Redescente

Après ce début de semaine si chargé, le calme plat...normal, fermeture de coco oblige, où vont les mâles en rut, maintenant? Hier matin, entre mon yaourt et mes tartines, une vieille connaissance se rappelle à moi. Algérien, Basque, un peu des deux, viril, dominant, allez, pourquoi pas, pour finir la semaine baisée en beauté? On se met d'accord: je sors du travail, me nettoie et me fais belle, et je lui ouvre la porte dans une robe sexy moulante avec mi-bas assortis.
Dès le début, le feeling ne passait plus: c'est mieux que la dernière fois, c'est plus sexy. Non, ne me touche pas avec les mains, ça me fait débander, je veux juste de la bouche et du cul, allez non, arrête de me sucer, je veux prendre ton cul, je vais bien te limer... Vulgarités inutiles, déplacées, fessée trop douce ou à contre-temps, impossible de faire autre chose que satisfaire son désir de "casser mon cul de salope". Autant les dialogues avec mon mec atteignent parfois des sommets de vulgarité et m'excitent, autant ses paroles me laissent froide, voire ironique. Non, je ne le prends pas au sérieux. La redescente est cruelle: mes deux derniers amants bandaient plus dur, plus gros, étaient aussi virils, mais prenaient soin de mon plaisir, savaient où me toucher pour jauger mon plaisir et mon désir. Là, rien de tel: du brutal, en levrette, jambes écartées, avec lui qui change de position, de côté, pour "bien me la mettre". Je suis partagée: j'ai très envie de le foutre dehors, il ne m'amuse plus, et cette manie de cracher alors que le tube de lubrifiant est là m'insupporte. D'un autre côté, je prends des poses, me contemple dans le miroir, me trouve jolie, sexy, un peu comme si je regardais un porno où je joue le premier rôle. Enfin, enfin, on s'énerve, on s'excite, et le voilà qui jouit dans mon cul... tout de suite, bref, taciturne, il entame les préparatifs de retour. Le soulagement succède à la frustration, bye-bye mon grand, je ne pense pas te réinviter chez moi: les 15mn que je passe devant le miroir de ma chambre, empalée sur mon godemichet, après son départ sont bien plus agréables et excitantes. La robe noire révèle mes formes, mon sexe s'est réveillé, dressé, gonflé, et je le touche avec délicatesse, faisant coulisser mon anus sur la tige qui le pénètre, et je me donne bien plus de plaisir que ses ruades de brute.
On ne s'était pas vus depuis deux ans... ce n'est pas lui qui a changé, c'est moi. J'attends maintenant beaucoup plus des mains, et du corps des hommes maintenant. Et je sais déjà que la semaine prochaine, je l'obtiendrai dans les bras de mon amant: le rendez-vous est déjà pris!
Objavio/la joan323232
Pre 27 dana
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