Grosse surprise dans l’ascenseur
Je suis une jeune femme très salope qui adore s’exhiber toute nue à sa fenêtre en se masturbant pour exciter ses voisins de l’immeuble d’en face ce jour là j’étais loin de me douter de la surprise qui m’attendait dans l’ascenseur en rentrant chez moi
Je suis mademoiselle Y, 23 ans, blonde avec de longs cheveux bouclés qui m’arrivent dans le bas du dos, assez petite 1,63m, et toute menu 43kg, avec une joli poitrine, un bon 90C qui fait se retourner les hommes, j’ai aussi un cul bien rebondi, qui fait lui aussi son effet. Aujourd’hui c’est une belle et chaude journée d’été, je suis habillé très sexy, une mini jupe avec un chemisier léger bien échancré, qui met en valeur mon décolleté, et laisse entre apercevoir la rondeur de mes seins.
C’est le mois d’août, et les rues sont pratiquement désertes, comme mon immeuble en ce moment, c’est super calme, pratiquement tous mes voisins sont partis en vacances. En approchant de chez moi je suis loin de me douter de ce que je vais vivre.
J’entre dans le hall de mon immeuble, il y a un homme brun, la trentaine, très grand, au moins 1,90m, avec une carrure extrêmement impressionnante, digne d’un rugbyman. Je le connais de vue, c’est monsieur Y, un de mes voisins qui habitent l’immeuble d’en face, je le vois depuis chez moi parfois, je me demande bien ce qu’il fait ici. Je me dirige vers l’ascenseur, j’appuie sur le bouton d’appel de celui ci, les portes s’ouvrent, j’entre suivi par cet homme. Je lui demande à quel étage il se rend, il me répond au quatrième. Tien bizarre, comme moi, pourtant je ne l’ai jamais rencontré ni dans mon immeuble, ni sur mon palier, et en ce moment il y a personne à mon étage. J’appuie sur le bouton numéro 4, les portes se ferment, et l’ascenseur démarre.
A peine avons nous dépassé le deuxième étage, qu’il appuie sur le bouton qui stoppe l’appareil.
– Qu’est ce que vous faite, ça va pas ?
– Ça va très bien, tu vas faire tout ce que je vais te dire sans broncher et sans crier, sinon je vais être obliger de te massacrer, tu as bien compris petite salope ?
Putain, ça va être ma fête, ce type à pas l’air de plaisanter, et vu comment il est bâti, je fais pas le poids, je crois que j’ai intérêt à lui obéir, je sais même pas ce qu’il veut,
– Oui j’ai compris, vous voulez quoi ?
– Te baiser bien sur, petite salope, tu crois pas que tu peux exciter tes voisins comme tu le fais tous les jours, en nous montrant ta chatte et tes seins complètement nue, en nous chauffant à mort en te masturbant comme une petite pute, en jouissant devant nous, ta mouille giclant de ta chatte, et ne pas nous donner envie de te baiser ensuite, tu crois pas que j’allais continuer à me contenter de me branler devant toi comme le font les autres, tu m’as trop donner envie de te baiser, et de force bien sur, c’est bien meilleur !
Ça m’apprendra de m’exhiber à poil devant mes voisins, de les chauffer en me masturbant, et de les voir se branler devant moi, je pensais pas qu’il y en aurait un qui voudrait me violer, merde me violer, vu le mec je vais déguster, pourtant je sens déjà ma chatte qui mouille, je suis vraiment une salope incorrigible.
– Vous voulez que je fasse quoi ?
– Fou toi à poil, et laisses toi faire en fermant ta gueule de petite pute !
J’ai pas le choix, je suis obligée de lui obéir. J’enlève ma jupe, puis mon chemisier, pas assez vite à son goût, car il att**** ma culotte qu’il arrache s’en ménagement, je me retrouve le cul nu, assise par terre, la vache quelle brute se mec.
– Lèves toi, dépêches toi enlève ton soutif, sinon je te l’arrache aussi !
Je me dépêche de lui obéir, je me retrouve complètement nue devant lui, je me sens gênée, c’est bête, puisque je me montre complètement à poil tous les jours devant lui et les autres voisins d’en face sans que cela me gêne, au contraire ça m’excite un maximum normalement, mais c’est moi qui dirige les opérations, j’ai le contrôle totale, là c’est sous sa contrainte, à sa merci, je me sens complètement perdu.
