Une voisine pas comme les autres...

Cela faisait maintenant plus d'une décennie que j'habitais dans mon appartement et je dois avouer que j'aimais bien le quartier. Je connaissais tous mes voisins de palier à l'exception de la nouvelle. Elle s'était installée il y a quelques mois, très discrète. Quand je la croisais, elle rougissait d'une timidité maladive. Physiquement, elle me plaisait, elle avait un corps de rêve, elle avait des formes où il fallait comme je les aime et de surcroît mignonne. Prédateur de longue date, je cherchais un moyen pour l'amadouer et l'attirer dans mon filet. Je voulais l'initier au masochisme afin qu'elle devienne ma chose. Je ne voulais pas utiliser l'hypnose, méthode que j'utilise souvent pour manipuler mes proies. Cette fois-ci je voulais innover, je voulais jouer franc-jeu en utilisant les règles de l'art.
J'étais quasi-sûr que je l'intimidais, car à chaque fois que je la croisais dans l'ascenseur elle baissait son regard. J'ai bien tenté d'entamer une discussion, mais je sentais qu'elle était mal à l'aise comme si elle tentait de me fuir. Sans tomber dans la paranoïa, on aurait dit qu'elle avait lu mes pensées. C'est comme si elle connaissait mes intentions. Rationnel comme je suis, je mettais cette fuite sur le dos de la timidité.
Il fallait que je trouve un cheval de Troie pour m'introduire dans la citadelle. Un prétexte, une excuse, un stratagème…
L'idée me tomba dessus comme une enclume, j'étais sous la douche en train de me masturber en pensant à elle. La vue de l'eau me donna une idée. J'allais toquer à sa porte en l'accusant d'un dégât des eaux!!!! Une idée de génie…
Je toquerai à sa porte en feignant une colère, lui expliquerai qu'une fuite provenant de chez elle endommage mon salon, l'inviterai à constater les dégâts, l'inviterai à boire un verre …

Le plan de déroula comme prévu, je dirai même plus facilement que prévu. Elle était de sa douche, et avait juste un haut sur lequel se dessinait ses jolis têtons bien fermes. En dessou, elle portait un short court, qui laissait entrevoir derrières ses fesses bien fermes.
Elle rentra chez moi et je lui montra une fuite simulée, elle ne fut pas méfiante, je la sentis même à l'aise, voire soulagée peut-être de découvrir que j'étais une personne agréable et fort sympathique. Je lui proposa un verre et elle accepta avec diligence démasquant son envie. Elle s'affala sur mon canapé comme pour me provoquer m'envoyant un signal qu'elle était chez elle. J'entrevoyais son sexe, car le short était à moitié humide, je ne parle même pas de son haut. Ses cheveux étaient encore trempée et de l'eau dégoulinait sur son haut. On distinguait maintenant ses seins. Je lui proposa de lui amener une serviette pour la sécher ce qu'elle acquiesça immédiatement. Pendant que je me dirigeais dans ma chambre afin de lui apporter une serviette propre, je réfléchissais à ce que j'allais lui faire. A mon retour, je la trouva allongée toute nue sur mon canapé. Quelle stupeur!!! Je ne m'attendais pas à ce scénario!
Je lui proposa de s'installer dans ma chambre des tortures. Elle hésita un peu car elle compris que sa première impression était juste, j'étais un prédateur.
Avait-elle pris de la ******? était-elle sous l'emprise d'un quelconque anxiolytique ? c'était fort possible car elle accepta de s'installer directement sur cette fameuse chaise. Elle ressemblait à une table de gynécologue où la femme pose des jambes écartées et présente sa chatte comme un trophée. La sienne mouillait déjà! De la cyprine dégoulinait déjà pour ne pas dire qu'elle coulait à flot. Ses seins minuscules s'étaient raffermis. En l'attachant, son regard laissait apparaitre un mélange de peur et de plaisir. Elle sentait monter l'adrénaline. Son cœur battait de plus en plus fort. Elle avait dû mal à respirer. J'ai dû l'hypnotiser afin qu'elle se détendent.
Une fois entièrement attachée, elle était à moi, elle m'appartenait. J'avais aujourd'hui de jouer avec sa chatte qui était trop ferme à mon goût, trop juvénile, trop lisse, trop parfaite. Je me mis à l'électrifier afin que ses grandes lèvres se relâchent. Au bout de quelques minutes, j'ai eu l'impression qu'elle commençait à y prendre goût car elle se mit à nouveau à mouiller. On distinguait maintenant son clito qui avait doublé de volume. Je ne pu m'empêcher de le mordiller avec mes dents. Elle criait mais j'assumais qu'elle aimait cette douleur. Je pris ensuite une bougie et laisser délibérément tomber de la cire chaude autour de sa chatte. Elle criait de douleur. Emporté par mon élan, j'outrepassais le rubicond en laissant tomber quelques gouttes sur sa chatte. Elle se mit à squirter, quel spectacle. J'eus ensuite l'idée d'utiliser petit fouet pour stimuler sa chatte et surtout son clito. A chaque claquement elle hurlait surtout quand la lanière rencontrait son clito. Je sentais que je commençais à la perdre. j'utilisa donc des aiguilles d'apucunture, cela fait un bien fou. Aiguille après aiguille, elle gémissait et squirtait à nouveau. L'apothéose fut atteinte lorsque je planta deux aiguilles sur le clito. Elle s'évanouit quelques puis revient et me demanda de la pénétrer ce que je fus allégrement.
Elle était loin d'imaginer ce qui l'attendait. Elle était loin d'imaginer recevoir un tel châtiment. Elle pensa que la fin de la séance approchait. Je la sentais plus libérée, plus soulagée, plus légère. C'est à ce moment là que je sorti l'arme ultime. Sur le coup, elle ne comprenait pas ce qui allait se passer. Elle me suivait des yeux. Regarda l'instrument dans ma main, elle était médusée. Je la rassurai, quant à l'hygiène de mon instrument, j'avais nettoyais toutes les agrafes avec de l'acohol. Oui j'allais lui agrafé sa chatte !!!!!
Agrafe après agrafe, son plaisir se décuplait. Un fois fini, je la détacha et lui proposa une sodomie avec sa chatte condamnée. Elle fut conquise!!!!
Elle se leva, se rhabilla, me demanda un verre de whisky, me remercia de ce moment inoubliable.
Elle rentra chez elle en titubant dans le couloir. Malheureusement, elle déménagea quelques semaines plus tard.
Je n'entendu plus parler d'elle…
Gepubliceerd door Mehiddou
25 dagen geleden
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