Vacances en italie

14H…. Tard pour prendre un avion, mais depuis la crise du covid le nombre de vols s'est drastiquement amenuisé. Nous avons eu de la chance de pouvoir réserver un ticket 3 mois avant par al Italia qui menaçait de faire faillite... Petit à petit les choses semblent rentrer dans l'ordre. Pour atteindre Charles de Gaulle, nous aurions pu déranger des amis, mais tu m'avais fait comprendre que la situation de confinement dans une voiture avec moi et un étranger ne te déplaisait pas bien au contraire.... Nos vacances en Espagne se sont déroulées extraordinairement bien. Les expériences coquines furent peu nombreuses mais intenses. Monica est restée à tout jamais dans nos corps puisque nous avons eu la chance de l'accueillir une nuit au cours de laquelle des miracles se sont produits. Peut-être aurai je l'occasion de revenir sur ces moments exquis.
En ce qui concerne notre périple vers l'Italie, c'est toi qui as choisi les destinations. Ce sera vacances textiles... Je crois que depuis l’Espagne tu finis par regretter de ne pas avoir suivi mes conseils au moment des choix d’hébergement. Pas grave, nous allons nous amuser c'est sûr.
Le taxi qui va nous emmener à Roissy vient nous prendre à la gare de Laon. Nous sommes chanceux car à notre retour d’Espagne le temps s'est complétement dégradé et là, comme par enchantement c’est un soleil de plomb qui nous accompagne. Je préfère de loin et toi aussi d’ailleurs car cela te permet de porter les superbes déshabillés Desigual trouvées en fouinant sur Tarragone. Autant dire que plus sexy, c’est impossible. J’ai réussi assez facilement à te convaincre de porter une robe volante très courte en lin et coton noire et les chaussures que tu avais dans la cabine lors de notre première escapade. Toute bronzée, tu es resplendissante. Tu portes un sac à main un peu volumineux car c’est notre seul bagage. Le reste est déjà en toute vers notre destination.
Le taxi est pile poil à l’heure. Je me suis dit qu’il fallait faire les choses correctement, j’ai loué ce qui se faisait de mieux. C’est une grande berline noire aux vitres teintées qui nous rejoint. A son bord, un chauffeur à la belle corpulence sans doute d’origine méditerranéenne vu son teint halé et son accent vient nous accueillir avec un large sourire. Je pense que si j’avais pu choisir pour toi, je n’aurais pas fait mieux. Un peu style lino Ventura en plus svelte mais avec ce regard sombre et perçant. Nous nous installons confortablement à l’arrière du véhicule et je ne manque pas de rapidement constater l’émoi du chauffeur à la vision de sa cliente… Je crois qu’il ne regrette pas cette course un peu longue et tardive pour lui qui a débuté son service à 4h du mat. Pour aller à l’aéroport justement.
Tu t’installes au mieux pour que celui-ci puisse jouir de la situation. Appelons le Lino ce sera plus simple et surtout plus sexy que son réel prénom : Paul ce n’est pas super vendeur.
La conversation s’est engagée très facilement sur cette route vers Paris qu’il connait par cœur. Comme il dit « je pourrais la faire les yeux fermés » ce que je ne lui conseille pas. Fermer les yeux ???? Alors qu’à moins d’un mètre, depuis son grand rétroviseur, il peut parcourir tes jambes luisantes et bronzées et tout cela depuis tes chevilles jusqu’à à peine 5 centimètres de ta petite culotte. Oups pardon, tu ne l’as plus. 5 minutes de route et la présence de notre « bel italien » t’a convaincu de cet effeuillage.
Il parle, il parle…moi de mon côté j’agis. Tu es sur l’avant du siège et en me contorsionnant un peu je me suis glissée derrière toi. D’une part, parce que je sais que tu aimes cela et d’autre part parce que je peux avoir mes deux mains disponibles. Il a vu ce manège et ne dit rien malgré le problème sécuritaire. C’est sûr, il est plus intéressé par son rétroviseur que par la ceinture qui devrait normalement nous verrouiller au siège. Dans cette position, J’ai accès à tes jambes, tes cuisses tes seins, ton minou, je peux te glisser des mots coquins dans le cou. J’ai oublié de dire que cette magnifique robe en lin s’ouvre par une petite boutonnière sur le devant. A l’observation, il est facile de constater qu’il ne doit plus y avoir que trois boutons qui remplissent leur office. Pour l’instant, je suis encore sage car je ne sais pas quelle va être la réaction de Lino. Même s’il semble subjugué, delà à nous sauter dessus dans sa Mercedes, il y a quelques pas. Allons-nous les franchir ?
Oui sans problème. Un indice m’a tout de suite fait comprendre que notre pilote était prêt à tout pour voir… La multiplication de ses regards vers l’arrière…et à chaque fois son sourire complice…A partir de là j’ai pris les choses en main.
Sûr de notre intimité, les vitres teintées faisant office de rempart, j’ai continué à retirer ces fameux boutons en même temps que j’ai interrogé Lino sur sa capacité à nous trouver un coin tranquille où il pourrait se rincer l’œil sans risquer de nous faire mourir tous les 3 sous un 30 tonnes.
Le quadragénaire a eu vite fait de trouver, prouvant bien sa connaissance du trajet et de ses moindres contours.
J’avais pris le soin de prendre une marge de 30 minutes pour être sûrs de notre fait. Son détour de 5 minutes nous en laissait 20 pour profiter de l’instant.
Je lui ai dit de tout d’abord de te regarder mais j’attendais tes signes pour savoir s’il pouvait agir et te toucher par exemple ou encore sortir son sexe pour se caresser.
Ses yeux ne te lâchaient pas et toi tu attendais le moment où j’allais l’autoriser à se découvrir. Il t’excitait, tu le trouvais beau, viril, même un peu classe avec son costume tout droit sorti de chez Armani.

