7* - Je me donne - II

Mots-clefs : rebeus, adultère.


Après le café, Rachid part prendre sa douche. Je reste à essayer de comprendre ce qui se passe chez moi, ce que je fais est honteux pour Anthony, mais je suis dans une découverte que je n’imaginais pas. Rachid me demande de venir dans la chambre.

- "Tiens nous allons aller nous balader en forêt, tu vas mettre cette robe."
- "Elle est trop courte et en plus je dois la mettre avec un haut, pour éviter la transparence."
- "Non ! Tu ne mets pas de soutif, tu n’en as pas besoin avec tes seins, et pas de haut, il fait chaud."
- "Mais Rachid, je ne peux pas, si je rencontre des gens que je connais, tu imagines ?"
- "Oh ne t’inquiète pas, ça se gèrera."

Nous voilà arrivés à la forêt, un coin que je ne connaissais pas. Nous marchons sur ce long sentier à présent devant nous.

- "Super week-end, tu trouves pas ma belle ?"
- "Euh ! Oui, oui."
- "Pas trop chiant de marcher avec ton jus qui colle bien entre les cuisses ?"
- "Tu veux quoi de moi Rachid ?"
- "Ce que je veux ? Je l’ai déjà, toi."
- "Mais enfin j’aime Anthony."
- "Maintenant tu es à moi, s'il veut partager, pas de problème, sinon dommage pour lui, mais nous verrons ça plus tard."

Il me prend la main et nous entrons dans la forêt et il plaque mon dos contre un arbre. Il passe sa main sous ma robe et tâte ma culotte humide de son sperme. Son doigt gratte mon clitoris, puis vient s’immiscer entre le tissu et ma peau.

- "Ah ouais, bien gluant encore, pas mal du tout."

Son doigt malaxe mon clitoris, le faisant rapidement gonfler et déclarant chez moi une excitation. Son autre main, caresse à travers le tissu de ma robe mes seins, pinçant au passage mes petites mamelles. Son doigt entre mes cuisses me pénètre légèrement l’entrée de mon sexe, cherchant à m’exciter encore plus. Cette situation inédite m’enivre, même si j’ai peur d’être surprise, l’envie qu’il me procure devient plus forte. Le doigt s’active encore plus, pressant mon clitoris, je sens une chaleur monter en moi. Il s’arrête, recule et me dit de remonter ma robe, de retirer ma culotte et de sortir un sein. Plusieurs « clic, clic » Rachid prend des photos. Il revient à la charge, mais cette fois mes cuisses sont écartées, il a plus de liberté pour me travailler l’intimité, ce qu’il fait ardemment. Il me triture, me pince le clitoris, me pince les mamelles, je suis entre petites douleurs et sensation de plaisir, comme il sait le faire. Finalement je découvre mon corps.

- "Aahh !"

D’un coup je libère ce son de ma bouche, le bas de mon ventre, mon intimité palpite, je crois que j’ai pris du plaisir. Nous reprenons le sentier pour reprendre la voiture. Nous nous arrêtons prendre un café.

