De l'aube au crépuscule: 143
Quinze ans plus jeune que moi, Madame possédait mieux les techniques de l'internet. J'ignorais alors ce qu'était une capture d'écran. Elle me contactait parfois pour me demander de me branler en tenue de femme devant la webcam. Je fus donc très surpris, un jour, de voir qu'elle avait créé une album intitulé "que pensez-vous de ma chienne" ? Plus surpris encore de voir que quelques personnes avaient giclé sur ma photo. Cela semblait beaucoup amuser Madame de les publier sur son profil.
Un jour, je reçus un mail étonnant. Elle voulait que je l'appelle vers dix heures du soir, que je laisse mon téléphone sous le lit. Elle voulait entendre comment la cocue réagissait quand je la baisais. Un petit caprice de Madame. La deuxième partie du mail était plus étrange.
Tu te souviens, ma chienne, je t'ai sans doute déjà parlé d'une vieille loque que j'ai connue à 18 ans et qui se prétendait un Maître ? Il m'avait promis de me faire connaître le plaisir dans les bras d'une femme. Il m'avait dit qu'il pourrait demandé à sa compagne mais que cela reviendrait à lui révéler notre relation et que, de toute manière, sa compagne n'était pas du tout attirée par le lesbianisme. De toute manière, m'avait-il dit,sa sexualité se résumait au minimum. Depuis quelques mois, j'ai vainement tenté de faire comprendre à ma chienne que si sa compagne ne rentrait plus tous les jours chez lui, c'est parce qu'elle allait prendre du plaisir dans d'autres bras que les siens.
Hier, j'étais avec Jean-Yves dans un club privé de Bruxelles. Pas besoin de te faire un dessin, je suppose. Vers minuit, nous avons vu entrer un couple. Il est venu s'asseoir à la table près de la nôtre. La dame, une femme de petite taille, que Jean-Yves allait, une heure plus tard appeler "Suce debout" me dit qu'elle avait l'impression de m'avoir déjà vue. Le type qui l'accompagnait avait l'air plus taiseux qu'elle. J'ai mis quelques minutes avant de la reconnaître. De fait, je l'avais croisée une fois en quittant la maison avec du foutre de mon faux-maître dans les cheveux. Mon faux Maître m'avait dit que sa compagne détestait toute forme de lingerie, des bas. Je peux te dire, ma chienne, que, niveau dessous de pute, je n'arrivais pas à la cheville de cette femme. Tu imagines ? J'avais la cocue devant moi ! Et je peux te dire qu'elle était plus qu'en chaleur. Bien entendu, je ne lui ai pas dit qui j'étais. Elle m'avait sans doute reconnue, mais elle n'a jamais su qui j'étais. Je n'allais pas lui avouer. Au bout d'une heure, son amant nous a invités, Jean-Yves et moi à aller s'amuser chez lui.
Ce fut une soirée merveilleuse ! Quand je pense que mon faux maître me disait que sa femme n'était pas intéressée par les autres femmes ! Mais elle lèche bien mieux que Rachel, crois-moi. Quand je pense que mon faux maître me disait que sa femme n'avait jamais voulu se faire prendre par le cul. Mais je peux te dire qu'elle a moins hurlé que toi quand Jean-Yves l'a enculée. Et, pendant qu'elle faisait une gorge profonde à son amant (mon faux maître m'a toujours dit qu'elle n'avait jamais fait ça) elle ne regrettait qu'une seule chose: qu'il n'y ait pas eu un troisième homme pour lui boucher tous les trous.
Toutefois, je peux te comprendre. C'est pour cela que Jean-Yves a choisi de lui baiser la bouche. Il est un peu comme toi et moi, il ne supporte pas les poils pubiens. Et, ta femme, ce n'est pas une toison qu'elle a, mais une forêt. Moi-même, je n'aurais pas pu la lécher tellement la vision de son triangle s'arrêtant au nombril me répugnait.
C'est pour cela que, quand elle reviendra ce soir, je t'autorise, exceptionnellement, à la baiser. Je veux l'entendre gémir, crier. Je veux que, ce soir, tu gicles dans sa bouche et que tu cries "oui, Madame". Je sais que tu cries très fort quand tu jouis. Je veux t'entendre crier plus fort encore.