Ton état d’excitation était monté d’au moins deux crans depuis l’arrêt de la voiture sachant que mes doigts n’arrêtaient pas de s’afférer sur ton petit bouton de plus en plus habitué à mes caresses. Ma main droite l’enroulait avec dextérité pendant que mon autre main croisait tes tétons ou ta bouche entrouverte gagnée par le plaisir. La mienne de bouche te susurrait des mots coquins à l’oreille et te posaient des questions qui ne faisaient qu’augmenter ton excitation. « Tu veux qu’ils sortent sa belle bite pour que tu puisses le caresser ? tu veux que sa langue lèche ton petit bouton ? »
A chaque question tes gémissement laissaient paraitre une réponse positive que ne manquait pas d’interpréter notre nouvel ami. Mes signes l’aidaient à devenir plus entreprenant. Il se mit donc à genou sur les deux sièges avant, sa queue tendue vers toi. Le chanceux était plutôt bien loti avec un engin court mais très épais. Ses yeux exorbités ne lâchaient pas ton corps. Je le comprends à force d’excitation ta position était devenue carrément provocatrice.
Tes deux pieds reposaient sur le haut des deux sièges avant, de telle sorte qu’il pouvait te les toucher. Il s’y risqua avec sa main droite et n’eut pas à le regretter puisqu’à ce moment précis le pied abandonné pris le parti de venir caresser sa bite toute tendue. Il prolongea sa caresse de son autre main vers le haut de ta cuisse allongée et rapidement ce sont ses 10 doigts qui se sont rapprochées de ta petite chatte en feu. Je n’avais rien lâché c’est donc nos 4 mains qui se pressaient de te donner du plaisir.
Je ne tenais plus il fallait que je vienne dans ton ventre. C’est dans ces moments que l’on comprend l’évolution de notre rapport. Je n’ai rien eu à dire en deux secondes tu t’asseyais sur ma bite qui remplaçait ainsi les doigts de Lino.
Pas jaloux, je lui laissai alors la primeur de ton petit bouton qu’il pouvait malaxer à l’envi en comprenant que tu allais bientôt défaillir.

Tu as tout de suite vu dans ses yeux que c’est lui qui allait craquer le premier. Sans doute a-t-il oublié à ce moment précis la méticuleuse propreté de son véhicule car sans prévenir il alla disperser sa semence sur son siège recouvert d’une sorte de couverture noire qui n’en avait plus que le nom en râlant d’une voix rauque et hésitante.
A voir ce bel homme jouir avec fureur grâce à toi, tu n’as pas pu te retenir longtemps et j’ai ressenti les contractions de ton sexe sur mon appendice qui n’a pu s’empêcher de te suivre…. J’adore cette habitude que nous prenons à jouir ensemble.

Ce moment d’une chaleur sexuelle rare a dû durer seulement quelques minutes mais l’excitation était telle qu’il n’en fallait pas plus. Il a fallu que nous reprenions tous nos esprits rapidement car un rapide coup d’œil à ma montre m’indiqua contrairement à ce que je pensais que le temps s’était écoulé plus vite que prévu…
Si Lino ne s’appelait pas en plus fangio nous allions risquer d’être en retard….