- "J’espère que du monde t’a bien vu dans la forêt, si c’est le cas ils n’ont pas été déçus."
- "C’est nul, pourquoi tu veux que je sois vue par n’importe qui ?"
- "Parce que j’aime, c’est tout. D’ailleurs il va falloir revoir quelques petits points ma belle. Je t’ai acheté des culottes que tu porteras à partir de lundi, elles sont transparentes et tu ne mets que celles-là maintenant. Comme toute Portugaise tu as une sacré touffe de poils, alors je vais te donner le phone d'Amila, une amie qui t’épilera le sexe et le cul, ta touffe peut rester, même si chez nous la femme est sans poils, mais toi tu n’es pas de chez nous, alors je m’en fous."
- "Mais Anthony va pas comprendre, et puis j’aime bien comme je suis."
- "Tu n’as pas le choix ma belle. L’autre jour tu avais les cheveux frisés et en t’entendant en parler avec Anaïs, je sais que c’est naturel, alors à partir de lundi je veux que tu sois frisée et uniquement frisée, pas la peine de perdre du temps à te lisser la tignasse.
- "Ah mais carrément Rachid."
- "Attends, je termine. Ton piercing en haut de l’oreille me va bien, mais tu vas le changer dans quelques temps. J’ai commandé un nouveau piercing à mon cousin qui est au pays."
- "Et il a quoi de plus que celui-là ?"
- "C’est un anneau en argent comme celui-là, sur lequel il y aura une petite plaque avec dessus mon nom gravé en couleur, comme ça, ça marque mon territoire."
- "Quoi ? Eh mais là tu es fou, tu ne crois pas que je vais porter et te voir faire tous ces changements ? J’ai déconé pour ce week-end, mais je te rassure c’est terminé, Anthony rentre demain soir, après tu m’oublies, il est pas bien le mec."
- "Ok ma belle, alors je dépose les photos et vidéos sur un site, je donnerai les codes d’accès à certaines personnes, peut-être au bureau et ton mec, et nous verrons."
- "Tu ne feras pas ça."
- "Tu veux parier ma belle. Tu n’as pas franchement le choix, mais tu peux prendre le risque si tu veux."
- "Non, tu le feras pas, j’en suis sure."
- "Regarde mon téléphone, tout est prêt à être envoyé, tu veux que je valide l’envoi ? J’appuie ?"
- "Non, non arrête, arrête, fais pas ça."
- "Ok ma belle, alors tu feras ce que j’ai dit."

Je suis complètement bouleversée, s'il valide l’envoi, je suis dans une sacré galère, voire de sérieux problèmes, mais osera-t-il le faire ? J’ai les pétoches. J’ai trop à perdre s'il le fait.

- "Alors décide-toi ma belle."
- "Mais je suis prise au piège de toute façon, tu es un salaud Rachid."
- "Peut-être, mais tu viens de dire oui, donc tu appliqueras. Aller on retourne chez toi."

Je sais que je suis maintenant dans une sacré galère, je ne sais pas vraiment comment me sortir de cette situation, puis-je vraiment me sortir de cette situation ? Pour l’instant, je n’ai pas de solution, il faut que je tienne le coup en attendant de trouver une porte de sortie. Nous arrivons chez moi, enfin chez nous, Anthony et moi, pour préparer le repas.

- "Laisse Maeva, je vais commander une pizza, regarde les culottes que je t’ai acheté pendant ce temps."

J’ouvre le sac et je découvre 5 culottes identiques, blanches et transparentes, c’est juste un bout de tissu à travers lequel tout se voit.

- "Alors, elles te plaisent ? On pourra voir ta touffe bien noire à travers, trop sympa."

Je ne réplique rien. Que dire ?

- "Bon, nous avons moins de 45 minutes avant que le livreur n'arrive, viens."

Ce salaud, me plaque sur le canapé, retire ma robe et ma culotte. Il me pénètre avec un doigt.

- "Bon, parfait, encore bien mouillée."

Il sort son membre et m’oblige à le sucer. Il sent la transpiration avec un mélange d’urine, je gobe ce membre qui gonfle dans ma bouche et Rachid s’active.

- "Aller suce-moi bien, vas-y bave, encore, je veux que ça coule."

Je m’efforce de bien lubrifier ce membre avec ma salive, comme il me le demande, ça coule aux deux coins de ma bouche et il est satisfait, il en redemande. Je suce ce membre aussi loin que possible, aussi loin que ma bouche le permet, Rachid en veut toujours plus. Il se retire de ma bouche, il écarte mes lèvres intimes sans ménagement et crache dessus. Je suis blessée, choquée. Il présente son membre à mon intimité et me pénètre d’un coup jusqu’au fond, ses poils se mélangeant au miens. Oui j’avoue, j’ai un sexe bien, même très bien fourni en poils, même en entretenant cette intimité, je suis très poilue. Certains aiment, d’autres pas. Rachid me prend avec force.

