13 - Mary et le gourdin noir

Mots-clefs : blacks, fête en soirée.


J’étais redevenue célibataire après une histoire qui aurai pu être belle s'il n’avait pas fait des conneries, mais passons, j’avais des amies pour me remonter le moral ! Aurélie m’annonça un jour qu’il y avait une soirée zouk samedi prochain et décida de m’embarquer, en me disant qu’il y aurait forcément de beaux mâles pour en profiter un peu.

- «On va vérifier si ce qu’on dit sur les blacks est vrai...» me glissa-t-elle à l’oreille, d’un air complice.

La soirée de juin s’annonça chaude, je m’habillai en tenue assez légère, assez sexy, tout comme Aurélie qui nous conduisait à la boîte de nuit. Nous devions être au goût du videur car il nous laissa passer gratis en nous souhaitant une bonne soirée, et en nous reluquant attentivement. Aurélie était un peu plus grande que moi, blonde, une poitrine un peu plus petite, mais elle attirait plus les regards que moi, sans doute par sa chevelure blonde et ses yeux bleus. Pourtant, après quelques danses et une consommation, nous nous faisions aborder l’une et l’autre assez facilement. Il faut dire, deux nanas célibataires plutôt pas mal (oui, je me lance des fleurs, mais je connais mes atouts) entourées de mecs, ça attire le regard… Aurélie se faisait draguer par un bel Antillais, et leur danse devenait plus collée-serrée. Moi, je n’avais pas trouvé celui qui me plairait, mais ça n’allait pas tarder. Quand un black m’apporta un verre de punch. Il faisait au moins 1m90, large d’épaule et plutôt musclé, à en croire les muscles qui se dessinaient sous son tee-shirt. Il me colla lors d’une danse, ses mains posées sur mes fesses, mes mains touchaient son torse, oui, il était vraiment très musclé. Aurélie me fit un signe complice, et me dit qu’elle allait finir la soirée avec son amant d’un soir :

- «Teste bien la marchandise» me dit elle.

Doumia - c’était mon partenaire - m’offrit un second verre, et me demanda sans équivoque si j’étais partante pour venir chez lui et finir la nuit. L’alcool aidant, et la curiosité, l’excitation faisant le reste, j’acceptai volontiers. On quitta la boite de nuit et les rythmes endiablés pour aller chez lui. En conduisant, il jeta des regards en direction de mes jambes et de ma jupe qui était bien courte. Il posa sa main sur ma cuisse gauche, et remonta lentement vers mon entrejambe, j’eus des frissons… On arriva chez lui, il ouvrit la porte et me laissa entrer, c’était assez spacieux, un salon assez grand, avec une belle baie vitrée, Puis il vient se coller derrière moi, caressant mon ventre puis ma poitrine, en me complimentant. Il passa ses mains sous mon top, soulevant mon soutien gorge, et pinçant leur pointe… Je laissai un soupir de plaisir s’échapper. Je sentis également une belle bosse contre mes fesses. Il retira mon haut, et je me retournai pour goûter à ses lèvres, notre baiser fut long et passionné, je baladais mes mains partout sur son torse, il fit de même, les laissant sur mes fesses, remontant à mes seins. Puis, j’ose. Une de mes mains glissa vers son entrejambe, et toucha ce que je pris plus tôt pour une bosse, c’était vraiment très long et ça se poursuivait le long de sa cuisse. Mon dieu… Je m’agenouillai devant lui et défis son pantalon, je pus voir à travers un boxer très moulant un véritable gourdin de plus de 20 cm. Je jetai un œil vers ses yeux, il semblait très sûr de lui, me disant que j’étais bien curieuse. Je lui souris, et retirai son boxer ! Je n’avais jamais vu ça ! Enorme ! Une véritable matraque noire s’échappa de son boxer. J’étais stupéfaite, je n’osais plus rien faire, ni toucher, ni bouger.

- «Tu n’as jamais vu ça ?»
- «Non, jamais, elle est énorme…»
- «N’ai pas peur, touche-la, touche-la comme elle est douce.»

