Une révélation
Bien sûr depuis cet événement, souvent mes collègues me charrie. Ils aimeraient en savoir plus et nos discussions tournent fréquemment autour de Nicole. Ils savent juste qu’elle est mariée (ce qui la rend à leurs yeux encore plus salope) mais ne savent pas où elle travaille. Souvent quand on travaille en équipe surtout un, Ludo, me tanne en disant ‘ tiens on pourrait aller la voir, tu me la présentes ‘ etc…etc.…. Lui est totalement libre, pas de copine.
La semaine où Nicole a repris le boulot, j’ai prétexté une maintenance et je suis passé la voir au bureau. Pas de bol, il y avait du monde…Ils préparaient leur planning.
A la voir rayonnante et pimpante avec une petite jupe qui lui moulait bien les fesses parmi tous les mâles présents à la réunion, j’avoue avoir ressenti une petite jalousie. Je pense que je ne suis pas une simple erreur de parcours et peut-être que l’un d’eux … Mes collègues eux même disent qu’elle est chaude !
Distante, après s’être excuser auprès de l’assemblée,. Elle m’ a m’accordé 5 minutes. Jamais, je ne l’avais vu comme ça. Quelle sainte Nitouche !
Entre deux portes : Excuse-moi, il y a le grand patron… ça tombe mal ! Tu peux repasser quand ? C’était bien…. Et de se coller à moi avant d’ajouter ‘La honte que j’ai eue…..ils n’ont rien dit ?
Qu’est- ce qu’elle voulait savoir ? Qu’est-ce que je devais lui dire ?
Petite vengeance ou pas de ma part ? Ou alors je voulais voir sa réaction….
Ils t’ont trouvé bandante ! Et quand je lui ai dit qu’ils nous avaient vus, elle s’est tout de suite écartée.
Tu blagues ? Quand je lui ai tout raconté, elle a été contrariée. Je l’ai senti. Faut qu’on arrête ! Tu imagines….Si jamais, ça se sait ….’ Et puis elle est partie.
Pendant 10 jours, je n’ai pas eu de nouvelles d’elle. Elle ne répondait même pas à mes sms et je pensais que c’était fini et puis, elle m’a demandé de passer un soir à la fermeture.
Il n’y avait plus personne quand je suis arrivé et pas plus de 5 minutes plus tard, comme si de rien, je la baisais sur la table même où s'était tenu sa réunion. Après seulement, on a discuté.
Elle voulait tout savoir : Où ? Quand ? Comment et surtout Qui ? Et puis Quoi après. ?
Je lui ai tout raconté et j’en ai même ajouté. Qu’ils l’avaient entendu crier…. Qu’ils s’étaient branlés (ça peut-être)…..
Mais ils n’ont pas de copines ?.... Elle voulait en savoir des choses….
Et dis donc, ça t’excite ?....
J’avais ma main entre ses cuisses et elle ne semblait pas pressée…
Il y en a un, Ludo, il n'arrête pas de me parler de toi.....Tu l'as vraiment excité ! Il aimerait bien te connaître...
Tu exagères ! C'est tout ce qu'elle a dit.
Je me suis accroupi entre ses jambes et elle s'est couchée sur la table. j'ai commencé à lui bouffer la chatte. Elle avait déjà pas mal mouillée. J'ai écarté ses belles fesses et avec ma langue, j'ai visité son cul. Elle qui disait avant que c‘était sale, s'offrait totalement.
J'étais de nouveau en forme mais je voulais savoir. La tester.
Je me suis redressé et la queue bien raide, je suis allée vers elle. Elle a compris. Elle m'a saisi et tout de suite a pris ma queue dans sa bouche. Elle avait les seins sortis de son chemisier. Pendant qu’elle me suçait, j'ai joué avec ses tétons en les pinçant. Effet garantie.
Comme je l'ai déjà dit, on voit qu'elle aime ça et le fait bien mais je lui ai lancé comme ça :
Vas y ! Montre moi comment tu vas le sucer Ludo ….