- "Je vais te faire voir comment on baise une Portugaise bien poilue, tiens je suis bien au fond là, aller prend-moi ça, tu vas devenir ma petite salope à jus, tu vas apprendre à jouir avec nous les Arabes."

Et il y va encore et encore, déchainé. C’est dont ça baiser. Il est cru envers moi, me traite de salope, même si je trompe mon amoureux, contrainte et forcée, je ne suis pas ce genre de femme. En me prenant de cette manière il arrive à faire monter mon plaisir, sensation que j’ai découverte avec lui et il me fait mouiller. Je me découvre de jour en jour, de minute en minute avec cet homme qui ne me respecte pas pour ce que je suis, mais me prend pour son unique plaisir. Je sens ce membre s’activer en moi jusqu’au moment où il se déverse en moi avec force. Je sens son sperme couler et je pars dans je ne sais pas quoi.

- "Ahhh ! Aaahhh ! Encore !"

Combien de temps ai-je beuglé ? Je ne sais pas. En sentent Rachid se crisper en moi et ce sperme couler, cela a déclenché mon plaisir. Je sais maintenant mettre des mots sur cette sensation. Du plaisir, chose pas vraiment ressentie lors de mes moments intimes avec Anthony. Il me donne autre chose et je ne m’en plains pas, mais là, c’est fort, c’est bon, c’est peut-être ce que certaines femmes appellent un orgasme. Rachid se retire et nettoie son membre dans ma toison pubienne.

- "Heureusement que tu es en maison, sinon les voisins auraient participé à ton plaisir Je crois que finalement tu es une bonne blanche qui aime la bite d’Arabe Je suis bien content de t’avoir trouvée, nous allons bien nous éclater ma belle."

La sonnette retentit. Rachid court ouvrir la porte, moi un peu sonnée par ce moment et nue sur le canapé qui se voit de la porte d’entrée. La porte se referme.

- "Je crois que le livreur à louché sur toi, ça lui fera une histoire à raconter à ses potes. Aller viens manger, tu l’as bien mérité Maeva."

Le lendemain, Rachid dort encore et je décide de me lever.

- "Mais tu vas où ma belle ?"
- "Je me lève."
- "Attends, viens t’assoir sur ma queue, je bande déjà."

Il retire la couette, effectivement le membre de Rachid est déjà droit. Je n’ai jamais fait cette position avec Anthony, mais je ne refuse pas d’essayer. Je m’assoie sur ce membre et me pénètre jusqu’au pubis de Rachid, face à lui.

- "Mais non pas comme ça, de haut en bas."

Je suis les directives de Rachid. Je me lève, je me rassoie, je me lève, je me rassoie, etc. Cette position n’est pas la plus confortable, mais malgré tout mon plaisir grandit. Son doigt vient titiller mon clitoris et en un rien de temps je prends ma jouissance tout en continuant à bouger sur Rachid, même si cela est dur. Il ne tarde pas à se vider encore une fois en moi, me remplissant de son sperme du matin. Je me retire, les jambes endolories.

- "Viens me nettoyer maintenant, aller avec la bouche et la langue."

J’ai un moment de retrait, d’interrogation, mais je me rapproche de ce membre qui n’est toujours pas redescendu. Je le prends en bouche et le goût est âcre, cette odeur me donne envie et fait tomber la barrière du goût particulier. Je le suce comme jamais je l’ai fait pour mon chéri. Oui « suce », j’ose utiliser ce mot, il n’a pas arrêté de me le marteler durant ce moment. Je pense l’avoir sucer durant 20 bonnes minutes. Il veut que je nettoie, elle sera propre. Ce salaud de Rachid en a profité pour déverser deux jets de son sperme dans ma bouche. Jamais Anthony ne m’avait fait cela, après un acte c’était repos et rien d’autre. Là, il jouit pour la deuxième fois, même si la quantité est moindre, il est encore vaillant pour se libérer dans ma bouche.

