Une balade en forêt
J'étais stressée par le travail et complètement abattu par une rupture. Cela durait depuis quelque temps maintenant et mon médecin m'avait plusieurs fois recommandé d'aller me promener dans la nature. J'aurais préféré qu'il me déshabille et qu'il m'encule comme une salope plutôt que de me procurer des conseils que je trouvais stériles. Je me souviens, il m'avait regardé droit dans les yeux, j'ai même pensé pendant une fraction de seconde qu'il allait me faire une révélation salace mais non, il m'a simplement ordonné d'aller prendre l'air.
Après plusieurs jours de rumination dans mon appartement bruyant parisien, je décidais d'aller prendre l'air au bois de Vincennes, après tout cela me rappellerai de bons souvenirs. L'époque où j'allais courrir et que les mecs matait mon gros cul. On pouvait facilement distinguer mon gros cul en dessous de mon legging moulant, je ne mettais pas de culotte hmmmm
Après avoir longé le lac de Daumesnil, je pris un chemin pour m'enfoncer dans les bois. Je voulais me perdre et oublier tous mes tracas. Je tombais finalement sur une jolie petite clairière, des roseaux trempé dans une grande flaque d'eau, une buche ou s'assoir. J'en profitais pour contempler la vue et profiter de ce silence.
Je fus troublée par le remu ménage d'un homme bedonnant d'une soixantaine d'années. Il avait le regard pervers avec un sourire moqueur. Il se dirigea nonchalamment vers moi comme s'il me connaissait. Sans gêne il s'asseya à mes côtés. Sans aucun mot, il se mit a tripoter mes seins. Surprise de cette attitude, je le stoppais direct et lui criant dessus: Mais vous êtes fou!
Calmement et d'une confiance absolue il me répondu: Arrête de faire ta chochotte! Laisses toi faire, cela va te détendre et il reprit son manège. Retira mon haut et se mis à lecher comme un pervers mes gros seins. Il déboutonna ensuite mon pantalon et se mis à renifler ma chatte. Le dialogue ahurissant fut ainsi:
L'homme pervers: Quelle belle chatte! Ça sent la salope! Tu as du goût en lingerie!
Moi: ha bon?
L'homme pervers: Toi, t'es une grosse truie, que je vais enculer!!!
Moi: vas-y si tu te sens capable
L'homme pervers: Tu commences à te dévoiler grosse truie! Retournes toi que je t'encule salope!
Je fus trahi par ma chatte qui commençait à mouiller et il s'en aperçu le salaud
Après plusieurs jours de rumination dans mon appartement bruyant parisien, je décidais d'aller prendre l'air au bois de Vincennes, après tout cela me rappellerai de bons souvenirs. L'époque où j'allais courrir et que les mecs matait mon gros cul. On pouvait facilement distinguer mon gros cul en dessous de mon legging moulant, je ne mettais pas de culotte hmmmm
Après avoir longé le lac de Daumesnil, je pris un chemin pour m'enfoncer dans les bois. Je voulais me perdre et oublier tous mes tracas. Je tombais finalement sur une jolie petite clairière, des roseaux trempé dans une grande flaque d'eau, une buche ou s'assoir. J'en profitais pour contempler la vue et profiter de ce silence.
Je fus troublée par le remu ménage d'un homme bedonnant d'une soixantaine d'années. Il avait le regard pervers avec un sourire moqueur. Il se dirigea nonchalamment vers moi comme s'il me connaissait. Sans gêne il s'asseya à mes côtés. Sans aucun mot, il se mit a tripoter mes seins. Surprise de cette attitude, je le stoppais direct et lui criant dessus: Mais vous êtes fou!
Calmement et d'une confiance absolue il me répondu: Arrête de faire ta chochotte! Laisses toi faire, cela va te détendre et il reprit son manège. Retira mon haut et se mis à lecher comme un pervers mes gros seins. Il déboutonna ensuite mon pantalon et se mis à renifler ma chatte. Le dialogue ahurissant fut ainsi:
L'homme pervers: Quelle belle chatte! Ça sent la salope! Tu as du goût en lingerie!
Moi: ha bon?
L'homme pervers: Toi, t'es une grosse truie, que je vais enculer!!!
Moi: vas-y si tu te sens capable
L'homme pervers: Tu commences à te dévoiler grosse truie! Retournes toi que je t'encule salope!
Je fus trahi par ma chatte qui commençait à mouiller et il s'en aperçu le salaud
23 dagen geleden