Dressage d une femme fidèle 3

J’étais assise dans la voiture, seule, encore étourdie de ma soirée. La culpabilité me rongeait, mais le délice d’avoir assouvit mon envie bestiale me laissait dans un état délectable. Pourtant je savais que je devais rentrer auprès de mon mari. J’étais terrorisée à l’idée qu’il avait reçu la vidéo de mes ébats.

Lorsque je suis arrivée à la maison, toutes les lumières étaient éteintes, pourtant il était forcément là. Je le savais mais j’espérais qu’il soit couché. Ainsi je pourrais rapidement prendre son téléphone pour effacer toute preuve de ma faute. Arrivée, dans le salon, je compris de suite que les choses ne seraient pas aussi faciles. Il était là assis, seul dans le noir. Une légère lumière éclairait son visage. Le silence était uniquement rompu par mes cris de plaisir. La stupeur me saisit, je devais assumer.
Il était la sans bouger, je le distinguais à peine dans le noir. Dans une main, son téléphone, dans l’autre, son sexe. Je ne comprenais plus, il était occupé à se caresser en me regardant me faire démonter par 4 mecs, incroyablement mieux monté que lui. Première écart en 17 ans mais quel écart. Et cela semblait l’exciter. Je ne savais que faire… Il ne me laissa pas me poser la question très longtemps. Il s’approcha de moi, m’agrippa le poignet et me lança littéralement vers le canapé. Je voulais protester, essayer de lui expliquer mais il me coupa directement :
« Ta gueule salope, je savais que tu avais un potentiel élevé mais je n’imaginais pas que tu pouvais être chienne à ce point. » Il me déshabilla d’un coup sec, coléreux. J’étais là, face à lui, le cul complètement nu, a sa merci. Il n’eut aucun égard pour moi et enfourna directement son dard dans ma chatte encore dégoulinante de sperme des 4 étalons qui m’avaient baisée une heure plus tôt. Il semblait y mettre toutes ses forces mais ses coups de reins étaient bien moins puissants que mes assaillants. Il se laissa aller rapidement dans un râle de plaisir que je ne lui connaissais pas.
« Va te laver, habille-toi et rejoins-moi, nous allons manger. Nous pourrons ainsi discuter »
Je restais sans voie, complètement perdue. Je n’arrivais pas à déterminer s’il était en colère ou s’il avait simplement voulu me punir en m’humiliant avant de me quitter. Ma douche fut rapide, mes jambes ne tenaient presque plus mais je n’étais pas en mesure de me dérober. Je m’habillai donc sobrement d’une petite robe noire et d’un collier de perle discret.
Le trajet se fit sans le moindre son, je n’osais même pas le regarder. Au cours du diner, il se lança enfin :
« Je dois avouer que cette image de toi, offrant ton cul à des inconnus, prenant un plaisir non dissimulé a devenir un objet de luxure pour 4 mecs devraient me rendre furieux. Pourtant, cela m’a terriblement excité. J’aime te voir prendre le plaisir que je ne sais pas te donner, j’aime que tu libère tes envies, que tu vives tes fantasmes. Je ne te demande qu’une chose : promets-moi la plus grande honnêteté quant à tes aventures. »
Je m’attendais à tout sauf à cela, vivre une telle soirée et finir par avoir la bénédiction de mon époux. Il souhaitait donc me voir devenir une salope. J’avais beau ne pas être ravie par cette idée, il était clair que je ne pouvais pas résister à mon appétit.
« Je ne veux plus recommencer, je ne veux pas que nous devenions un couple libre. Je ne voulais pas te tromper mais je préfère que tu me quitte plutôt que de te voir avec une autre femme »
« Je n’en ai aucune envie non plus, je ne suis que à toi mais je veux que toi tu sois à qui tu veux. C’est simple. Je veux que tu assouvisses tous tes fantasmes. Et que tu me laisses repasser derrière »
Quelle surprise. Nous avons fini notre repas, sommes rentrer nous coucher dans les bras l’un de l’autre dans la sensualité d’un couple amoureux. Et alors que j’allais m’endormir, mon mari me glissa quelques mots à l’oreille :
« Ne crois pas que tu t’en sortiras uniquement ainsi, je devais quand même te punir. J’ai envoyé la vidéo à ton patron… »