Last call for Mister Lejeune and misses Tellier Gate five … Heureusement que nous sommes un peu sportifs, nous étions les derniers attendus par une belle hôtesse qui serait sans doute d’une aide précieuse pour la suite de nos aventures.


Un peu plus et nous rations ce fameux vol vers Florence… Bon tout est en ordre. Notre surprise est grande par contre quand nous observons le monde dans la carlingue. Habituellement ce genre de périple se fait les uns sur les autres avec aucune place disponible. Là c’est incroyable, il n’y a qu’un passager pour deux places parfois même un rang complétement libre. Du coup, le réflexe des premiers arrivants a été de se coller aux hublots afin de pouvoir profiter du paysage sur Paris au décollage et du survol de la chaine alpine qui même à cette période offre de beaux panoramas.
Normalement en 1h45 nous sommes sur le sol italien. Plus de temps qu’il n’en faut pour prendre nos aises, enfin surtout toi, dès le décollage et le petit bruit qui indique que la ceinture peut être retirer, tu viens poser ta tête sur mes cuisses en repliant tes jambes sur le siège voisin. Cela a pour conséquence de laisser celles-ci complétement nues. Encore heureux, tu as remis ta petite culotte si rapidement abandonnée dans le taxi de Lino.
Nous sommes un peu fatigués de notre première partie de voyage et assez vite tu t’assoupis bercée par mes caresses sur tes cheveux.
Je réussis à rester en éveil ce qui me permet de remarquer le manège de notre belle hôtesse si complaisante pour nous. Elle doit mesurer 1m75, j’avais remarqué qu’elle était à ma taille lors de notre arrivée précipitée. Il m’avait semblé que c’était une belle femme mais dans la précipitation, malgré mon œil avisé je n’avais pas remarqué à quel point elle était sexy. Donc le mètre 75 avec talons haut (j’ai toujours un peu de mal à ce que les femmes soient plus grandes que moi) une belle poitrine mise en valeur par un décolleté presque trop provocant vue la situation professionnelle de la jeune femme. On aurait pu s’attendre à une belle brune, mais bizarrement les 3 hôtesses sont blondes ou rousses.
Notre belle plante est blonde avec un accent italien ravissant. Il y a quelques années, j’aurais tenté de la séduire pour me l’accaparer personnellement mais maintenant depuis le début de notre liaison je n’ai que des projets pour nous… Ton plaisir, nos aventures, du temps pour nous deux. Tu es indépendante, mais je remarque que depuis que nous sommes ensemble c’est comme si nous ne pouvions nous séparer. Nous rencontrons nos amis respectifs ensemble, vivons normalement chacun dans notre appartement, mais cela fait plus de 4 mois que nous n’avons pas dormi chacun chez nous. Sois-tu restes chez moi, dans le petit cottage que je viens d’acheter à mi-chemin entre Laon et Soissons, soit je dors dans ton nouvel appartement dans le haut de Laon.
Bref, tout est au beau fixe. Il faut dire que notre sexualité de plus en plus débridée doit avoir un effet plus que positif sur notre couple naissant. Il n’y a pas beaucoup de moments où nous n’imaginons pas de nouvelles aventures. Pour des plus que quinquagénaires nous nous défendons plutôt bien. S’il y avait un Koh Lanta sexuel à coup sûr nous pourrions postuler pour la concurrence âgée.

Revenons à notre blonde, elle a un côté froid mais sensuel. Elle me fait penser à Catherine Deneuve. En plus « chienne » !!!!
Je disais qu’elle m’avait intrigué parce que ses passages incessants avec un regard ostensiblement tourné vers tes jambes m’avait alerté. Vu le nombre de passagers, les 3 femmes n’étaient pas débordées et avaient tout le loisir de prendre soin de leurs clients. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis vite mis en tête qu’elle désirait plus particulièrement prendre soin de toi…