– C’est bien, maintenant laisse toi faire, et fais ce que je te dis, tu es encore plus excitante de près que depuis ma fenêtre !
Il me prend par la taille et me soulève comme si je ne pesais plus rien, il me demande d’écarter les jambes et de les poser sur ses larges épaules. En rien de temps je me retrouve la chatte face à sa bouche, soutenue par ses larges mains qui m’enserrent la taille et plaquée contre la parois de ce fichu ascenseur. Il pose ses mains sous mes fesses pour mieux me soutenir, soudain je sens la chaleur de sa bouche contre ma chatte qui commence à mouiller malgré moi, ses lèvres qui se posent sur celle de mon intimité, je me contracte un peu, mais sa langue commence à me lécher le clitoris, chose qui m’électrise directement, je me relâche complètement, je m’offre à sa langue sans aucune retenu, c’est trop bon, j’aime trop ça, je commence à gémir, accompagnant ses coups de langues, il me malaxe les fesses en même temps avec ses grosses mains. Je dois reconnaître que ce type sait y faire, il est entrain de me faire grimper aux rideaux, je sens mon orgasme arriver, mon ventre et mon vagin commence à faire des vagues, à se contracter de plus en plus violemment, ma mouille commence à couler de ma chatte, j’essaie de me retenir, de ne pas jouir. Sa bouche se décolle de mon sexe, il s’écarte un peu pour me dire :
– Tu aimes ça salope, vas y jouis salle petite pute, ne te retiens pas, mais sois discrète, ameutes pas tout l’immeuble !
Il se recolle à ma vulve complètement trempée, sa langue reprend de plus belle autour de mon clitoris, j’en peu plus, je m’abandonne petit à petit à mon plaisir, j’aime trop ce qu’il me fait, je gémis en asseyant de retenir mes gémissements, qu’ils soient le plus discret possible, il a raison, pas la peine que tout l’immeuble se rende compte que je suis entrain de jouir dans l’ascenseur, même si il doit plus rester grand monde. Je couine en me retenant, et plus j’essaie de me retenir, plus je sens ma jouissance augmenter, devenir incontrôlable, et puis ce salop s’applique trop bien à me faire jouir, il m’a vu faire de nombreuse fois devant lui quand je me masturbe, il sait que je ne peux pas résister quand on me lèche mon clitoris comme il le fait. Soudain je ne peux me retenir, mon orgasme arrive d’un coup, fulgurant, une vague me submerge, je suis prise de spasmes incontrôlables, je me mort la lèvre pour ne pas hurler mon plaisir, ma mouille gicle sur son visage, mon bas ventre est en feu. Il me pose par terre, je me retiens à la rampe de l’ascenseur, mes jambes flageolent, je suis à moitié dans les vapes, c’est souvent le cas quand je viens d’avoir un orgasme, et celui là a été particulièrement violent et puissant.
J’arrive quand même à jeter un coup d’œil à mon violeur, il a la figure trempée de ma mouille, j’ai vraiment bien giclée sur lui, bien fait, ça l’apprendra, il ramasse ma culotte jetée dans un coin pour s’essuyer le visage avec, puis il l’a jette à nouveau par terre.
– Ça t’as plus petite salope, tu as aimé ça, attend la suite c’est pas fini, tu vas déguster grave maintenant !
Et je le vois dégrafer la ceinture de son pantalon, défaire le bouton qui le tient attaché, jeter son pantalon par terre, baisser son caleçon sur ses pieds, et a ce moment là je vois sa bite monstrueuse, un engin que j’ai aperçu seulement de loin à sa fenêtre. Mais là de près, la vache quel morceau, elle est longue et grosse, avec un gland bien formé qui déborde de sa pointe. Il m’att**** et me retourne, en me demandant de baisser mon buste car il va me prendre en levrette, je me tiens les deux mains accrochées à la barre, je sens sa main et son bras gauche passer sous mon ventre, il me soulève en me demandant de bien m’accrocher à la barre, de son autre main il prend sa bite, qu’il frotte contre ma fente, la faisant coulisser le long, l’enduisant de ma mouille abondante, puis soudainement il m’embroche brutalement, sa queue me pénètre avec difficulté, je la sens m’arracher mon vagin, le remplir totalement, il y va bestialement, cette fois c’est un vrai viol, je me mords les lèvres pour ne pas crier. Maintenant qu’il est en moi, il me prend de ses deux larges mains par la taille, il me tient comme ça soulever pour que je sois à sa hauteur, il y a une sacré différence de taille entre nous deux, je me retrouve empalé sur son pieu monstrueux, les jambes dans le vide. Il me tien la taille et les fesses en même temps, et il se met à me pilonner brutalement, j’ai l’impression qu’il va m’arracher tout l’intérieur de ma personne, heureusement je suis bien lubrifiée, et sa bite coulisse de plus en plus facilement en moi, mon vagin se dilate petit à petit sous ses coups de butoir, son gland explose mon col de l’utérus à chaque coup, jamais je n’ai été rempli comme ça, jamais je n’ai ressenti une telle chose.
