à présent, est restée totalement immobile sur son fauteuil, se lève et se place à genoux devant moi. Elle soulève délicatement ma jupe plissée et révèle ma petite culotte en dentelle noire ainsi que le haut de mes bas. Du bout de ses doigts, elle caresse délicatement la partie découverte de mes cuisses. A ce contact, ma respiration s’accélère de nouveau et ma voix manque de chavirer, mais j’ai une sorte de réflexe me poussant à considérer que ce premier contact sensuel est aussi un défi. Je m’applique donc à continuer ma lecture comme si de rien n’était.
«… sans vraiment réfléchir, elle rejoignit sa chambre et retira avec des gestes fébriles son jupon et sa culotte. Nue sous sa jupe, elle ouvrit son corsage jusqu’au bas des seins… »
Mais Justine n’en reste pas là. Elle glisse ses mains sous mes fesses, les attire au plus près du bord de l’assise du canapé puis elle tire sur le tissu de ma culotte, la fait remonter lentement le long de mes cuisses, de mes genoux, de mes chevilles et de mes pieds. Elle porte alors la culotte à son visage et, tout en m’observant intensément, hume mon parfum intime. Maintenant motivée par la relation étrange de désir et de défi qui s’est instaurée entre nous, je m’obstine à poursuivre ma lecture.
«… Violette colla la bouche sur la vulve d’Odile qui en fit de même sur la sienne. Elle mâchait le sexe qui exhalait une forte odeur marine. Sa partenaire avait glissé sa langue dardée dans son vagin d’où suintait une mouille déjà abondante… »
Alors, Justine saisit mes chevilles, les soulève à la hauteur du bord du canapé et les écarte, ce qui lui permet d’avoir une vision totale de ma vulve dénudée et offerte. Elle approche son visage et je sens le contact de sa langue qui se lance dans l’exploration des parties les plus secrètes de mon anatomie. Je dois admettre qu’à ce moment, ma respiration devient plus saccadée et que ma lecture est entrecoupée de petits gémissements incontrôlables. J’ai du mal à ne pas me laisser déconcentrer par certains bruits de succion qui me confirment que je mouille en abondance. D’ailleurs Justine ne se contente pas d’y goûter, elle semble vouloir s’enduire le nez, le menton et le front de ma liqueur vaginale. Elle frotte son visage de façon pressante à mon entrejambe, ce qui déclenche au plus profond de moi des ondes de plaisir de plus en plus puissantes. Submergée par l’intensité de telles sensations, j’en oublie le livre et je ferme les yeux en gémissant, ouverte et totalement offerte à celle qui a su peu à peu s’emparer de ma volonté.
Soudain, la porte d’entrée s’ouvre avec fracas. Effarée, je tourne la tête et je vois un homme d’une trentaine d’années dans l’encadrement. Il montre un visage furieux. Il claque la porte et se dirige vers nous. Justine se lève en affichant une expression coupable. L’individu la saisit vigoureusement aux épaules et crie :
- Mais, qu’est-ce qui se passe ici ?
Puis se souvenant de ma présence, il se tourne brièvement vers moi et hurle :
- Casse-toi, salope !
Totalement en panique, je me dirige précipitamment vers la sortie. Je ramasse mon sac, je décroche mon manteau et j’ouvre la porte qui doit me libérer de cette situation effrayante… En sortant, je jette un dernier coup d’œil au couple resté debout et étrangement silencieux. L’homme maintient encore Justine par les épaules, mais tout signe de v******e a disparu : je découvre, stupéfaite, qu’il lèche docilement le visage angélique de la jeune femme encore brillant de ma cyprine. Justine, quant à elle, caresse une énorme verge extraite du pantalon de son partenaire.
A leurs pieds gît ma petite culotte en dentelle noire…
3 роки(-ів) тому