Et deux fistings, deux

Tu est comme ce soleil matinal derrière les persiennes, tu rayonnes, tu resplendis, merveilleusement généreuse, offerte au regard. Tes seins pendent, ta touffe luit, ton cul a des reflets bleus et est tendu, tes reins cambrés. Tu t'es levée avant moi. Tu m'as apporté au lit une tasse de café tout chaud avec un biscuit. Il a un drôle de goût ce café et il est plus clair, je ne le reconnais pas. Ou je le reconnais trop bien.
Tu es en forme aujourd'hui on dirait, déjà excitée ou simplement aux petits soins ? Eh oui, je le reconnais. Nous le nommons « café chabrot » en souvenir de certaines de nos ballades humides (Voir Un doigt et un poing dans le cul au resto et Chabrot de pisse et morteau dans le cul). Tu as pissé dedans, salope. Il est juste bon à boire, moins chaud. J'y re-goûte, je l'avale d'un trait. Encore, j'en redemande. Mais dans un bol.
Tu vas chercher la cafetière et un bol à la cuisine et tu reviens. Tu verses du café dans le bol, à moitié. Puis tu l'amènes doucement entre tes cuisses écartées. En me fixant, le sourire satisfait, le regard tendre et amusé, tu pisses dans le bol, tu complètes avec ta pisse transparente. Tu me le tends. Je le porte à mon nez, j'y prends une gorgée. Quel arôme, quel saveur. Merci mon amour. Tu sais satisfaire mes besoins par des petits gestes comme ça. J'aime ta prévenance. Je t'aime.
J'apprécie d'autant plus ton geste qu'il s'accompagne d'un état léger, détendu mais pas seulement, tu sembles heureuse. Chose qui n'aurait pas été possible il y a encore peu. En effet, tu as tes règles, et tu ne t'es pas cachée hier quand tu as changé le tampon. Avant, ça te rendait maussade, distante quand elles étaient particulièrement abondantes. Certainement le résultat d'un petit conflit entre ton désir de me satisfaire sur tous les plans et un reste de sentiment que les menstrues, c'est sale. Aujourd'hui ça ne semble plus te poser problème. Tu as enfin accepté que j'aime tous les fluides qui sortent de ton corps, que j'aime m'en délecter, qu'ils ne sont pas sales. Je bande. Je t'en aime d'autant plus. Ça me rend heureux moi aussi. Je te le dis.
Tu me regardes. Ça te tente, dis-tu. Quoi donc ? Mon sang. Le mien ne fait qu'un tour. Mon cœur cogne. Ma queue vibre. Oh, quelle proposition ! Oh oui, mon amour. On joue à quoi, j'ajoute. Viens me fister, tu répliques tout de suite. Wow, j'ai failli jouir. Tu me tentes, j'adorerais. Et j'ai tout de suite pensé à tes règles. Pfffiou ! J'imagine déjà. Maintenant, je dis, tout de suite. Je me lève. Je te prends par un bras et je t'allonge sur lit et sur le dos. Tes jambes pendent au bord. Recule un peu, remonte tes jambes. Écarte-les biens. Ouah, la vision ! Splendide chatte hyper poilue jusqu'au trou du cul et au-delà. Je ne m'en lasserai jamais. Et les plis de ta chatte qui rejoignent ton anus, rare. J'écartes les lèvres, elle sont souples. Le rose est foncé dedans. C'est humide. Ça sent un peu le lait, la fumée, la pisse. Délectable. On lècherait. Je lèche. Où est le lubrifiant ? Y'en a plus. À la sauvage, alors. Hé.
J'écarte un peu plus tes lèvres. Je crache dans ta chatte et autour. Je crache sur ma main. Je l'enduis. Je l'approche. j'introduis un, deux, trois, quatre doigts sans résistance. Ma main est verticale entre tes lèvres velues, le pouce sur ton clito. Je la fait aller et venir, s'écarter et s'agiter les doigts. Je présente le pouce, je pousse, ça rentre, tout seul, à l'aise. Tu apprécies. Légèrement cambrée, la tête renversée. Tu gémis. Je suis tout émoustillé.