– Alors ma petite pute, ma bite c’est autre chose que ton manche de brosse à dent électrique, ou la courgette que tu t’es enfilé hier soir !
Je commence à m’habituer à son engin monstrueux, et j’ai honte de dire que j’y prend même du plaisir maintenant, cette sensation d’être remplie comme jamais je ne l’ai été, et défoncée ainsi brutalement, commence à m’exciter sérieusement, ma chatte laisse échapper désormais des bruits de succion de plus en plus indécent, je recommence à mouiller abondamment, je sens ma mouille gicler et couler le long de mes cuisses. Mon agresseur apprécie aussi, car il grogne de plaisir par moment, et moi je me mets aussi à couiner maintenant, en cœur avec lui, soudain il se retire et me pose à terre.
– Mais c’est que ma petite salope y prendrai goût, ça vas pas ça, je veux te punir pour ton attitude envers tes voisins, pas te récompenser, du moins pas aujourd’hui, tu vas voir dans ton cul maintenant, là ça va pas être pareil pour toi !
Et dans la foulé il me file deux tapes sur chacune de mes fesses, avant de me les agripper et de me soulever à nouveau. Il me tient d’un bras, pendant que de son autre main il guide sa bite monstrueuse vers mon cul. Elle est pleine de ma mouille, et il la frotte contre ma rondelle en appuyant de plus en plus fort, il y va quand même relativement précautionneusement, son gland commence à glisser entre mes fesses, je le sens dilater ma petite rondelle, je me laisse faire, je suis habituer à me faire sodomiser de temps à autre, et je sais que vu la taille de sa queue, j’ai pas intérêt à me contracter. Il finit par passer la barrière, son gland glisse maintenant en moi, mes entrailles sont vite remplis, et encore il est pas enfoncé à fond. Il commence ses longs vas et viens, de plus en plus vite et fort, maintenant qu’il est en moi, il s’enfonce aussi de plus en plus profondément à chaque coup de butoir, son bélier faisant son office, je serre quand même les dents, même si j’ai l’habitude de me faire enculer, là, son chibre démesuré me fait quand même un peu mal, surtout qu’il y va franchement.
– Alors ma petite pute salope, tu fais moins la fière, c’est la première fois que tu te fais enculer comme ça, tu vas t’en rappeler longtemps, crois moi !
Et il reprend de plus belle, sans ménagement, il me défonce complètement le cul, bien à fond, je sens son ventre contre mes fesses, et ses couilles qui tapent contre ma chatte, à chaque fois qu’il arrive en buté, il accélère le mouvement, me défonçant le fion comme une bête, là je ressent vraiment à cet instant l’impression de viol. Il me fait mal, et en même temps je ressens aussi un certain plaisir, moi la dominatrice, être humilié et dominer de cette façon, me trouble au plus au point, je ne peux pas l’expliquer, mais cette situation nouvelle pour moi, m’excite, et me trouble, mon esprit refusant d’admettre que finalement ça ma plaît, être traitée comme une moins que rien, comme un objet, juste pour le plaisir de cet homme. Petit à petit la douleur s’estompe, et elle commence à se transformer en plaisir, je ne serre plus les dents, je me concentre désormais sur cette nouvelle sensation pour moi, cette sensation d’être une poupée gonflable dans les pattes de ce salop, qui prend son pied sans me demander mon avis, et même pire contre ma volonté, il me secoue de plus en plus fort, je sens sa bite se raidir et gonfler encore plus dans mes entrailles, je me dis qu’il ne va pas tarder à jouir, et du coup ça déclenche en moi une excitation incontrôlable, je veux qu’il me pilonne encore plus fort, encore plus vite, ma chatte se met à couler, ma mouille ruisselle le long de mes jambes, mon vagin commence à se contracter, et mon cul aussi, je vais maintenant au devant de son pieux en cambrant beaucoup plus mon cul, en le bougeant sur cette tige monstrueuse, je veux qu’il gicle en moi.