Tu dormais encore qu’elle est venue dans son accent si sensuel me demander si nous avions besoin de quelque chose. J’ai sauté sur l’occasion pour lui dire que tu raffolais des massages ce qui l’a fait sourire. Elle est revenue deux minutes plus tard avec une petite serviette humide au parfum lancinant en me disant que je pouvais te masser les jambes avec. Elle-même en était adepte. Je lui ai rétorqué que tu serais aux anges si c’est elle qui se substituait à mes mains.
J’ai cru apercevoir un début de rougissement sur ses pommettes qui trahissait sans doute que j’avais fait mouche……
Dans nos cerveaux respectifs, je pense que c’est l’ébullition, elle est troublée par toi et elle sent que je suis open pour qu’il se passe quelque chose… Pendant ce temps, tu émerges avec en point de mire sa sublime échancrure de corsage… C’est la première fois que j’observe cette réaction chez toi et j’avoue aimer ce ressenti. Ton regard vers moi semble exprimer une forme de surprise mélangée à un soupçon de jalousie. Très vite mon baiser endiablé te fait passer à autre chose de plus positif. La belle reste là, intriguée par ce couple si différent. Je pense qu’elle aurait pu déjà basculer avec nous si son labeur ne devait pas immédiatement reprendre. De nouveau presque seuls, je t’explique combien il me semble que cette hôtesse à le béguin pour toi… tu m’avoues qu’une fois la surprise évanouie, ce genre de femme pouvait fortement te convenir pour franchir une deuxième fois le pas de la bisexualité. Avec Monica tu avais fait fort. Là, on essayait d’imaginer ensemble le moyen de trouver un terrain de jeu avec Catherine. Cette manie que j’ai d’attribuer des noms aux gens. À la fois je trouve cela drôle.
Finalement, tout s’est fait naturellement. La belle blonde est revenue constater que décidément nous n’étions pas normaux. Ta main sur la bosse de mon jean et la mienne entre tes cuisses ont eu l’air de finir de la conquérir. Elle est venue nous glisser un bout de papier sur lequel était notée son adresse à Firenze avec un numéro de téléphone. Notre périple italien passant par les plus belles villes de la renaissance commençait avec 3 nuits dans un superbe 5 étoiles florentin. Rien ne nous empêcherait d’aller appréhender les arts et coutumes des autochtones. À la sortie de l’avion je compris au regard qu’elle t’adressa que Catherine devait être plus chienne que froide. Cela laissait augurer des moments pimentés.