Je posai mes doigts sur sa queue, et la caressai. Il avait raison, elle était douce et durcissait doucement sous mes caresses. Je n’arrivais pas à faire le tour avec ma main ! Je ne pus m’empêcher de lui demander combien elle faisait. Il me répondit, 26cm, et plus de 7cm de diamètre. Je ne savais que faire avec un tel engin, ça allait me déchirer ma petite chatte… Son énorme gourdin était maintenant tendu vers mon visage. Je n’allais pas me dégonfler malgré la peur que cette monstrueuse queue me faisait. Je me décidai à la lécher, je passai ma langue de la base de sa queue et remontai tout le long vers son gland majestueux. Je fis plusieurs allers-retours, mais je sentis que Doumia en voulait plus car il me dit :

- «Suce-la, goûte-la.»

J’ouvris ma petite bouche et tentai de prendre son gland qui me déforma la bouche comme jamais. Je tentai de prodiguer une belle fellation , et petit à petit je pris la mesure de ce gourdin. Je sentis Doumia prendre de plus en plus de plaisir, ses mains dans mes cheveux, ses encouragements, ses gémissements, Je me lâchais moi aussi. J’avalais progressivement un peu plus son sexe, à son grand plaisir…

- «Tu vois, tu y arrives…»

C’est vrai qu’une telle queue me faisait peur, mais m’excitait terriblement aussi. Je remontai légèrement afin de glisser sa queue entre mes seins, pas la peine cette fois de les serrer, je compris qu’il appréciait mon 95C.

- «Hmm, t’es parfaite, suce-la en même temps.»

Ce que je fis aussitôt. Son gourdin glissait entre mes seins et son gland s’enfonçait dans ma bouche. Puis il me souleva, une fois debout, il retira ma jupe et mon tanga, on s’installa sur son canapé. Il me fit écarter les cuisses et s’installa entre mes jambes pour me lécher ma petite chatte qui mouillait déjà beaucoup. Ses mains sur mes seins, titillant les pointes, sa langue gourmande me léchant, me pénétrant… Puis il glissa un doigt, puis deux, avant de me présenter son gland à l'entrée de ma chatte.

- «Ne t’inquiète pas, je vais venir doucement…»

Je serrai un peu les dents, mais ne pus retenir un cri de plaisir quand sa queue me pénétra. Il s’enfonça doucement, puis s’arrêta, comme pour me laisser le temps d’apprécier de me faire à la taille de son sexe. Puis il reprit le rythme, s’enfonçant, et se retirant… A chaque aller-retour, je poussais des cris de plaisir, son sexe me remplissant complètement. Doumia était si craquant que je me laissai faire. Il s’installa derrière moi, allongé sur le côté, et pénétra à nouveau mon minou mais un peu plus vite. Il pouvait ainsi agripper mes seins et jouer avec. Je sentis ses bras musclés écarter mes cuisses, ses mains puissantes malaxer mes gros seins.

- «T’es super bonne, Mary…»
- «Hmmm, continue… prends-moi… hmmm ta bite….»
- «Ne t’inquiète pas. La soirée ne fait que commencer…»
- «Hmmm oui, prends-moi fort…»

Il se retira, m’attrapa par les hanches et me porta jusqu’à sa chambre. Je devais être très légère dans ses bras musclés. Il s’allongea, et je compris qu’il voulait que je m’empale sur sa queue… Je le chevauchai, sa belle bite coulissait en moi. Ce fut à la fois tendre et puissant. Ces coups de queue me faisaient prendre un pied incroyable, la grosseur de son gourdin me limait comme jamais. Le rythme s’accéléra, je ne pouvais tenir, je criais de plus en plus, ses mains accrochaient mes fesses, me forçant à accélérer, sa queue me pénétrait complètement, Je sentis qu’il allait venir. Moi, j’allais de jouissance en jouissance. Il se retira pour me faire mettre à genou et éjacula sur mes gros seins ainsi que dans ma bouche. Je pris son sperme comme une offrande ! On s’installa dans son lit, je repris un peu mes esprit, la tête posée sur ses pectoraux, je passai ma main sur son ventre :

- «Je suis ton premier black ?»
- «Oui… C’est vraiment impressionnant…»
- «Pourtant on a été sage…»

En effet, les pénétrations n’étaient pas violentes, seulement la taille de son sexe avait fait le reste !