Elle s'est arrêtée, m'a regardé un bref instant ; j'ai cru décelé un petit sourire ; et sans rien dire, elle a repris sa fellation. Différente. Encore plus salope. Léchant ma queue sur toute longueur. Elle s’est relevée, m’a roulé une vraie pelle tout en me branlant et là, elle m’a lâché :
Dis donc , toi aussi ça t’excite…
Et toi ? Elle n’a pas répondu. Elle ne m’a pas contredit non plus…
Viens …
Elle s’est cramponnée à la table et m’a présenté ses fesses découvertes. C’était sans équivoque….
J’ai glissé ma queue entre ses fesses, trouvé l’antre baveuse et je l’ai pénétrée doucement et bien à fond. Elle a râlé, fléchi ses jambes et tendu sa croupe.
Vas y comme ça , c’est bon..
Tu aimes comme ça ? Tu la sens bien ?
Oui… continue ….
Vas y ! bouge ton cul comme tu l’as fait devant eux ….
Elle n’a pas réagi. Je crois qu’elle n’osait pas.
Je l’ai relevé et lui ai chopée par la poitrine. Ce n’était pas trop pratique car elle est plus petite que moi mais j’étais bien au fond d’elle et je pétrissais ses seins.
Tu la sens bien ma queue maintenant ? Tu aimes les grosses queues, dis le ?
Elle a soufflé « oui »
Dis le !
Oui….Oui, j’aime les grosses queues ….
Ils ont envie de te baiser…..Ils ont de grosses queues tu sais ….
Là, je l’ai senti se cambrer, se contracter et puis d’un seul coup, sans que je m’y attende, elle a crié. Elle jouissait. Je l’ai lâchée et je l’ai baisée plus fort. De plus en plus fort pendant qu’elle criait.
Tu aimes ? Oui…Oui.
J’ai tout lâché en elle. Plus tard quand on s’est quitté, elle m’a dit :
Si tu veux dimanche matin, tu peux passer, mon mari ne sera pas là…
Ça t’a plu ? Tu n’es pas choquée ?
Elle n’a pas répondu. Rien, si ce n’est : A dimanche….
La semaine où Nicole a repris le boulot, j’ai prétexté une maintenance et je suis passé la voir au bureau. Pas de bol, il y avait du monde…Ils préparaient leur planning.
A la voir rayonnante et pimpante avec une petite jupe qui lui moulait bien les fesses parmi tous les mâles présents à la réunion, j’avoue avoir ressenti une petite jalousie. Je pense que je ne suis pas une simple erreur de parcours et peut-être que l’un d’eux … Mes collègues eux même disent qu’elle est chaude !
Distante, après s’être excuser auprès de l’assemblée,. Elle m’ a m’accordé 5 minutes. Jamais, je ne l’avais vu comme ça. Quelle sainte Nitouche !
Entre deux portes : Excuse-moi, il y a le grand patron… ça tombe mal ! Tu peux repasser quand ? C’était bien…. Et de se coller à moi avant d’ajouter ‘La honte que j’ai eue…..ils n’ont rien dit ?
Qu’est- ce qu’elle voulait savoir ? Qu’est-ce que je devais lui dire ?
Petite vengeance ou pas de ma part ? Ou alors je voulais voir sa réaction….
Ils t’ont trouvé bandante ! Et quand je lui ai dit qu’ils nous avaient vus, elle s’est tout de suite écartée.
Tu blagues ? Quand je lui ai tout raconté, elle a été contrariée. Je l’ai senti. Faut qu’on arrête ! Tu imagines….Si jamais, ça se sait ….’ Et puis elle est partie.
Pendant 10 jours, je n’ai pas eu de nouvelles d’elle. Elle ne répondait même pas à mes sms et je pensais que c’était fini et puis, elle m’a demandé de passer un soir à la fermeture.
