Après-midi torride

Maryse est une mignone petite blonde de 40 ans, les cheveux mi-longs coupés au carré, d'1m55 pour 47kg, avec une petite poitrine mais de gros tétons proéminents, un petit ventre plat et des jambes joliment galbées. Elle est mariée à un artisan du bâtiment qui ne semble plus trop prendre soin d'elle, et j'ai la chance de travailler avec ce petit canon qui est devenue ma maîtresse après seulement quelques mois.

Un après midi en débauchant, je décide de passer voir Maryse chez elle. Elle m'accueille avec un large sourire et une évidente expression de joie se lit sur son visage. Elle est vêtue d'une petite robe rouge à fines bretelles qui s'arrête à peine à mi-cuisse, au décolleté arrondi qui laisse apparaître la naissance de sa poitrine et laisse surtout deviner ses gros tétons qui pointent déjà au travers du tissus.
C'est pour moi une vision de rêve qui fait naître en moi instantanément un désir a****l.

Je m'approche et ne peut me retenir de la saisir par la taille et de l'embrasser alors que nous sommes encore sur le pas de sa porte. Inquiète qu'un voisin ne puisse nous voir, elle m'attire très vite à l'intérieur, referme la porte et nous nous enlaçons tendrement, notre baiser se fait passionné. Notre étreinte est sensuelle, nos baisers langoureux, nos mains courent sur l'autre, nos bouches s'accolent, nos langues se mélangent, le désir nous envahit.
Après quelques minutes de tendresse, Maryse me prépare un café que nous prenons dans sa cuisine. Nous sommes attablés à discuter, lorsqu'elle se lève et passe tout près de moi. Je la saisis par la taille et l'attire contre moi, l'amenant à s'asseoir à califourchon sur mes genoux. Nos corps collés l'un contre l'autre, nos baisers reprennent tout aussi passionnés. Son parfum m'enivre, mes mains parcourent son corps au travers du tissus de sa robe. L'excitation me gagne. Je ressens ses mamelons déjà gonflés, je l'embrasse fougueusement, ma bouche remonte de son cou vers son oreille, mordille son lobe, redescend dans son cou avant de plonger dans son décolleté. Je soulève sa robe et caresse d'une main ses fesses, appréciant le galbe et la fermeté, pendant que de l'autre je viens saisir un sein que je découvre, pouvant ainsi le prendre à pleine bouche et le déguster. Son ventre est collé au mien, impossible pour elle de ne pas sentir l'érection qui m'a gagné. Elle passe ses bras autour de mon cou et ses mains caressent mes cheveux. Elle gémit doucement, les yeux clos, la tête rejetée en arrière elle semble grandement apprécier et s'abandonne totalement à mes caresses et mes baisers.
L'excitation devient trop forte pour moi et je me lève de ma chaise pour plaquer Maryse debout contre le mur. Je fais glisser les bretelles de sa robe dégageant totalement sa poitrine que je pétris à pleine main, gobant un sein presque entièrement dans ma bouche et jouant avec ses tétons. Je ne peux résister plus longtemps. Je m'agenouille devant elle, écarte le triangle de son string et me jette sur son sexe joliment épilé. Sa chatte ruisselle déjà, sa cyprine est délicieuse, légèrement sucrée et merveilleusement odorante. Je déguste ce nectar, ma langue fouille, s'insinue entre ses lèvres, joue avec son clito. Pendant que ma belle profite de cet instant de volupté, gémissant de plaisir, ses mains crispées dans mes cheveux m'incitant à continuer ce cunni torride, je grogne comme un a****l en rut. Je m'applique à lui procurer du plaisir mais mon excitation est à son comble. Je ne peux résister plus longtemps. Maryse a réveillé le fauve caché en moi. Je me redresse, la saisis par les poignets, la pousse à travers sa cuisine, la retourne sans grand ménagement et la plaque sur la table. Je baisse à peine son string à moitié cuisses, sors mon sexe tendu et dur comme un roc et la pénètre sans plus de retenue. Elle a beau être parfaitement lubrifiée, l'introduction brutale de mon pieu dans sa chambre d'amour lui arrache un cri. Je m'accroche à ses hanches, et commence à la baiser frénétiquement. Elle s'accroche à la table car ce sont de véritables coups de boutoir que je lui délivre maintenant sans aucune délicatesse. Chaque fois que je m'enfonce en elle, mon gland atomise le fond de son vagin, accompagné par mes ahanements de bûcheron. Je me suis transformé en un a****l sauvage. Je rugis comme un fauve en rut. A chacun de mes coups de rein, Maryse a les pieds qui décollent du sol, la table bouge et craque comme si elle allait s'effondrer. Je la pilonne comme un forcené sans me soucier de son plaisir, seul le mien, violent et bestial me préoccupe et m'envahit. Je jouis en hurlant de plaisir et je me vide en elle en plusieurs jets. Mon sperme inonde sa grotte. Je m'effondre sur elle, agité encore par les derniers spasmes de mon plaisir, reprenant difficilement mon souffle. Lorsque je reviens à moi et que je me retire de cet écrin, un flot de sperme s'écoule de sa chatte et coule le long de ses cuisses. Elle se redresse en prenant appui sur ses coudes, remonte son string, rajuste sa petite robe et s'effondre sur une chaise.

Je l'ai quittée peu de temps après, avant que son cocu ne rentre. Le lendemain, elle m'a raconté qu'elle n'avait même pas eu le temps de prendre une douche avant que celui ci n'arrive !!!
Gepubliceerd door jojo33bdx
2 jaar geleden
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