Soudain, il me repousse brutalement contre la parois, en se désaccouplant de moi, et en me retournant brusquement. Je me retrouve face à lui, il a son énorme bite dans la main, et il se masturbe comme un fou devant moi, en grimaçant de plaisir, il se contracte soudainement, m’envoyant de puissants jets de sperme sur mes seins, mon visage, mon ventre. Il approche son membre entre mes seins, et se frotte contre eux, pour finir de se vider, et aussi pour s’essuyer sur mon corps.
– Tiens voilà ce que tu mérites petite salope, petite pute, être souiller du sperme de tout tes voisins !
Il ramasse ma culotte et s’essuie la bite avec, puis il se rhabille.
– Bon je te raccompagne jusque chez toi, ramasses tes affaires, mais ne te rhabilles pas, tu vas rentrer chez toi comme ça !
Sur ce, il débloque l’ascenseur qui reprend sa course jusqu’au quatrième étage, les portes s’ouvrent, il me pousse dehors, il y a personne heureusement, je cours jusqu’à la porte de mon appartement, le mec me ratt****, je me dépêche de chercher mes clefs, et j’ouvre ma porte, je me précipite à l’intérieur, je vais pour refermer la porte, mais il la bloque.
– Tout doux ma petite salope, attends, je ne rentre pas chez toi, je veux juste te remercier pour ce moment passé en ta compagnie, et quand tu seras remise de tes émotions, peut-être voudra tu me revoir à nouveau, cette fois je te baiserai chez toi, ce ne sera plus du viol, tu seras consentante, et c’est toi qui décideras comment je te baiserai !
Il me tend sa carte de visite, je la prend machinalement, inconsciemment j’ai peut-être envie de le revoir, de goûter à nouveau à cette bite monstrueuse, d’être à nouveau maltraitée, de devenir sa chose, son objet, sa pute, sa voix me sort de ma rêverie.
– Quand tu auras envie, téléphones moi, et aussi si tu te masturbes à nouveau devant ta fenêtre, que je ne loupe pas le rendez vous !
Il s’éloigne en m’envoyant un baiser, me laissant devant le pas de ma porte, toute nue, souillée de sa semence, perplexe et perdu dans mes réflexions, je fini par fermer ma porte alors qu’il est déjà parti dans l’ascenseur, et arrivé au rez de chaussé. Je suis la, avec sa carte dans ma main, je la pose dans le vide poche, sans la regarder, je ne suis pas encore prête pour cela, il faut que je digère cette histoire, j’ai trop de sensations contradictoire, mais je suis sur d’une chose, quelque chose au fond de moi, me pousse vers cet homme, et je vais sûrement rester un certain temps sans me masturber devant mes voisins, moi qui aimait le faire plusieurs fois par jours, mais mon naturel va vite reprendre le dessus, je le sais, j’aime trop faire la salope, et m’exhiber de la sorte.
Cette fille existe réellement, tout ce que je raconte sur elle est vrai. J’ai écris cette histoire à sa demande, c’est un fantasme qu’elle a, et maintenant que je le lui ai écris, cela l’excite de le lire, et elle se masturbe en le faisant, et pour le faire elle prend tout ce qui lui tombe sous la main, pour se le fourrer dans sa chatte, cela va du manche de sa brosse à dent électrique, en passant par des courgettes, ou des manches amovibles de casseroles, et le tout complètement nue, assise sur un grand pouf, devant sa fenêtre pour en faire profiter tous ses voisins de l’immeuble d’en face.
Mesdemoiselles, mesdames, ne soyez pas timide, faites comme cette jeune personne, écrivez moi, nous pouvons discuter de tout, rien n’est tabou avec moi, et ma discrétion vous est assurée, sauf si nous écrivons une histoire pour la publier bien sur. Je ne vous jugerai jamais, je peux vous conseiller, nous pouvons nous exciter ensemble, venez tenter et découvrir une nouvelle expérience. Beaucoup de femmes de tous âges l’on fait, aucune ne l’a regretté.