De la terrasse du LHP river et spa nous pouvons observer la vie touristique de cette ville si magnifique. Nous sommes à quelques minutes du centre à pied et à deux pas du fleuve Arno qui coule paisiblement à nos pieds. Dès le premier soir, tu décides d’appeler notre hôtesse. Effectivement, ne sachant pas son programme, nous ne voulions pas rater une aubaine pareille. Dans ce genre d’expérience, finalement le plus dur, c’est de trouver la personne qui convienne. Avec Monica nous avions été servis, nous n’allions pas être perdants avec Catherine.
Je vous entendais parler en italien au téléphone, tu avais mis le haut-parleur. Pas besoin de connaître la langue de Michelangelo pour comprendre que vous étiez conquises l’une par l’autre. Rendez-vous fut pris pour le lendemain à 19 h chez elle. Cela nous laissait une bonne première journée pour visiter et flâner dans ce musée à ciel ouvert. Vers 18h nous sommes retournés à l’hôtel afin de nous préparer. En ce début de mois d’août les nuits sont encore chaudes. Cela laisse la possibilité de s’habiller légèrement. La, plus léger, c’est difficile. Tu portes, en tout et pour tout, une robe en soie colorée presque transparente et des talons hauts aussi confortables que provocants. De mon côté, pantalon et chemise en lin noirs. Nous sommes bronzés tous les deux et pouvons constater par moment que nous ne laissons pas indifférents. C’est appréciable à l’aube de la soixantaine.
Notre hôte nous rend facilement 25 ans mais il paraît que dans bon nombre de domaines, l’âge ne fait rien à l’affaire.
Celle-ci nous accueille au pied d’une somptueuse bâtisse. Le décor est magnifique dès le grand escalier qui nous mène à son appartement. Nous la suivons et goûtons l’un comme l’autre à sa démarche sensuelle dans sa combinaison immaculée aussi transparente que ta robe. Nous en sommes sûrs, elle est presque nue. Elle nous propose en italien de nous installer dans le salon et j’apprécie que tu lui fasses remarquer qu’à mon grand regret je ne parle pas sa langue. J’aurai donc la chance de gouter à nouveau à son délicieux accent. Nous sommes vernis en tout cas, car normalement jamais elle ne reste dans sa ville natale mais exceptionnellement ses vacances débutant, elle prend un peu de temps pour rafraîchir cette maison fruit de l’héritage de ses parents décédés du Covid-19. Je parlais d’appartement tout à l’heure car les 2 autres étages sont loués offrant ainsi à notre hôtesse la possibilité de vivre plus que convenablement. Elle nous explique d’ailleurs que ce métier, finalement, elle le garde pour rencontrer du monde et voyager. Elle pourrait fort bien s’arrêter de travailler. Ce n’est pas nous qui allons-nous plaindre de son choix.
« Au programme spécialement pour vous » nous dit-elle un apéritif maison suivie d’un plat de pâtes façon Firenze et tiramisu agrémentés d’un vin italien du piémont. On se lèche les babines.
Je te laisse t installer auprès de notre charmante maîtresse de maison qui nous enchante à raconter son enfance heureuse passée au cœur de cette ville. Je ne manque pas de constater que son genou touche sinon frôle le tien et qu’elle ne perd pas une occasion de te toucher l’avant-bras. Cette femme est très tactile pour le moins. Au fur et à mesure de la soirée, l’alcool aidant Sophia se faisait de plus en plus démonstrative. Ses parents l’avaient prénommé Sophia en hommage à la sublime actrice italienne. Sophia dans cette ambiance sonnait mieux que Catherine il est vrai… on peut se tromper. Donc notre Sophia blonde se laissait aller à quelques confidences sur ses expériences en avion. Incroyable !!! Nous qui avions freiné nos ardeurs dans un avion à moitié plein furent choqués à l’évocation de ses péripéties. Le mythe de l’hôtesse n’en est finalement pas un. En tout cas, l’ambiance était montée rapidement en température. La proposition à suivre de Sophia n’allait pas arranger les choses. En effet, avec un naturel désarmant elle nous invite dans son espace Spa personnel à l’autre extrémité de l’appartement. On n’imagine mal l’immensité du lieu, mais nous sommes vite rattrapés par la réalité. Cette femme est hôtesse sans doute mais également obsédée sexuelle.
En traversant sa chambre immense, impossible de rater tout l’équipement dédié aux pratiques de plaisir. J’espère qu’elle n’est pas une déglinguée sadique qui a envie de se faire un couple de Français. Elle nous rassure presque immédiatement en expliquant qu’elle adorait collectionner toutes sortes d’objets à caractère sexuel depuis son adolescence. Je pense que nous allions finalement bien nous entendre.
En deux secondes sa combinaison est sur le sol et elle vient s’occuper de te déshabiller pour t’emmener dans son jacuzzi. Attention pas le jacuzzi qu’on peut trouver à 399 euros dans toute bonne enseigne de la Grande distribution. Non, le vrai jacuzzi en dur, reliquat sans aucun doute des pratiques de la bourgeoisie italienne du 18 -ème siècle. Des milliers de petites mosaïques viennent recouvrir cet ensemble incurvé qui ressemble à une énorme vasque. Tout naturellement, vous êtes assise côte à côte. Il n’y a pas 10 centimètres qui vous séparent. Je suis en face me délectant d’un spectacle à la hauteur de mes meilleurs fantasmes. Une femme que je connais depuis seulement 4 mois et qui n’en finit plus de me surprendre et de me conquérir, à la merci d’une créature tout droit sortie des films de Visconti. Les deux nues, lascives, arrogantes de sensualité.
Toute mon imagination ne suffirait pas à penser à ce qu’il va advenir…

Je ne vois pas vos mains, je constate seulement que tu as l’air de t’enfoncer dans une espèce de volupté qui émane de tout tes sens. Je ne sais pas ce qu’elle fait avec ses doigts sous l’eau mais tu as l’air envahie par le plaisir. Forcément, réactions psychophysiologiques en chaîne je suis dur comme de l’ébène, pas aussi armé que notre Jack mais prêt à la bataille.
Ta tête repose maintenant sur son épaule, elle semble être derrière toi vous vous êtes légèrement tournées pour qu’elle puisse mieux te caresser les parties les plus excitables de ton corps… tu te pinces les lèvres. À cette mimique je sais qu’elle frotte ton bouton d'amour et à voir la déformation naissante de ton rictus, c’est sûr, c’est un génie du clitoris. Je la regarde et lui fait comprendre qu’il faut que cela dure, que cette jouissance va attendre, que nous allons prendre notre temps. Y aller doucement. C’est ton leitmotiv… je l’ai bien compris.