- "Va me préparer un bon café, j’en meurs d’envie."

En grognant, je pars préparer le café. Rachid me rejoint rapidement.

- "Ah ! Un bon café pour démarrer la journée, hein ma belle, elle démarre bien cette journée."
- "Je sais pas, mais je pense qu’Anthony ne devrait pas rentrer trop tard."
- "T’inquiète pas, je vais libérer la place avant son retour, je pense que de toute façon pour cette fois tu as eu ce qu’il fallait. Tu réponds rien ?"
- "Non, rien."

Rachid se rapproche de moi et me prend dans ses bras. Il me plaque contre le mur et sa langue vient forcer ma bouche. Je tente de résister, mais c’est la première fois du week-end qu’il est doux, alors je me laisse tenter et nos langues s’entremêlent.

- "Ma belle tu es à moi maintenant, viens ici."

Il me plaque contre la table, mon visage vers elle, ma croupe étant offerte à Rachid. Il lève mon peignoir.

- "Non Rachid, ça suffit maintenant."
- "Je dois vérifier quelque chose, arrête de bouger ou je vais devoir t’attacher."

Je ne souhaite pas me laisser faire, Anthony ne va pas tarder à revenir. Un doigt de Rachid est trempé dans mon intimité gluante et vient se présenter à l’entrée de mon anus.

- "Mais tu fais quoi là ? T’es pas bien."

Maintenue contre cette table, le doigt entre dans mon anus et commence des mouvements. Je n’aime pas ce qu’il me fait, c’est dégoûtant en plus. Rachid ne s’arrête pas.

- "Ne t’inquiète pas ma belle, je me servirai de ton cul une prochaine fois."
- "Ah ! Non, ça jamais Rachid, jamais."
- "Mais si ma belle."

En disant ces paroles, il enfonce son doigt bien au fond de moi, me faisant sentir que je suis à sa merci.

- "Faut que j’y aille, je vais être en retard au taff."

Il se rhabille rapidement et avant de claquer la porte derrière lui me dit :

- "A moi veux dire tout et je prendrai tout sans limite, à demain au bureau ma belle".

Je décide de tout ranger, de changer les draps et ensuite de me laver avant le retour d’Anthony. Je suis dans la chambre quand j’entends la porte claquer, ça ne peut pas être Rachid, il n’a pas la clef, c’est déjà Anthony ?

- "Oh ma chérie, tu es encore en peignoir, tu as lézardé, vient que je te prenne dans mes bras."
- "Tu me sembles fatiguée, tu es malade ?"
- "Non mon chéri ça va, tu sais bien que je dors mal quand tu n’es pas là. Vous avez gagné ?"
- "Tu es une femme formidable, mal dormir parce que son homme est absent. Non, nous avons perdu, c’est pour ça que je rentre plus tôt."
- "Tu me raconteras ta compétition."

Anthony peine à me lâcher pour que je fasse place nette sur mon intimité. Une fois dans la cabine, je me nettoie principalement le sexe afin de retirer toutes traces de mes ébats avec Rachid. Terminant de me préparer pour retrouver mon chéri, mon téléphone bip.

"Alors, il est de retour ? J’espère qu’il a adoré ce que je lui ai laissé, sa femme plein de mon foutre ? N’oublie pas épilation dans la semaine et demain tes cheveux frisés. A demain ma belle."

Il ne me lâchera pas, comment vais-je me sortir de cette situation ? Comment vais-je pouvoir échapper à cette emprise ? Je suis sure qu’une solution peut être trouvée, ce n’est pas possible autrement. Malgré ces réflexions, je fais ce que Rachid m’a demandé, j’ai comme quelque chose qui me force à accéder à ses demandes.


Auteur : une certaine "Maevads".
เผยแพร่โดย rabanmaur
3 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
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