Il n’y avait plus personne quand je suis arrivé et pas plus de 5 minutes plus tard, comme si de rien, je la baisais sur la table même où s'était tenu sa réunion. Après seulement, on a discuté.
Elle voulait tout savoir : Où ? Quand ? Comment et surtout Qui ? Et puis Quoi après. ?
Je lui ai tout raconté et j’en ai même ajouté. Qu’ils l’avaient entendu crier…. Qu’ils s’étaient branlés (ça peut-être)…..
Mais ils n’ont pas de copines ?.... Elle voulait en savoir des choses….
Et dis donc, ça t’excite ?....
J’avais ma main entre ses cuisses et elle ne semblait pas pressée…
Il y en a un, Ludo, il n'arrête pas de me parler de toi.....Tu l'as vraiment excité ! Il aimerait bien te connaître...
Tu exagères ! C'est tout ce qu'elle a dit.
Je me suis accroupi entre ses jambes et elle s'est couchée sur la table. j'ai commencé à lui bouffer la chatte. Elle avait déjà pas mal mouillée. J'ai écarté ses belles fesses et avec ma langue, j'ai visité son cul. Elle qui disait avant que c‘était sale, s'offrait totalement.
J'étais de nouveau en forme mais je voulais savoir. La tester.
Je me suis redressé et la queue bien raide, je suis allée vers elle. Elle a compris. Elle m'a saisi et tout de suite a pris ma queue dans sa bouche. Elle avait les seins sortis de son chemisier. Pendant qu’elle me suçait, j'ai joué avec ses tétons en les pinçant. Effet garantie.
Comme je l'ai déjà dit, on voit qu'elle aime ça et le fait bien mais je lui ai lancé comme ça :
Vas y ! Montre moi comment tu vas le sucer Ludo ….
Elle s'est arrêtée, m'a regardé un bref instant ; j'ai cru décelé un petit sourire ; et sans rien dire, elle a repris sa fellation. Différente. Encore plus salope. Léchant ma queue sur toute longueur. Elle s’est relevée, m’a roulé une vraie pelle tout en me branlant et là, elle m’a lâché :
Dis donc , toi aussi ça t’excite…
Et toi ? Elle n’a pas répondu. Elle ne m’a pas contredit non plus…
Viens …
Elle s’est cramponnée à la table et m’a présenté ses fesses découvertes. C’était sans équivoque….
J’ai glissé ma queue entre ses fesses, trouvé l’antre baveuse et je l’ai pénétrée doucement et bien à fond. Elle a râlé, fléchi ses jambes et tendu sa croupe.
Vas y comme ça , c’est bon..
Tu aimes comme ça ? Tu la sens bien ?
Oui… continue ….
Vas y ! bouge ton cul comme tu l’as fait devant eux ….
Elle n’a pas réagi. Je crois qu’elle n’osait pas.
Je l’ai relevé et lui ai chopée par la poitrine. Ce n’était pas trop pratique car elle est plus petite que moi mais j’étais bien au fond d’elle et je pétrissais ses seins.
Tu la sens bien ma queue maintenant ? Tu aimes les grosses queues, dis le ?
Elle a soufflé « oui »
Dis le !
Oui….Oui, j’aime les grosses queues ….
Ils ont envie de te baiser…..Ils ont de grosses queues tu sais ….
Là, je l’ai senti se cambrer, se contracter et puis d’un seul coup, sans que je m’y attende, elle a crié. Elle jouissait. Je l’ai lâchée et je l’ai baisée plus fort. De plus en plus fort pendant qu’elle criait.
Tu aimes ? Oui…Oui.
J’ai tout lâché en elle. Plus tard quand on s’est quitté, elle m’a dit :
Si tu veux dimanche matin, tu peux passer, mon mari ne sera pas là…
Ça t’a plu ? Tu n’es pas choquée ?
Elle n’a pas répondu. Rien, si ce n’est : A dimanche….
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