Ma main s'enfonce. Elle rencontre le tampon. Je tente de l'éviter en écartant les doigts. Il s'échappe. Je le saisis, le coince, le fait remonter entre mes doigts que je referme. J'enfonce encore le poing, jusqu'au poignet. Il va, il vient. De plus en plus vite. Tu gémis. Tu te tortilles. Tes hanches larges roulent. Ça déplace mon bras. Je continue puis m'arrête. J'ouvre le poing, je saisis le tampon entre les doigts et le pouce. Et je fais ressortir ma main. Ton sexe s'ouvre, tes lèvres s'écartent. Elle sort, doucement, réapparaît. Elle est dehors. Elle est rouge. Jolie. Un jet d'urine a jailli. Tes poils sont enduits de sang. Tu souffles.
Je contemple ma main. Des gouttes en tombent sur ton ventre. Je les lèche. J'en fais tomber dans ton nombril. J'aspire, je lèche. Une traînée s'écoule le long de mon bras. J'ouvre enfin la main. Le tampon est là, au creux de mes doigts. Gonflé, énorme. Avec des nuances de rouges plus ou moins denses irrégulièrement réparties. Une douce odeur parvient à mes narines. Je frémis.
Tiens, un petit caillot, rouge foncé, luisant, dans les rainures du tampon. Je le lèche, l'avale. L'odeur est plus forte. Je mets le tampon dans ma bouche, le presse avec la langue, le mâche, l'écrase avec les dents, l'aspire. Je bois tes jus. Quel pied ! J'imagine mes lèvres rougies. Je le remets dans ma main et je l'enfonce à nouveau, d'un coup. Je ressors la main, vide. J'y passe la langue puis une idée me vient. Je te la donne à lécher. Tu fais ça sensuellement, le regard brillant. Je bande plus fort lorsque tu insistes sur la jonction entre les doigts.
Mais je devine ton anus. Je te demande de prendre tes jambes avec tes bras, de les soulever. Ton trou poilu se révèle. Je m'y penche, le bécote, le suce, le lèche, l'aspire. Je le mouille tant que je peux. J'y enfonce les deux index et j'écarte. C'est souple, ça s'ouvre facilement. Un vent s'en échappe. J'ajoute les deux majeurs. J'écarte un peu plus. Ça ne résiste pas. Prometteur. Je croise ton regard. Oui, tu dis dans un souffle et du regard. Je bande dur. Ma main gauche est pleine de sang, en train de sécher. Alors, je présente ma main droite enduite de salive. J'introduis facilement les doigts. Je pousse. Ça résiste un peu puis ça cède. Ma main est dans ton cul. Elle va, elle vient. Mon poing se ferme. Je le retire de ton cul. Puis je l'y replonge. Ton cul, comme ta chatte, est bien accueillant aujourd'hui. Je répète les mouvements. Ton souffle s'est accéléré. Et puis je pousse encore, j'enfonce plus loin. Mon bras disparaît petit à petit. Tu gémis. J'enfonce encore. Ton nombril se soulève.Ton trou, tes sphincters distendus enserrent mon coude. J'applique un mouvement de rotation. Mon bras tourne dans ton cul. Je me retiens de saisir quoique ce soit dans ton ventre. Puis je ressors le bras avant de l'y replonger, à fond, profond. Ah, l'effet que ça me fait. Tu sembles ailleurs, surprise, éperdue. Ton regard et à la fois dur et vague. Ton souffle rapide est puissant. Ma main gauche se réveille. Je la regarde, toute sèche, couverte de minces croûtes. Je la comprends. Je lui crache dessus abondamment et la présente devant ta chatte béante. Je l'y enfonce sans précaution. Je deviendrais féroce à ce petit jeu. Mes deux poings s'activent. De concert puis alternativement. Ils se déploient. Je rapproche mes mains. Mes doigts se touchent à travers tes parois internes. C'est mou, c'est doux.
J'ôte les mains de tes trous en même temps. Tu pousses un petit cri. Je te saisis par les cuisses et te rapproche du bord du lit. De la main gauche, sanglante, je prends, enfin, ma queue palpitante. Elle coule de désir. Je fais quelques aller et retours. Puis, la maintenant dans mon poing, j'enfonce le tout dans ton cul. Je me masturbe dans ton cul. Je vois mon poing entrer et sortir partiellement. J'accélère. Je jouis très vite.
게시자: JeLesAimeSaggy
1년 전
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