Baisé par un inconnu sur un parking
La petite annonce m’a titillé… j’aime l’aventure. Ça commençait par "Mec hyper discret cherche cul à défoncer." Après quelques échanges d’e-mails, je suis là dans ma voiture, sur un grand parking de supermarché, désert à cette heure-là. Et effectivement, l’inconnu de l’annonce avait raison, l’un des lampadaires ne fonctionne pas. Et je me suis parqué là, dans une zone à peine plus sombre que le reste du parking. Je suis à poil, les yeux bandés. À quatre pattes, sur la banquette arrière le cul tendu du côté de la portière gauche.
Le temps paraît long. Je me sens ridicule. Chaque fois que j’entends un véhicule, je frissonne. J’ai peur. Et si le mec était un cinglé. Ou si les flics passaient et me trouvaient dans cette posture ? Tous les scénarios s’affolent dans ma tête.
Une voiture arrive
Tout à coup, j’entends une voiture qui se parque à côté. Le bruit d’une portière qu’on claque, puis une deuxième. Grosse panique… le mec n’est pas seul. Ça ne peut pas être lui. Je m’imagine déjà en garde à vue, avec une amende, voire même me retrouver devant un juge à raconter ce que je faisais le cul en l’air au milieu de la nuit !
La portière s’ouvre et j’entends siffler… "un bon gros cul comme je les aime, je vais bien découiller ! Et tout ce jus ne sera pas pour toi, tu sais bien pourquoi !" Il a une belle voix grave, un peu éraillée. Ça doit être un gros fumeur, d’ailleurs une odeur de clope froide arrive jusqu’à moi. Je sens un doigt froid, directement sur mon anus, il n’a même pas pris la peine de la moindre caresse sur mes fesses…
L’autre voix et plus aiguë : "Oui, Maître, je suis puni pour être allé voir votre ami Maître Antoine sans vous demander votre autorisation." La voix grave répond : "C’est bien tu as compris. C’est pour ça que ta queue est en cage depuis 26 jours." Puis sans prévenir, il me glisse un doigt dans l’anus ! "C’est bien, tu t’es lubrifié le trou, je vais pouvoir t’enfiler direct !"
La voix grave continue : "alors soumis, tu attends quoi… sors ma queue ! Désolé je bande déjà, tu n’auras même pas besoin de me pomper pour me faire bander." J’entends un bruit de fermeture éclair. "Sors bien mes couilles !" Et la voix aiguë sur un ton suppliant. "Maître, laissez-moi-la pomper un peu, elle me manque trop !"
Sodomie brutale
Pour toute réponse, il a enfoncé d’un coup sec sa queue dans mon cul. Surpris, j’ai poussé un cri. "T’as vu soumis, cette chienne trouve que ma queue est grosse !" rigole la voix rauque ! La douleur fait vite place au plaisir, le mec doit avoir de grosses couilles, je les sens battre contre mes fesses. J’agite mon cul en rythme, pour que les coups de bite soient encore plus vifs. Et comme j’ai bien compris quel était le trip de ces deux-là, je minaude "oh oui, Monsieur, défoncez-moi bien, donnez-moi votre jus, remplissez-moi !" Le bon macho semble apprécier : "t’aimes la queue toi, t’es un bon vide-couilles !"
Le mec me bourre sans s’arrêter, je me demande comment il tient à ce rythme-là sans juter. Et tout à coup je l’entends beugler "ah oui, je vais te doser !" Je sens sa queue tressauter. Il retire sa queue. "Soumis, nettoie ma queue et remets-là en place !" J’entends le soumis se précipiter sur le gros chibre avec un "MMM" de satisfaction. Mais la voix rauque l’arrête. J’entends une gifle et "Eh tu crois quoi, tu es toujours puni. Tu n’as pas le droit de profiter de ma queue. Juste la nettoyer !"
Le soumis récupère le jus du Maître
J’entends la voix rauque rire. "Tu devrais voir ta gueule, soumis. T’as l’air tout frustré. Mais ta punition, tu la mérites ! Ça t’apprendra à croire que tu peux donner ton cul à qui tu veux sans me demander. Bon, allez, tu me fais pitié. Tu veux mon jus ?" La voix aiguë réagit tout de suite : "Oh oui, Maître, s’il vous plaît !" et la voix rauque rétorque : "eh bien bouffe-lui le cul pour récupérer mon jus." Il n’a pas fini de dire sa phrase que je sens une langue s’enfoncer dans mon trou et frétiller. C’est super bon ! Je gémis. "Il est bon mon esclave, hein !", rigole la voix rauque.
Cela dure quelques dizaines de secondes puis le domi beugle : "c’est bon, ça suffit. Soumis, tu retournes dans la voiture !" Le soumis, lâche mon cul et je l’entends dire plein de regrets "oui Maître !" La grosse main de la voix rauque me claque la fesse. "Tu m’as dit que tu n’étais pas soumis, toi." Je réponds : "non, juste salope. J’aime me prendre des queues et du jus !" Et la voix conclue : "Dommage, mais ne t'inquiètes pas, tu auras de mes nouvelles et peut-être même des nouvelles de mes potes ! Regarde bien tes e-mails, trou à jus !"
Il claque la porte, je reste quelques secondes, j’entends l’autre voiture s’éloigner. J’enlève le bandeau que j’ai sur les yeux, j’att**** mon smartphone et j’envoie un e-mail au mec pour le remercier pour ce moment.
