*11 - Petite Arabe défoncée par un black

Mots-clefs : beurette, blacks, boîte de nuit.


Je m’appelle Nadia, j’ai 22 ans. Je suis d’origine algérienne. Je suis grande, brune, j’ai de grand yeux noirs et la peau couleur caramel. Je fais un bon 95C et j’ai des fesses bien rebondies. J’ai une vie sexuelle assez normale… En général je couche avec les mecs avec qui je sors et je ne suis pas une adepte des plans d’un soir. Pourtant ce n’est pas les propositions qui manquent. Je bosse au vestiaire dans une boîte de nuit et je me fais souvent draguer.

Le week-end dernier, j’étais au travail comme d’habitude. Ce soir-là mon homme était venu et je suis tombée de haut lorsque je l’ai vu roulé une pelle à une fille. Le pire c’est qu’elle était grosse et pas très belle. J’ai eu du mal à encaisser le coup, je pense que je serai pas la seule à réagir comme ça… Moi qui suis fidèle… en plus il faisait ça devant tout le monde. Je devais rentrer avec lui mais lorsqu’il est venu pour me dire qu’on y allait, je lui ai collé une gifle et je suis partie dans le fond des vestiaires pour pleurer un bon coup. Mes sanglots ont attiré Mousse le vigile, un géant noir d’1m95.

- "Qu’est-ce qui se passe ma belle ?" a-t-il voulu savoir.
- "Il y a que je me suis encore faite avoir par un connard."
- "Ouais j’ai vu ça. Faire ça à une fille comme toi franchement il est fou.. Tu veux que je lui règle son compte ?"
- "Non, ça va aller merci. Mais par contre je veux bien que tu me ramènes, si ça ne te dérange pas."

Bien sûr Mousse a accepté. Dès que la boîte a fermé, nous sommes tous les deux montés dans sa voiture et avons pris la route. Mon esprit cogitait. Quand je me fais larguer (ce qui arrive rarement), la première chose dont j’ai envie c’est de m’abandonner dans les bras d’un autre homme. En général je ne cède pas à cette pulsion, mais ce soir-là, j’avais un bel étalon à côté de moi et j’avais envie d’en profiter.

Lorsque nous sommes arrivés en bas de mon immeuble, je lui ai proposé de monter, prétextant vouloir lui offrir le petit déjeuner. Il m’a suivi et nous nous sommes installés dans la petite cuisine. Il s’est assis sur une chaise et avant qu’il n’ait eu le temps de comprendre, je me suis assise sur ses genoux. J’ai enroulé mes bras autour de lui et je l’ai embrassé. Il est resté figé un instant, mais ses lèvres se sont entrouvertes et il m’a rendu mon baiser.

La température est très vite montée et ses mains sont passées sous mon haut à la recherche de mes seins. Il les a massés doucement, ses doigts s’attardaient sur mes mamelons. J’étais de plus en plus excitée et j’ai commencé à onduler sensuellement, frottant mon bassin au sien. Je ne portais qu’une jupe et un string et le frottement contre son pantalon m’a très vite fait mouiller. J’ai senti une bosse se former sous le tissu, une énorme bosse. J’avais trop envie de sortir sa queue. Je me suis redressée et je me suis agenouillée entre les jambes de mon étalon. Il se laissait complètement faire, surpris par mes gestes coquins. J’ai baissé son pantalon et libérer son membre de son boxer. Les bruits qui courent sur les noirs sont exacts ! Sa queue était énorme ! J’ai approché ma bouche et je l’ai léchée sur toute la longueur tandis que je massais ses bourses bien pleines avec l’une de mes mains. Lorsque son membre a été lubrifié de salive, je l’ai fait glisser entre mes lèvres. Il était si gros que je n’ai pu en enfourné que la moitié dans ma bouche.

Mousse qui était jusqu’alors resté passif a empoigné ma tête et a commencé à me faire faire des va-et-vient. J’adorais le gout de sa queue sur ma langue et sa chaleur qui se diffusait dans tout mon corps. Mais j’avais envie de le sentir en moi. J’ai arrêté de le sucer et j’ai entrainé mon étalon dans la chambre. Là, je l’ai poussé sur le lit après l’avoir déshabillé. Je me suis mise nue et j’ai cherché un préservatif dans ma table de nuit. J’étais tellement pressée que je lui ai enfilé moi-même puis je me suis placée accroupie au-dessus de son membre et je me suis lentement abaissée. J’ai empalé ma petite chatte sur sa grosse queue. Au début j’ai eu un peu mal, je suis loin d’être vierge, mais son membre était si gros qu’il avait du mal à se frayer un chemin dans mon petit minou. Après quelques mouvements, j’ai commencé à m’élargir et sa queue a disparu complètement dans ma chatte. Elle m’emplissait complètement, c’était trop bon !