Tu auras une énorme surprise ce soir. Je me réjouis déjà. Ta propriétaire qui te crache à la gueule.
Un jour, je reçus un mail étonnant. Elle voulait que je l'appelle vers dix heures du soir, que je laisse mon téléphone sous le lit. Elle voulait entendre comment la cocue réagissait quand je la baisais. Un petit caprice de Madame. La deuxième partie du mail était plus étrange.
Tu te souviens, ma chienne, je t'ai sans doute déjà parlé d'une vieille loque que j'ai connue à 18 ans et qui se prétendait un Maître ? Il m'avait promis de me faire connaître le plaisir dans les bras d'une femme. Il m'avait dit qu'il pourrait demandé à sa compagne mais que cela reviendrait à lui révéler notre relation et que, de toute manière, sa compagne n'était pas du tout attirée par le lesbianisme. De toute manière, m'avait-il dit,sa sexualité se résumait au minimum. Depuis quelques mois, j'ai vainement tenté de faire comprendre à ma chienne que si sa compagne ne rentrait plus tous les jours chez lui, c'est parce qu'elle allait prendre du plaisir dans d'autres bras que les siens.
Hier, j'étais avec Jean-Yves dans un club privé de Bruxelles. Pas besoin de te faire un dessin, je suppose. Vers minuit, nous avons vu entrer un couple. Il est venu s'asseoir à la table près de la nôtre. La dame, une femme de petite taille, que Jean-Yves allait, une heure plus tard appeler "Suce debout" me dit qu'elle avait l'impression de m'avoir déjà vue. Le type qui l'accompagnait avait l'air plus taiseux qu'elle. J'ai mis quelques minutes avant de la reconnaître. De fait, je l'avais croisée une fois en quittant la maison avec du foutre de mon faux-maître dans les cheveux. Mon faux Maître m'avait dit que sa compagne détestait toute forme de lingerie, des bas. Je peux te dire, ma chienne, que, niveau dessous de pute, je n'arrivais pas à la cheville de cette femme. Tu imagines ? J'avais la cocue devant moi ! Et je peux te dire qu'elle était plus qu'en chaleur. Bien entendu, je ne lui ai pas dit qui j'étais. Elle m'avait sans doute reconnue, mais elle n'a jamais su qui j'étais. Je n'allais pas lui avouer. Au bout d'une heure, son amant nous a invités, Jean-Yves et moi à aller s'amuser chez lui.
Ce fut une soirée merveilleuse ! Quand je pense que mon faux maître me disait que sa femme n'était pas intéressée par les autres femmes ! Mais elle lèche bien mieux que Rachel, crois-moi. Quand je pense que mon faux maître me disait que sa femme n'avait jamais voulu se faire prendre par le cul. Mais je peux te dire qu'elle a moins hurlé que toi quand Jean-Yves l'a enculée. Et, pendant qu'elle faisait une gorge profonde à son amant (mon faux maître m'a toujours dit qu'elle n'avait jamais fait ça) elle ne regrettait qu'une seule chose: qu'il n'y ait pas eu un troisième homme pour lui boucher tous les trous.
Toutefois, je peux te comprendre. C'est pour cela que Jean-Yves a choisi de lui baiser la bouche. Il est un peu comme toi et moi, il ne supporte pas les poils pubiens. Et, ta femme, ce n'est pas une toison qu'elle a, mais une forêt. Moi-même, je n'aurais pas pu la lécher tellement la vision de son triangle s'arrêtant au nombril me répugnait.
C'est pour cela que, quand elle reviendra ce soir, je t'autorise, exceptionnellement, à la baiser. Je veux l'entendre gémir, crier. Je veux que, ce soir, tu gicles dans sa bouche et que tu cries "oui, Madame". Je sais que tu cries très fort quand tu jouis. Je veux t'entendre crier plus fort encore.
Tu auras une énorme surprise ce soir. Je me réjouis déjà. Ta propriétaire qui te crache à la gueule.
11 лет назад