Je suis mademoiselle Y, 23 ans, blonde avec de longs cheveux bouclés qui m’arrivent dans le bas du dos, assez petite 1,63m, et toute menu 43kg, avec une joli poitrine, un bon 90C qui fait se retourner les hommes, j’ai aussi un cul bien rebondi, qui fait lui aussi son effet. Aujourd’hui c’est une belle et chaude journée d’été, je suis habillé très sexy, une mini jupe avec un chemisier léger bien échancré, qui met en valeur mon décolleté, et laisse entre apercevoir la rondeur de mes seins.
C’est le mois d’août, et les rues sont pratiquement désertes, comme mon immeuble en ce moment, c’est super calme, pratiquement tous mes voisins sont partis en vacances. En approchant de chez moi je suis loin de me douter de ce que je vais vivre.
J’entre dans le hall de mon immeuble, il y a un homme brun, la trentaine, très grand, au moins 1,90m, avec une carrure extrêmement impressionnante, digne d’un rugbyman. Je le connais de vue, c’est monsieur Y, un de mes voisins qui habitent l’immeuble d’en face, je le vois depuis chez moi parfois, je me demande bien ce qu’il fait ici. Je me dirige vers l’ascenseur, j’appuie sur le bouton d’appel de celui ci, les portes s’ouvrent, j’entre suivi par cet homme. Je lui demande à quel étage il se rend, il me répond au quatrième. Tien bizarre, comme moi, pourtant je ne l’ai jamais rencontré ni dans mon immeuble, ni sur mon palier, et en ce moment il y a personne à mon étage. J’appuie sur le bouton numéro 4, les portes se ferment, et l’ascenseur démarre.
A peine avons nous dépassé le deuxième étage, qu’il appuie sur le bouton qui stoppe l’appareil.
– Qu’est ce que vous faite, ça va pas ?
– Ça va très bien, tu vas faire tout ce que je vais te dire sans broncher et sans crier, sinon je vais être obliger de te massacrer, tu as bien compris petite salope ?
Putain, ça va être ma fête, ce type à pas l’air de plaisanter, et vu comment il est bâti, je fais pas le poids, je crois que j’ai intérêt à lui obéir, je sais même pas ce qu’il veut,
– Oui j’ai compris, vous voulez quoi ?
– Te baiser bien sur, petite salope, tu crois pas que tu peux exciter tes voisins comme tu le fais tous les jours, en nous montrant ta chatte et tes seins complètement nue, en nous chauffant à mort en te masturbant comme une petite pute, en jouissant devant nous, ta mouille giclant de ta chatte, et ne pas nous donner envie de te baiser ensuite, tu crois pas que j’allais continuer à me contenter de me branler devant toi comme le font les autres, tu m’as trop donner envie de te baiser, et de force bien sur, c’est bien meilleur !
Ça m’apprendra de m’exhiber à poil devant mes voisins, de les chauffer en me masturbant, et de les voir se branler devant moi, je pensais pas qu’il y en aurait un qui voudrait me violer, merde me violer, vu le mec je vais déguster, pourtant je sens déjà ma chatte qui mouille, je suis vraiment une salope incorrigible.
– Vous voulez que je fasse quoi ?
– Fou toi à poil, et laisses toi faire en fermant ta gueule de petite pute !
J’ai pas le choix, je suis obligée de lui obéir. J’enlève ma jupe, puis mon chemisier, pas assez vite à son goût, car il att**** ma culotte qu’il arrache s’en ménagement, je me retrouve le cul nu, assise par terre, la vache quelle brute se mec.
– Lèves toi, dépêches toi enlève ton soutif, sinon je te l’arrache aussi !
Je me dépêche de lui obéir, je me retrouve complètement nue devant lui, je me sens gênée, c’est bête, puisque je me montre complètement à poil tous les jours devant lui et les autres voisins d’en face sans que cela me gêne, au contraire ça m’excite un maximum normalement, mais c’est moi qui dirige les opérations, j’ai le contrôle totale, là c’est sous sa contrainte, à sa merci, je me sens complètement perdu.
– C’est bien, maintenant laisse toi faire, et fais ce que je te dis, tu es encore plus excitante de près que depuis ma fenêtre !