Mousse a attrapé mes fesses et m’a fait bouger encore plus vite. Et puis d’un mouvement de rein il m’a basculée en avant et il m’a défoncée. Il soulevait et abaissait son bassin, s’enfonçant de plus en plus profondément dans ma chatte trempée. Je couinais comme une petite chienne, je me faisais défoncer par ce black et j’adorais ça. J’ai senti les parois de mon minou tout dilaté se contracter et j’ai poussé un cri en jouissant. Mousse aussi a été gagné par la plaisir. Il m’a basculée sur le côté, a retiré sa capote et a jouis sur mon ventre.

Autant vous dire qu’après ça, je ne pensais plus du tout à ce que m’avait fait l’autre mec. J’ai hâte de revoir Mousse ce week-end, j’ai envie qu’il me prenne encore ! Ca avait été chaud et torride ! Bien sûr il y a eu une suite. C’était vendredi soir. D’habitude je suis un peu faignante pour aller au travail mais là j’avais hâte, car je savais que j’allais probablement m’envoyer en l’air avec un grand black bien monté. En début de soirée, Mousse est passé me dire bonjour, nous nous sommes fait la bise comme si de rien n’était, l’un comme l’autre nous n’avions pas envie que tout le monde soit au courant qu’on avait couché ensemble. Alimenter les ragots n’est pas quelque chose que j’aime particulièrement.

Il y avait du monde, pendant plusieurs heures j’ai bossé non-stop et j’ai pensé que c’était fichu pour la chevauchée fantastique. Et puis vers 3h j’ai enfin pu me prendre une petite pause. Je suis sortie à l’extérieur sur le parking des employés pour fumer une cigarette. L’endroit était désert et il faisait un peu froid. Tout à coup une main s’est posée sur mon épaule. D’un bond je me suis retournée. C’était Mousse.

- "T’aurais pu me prévenir que tu allais en pause !" m’a-t-il dit.
- "Ben écoute, t’étais un peu occupé à foutre un petit branleur dehors."
- "C’est pas faux, l’alcool ça fait pas ressortir le meilleur côté des gens."

Le froid m’a fait frissonner, ce que Mousse n’a pas manqué de remarquer.

- "Viens, on va dans ma voiture" m’a-t-il proposé.

Je l’ai suivi et nous sommes montés dans sa petite 207. Il a fait tourné le moteur et a allumé le chauffage. Il y a eu quelques minutes de silence gêné. Je n’avais qu’un mot en tête : sexe, sexe, sexe. Mais je n’osais pas faire le premier pas, je n’avais pas non plus envie de passer pour une grosse nymphomane. Heureusement pour moi Mousse a déclenché les hostilités. Il a commencé à caresser ma cuisse.

- "T’es sexy dans cette petite jupe" a-t-il remarqué.
- "Merci… Mais c’est mieux sans non ?"
- "Carrément…"

Et là tout s’est accéléré. Ses doigts ont glissé jusqu’à trouver mon string qui a été très vite écarté puis ils ont plongé dans ma chatte. Ma main a très vite trouvé sa braguette puis s’est glissée sous son boxer pour empoigner sa queue. Le branler ne m’a pas suffi. Je me suis penchée et j’ai donné des coups de langue à son sexe dressé, puis je l’ai enfourné dans ma bouche. Je l’ai pompé avec gourmandise. Mousse a accéléré les mouvements dans ma petite chatte, j’étais de plus en plus mouillée et ouverte, j’étais prête pour sa queue. Il était assis derrière le volant et moi sur le siège passager. Je me suis redressée et après avoir enfilé une capote, Mousse s’est installé à ma place. Je me suis assise sur ses genoux, m’empalant centimètre par centimètre sur son membre. Il m’a empli complètement c’était trop bon. J’ai commencé à remuer, montant et m’abaissant sur son mat tendu. J’allais de plus en plus vite, rien ne semblait pouvoir m’arrêter.

Et puis soudain je me suis redressée et j’ai guidé sa grosse queue dans mon petit trou. Elle était tellement bien lubrifiée par ma mouille qu’elle a glissé toute seule, mais il m’a quand même fallu un moment pour m’habituer à son calibre. Dès que j’ai été prête, j’ai bougé encore et encore. Je jouissais, je sentais ma mouille dégouliner le long de mes cuisses et tout à coup, Mousse a joui, la queue bien au fond de mon petit trou.

Nous ne nous sommes pas trop attardés dans la voiture et nous sommes retournés bosser. C’est parfois bon de prendre son pied sans se prendre la tête et c’est exactement ce que je fais avec Mousse. Je crois que je ne suis pas prête de me lasser de sa grosse queue de black !


Auteur : une certaine "Nadia".
Gepubliceerd door rabanmaur
3 jaar geleden
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