- «Je n’avais jamais imaginé qu’une queue pouvait être si grosse.»
- «Merci mais tu sais, tous les blacks n’ont pas ça.»
- «J’ai de la chance alors…»
- «Oui, moi aussi.»
- «Et pourquoi ?»
- «Tu as une poitrine magnifique et un cul de rêve… un cul à blacks.»
- «Un cul à blacks ?»
- «Oui… tu vas comprendre un peu plus tard …Dis moi une nana comme toi, ça a un mec ?»
- «Ça avait…»
- «Ah ?» me dit-il ennuyé, que s’est il passé ?»
- «Il m’a trompé, il attend un gamin avec une autre alors qu’on parlait de vivre ensemble…»
- «Et du coup tu te venges ?»
- «Oui, et j’en profite…»

Je caressais doucement son sexe qui malgré la période de repos était toujours d’une taille impressionnante. Son sexe posé sur son ventre arrivait presque à mon visage :

- «Tu aimes ma queue ?»
- «Oh oui ! Ca se voit tant que ça ?»
- «Relèche-la. Suce-la encore…On va envoyer une belle photo à ton ex !»

Il prit son portable et prit une ou deux photos avec son sexe entre mes lèvres.

- «Donne-moi son numéro, on va le rendre jaloux.»

Je le lui donnai, puis je repris sa queue entre mes mains, puis dans ma bouche, son gros gland me déforma de nouveau la bouche et les joues.

- «Suce-la… Oui …Comme ça… Mary qui aime les sexes noirs…»
- «Hmmm.»
- «On va envoyer quelques photos à ton ex…»

Il me caressa le dos, le bas du dos, puis les fesses…

- «Oui occupe-toi de mon sexe, je vais m’occuper de ton cul…Puisque tu aimes en profiter, tu vas être servie !»

Son ton avait changé. Doumia avait maintenant une main dans mes cheveux, ne me laissant que la possibilité de le sucer et l'autre main caressant mes fesses et ma chatte.

- «Tu vas voir que les blacks savent baiser les blanches. Suce-moi Mary, prends ma queue dans ta petite bouche.»

Son gland s’enfonça plus loin, j’étouffais, je bavais mais il ne lâcha pas son emprise. Il se mit à genoux, guida ma bouche sur sa queue, me tenant par les cheveux. Que faire face à cette montagne de muscles ? Rien sinon abdiquer… Il me déforma les joues, me tenant le plus longtemps possible, son large gourdin dans la bouche.

- «T’es vraiment une bonne cochonne, une suceuse de bite !»

Son sexe se retira enfin, mais il me tenait toujours les cheveux, il passa derrière moi, sa queue vint se frotter à mon minou toujours trempé du dernier assaut.

- «Maintenant que tu es habituée à la taille, on va passer la vitesse supérieure.»

Et il me pénétra d’un coup ! Je crus m’évanouir… Le salaud !

- «Je vais te baiser comme une salope, une grosse salope de blanche. Hein, t’es une cochonne ?»
- «Oui, je suis une … hmmmm… cochonne… hmmmm.»
- «Parfait, tu apprends vite. Prends ça !»

Et il me fessa violemment les fesses ! Ses assauts étaient violents, son bassin cognait violemment contre mes fesses, je hurlais véritablement sous ses coups de butoir.

- «Salope !»
- «Oui !»

Je sentis ses doigts glisser entre mes fesses, et titiller son petit trou, il retira son gourdin de ma chatte, j’étais toujours à quatre pattes, mes fesses dressées, il passa une main son mon sexe gonflé et trempé, l’enfonça sous mes gémissements. Je n’avais jamais pensé être manipulée et dirigée, mais depuis quelques temps j’aimais de plus en plus être soumise… Il continua ses va-et-vient et cracha entre mes fesses puis les lécha. Il me donna un de ses doigts à sucer, je le pris en bouche comme si c’était une queue, le suçant, l’aspirant, le mouillant de ma salive… Puis il vint titiller mon petit orifice avec ce doigt, enfonça une phalange, puis deux… Un soupir de plaisir s’échappa de ma bouche.