En experte de la sexualité, elle se lève gracieusement et nous invite à poursuivre, à deux, notre bain voluptueux. Elle nous intime comme l’ordre de la rejoindre dans 5 minutes dans la chambre. Tu profites de ce moment complice pour me dire qu’elle a des doigts de fée, que tu étais à deux centimètres de jouir et que ton excitation te foudroie le bas ventre. Toute excitée tu agrippes mon sexe et chose assez rare l’attire presque immédiatement vers ta bouche. Effectivement, tu es excitée comme une folle. Le pire c’est que nous ne savons ni l’un ni l’autre
ce qui se trame derrière cette porte. J’avoue avoir quelques petites inquiétudes compte tenu de l’attirail visée en arrivant.

Sophia nous appelle en italien de sa voix sensuelle, nous prenons les peignoirs qu’elle a pris soin de disposer à côté pour nous assécher et la rejoignons main dans la main…
Ouuuuahhhh !!!! Là on est dans le haut niveau !!! Cette superbe femme est allongée sur le dos les bras écartés, les jambes écartées aussi, repliées et un superbe gode ceinture vient lui donner l’allure d’une créature hybride tout droit sortie de science-fiction. Le sexe en érection combine la longueur du mandrin de jack et l’épaisseur de celui de Lino. A côté, j’ai l’air d’un petit garçon…tes jambes semblent flageoler mais lorsqu’elle te demande de venir la rejoindre tu t’exécutes. Le lit est digne de notre hôtel au moins 3m 50 de large, et je n’avais pas remarqué les glaces fixées au plafond. Tout est organisé pour la luxure.
Tu te sens dirigée par la jeune femme qui t’a donné tant de plaisir avec ses doigts de telle sorte que tu pourrais faire beaucoup pour elle. Elle t’invite à t’assoir sur ce sexe factice. Plaisir double pour les yeux, car je n’avais pas vu que ce gode ceinture permettait à Sophia d’être également pénétrée… Tu viens donc t’agenouiller de part et d’autre de celle-ci. Elle en profite pour reprendre son manège avec ses doigts experts, je n’en perds pas une miette. Mais je trouve plus excitant de venir derrière toi pour te caresser les seins et guider la bite tendue couleur de celle de jack dans ta petite chatte inondée. Tout doucement tu te remplies de cette queue qui t’écartèle sans te faire mal. La vicieuse à pris soin de mettre un gel au parfum agréable qui te permet de glisser l’engin avec aisance dans ton bas ventre. Tu ne peux faire autrement que gémir de plus en plus. Elle aussi d’ailleurs car à chaque mouvement ce sexe étrange vient la remplir comme il te remplit. La chorégraphie est sensuelle, tu n’oses accélérer le va et vient de peur de jouir trop vite. Elle te titille ton petit bouton cela devient de la folie tellement tu te rapproches d’un orgasme d’une force jamais atteinte.

Elle a tout de suite évalué la situation et en maitresse de maison, elle reprend encore une fois la main. Elle met son index sur ta bouche, te demande en italien de ne plus bouger et de la remplacer sur le lit. Elle vient sur toi et réclame quelque chose que je n’avais pas anticipé. Elle veut être prise totalement. Je ne peux m’empêcher de te demander discrètement ton accord que tu lâches sans attendre. Ton ventre est en feu, il faut que cela cesse, que tu jouisses et pour cela elle doit aussi jouir.
Dans nos ébats jusqu’alors cette partie de ton anatomie n’est jamais venue sur le tapis. Je suis heureux que ce soit une tierce personne qui me permette de savoir si tu serais envieuse de la belle blonde.
Elle est donc assise sur toi, toi toute écartée et toujours complétement prise par ce sexe aux belles dimensions, elle avec son alter égo et tout doucement je viens parfaire la situation en la prenant dans ce deuxième orifice resserré comme jamais. Je ne me rappelle plus exactement, mais je crois pouvoir dire que nous n’avons pas mis plus de deux minutes pour jouir tous les trois en même temps.

Il nous a fallu 20 bonnes minutes pour retrouver nos esprits. Pas plus de 10 minutes plus tard elle était déjà sur ton ventre à te lécher tendrement et rapidement elle se retrouvait en position pour que tu lui rendes la pareille…
Je me concentrais sur vos deux corps mais cette fois c’est le tien que je choisissais pour venir te remplir plus tendrement que lors des ébats précédents.

Nous avons laissé notre hôtesse vers 2h du matin pour rejoindre notre hôtel en amoureux…

Je t’ai pris dans mes bras ton dos contre mon ventre et nous nous sommes endormis bien vite…exténués par cette aventure incroyable.
Gepubliceerd door naturistbi02200
3 jaar geleden
Reacties
Gelieve of om commentaar te geven.