Il me prend par la taille et me soulève comme si je ne pesais plus rien, il me demande d’écarter les jambes et de les poser sur ses larges épaules. En rien de temps je me retrouve la chatte face à sa bouche, soutenue par ses larges mains qui m’enserrent la taille et plaquée contre la parois de ce fichu ascenseur. Il pose ses mains sous mes fesses pour mieux me soutenir, soudain je sens la chaleur de sa bouche contre ma chatte qui commence à mouiller malgré moi, ses lèvres qui se posent sur celle de mon intimité, je me contracte un peu, mais sa langue commence à me lécher le clitoris, chose qui m’électrise directement, je me relâche complètement, je m’offre à sa langue sans aucune retenu, c’est trop bon, j’aime trop ça, je commence à gémir, accompagnant ses coups de langues, il me malaxe les fesses en même temps avec ses grosses mains. Je dois reconnaître que ce type sait y faire, il est entrain de me faire grimper aux rideaux, je sens mon orgasme arriver, mon ventre et mon vagin commence à faire des vagues, à se contracter de plus en plus violemment, ma mouille commence à couler de ma chatte, j’essaie de me retenir, de ne pas jouir. Sa bouche se décolle de mon sexe, il s’écarte un peu pour me dire :
– Tu aimes ça salope, vas y jouis salle petite pute, ne te retiens pas, mais sois discrète, ameutes pas tout l’immeuble !
Il se recolle à ma vulve complètement trempée, sa langue reprend de plus belle autour de mon clitoris, j’en peu plus, je m’abandonne petit à petit à mon plaisir, j’aime trop ce qu’il me fait, je gémis en asseyant de retenir mes gémissements, qu’ils soient le plus discret possible, il a raison, pas la peine que tout l’immeuble se rende compte que je suis entrain de jouir dans l’ascenseur, même si il doit plus rester grand monde. Je couine en me retenant, et plus j’essaie de me retenir, plus je sens ma jouissance augmenter, devenir incontrôlable, et puis ce salop s’applique trop bien à me faire jouir, il m’a vu faire de nombreuse fois devant lui quand je me masturbe, il sait que je ne peux pas résister quand on me lèche mon clitoris comme il le fait. Soudain je ne peux me retenir, mon orgasme arrive d’un coup, fulgurant, une vague me submerge, je suis prise de spasmes incontrôlables, je me mort la lèvre pour ne pas hurler mon plaisir, ma mouille gicle sur son visage, mon bas ventre est en feu. Il me pose par terre, je me retiens à la rampe de l’ascenseur, mes jambes flageolent, je suis à moitié dans les vapes, c’est souvent le cas quand je viens d’avoir un orgasme, et celui là a été particulièrement violent et puissant.
J’arrive quand même à jeter un coup d’œil à mon violeur, il a la figure trempée de ma mouille, j’ai vraiment bien giclée sur lui, bien fait, ça l’apprendra, il ramasse ma culotte jetée dans un coin pour s’essuyer le visage avec, puis il l’a jette à nouveau par terre.
– Ça t’as plus petite salope, tu as aimé ça, attend la suite c’est pas fini, tu vas déguster grave maintenant !
Et je le vois dégrafer la ceinture de son pantalon, défaire le bouton qui le tient attaché, jeter son pantalon par terre, baisser son caleçon sur ses pieds, et a ce moment là je vois sa bite monstrueuse, un engin que j’ai aperçu seulement de loin à sa fenêtre. Mais là de près, la vache quel morceau, elle est longue et grosse, avec un gland bien formé qui déborde de sa pointe. Il m’att**** et me retourne, en me demandant de baisser mon buste car il va me prendre en levrette, je me tiens les deux mains accrochées à la barre, je sens sa main et son bras gauche passer sous mon ventre, il me soulève en me demandant de bien m’accrocher à la barre, de son autre main il prend sa bite, qu’il frotte contre ma fente, la faisant coulisser le long, l’enduisant de ma mouille abondante, puis soudainement il m’embroche brutalement, sa queue me pénètre avec difficulté, je la sens m’arracher mon vagin, le remplir totalement, il y va bestialement, cette fois c’est un vrai viol, je me mords les lèvres pour ne pas crier. Maintenant qu’il est en moi, il me prend de ses deux larges mains par la taille, il me tient comme ça soulever pour que je sois à sa hauteur, il y a une sacré différence de taille entre nous deux, je me retrouve empalé sur son pieu monstrueux, les jambes dans le vide. Il me tien la taille et les fesses en même temps, et il se met à me pilonner brutalement, j’ai l’impression qu’il va m’arracher tout l’intérieur de ma personne, heureusement je suis bien lubrifiée, et sa bite coulisse de plus en plus facilement en moi, mon vagin se dilate petit à petit sous ses coups de butoir, son gland explose mon col de l’utérus à chaque coup, jamais je n’ai été rempli comme ça, jamais je n’ai ressenti une telle chose.