- «Hmm, un cul à blacks, c’est bien ce que je disais.»

Il me ramona entre mes fesses avec son doigt, puis en colla un deuxième. Oui, je voulais qu’il vienne en moi !

- «Viens, encule-moi, prends mon cul !»
- «Je vais défoncer ton cul de salope.»

Et il s’installa derrière moi, j’avais oublier un instant la taille de l’engin, mais Doumia me le rappela en tapotant mes fesses avec son gourdin.

- «Toutes les femmes rêvent d’avoir ça dans leur cul, t’es une sacrée chanceuse, Mary !»

Il força l’entrée : là c’est sur, les voisins ont entendu mon cri de réaction ! Il plaqua ses mains sur mon dos, j’avais la tête enfouie dans les oreillers, les mains crispées dans les draps, et sa queue s’enfonça dans mon petit cul :

- «Alors, Mary ? Ca fait quoi ?»

Encore sous le choc, je ne pus répondre tout de suite.

- «Tu pourras te vanter à ta copine d’avoir pris une belle queue noire dans ton cul, tiens je prends une photo, tu lui l’enverras...»

Aurélie doit elle aussi bien en profiter, on s’était promis de raconter notre soirée. Doumia s’enfonça un peu plus, sa queue me remplissait complètement mon petit trou ouvert, mon cul offert à cette grosse matraque. Les va-et-vient furent plus puissants , entre les râles de plaisir, de douleurs, les fessées et les mots crus, je perdis à la fois pied et la notion du temps. Sentir son corps musclé, ses mains fermes, ses coups de marteau-piqueur au plus profond de moi me rendait chienne et soumise.

- «Viens Mary, tu vas t'empaler», me dit il en se retirant, laissant un trou béant entre mes fesses.»

Il s'allongea sur le dos, mais au moment où je me présentai de face, il m'ordonna de me retourner pour le chevaucher. Je ne sais pas si certaines d'entre vous ont déjà fait cette position avec un pieu énorme en elle, mais c'est pour moi une position des plus délicates. La pénétration fut plus difficile, et surtout je fatiguais… Alors tenir sur ses jambes, aller et venir sur une si grosse queue, j'avais vraiment mal... Mais mon partenaire n'en avait cure. Il me demandait d'aller plus vite, de bien faire glisser sa queue dans mon cul de blanche. Je dus me laisser complètement aller, j'étais épuisée par cette position et cette chevauchée. Doumia me prit alors sur le côté, pour me pilonner avec fureur comme pour m'achever. Les cris de plaisir s'échappaient de mes lèvres dans un flot ininterrompu.
J'étais ballottée telle une poupée, il agrippait tantôt mes fesses, tantôt mes seins, me les malaxait, me les tapait, ou bien me fessait suivant ses envies. Malgré la v.iolence des assauts, j'en redemandai :

- «Achève-moi, je suis ta cochonne... Hmmm oui, baise-moi... Oui !»
- «T'en veux encore ma cochonne ?»
- «Oui !»
- «Prends ma grosse queue dans ton cul, salope !»

Mes mots avaient peut-être provoqué quelque chose, mais il accéléra puis se retira subitement. Machinalement, comme par habitude, je m’agenouillai, présentant ma bouche ouverte, tenant mes seins à deux mains pour recevoir son offrande. Il se masturba frénétiquement devant moi, mon regard allait de son visage à sa queue :

- «Je vais lâcher la sauce ma cochonne ! Ouvre ta bouche !»

Je reçus une nouvelle fois de puissants jets sur mon visage, ainsi que sur mes seins.

- «T'es trop bonne ! Oui !»

Épuisée par ce rodéo et couverte de sueurs et de foutre, je m'allongeai à côté de Doumia, et m’endormis jusqu'à tard dans la matinée. Au réveil, je regardais mes messages. Le premier venait de mon ex m'insultant, le second d'Aurélie me félicitant, et m'invitant ce soir à partager notre week-end...


Auteur : une certaine "Sweetlittlemary".
เผยแพร่โดย rabanmaur
2 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
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