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J'ai publié ce texte une première fois en mars 2019 sur gai-éros, mais comme cet excellent site a de nombreux problèmes ces temps, je sauve mes contributions avant qu'elles ne disparaissent complètement.
Finalement c'est de Xhamster que le surprise est venue: les story ont été supprimées (heureusement les archives pouvaient être récupérées). Revoici donc mon histoire sous forme de billet.
Le temps paraît long. Je me sens ridicule. Chaque fois que j’entends un véhicule, je frissonne. J’ai peur. Et si le mec était un cinglé. Ou si les flics passaient et me trouvaient dans cette posture ? Tous les scénarios s’affolent dans ma tête.
Une voiture arrive
Tout à coup, j’entends une voiture qui se parque à côté. Le bruit d’une portière qu’on claque, puis une deuxième. Grosse panique… le mec n’est pas seul. Ça ne peut pas être lui. Je m’imagine déjà en garde à vue, avec une amende, voire même me retrouver devant un juge à raconter ce que je faisais le cul en l’air au milieu de la nuit !
La portière s’ouvre et j’entends siffler… "un bon gros cul comme je les aime, je vais bien découiller ! Et tout ce jus ne sera pas pour toi, tu sais bien pourquoi !" Il a une belle voix grave, un peu éraillée. Ça doit être un gros fumeur, d’ailleurs une odeur de clope froide arrive jusqu’à moi. Je sens un doigt froid, directement sur mon anus, il n’a même pas pris la peine de la moindre caresse sur mes fesses…
L’autre voix et plus aiguë : "Oui, Maître, je suis puni pour être allé voir votre ami Maître Antoine sans vous demander votre autorisation." La voix grave répond : "C’est bien tu as compris. C’est pour ça que ta queue est en cage depuis 26 jours." Puis sans prévenir, il me glisse un doigt dans l’anus ! "C’est bien, tu t’es lubrifié le trou, je vais pouvoir t’enfiler direct !"
La voix grave continue : "alors soumis, tu attends quoi… sors ma queue ! Désolé je bande déjà, tu n’auras même pas besoin de me pomper pour me faire bander." J’entends un bruit de fermeture éclair. "Sors bien mes couilles !" Et la voix aiguë sur un ton suppliant. "Maître, laissez-moi-la pomper un peu, elle me manque trop !"
Sodomie brutale
Pour toute réponse, il a enfoncé d’un coup sec sa queue dans mon cul. Surpris, j’ai poussé un cri. "T’as vu soumis, cette chienne trouve que ma queue est grosse !" rigole la voix rauque ! La douleur fait vite place au plaisir, le mec doit avoir de grosses couilles, je les sens battre contre mes fesses. J’agite mon cul en rythme, pour que les coups de bite soient encore plus vifs. Et comme j’ai bien compris quel était le trip de ces deux-là, je minaude "oh oui, Monsieur, défoncez-moi bien, donnez-moi votre jus, remplissez-moi !" Le bon macho semble apprécier : "t’aimes la queue toi, t’es un bon vide-couilles !"
Le mec me bourre sans s’arrêter, je me demande comment il tient à ce rythme-là sans juter. Et tout à coup je l’entends beugler "ah oui, je vais te doser !" Je sens sa queue tressauter. Il retire sa queue. "Soumis, nettoie ma queue et remets-là en place !" J’entends le soumis se précipiter sur le gros chibre avec un "MMM" de satisfaction. Mais la voix rauque l’arrête. J’entends une gifle et "Eh tu crois quoi, tu es toujours puni. Tu n’as pas le droit de profiter de ma queue. Juste la nettoyer !"
Le soumis récupère le jus du Maître
J’entends la voix rauque rire. "Tu devrais voir ta gueule, soumis. T’as l’air tout frustré. Mais ta punition, tu la mérites ! Ça t’apprendra à croire que tu peux donner ton cul à qui tu veux sans me demander. Bon, allez, tu me fais pitié. Tu veux mon jus ?" La voix aiguë réagit tout de suite : "Oh oui, Maître, s’il vous plaît !" et la voix rauque rétorque : "eh bien bouffe-lui le cul pour récupérer mon jus." Il n’a pas fini de dire sa phrase que je sens une langue s’enfoncer dans mon trou et frétiller. C’est super bon ! Je gémis. "Il est bon mon esclave, hein !", rigole la voix rauque.
Cela dure quelques dizaines de secondes puis le domi beugle : "c’est bon, ça suffit. Soumis, tu retournes dans la voiture !" Le soumis, lâche mon cul et je l’entends dire plein de regrets "oui Maître !" La grosse main de la voix rauque me claque la fesse. "Tu m’as dit que tu n’étais pas soumis, toi." Je réponds : "non, juste salope. J’aime me prendre des queues et du jus !" Et la voix conclue : "Dommage, mais ne t'inquiètes pas, tu auras de mes nouvelles et peut-être même des nouvelles de mes potes ! Regarde bien tes e-mails, trou à jus !"
Il claque la porte, je reste quelques secondes, j’entends l’autre voiture s’éloigner. J’enlève le bandeau que j’ai sur les yeux, j’att**** mon smartphone et j’envoie un e-mail au mec pour le remercier pour ce moment.
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J'ai publié ce texte une première fois en mars 2019 sur gai-éros, mais comme cet excellent site a de nombreux problèmes ces temps, je sauve mes contributions avant qu'elles ne disparaissent complètement.
Finalement c'est de Xhamster que le surprise est venue: les story ont été supprimées (heureusement les archives pouvaient être récupérées). Revoici donc mon histoire sous forme de billet.
منذ 3 سنوات