– Alors ma petite pute, ma bite c’est autre chose que ton manche de brosse à dent électrique, ou la courgette que tu t’es enfilé hier soir !
Je commence à m’habituer à son engin monstrueux, et j’ai honte de dire que j’y prend même du plaisir maintenant, cette sensation d’être remplie comme jamais je ne l’ai été, et défoncée ainsi brutalement, commence à m’exciter sérieusement, ma chatte laisse échapper désormais des bruits de succion de plus en plus indécent, je recommence à mouiller abondamment, je sens ma mouille gicler et couler le long de mes cuisses. Mon agresseur apprécie aussi, car il grogne de plaisir par moment, et moi je me mets aussi à couiner maintenant, en cœur avec lui, soudain il se retire et me pose à terre.
– Mais c’est que ma petite salope y prendrai goût, ça vas pas ça, je veux te punir pour ton attitude envers tes voisins, pas te récompenser, du moins pas aujourd’hui, tu vas voir dans ton cul maintenant, là ça va pas être pareil pour toi !
Et dans la foulé il me file deux tapes sur chacune de mes fesses, avant de me les agripper et de me soulever à nouveau. Il me tient d’un bras, pendant que de son autre main il guide sa bite monstrueuse vers mon cul. Elle est pleine de ma mouille, et il la frotte contre ma rondelle en appuyant de plus en plus fort, il y va quand même relativement précautionneusement, son gland commence à glisser entre mes fesses, je le sens dilater ma petite rondelle, je me laisse faire, je suis habituer à me faire sodomiser de temps à autre, et je sais que vu la taille de sa queue, j’ai pas intérêt à me contracter. Il finit par passer la barrière, son gland glisse maintenant en moi, mes entrailles sont vite remplis, et encore il est pas enfoncé à fond. Il commence ses longs vas et viens, de plus en plus vite et fort, maintenant qu’il est en moi, il s’enfonce aussi de plus en plus profondément à chaque coup de butoir, son bélier faisant son office, je serre quand même les dents, même si j’ai l’habitude de me faire enculer, là, son chibre démesuré me fait quand même un peu mal, surtout qu’il y va franchement.
– Alors ma petite pute salope, tu fais moins la fière, c’est la première fois que tu te fais enculer comme ça, tu vas t’en rappeler longtemps, crois moi !
Et il reprend de plus belle, sans ménagement, il me défonce complètement le cul, bien à fond, je sens son ventre contre mes fesses, et ses couilles qui tapent contre ma chatte, à chaque fois qu’il arrive en buté, il accélère le mouvement, me défonçant le fion comme une bête, là je ressent vraiment à cet instant l’impression de viol. Il me fait mal, et en même temps je ressens aussi un certain plaisir, moi la dominatrice, être humilié et dominer de cette façon, me trouble au plus au point, je ne peux pas l’expliquer, mais cette situation nouvelle pour moi, m’excite, et me trouble, mon esprit refusant d’admettre que finalement ça ma plaît, être traitée comme une moins que rien, comme un objet, juste pour le plaisir de cet homme. Petit à petit la douleur s’estompe, et elle commence à se transformer en plaisir, je ne serre plus les dents, je me concentre désormais sur cette nouvelle sensation pour moi, cette sensation d’être une poupée gonflable dans les pattes de ce salop, qui prend son pied sans me demander mon avis, et même pire contre ma volonté, il me secoue de plus en plus fort, je sens sa bite se raidir et gonfler encore plus dans mes entrailles, je me dis qu’il ne va pas tarder à jouir, et du coup ça déclenche en moi une excitation incontrôlable, je veux qu’il me pilonne encore plus fort, encore plus vite, ma chatte se met à couler, ma mouille ruisselle le long de mes jambes, mon vagin commence à se contracter, et mon cul aussi, je vais maintenant au devant de son pieux en cambrant beaucoup plus mon cul, en le bougeant sur cette tige monstrueuse, je veux qu’il gicle en moi.
