De l'aube au crépuscule: 147

Dans son mail, Madame me disait qu'elle passerait une partie de la soirée du vendredi chez moi. Elle voulait me présenter non pas son nouvel amant, mais son nouvel ami. Elle trouvait qu'elle devait s'assagit un peu à présent. Elle voulait que je sois très élégante, maquillée et que je porte ma perruque Louise Brooks. Je lui répondis que tout serait fait selon ses ordres.

Je pris un rendez-vous pour vendredi matin chez Rachel pour qu'elle m'épile parfaitement. Je me doutais que Madame voudrait, une fois de plus, me voir saillir par un mâle. Deux heures avant leur arrivée, je me fis un lavement afin d'être parfaitement propre quand l'inconnu me prendra, puis, je me suis maquillée, habillée. J'étais de nouveau prête pour mon sacrifice.

Ils arrivèrent à l'heure dite. Il pleuvait très fort. Elle me présenta Didier. C'était un jeune Africain d'une trentaine d'années d'allure très sportive. Fort beau garçon. À voir l'énorme bosse qui se dessinait au travers de son pantalon de cuir, je me suis dit que j'allais passer un très douloureux moment. Je leur servis le champagne tout en prenant bien soin de ne pas en prendre. Comme trouves-tu ma vieille chienne ? demanda Madame ? Elle n'est pas trop mal conservée pour son âge, répondit l'homme. On la baiserait volontiers. Si tu en as envie, vas-y, mais, je te préviens qu'elle ne bande presque plus. Et que, lorsqu'elle a une érection, sa queue est à peine plus grande que ton gland. Et toi, ondine, comment trouves-tu ma nouvelle guêpière. Madame enleva son ciré noir sous laquelle elle ne portait rien d'autre que ses dessous. Très belle, Madame, vraiment très belle.

Ils terminèrent leur verre. Bien, dit Madame, il est temps maintenant de passer aux choses sérieuses. Ondine, tu vas sucer Didier et le faire devenir dur, très très dur... Mon cul se souvenait encore du sexe de Jean-Yves, j'avais eu du mal à marcher pendant trois jours. J'ai pensé que, là, il me faudrait au moins une semaine pour me rétablir. Je me suis mise à genoux et ai commencé mon travail. La main de Madame s'était déjà glissée sur sa fente. Elle suce bien, Didier ? Oui, Emma très bien. Mieux que moi ? Emma, tu sais bien que ça, c'est impossible. Merci du compliment, mon amour.

Didier avait maintenant une superbe érection. Maintenant, ondine, soulève ta robe et montre à Didier quelle minable queue tu as. Didier se mit à rire. Ne me dis pas, Emma que cet asticot blanc t'a déjà fait jouir. Jamais, mn amour, pas une seule fois. J'ai passé sept ans de ma jeunesse à faire semblant... J'étais naïve, je n'avais pas de point de comparaison. De virgule, tu veux dire, répliqua Didier. Ils se mirent à rire tous les deux.

Un peu tremblante, je me mis à quatre pattes, la tête collée au sol, soulevai ma robe à la taille. Prête à la saillie. Que fais-tu, je t'ai demandé quelque chose, ondine ? Non, Madame. Eh bien alors ? Tu peux me dire quel jour on est ? Oui, Madame ? Et alors ? Et alors rien, Madame, c'est un jour comme un autre. C'est vrai. Sauf que j'ai aujourd'hui 28 ans et que tu n'as même pas été fichue de me faire le moindre cadeau.

Je suis devenue toute rouge. Sans doute encore sous le coup du brutal départ de Danielle, j'avais complètement oublié !!! Tu n'as pas à me donner d'idiotes explications, va te mettre à genoux dans un coin du salon et regarde bien le cadeau que j'ai décidé de m'offrir.

Tiens, Didier, je sais que tu en as envie depuis longtemps, je sais que j'avais peur parce que tu es tellement gros... Tiens, Didier, je t'offre mon cul. Madame poussa un hurlement terrible quand le gland entra. Elle lui demanda d'aller doucement. Puis, une fois habituée, d'aller plus loin, plus fort. J'avais les larmes aux yeux car je comprenais ce qui était en train de se produire...

Le spectacle dura une bonne demi-heure. Didier n'était pas très pressé. Ses muscles se tendirent. Je compris qu'il jouissait. Il se retira lentement. Madame m'appela. Elle voulait que ma langue vienne la laver. Je vis le sperme doucement couler de son anus bien dilaté. Elle se releva. Remit son ciré noir. Viens Didier, nous avons encore beaucoup à faire ce soir. Quant à toi, la chienne, je n'ai pas besoin de te faire un dessin. Tu as parfaitement compris que tu ne m'intéressais définitivement plus...



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