Soudain, il me repousse brutalement contre la parois, en se désaccouplant de moi, et en me retournant brusquement. Je me retrouve face à lui, il a son énorme bite dans la main, et il se masturbe comme un fou devant moi, en grimaçant de plaisir, il se contracte soudainement, m’envoyant de puissants jets de sperme sur mes seins, mon visage, mon ventre. Il approche son membre entre mes seins, et se frotte contre eux, pour finir de se vider, et aussi pour s’essuyer sur mon corps.
– Tiens voilà ce que tu mérites petite salope, petite pute, être souiller du sperme de tout tes voisins !
Il ramasse ma culotte et s’essuie la bite avec, puis il se rhabille.
– Bon je te raccompagne jusque chez toi, ramasses tes affaires, mais ne te rhabilles pas, tu vas rentrer chez toi comme ça !
Sur ce, il débloque l’ascenseur qui reprend sa course jusqu’au quatrième étage, les portes s’ouvrent, il me pousse dehors, il y a personne heureusement, je cours jusqu’à la porte de mon appartement, le mec me ratt****, je me dépêche de chercher mes clefs, et j’ouvre ma porte, je me précipite à l’intérieur, je vais pour refermer la porte, mais il la bloque.
– Tout doux ma petite salope, attends, je ne rentre pas chez toi, je veux juste te remercier pour ce moment passé en ta compagnie, et quand tu seras remise de tes émotions, peut-être voudra tu me revoir à nouveau, cette fois je te baiserai chez toi, ce ne sera plus du viol, tu seras consentante, et c’est toi qui décideras comment je te baiserai !
Il me tend sa carte de visite, je la prend machinalement, inconsciemment j’ai peut-être envie de le revoir, de goûter à nouveau à cette bite monstrueuse, d’être à nouveau maltraitée, de devenir sa chose, son objet, sa pute, sa voix me sort de ma rêverie.
– Quand tu auras envie, téléphones moi, et aussi si tu te masturbes à nouveau devant ta fenêtre, que je ne loupe pas le rendez vous !
Il s’éloigne en m’envoyant un baiser, me laissant devant le pas de ma porte, toute nue, souillée de sa semence, perplexe et perdu dans mes réflexions, je fini par fermer ma porte alors qu’il est déjà parti dans l’ascenseur, et arrivé au rez de chaussé. Je suis la, avec sa carte dans ma main, je la pose dans le vide poche, sans la regarder, je ne suis pas encore prête pour cela, il faut que je digère cette histoire, j’ai trop de sensations contradictoire, mais je suis sur d’une chose, quelque chose au fond de moi, me pousse vers cet homme, et je vais sûrement rester un certain temps sans me masturber devant mes voisins, moi qui aimait le faire plusieurs fois par jours, mais mon naturel va vite reprendre le dessus, je le sais, j’aime trop faire la salope, et m’exhiber de la sorte.
Cette fille existe réellement, tout ce que je raconte sur elle est vrai. J’ai écris cette histoire à sa demande, c’est un fantasme qu’elle a, et maintenant que je le lui ai écris, cela l’excite de le lire, et elle se masturbe en le faisant, et pour le faire elle prend tout ce qui lui tombe sous la main, pour se le fourrer dans sa chatte, cela va du manche de sa brosse à dent électrique, en passant par des courgettes, ou des manches amovibles de casseroles, et le tout complètement nue, assise sur un grand pouf, devant sa fenêtre pour en faire profiter tous ses voisins de l’immeuble d’en face.
Mesdemoiselles, mesdames, ne soyez pas timide, faites comme cette jeune personne, écrivez moi, nous pouvons discuter de tout, rien n’est tabou avec moi, et ma discrétion vous est assurée, sauf si nous écrivons une histoire pour la publier bien sur. Je ne vous jugerai jamais, je peux vous conseiller, nous pouvons nous exciter ensemble, venez tenter et découvrir une nouvelle expérience. Beaucoup de femmes de tous âges l’on fait, aucune ne l’a regretté.
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